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Une petite dernière :

Après que David Desgouilles a attiré mon attention sur la délicate proposition du député vert Yves Cochet visant à squeezer les allocs au-delà du troisième enfant, histoire d’émettre moins de CO2, je dois avouer avoir été saisi par une série de perplexités.

Il y a tout d’abord l’absence totale de réactions indignées. La bonne presse et la classe politique, si promptes à dégainer la moraline et le trémolo dès qu’une idée dépasse, ont été d’une discrétion exemplaires. Parce qu’en vrai, qui c’est qui fait des tripotées de mioches dans ce pays ? On va mettre à part les cas les plus particuliers (catholiques villieristes, loubavitchs, Brad Pitt et Angelina Jolie). Reste donc le noyau dur de la race des géniteurs-pollueurs, à savoir deux types de populations : les pauvres et les issus de la diversité, sans compter l’intergroupe. C’est donc aux immigrés et aux plus démunis que le député vert a proposé qu’on coupe les vivres – et plus si mésentente, allez savoir…

Imaginez un instant que Jean-Marie Le Pen eut hasardé le même raisonnement et les mêmes aboutissants, et je vous laisse imaginer le paysage. C’est reparti comme en 40, Adolf revient, stérilisation forcées, eugénisme néo-nazi, rien que d’y penser, j’entends déjà le Horst Wessel Lied qui siffle à mes oreilles. C’est d’ailleurs à peu près les mêmes flonflons qu’on aurait entonné si un UMP ou un socialiste pris de boisson avaient tenu des propos similaires en fin de banquet. On a tondu George Frèche ou plus récemment Alain Destrem pour des stupidités certes avérées, mais moindres. Le mieux, en politique, quand on n’est pas très doué et qu’on ne veut pas dire de conneries, c’est encore de ne rien dire, comme les collègues. Ou alors de dire du mal de Khomeiny ou de l’anorexie et du bien du Général ou des éoliennes.

Apparemment, Yves Cochet, comme souvent les autres Verts, peuvent eux, dire n’importe quoi sans prendre de gants, sans jamais prendre le risque de devenir les méchants ni même les bouffons de service. Ils peuvent proposer qu’on mette le litre de gasoil à 4 euros, qu’on supprime le chauffage des terrasses de cafés, qu’on rompe immédiatement les relations diplomatiques avec la Chine et Israël ou qu’on interdise les couches-culottes jetables : ça rentre comme dans du beurre.

L’hypothèse optimiste, c’est qu’on les laisse raconter ce qu’ils veulent parce qu’on présuppose qu’ils ne sont là que pour amuser la galerie, qu’ils n’ont aucune chance d’accéder au pouvoir. Cause toujours, coco, c’est pour de rire ! C’est une option pertinente, mais fausse ou en tout cas partielle. Tout d’abord parce le FN non plus n’a aucune chance d’arriver aux affaires et ne bénéficie pas exactement de la même mansuétude. Ensuite parce que les Verts restent indispensables à une éventuelle victoire électorale de la gauche, et toucheront donc les dividendes ministériels qui iront avec. Vous avez aimé Morano à la famille, vous allez adorer Cochet !

L’hypothèse pessimiste, c’est qu’on laisse filer les conneries les plus saillantes que les Verts profèrent, parce que, plus encore que les socialistes, ils sont une sorte de surmoi du camp du Bien et de ses annexes médiatiques. Et donc ontologiquement intouchables. OGM issus des ADN combinés de mère Teresa, Zidane et François Truffaut, les Verts peuvent même parfois raconter des horreurs (un peu comme en son temps l’Abbé Pierre), on ne leur en tiendra jamais rigueur parce qu’on sait qu’elles sont pavées de pures intentions, et qu’ils veulent in fine notre bien, celui des bébés phoques et de Gaïa, notre mère à tous. La messe est dite.

Si les Verts ne bénéficiaient pas d’un Ausweis médiatique sans limitation de durée ou d’insanité, il se serait trouvé un éditorialiste humaniste pour dérouler la pelote de Cochet. J’aurais bien vu un long cri d’indignation dans le registre éprouvé : “Mais pourquoi Monsieur Cochet s’arrête-t-il en si bon chemin ?” Parce qu’il va de soi que les vrais coupables de cette pollution infantile ce sont les parents. Et les parents de ses marmots générateurs de CO2 viennent bien souvent de pays où ils consommaient moins, donc polluaient moins. Au nom de l’urgence écologique et du principe de précaution réunis, qu’est-ce qu’on attend pour les renvoyer chez eux avec un coup de pompe dans le cul et un arrêté d’expulsion sur papier recyclé?

Franchement, cher Yves Cochet, jusque quand tolérera-t-on ces étrangers qui viennent bouffer la couche d’ozone des Français ?

On y vient, les voiles tombent… Il est encore fécond le ventre d'où a surgi la bête immonde ! Ce ventre, il est dans la tête de demeurés aux visions totalitaires… :icon_up:

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J'avais loupé ceci.

Attention : avant de cliquer. C'est un pdf de 5 MB.

Bonne présentation, couvrant tous les aspects de la discussion en Français. A faire connaitre au delà de notre petit cercle.

http://astrosurf.com/astrocdf67/dossier_divers/climatJC.pdf

Je vais faire tourner ça; c'est très intéressant et, en plus, je vais y puiser de quoi faire une belle présentation pour mon travail d'environnement et développement durable (mais je ne lui enverrai pas dans la face que le RC est une belle blague de peur de perdre un tiers de mes points de l'année en envi… dur dur d'être de ce côté de l'amphi).

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Je vais faire tourner ça; c'est très intéressant et, en plus, je vais y puiser de quoi faire une belle présentation pour mon travail d'environnement et développement durable (mais je ne lui enverrai pas dans la face que le RC est une belle blague de peur de perdre un tiers de mes points de l'année en envi… dur dur d'être de ce côté de l'amphi).

C'est la même chose de l'autre côté de l'amphi, mais ce sont des crédits de recherche au lieu des notes.

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Ouais bon d'accord c'est puant, mais c'est les allocs quand même hein.

C'est d'autant plus puant, le clientélisme est toujours le même, les socialistes ont crée les allocs pour verrouiller leur clientèle, les verts savent bien que les pauvres ne voteront jamais pour leur autoreduction humaine durable et financent les lecteurs de télérama, bien entendu, ca va capoter parce qu'ils n'ont pas les moyens d'éliminer physiquement les populations qui ne votent pas pour eux (a leur grand regret, leur monde idéal c'est un quartier bobo au milieu d'une grande foret, avec surtout pas de paysans, de chasseurs, ou pire d'amateurs de sports mécaniques) , mais ils ont le 'mérite' d'essayer de faire comme les grands.

Franchement, plus ça va, plus j'envisage des cas ou le parti communiste traditionnel serait le moins pire des choix électoraux…

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The climate sure is changing when doubt gets an airing

HMM, I could be wrong. Maybe the climate is changing after all.The intellectual climate, I mean.

For years it's been a social crime to doubt man is heating the world to hell.

But suddenly the ice is cracking - and no, not the ice around Antarctica, which has actually grown.

Take a few signs from last week alone.

Australia's pre-eminent academic geologist, Prof Ian Plimer, published Heaven and Earth, challenging the gospel that the world is warming dangerously and that human-caused gases are to blame. \

In fact, says Plimer, what warming we saw until a decade ago was not unusual, not dangerous and most likely caused mainly by solar activity. What's more, temperatures now seem to be falling.

While true, this kind of talk has been enough - until recently - to get you defamed as crazy or corrupt. Only last November, Plimer had a leper's bell rung over his head when he appeared on the ABC's Lateline Business, with presenter Ticky Fullerton warning he was "a geologist, not a climatologist" who "by definition works closely with the mining industry". Cross yourselves!

(When did the ABC last warn viewers that Al Gore "is an ex-politician, not a climatologist", and Tim Flannery "is a mammal expert, not a climatologist"?)

Then came Fullerton's "how-corrupt-are-you" question: "You are a greenhouse heretic . . . Is this scepticism genuine, or it it also about economic self-interest?"

(Has the ABC asked Flannery: "Is your warming belief genuine, or is it also about the $50,000 speaking fees?")

So what's changed? Perhaps not that much, but Sydney Morning Herald columnist Paul Sheehan, long a warming alarmist, did last week praise Plimer's book to the cooling heavens, and confess he could have been wrong in his own warming faith.

On Wednesday, another shock. The ABC's evangelical PM program did, true, report stock predictions of doom from alarmist scientists, but not before giving air time to two sceptical ones who'd given evidence to a Senate inquiry into the Rudd Government's planned emissions trading scheme.

And so listeners heard environmental engineer Prof Stewart Franks, say the West "has been railroaded into this notion of disastrous climate change for which there is no empirical evidence".

They also heard environmental geologist Prof Bob Carter warn that even if the world resumed warming, the Rudd scheme would at best cut temperatures by a thousandth of a degree, but at an insane cost.

And on Saturday came the final straw in the wind - even the ABC's AM gave Plimer an interview, albeit not without some alarmist at the end to "balance" his views as Flannery's never are.

By then Plimer's publisher had already sold an extraordinary 5000 copies of Heaven and Earth in just a week to a public clearly having second thoughts about all the warming hype.

By then, too, other researchers had given yet another reason to doubt.

The University of NSW Climate Change Research Centre has now found that our Big Dry is not unusual and not caused by global warming (as the Government insists), announcing: "The causes of southeastern Australia's longest, most severe and damaging droughts have been discovered, with the surprise finding that they originate far away in the Indian Ocean.

"A team of Australian scientists has detailed for the first time how a phenomenon known as the Indian Ocean Dipole - a variable and irregular cycle of warming and cooling of ocean water - dictates whether moisture-bearing winds are carried across the southern half of Australia."

This explanation "challenges the accepted understanding of the key drivers of Australia's climate", the centre added. No kidding?

I hope the example of last week's three sceptical scientists - and of the NSW climate change researchers - inspires others to now cry that the emperor has no clothes. Or, rather, that he's wearing a jumper, it's got so cool.

You see, in just one week this month, I talked to three federal frontbenchers (two Labor), one prominent union leader and two media stars who all doubt man is warming the planet dangerously, but do not dare tell you.

Indeed, I'd now reckon a quarter of Labor's frontbenchers and more than half of the Liberals' are closet sceptics.

It is tragic that so many smart people are too scared to say what they believe, especially when it's true. I blame most our crusading don't-argue media.

I wonder how much public opinion would turn against the warming scare if such sceptics came out and declared themselves. What a blow they'd strike not just for this country, but for reason.

But for now we still remain the prey of warming priests, carpet-baggers and the barking mad. The climate may be changing, but not enough for many sceptics to yet dare step outside.

Source: The Herald Sun (Australie), le plus important tirage de la presse australienne (tabloïd). http://www.news.com.au/heraldsun/story/0,2…5000117,00.html

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L'article de Paul Sheehan auquel il est fait référence :

Beware the climate of conformity

* Paul Sheehan

* April 13, 2009

What I am about to write questions much of what I have written in this space, in numerous columns, over the past five years. Perhaps what I have written can withstand this questioning. Perhaps not. The greater question is, am I - and you - capable of questioning our own orthodoxies and intellectual habits? Let's see.

The subject of this column is not small. It is a book entitled Heaven And Earth, which will be published tomorrow. It has been written by one of Australia's foremost Earth scientists, Professor Ian Plimer. He is a confronting sort of individual, polite but gruff, courteous but combative. He can write extremely well, and Heaven And Earth is a brilliantly argued book by someone not intimidated by hostile majorities or intellectual fashions.

The book's 500 pages and 230,000 words and 2311 footnotes are the product of 40 years' research and a depth and breadth of scholarship. As Plimer writes: "An understanding of climate requires an amalgamation of astronomy, solar physics, geology, geochronology, geochemistry, sedimentology, tectonics, palaeontology, palaeoecology, glaciology, climatology, meteorology, oceanography, ecology, archaeology and history."

The most important point to remember about Plimer is that he is Australia's most eminent geologist. As such, he thinks about time very differently from most of us. He takes the long, long view. He looks at climate over geological, archaeological, historical and modern time. He writes: "Past climate changes, sea-level changes and catastrophes are written in stone."

Much of what we have read about climate change, he argues, is rubbish, especially the computer modelling on which much current scientific opinion is based, which he describes as "primitive". Errors and distortions in computer modelling will be exposed in time. (As if on cue, the United Nations' peak scientific body on climate change was obliged to make an embarrassing admission last week that some of its computers models were wrong.)

Plimer does not dispute the dramatic flux of climate change - and this column is not about Australia's water debate - but he fundamentally disputes most of the assumptions and projections being made about the current causes, mostly led by atmospheric scientists, who have a different perspective on time. "It is little wonder that catastrophist views of the future of the planet fall on fertile pastures. The history of time shows us that depopulation, social disruption, extinctions, disease and catastrophic droughts take place in cold times … and life blossoms and economies boom in warm times. Planet Earth is dynamic. It always changes and evolves. It is currently in an ice age."

If we look at the last 6 million years, the Earth was warmer than it is now for 3 million years. The ice caps of the Arctic, Antarctica and Greenland are geologically unusual. Polar ice has only been present for less than 20 per cent of geological time. What follows is an intense compression of the book's 500 pages and all their provocative arguments and conclusions:

Is dangerous warming occurring? No.

Is the temperature range observed in the 20th century outside the range of normal variability? No.

The Earth's climate is driven by the receipt and redistribution of solar energy. Despite this crucial relationship, the sun tends to be brushed aside as the most important driver of climate. Calculations on supercomputers are primitive compared with the complex dynamism of the Earth's climate and ignore the crucial relationship between climate and solar energy.

"To reduce modern climate change to one variable, CO2, or a small proportion of one variable - human-induced CO2 - is not science. To try to predict the future based on just one variable (CO2) in extraordinarily complex natural systems is folly. Yet when astronomers have the temerity to show that climate is driven by solar activities rather than CO2 emissions, they are dismissed as dinosaurs undertaking the methods of old-fashioned science."

Over time, the history of CO2 content in the atmosphere has been far higher than at present for most of time. Atmospheric CO2 follows temperature rise. It does not create a temperature rise. CO2 is not a pollutant. Global warming and a high CO2 content bring prosperity and longer life.

The hypothesis that human activity can create global warming is extraordinary because it is contrary to validated knowledge from solar physics, astronomy, history, archaeology and geology. "But evidence no longer matters. And any contrary work published in peer-reviewed journals is just ignored. We are told that the science on human-induced global warming is settled. Yet the claim by some scientists that the threat of human-induced global warming is 90 per cent certain (or even 99 per cent) is a figure of speech. It has no mathematical or evidential basis."

Observations in nature differ markedly from the results generated by nearly two dozen computer-generated climate models. These climate models exaggerate the effects of human CO2 emissions into the atmosphere because few of the natural variables are considered. Natural systems are far more complex than computer models.

The setting up by the UN of the Intergovernmental Panel on Climate Change in 1988 gave an opportunity to make global warming the main theme of environmental groups. "The IPCC process is related to environmental activism, politics and opportunism. It is unrelated to science. Current zeal around human-induced climate change is comparable to the certainty professed by Creationists or religious fundamentalists."

Ian Plimer is not some isolated gadfly. He is a prize-winning scientist and professor. The back cover of Heaven And Earth carries a glowing endorsement from the President of the Czech Republic, Vaclav Klaus, who now holds the rotating presidency of the European Union. Numerous rigorous scientists have joined Plimer in dissenting from the prevailing orthodoxy.

Heaven And Earth is an evidence-based attack on conformity and orthodoxy, including my own, and a reminder to respect informed dissent and beware of ideology subverting evidence.

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Oui, bon, ça ne prouve rien, ça.

Comparer une moyenne sur 20 ans et deux années spécifiques, ça n'a aucune signification.

N'employons pas leur méthodes…

Au contraire ça en a une, parceque leur technique de désinformation consiste à prendre une moyenne suffisamment élevée, pour que la courbe de chaque année suivante apparaisse plus basse.

Ensuite, il ont mis la courbe de l'année 2007, la plus basse, en anticipant que les années suivantes seraient encore plus basse.

Mais manque de bol, ça remonte, et sérieusement en plus.

Je parie que lorsque la courbe 2009 croisera la moyenne 1979-2000, ils changeront la méthodologie.

Mais j'attends ce moment avec impatience pour faire une copie d'écran.

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Au contraire ça en a une, parceque leur technique de désinformation consiste à prendre une moyenne suffisamment élevée, pour que la courbe de chaque année suivante apparaisse plus basse.

Ensuite, il ont mis la courbe de l'année 2007, la plus basse, en anticipant que les années suivantes seraient encore plus basse.

Mais manque de bol, ça remonte, et sérieusement en plus.

Je parie que lorsque la courbe 2009 croisera la moyenne 1979-2000, ils changeront la méthodologie.

Mais j'attends ce moment avec impatience pour faire une copie d'écran.

Certes, ils emploient cette technique. Mais on ne peut pas à la fois la dénoncer comme biaisée et l'utiliser quand ça nous arrange. Ces courbes ne veulent rien dire. On peut tout à fait avoir une année 2009 avec une forte augmentation de la surface des glaces arctiques, et vivre une année 2010 qui en verrait une forte diminution.

Le danger, avec ce type de méthodes empreintes de mauvaise foi, c'est que ça a vite fait de se retourner contre soi.

A la rigueur, ce qu'il est possible de faire, c'est de retrouver un article prévoyant explicitement que la glace de cesserait de fondre et de juxtaposer ce graphique, sans commentaire.

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Oui, bon, ça ne prouve rien, ça.

Comparer une moyenne sur 20 ans et deux années spécifiques, ça n'a aucune signification.

N'employons pas leur méthodes…

:icon_up:

Il y a une fâcheuse tendance chez certains "sceptiques" à employer les mêmes méthodes que les réchauffistes en faisant d'un évènement une généralité. Des deux côtés il faudrait admettre que l'on ne sait que très peu sur le climat et que l'on n'aura un début de réponse aux questions que l'on se pose que dans plusieurs années/décennies

Washington DC – UK’s Lord Christopher Monckton, a former science advisor to Prime Minister Margaret Thatcher, claimed House Democrats have refused to allow him to appear alongside former Vice President Al Gore at high profile global warming hearing on Friday April 24, 2009 at 10am in Washington. Monckton told Climate Depot that the Democrats rescinded his scheduled joint appearance at the House Energy and Commerce hearing on Friday. Monckton said he was informed that he would not be allowed to testify alongside Gore when his plane landed from England Thursday afternoon.

“The House Democrats don’t want Gore humiliated, so they slammed the door of the Capitol in my face,” Monckton told Climate Depot in an exclusive interview. “They are cowards.”

Source: Anthony Watts. Pourquoi les réchauffistes continuent-ils à refuser tout débat contradictoire?

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Du Wiener Zeitung, rapportant les derniers travaux d'Augusto Mangini :

Tropfsteine heizen Klimadebatte an

Stalaktiten und Stalagmiten in Bergbau-Museum. Foto: dpa

Von Horst-Joachim Lüdecke

Temperaturanstieg hat es auch früher mehrmals gegeben.

Sind wirklich CO2 und der Mensch am Klimawandel schuld?

Heidelberg. Um die Klimazukunft abzuschätzen, muss man die Klimavergangenheit kennen. Wie hoch waren die Temperaturen in Vorzeiten, wie stark war ihre Variabilität? Tiefere oder höhere Temperaturen als heute, wie etwa im Mittelalter, können Hinweise auf den Ursprung der gegenwärtigen Erwärmungsphase liefern. Leben wir aktuell in einer ungewöhnlichen Klimasituation? Schreitet eine gefährliche Erderwärmung schnell voran? Oder wird es gar umgekehrt in naher Zukunft kälter anstatt wärmer? Solche Fragen können nur im Vergleich mit Vergangenheitsdaten beantwortet werden.

Auch der Weltklimarat IPCC misst den Vergangenheitstemperaturen in seinen Berichten höchste Bedeutung zu. Weit über die Fachwelt hinaus erregte daher die vom IPCC propagierte Temperaturkurve des Autors Michael Mann Aufsehen, die 1999 in "Geophysical Research Letters" erschien. Kritiker tauften sie "Hockeyschlägerkurve", da sie wie ein nach oben gerichteter Hockey-Schläger aussieht. Ein langer, flacher Verlauf, der bis zum Jahre 1000 zurückreicht, endet in einem kurzen steilen Anstieg und zeigt augenfällig eine dramatische Erwärmung in jüngster Zeit an. Die Kurve von Mann erlangte daher rasch eine über ihre wissenschaftliche Bedeutung hinausgehende Symbolwirkung und führte zu heftigen Kontroversen.

Zahlreiche Fehler und Schlampereien

Dies war schon bei oberflächlicher Betrachtung der Kurve nachvollziehbar. Gut bekannte Klimaereignisse, wie das mittelalterliche Klimaoptimum oder die kleine Eiszeit im ausgehenden 17. Jahrhundert, sind in ihr nämlich nicht erkennbar. Experten deckten zahlreiche Fehler und Schlampereien auf, die zu Korrekturen aber keineswegs zum völligen Zurückziehen der historischen Temperaturen von Mann führten.

Da Thermometerdaten nur aus wenigen hundert Jahren zur Verfügung stehen, können für noch weiter zurückliegende Zeiten Temperaturen nur indirekt ermittelt werden. Man verwendet dazu Temperatur-Archive oder sogenannte Klima-Proxies. Dies sind Eisbohrkerne, Baumringe, Meeres- und Seesedimente, Kalkschalen von Organismen, Pflanzenpollen, Blattstomata usw. Die entsprechenden Analyseverfahren sind aufwendig und mit hohen systematischen Fehlern behaftet. Aus diesem Grunde müssen in der Regel mehrere Methoden miteinander kombiniert und abgeglichen werden. Manns fehlerhafte Daten wurden dagegen fast ausschließlich aus Baumringen gewonnen. Die IPCC-Klimarekonstruktionen beruhen trotzdem noch immer auf Untersuchungen von Baumringen.

[…]

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Oh en cherchant bien, je dois pouvoir te trouver ça :icon_up:

En traduction, l'étude des stalactites comme proxy du climat passé permet d'observer des variations naturelles du climat de plus grande ampleur que celles observées actuellement.

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Et : pour remonter dans le passé au delà de l'époque des mesures de températures, comme les méthodes dont nous disposons sont somme toute merdiques, il faut utiliser plusieurs méthodes différentes pour se faire une idée, et non pas une seule méthode (les cercles concentriques de croissance des arbres d'un seule espèce d'une seule région) comme s'entête, de façon ahurissante, à le faire le GIEC.

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North Pole Sea Ice twice as thick as expected

By Editor Wednesday, April 29, 2009

Radio Bremen

The research aircraft “Polar 5” today concluded its Arctic expedition in Canada. During the flight, researchers measured the current ice thickness at the North Pole and in areas that have never before been surveyed. The result: The sea-ice in the surveyed areas is apparently thicker than scientists had suspected.

Normally, newly formed ice measures some two meters in thickness after two years. “Here, we measured ice thickness up to four meters,” said a spokesperson for Bremerhaven’s Alfred Wegener Institute for Polar and Marine Research. At present, this result contradicts the warming of the sea water, according to the scientists.

Apart from measuring ice thickness, the composition of arctic air was also investigated. With the help of a laser, the researchers studied the level of pollution of the atmosphere by emissions from industrialized countries. In the next few weeks the results will be evaluated. Some 20 scientists from the U.S., Canada, Italy and Germany took part in the expedition.

http://canadafreepress.com/index.php/article/10662

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Et : pour remonter dans le passé au delà de l'époque des mesures de températures, comme les méthodes dont nous disposons sont somme toute merdiques, il faut utiliser plusieurs méthodes différentes pour se faire une idée, et non pas une seule méthode (les cercles concentriques de croissance des arbres d'un seule espèce d'une seule région) comme s'entête, de façon ahurissante, à le faire le GIEC.

Les arbres sont un des pires proxy, car quand le taux de CO2 est élevé, les arbres poussent plus vite

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Ecofascisme et culte solaire néo-païen :

A Marburg, l'écologie sous la contrainte

"Dictature écologique" ou geste courageux pour l'environnement ? Les habitants de Marburg seront à l'avenir obligés sous peine d'amende, de se doter de panneaux solaires, une expérimentation qui fait débat en Allemagne.

Vendredi, le conseil municipal de cette ville universitaire de quelque 80.000 habitants, dirigée par une coalition sociaux-démocrates/Verts, doit adopter officiellement sa controversée "charte solaire." (…)

Cette obligation concernera aussi les bâtiments déjà construits, mais qui changent de toiture ou de système de chauffage. Le tout aux frais des propriétaires."Nous faisons face à une dictature écolo, mais personne n'ose rien dire", s'emporte le politicien d'opposition Hermann Uchtmann.

http://www.lexpress.fr/actualite/environne…nte_514234.html

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D'autant plus stupide que tout démontre qu'en matière de chauffage la solution la plus écologique consiste à isoler les bâtiments anciens.

Mais évidemment isoler un bâtiment ça se voit moins que des panneaux solaires sur un toit.

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Une phrase intéressante tirée de l'article cité par free jazz :

Selon Klaus Vajen, professeur à l'université de Kassel, spécialiste de l'énergie solaire, cette charte solaire n'en reste pas moins "parfaitement sensée." "Inciter ne suffit pas. Il faut parfois forcer la main aux consommateurs pour leur propre bien", assure-t-il.

Il ne craignent même plus de dévoiler publiquement la nature totalitaire de leurs projets. ILs pensent donc que le combat est déjà gagné, et sans doute n'ont-ils pas tout à fait tort.

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D'autant plus stupide que tout démontre qu'en matière de chauffage la solution la plus écologique consiste à isoler les bâtiments anciens.

Mais évidemment isoler un bâtiment ça se voit moins que des panneaux solaires sur un toit.

Sans compter la pollution bien réelle émise pendant la production des cellules.

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