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Et pendant ce temps, Foucart défend son bifsteak :

Dans son dernier livre, L'Imposture climatique (Plon, 300 p., 19,90 €), un ouvrage d'entretiens avec le journaliste Dominique de Montvalon, le géochimiste et ancien ministre Claude Allègre formule des accusations d'une extrême gravité contre la communauté des sciences du climat. La cible principale de l'ouvrage est le GIEC, défini à tort par l'auteur comme le "Groupement international pour l'étude du climat" - il s'agit en réalité du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat.

M. Allègre évoque un "système mafieux" ayant conspiré pour faire passer, aux yeux de l'ensemble du monde, un "mythe" pour un fait scientifique. Très médiatisé, l'ouvrage comporte de nombreuses approximations et erreurs factuelles à même de tromper le public. En voici quelques-unes.

P. 22 "Une étude parue dans la revue Science suggère que l'augmentation de la température dans l'hémisphère Nord de 1970 à 2000 est peut-être due à l'élimination des poussières de charbon dans l'atmosphère, ce qui a facilité l'ensoleillement. L'augmentation (des températures) n'aurait donc rien à voir avec le CO2", écrit M. Allègre, citant une étude en effet publiée par Science, en mars 2007. Les deux premières phrases de cette publication démentent l'interprétation qui en est faite par l'ancien ministre. "Des tendances notables au réchauffement sont observées dans l'Arctique. Bien que les émissions humaines de gaz à effet de serre à longue durée de vie en soient certainement la cause principale, les polluants atmosphériques sont aussi importants."

P. 68 "Au total, l'Antarctique ne semble pas fondre. En tout cas, ce n'est pas perceptible." La réduction des glaces de l'Antarctique n'est pas due à une fonte mais au glissement des glaciers dans la mer. Elle est très perceptible. Grâce aux données satellitaires, les travaux d'Isabella Velicogna (université de Californie à Irvine, JPL) ont montré qu'entre 2002 et 2006, l'Antarctique a perdu, en moyenne, 104 milliards de tonnes (Gt) de glace par an. Entre 2006 et 2009, ce taux est passé à 246 Gt par an. Les pertes de glaces du Groenland et de l'Antarctique sont l'une des principales causes de l'augmentation du niveau marin.

P. 68 "Au Moyen Age, lorsque les Vikings ont découvert le Groenland, il y avait encore moins de glace qu'aujourd'hui. C'est pour cela qu'ils l'ont appelé le "pays vert"", écrit M. Allègre. L'étymologie proposée est correcte, mais les raisons avancées sont fausses. La Saga d'Erik Le Rouge, (datée du XIIIe siècle) témoigne qu'"Erik (le Rouge) partit pour coloniser le pays qu'il avait découvert et qu'il appelait le "Pays vert", parce que, disait-il, les gens auraient grande envie de venir dans un pays qui avait un si beau nom".

La période chaude du Moyen Age - au moins sur l'hémisphère Nord - est sans équivoque. Mais l'écrasante majorité des travaux de reconstructions paléoclimatiques suggèrent qu'elle était moins chaude que la période actuelle.

P. 73 A propos de l'influence du réchauffement sur les ouragans, "certains spécialistes comme Wester, Tech ou Kerry Emmanuel pensent" qu'elle est réelle, écrit l'auteur. "Wester" est Peter Webster. Quant à "Tech", ce nom n'existe pas. L'auteur a confondu le nom de l'institution de M. Webster (Georgia Tech, diminutif de Georgia Institute of Technology) avec celui d'une personne.

P. 78 L'auteur fait état de travaux montrant qu'il y a 125 000 ans, il faisait "6 °C de plus qu'aujourd'hui, et le CO2 de l'atmosphère était moins abondant". La référence donnée est celle des travaux de "Sine" et de ses collaborateurs, prétendument publiés dans Science en novembre 2007. Cette publication n'existe pas dans les archives de Science.

P. 94 Claude Allègre s'indigne de ce que les travaux de Jean-Pierre Chalon sur les nuages n'auraient pas été pris en compte par le GIEC. M. Allègre cite ce passage d'un livre de M. Chalon : "Ces processus sont encore assez mal compris. C'est une des difficultés majeures et une des principales sources d'imprécision que rencontrent les tentatives de prévision des évolutions du climat. " "Je m'interroge, poursuit M. Allègre. Pourquoi un tel expert n'a-t-il pas été davantage impliqué dans les processus du GIEC ? (…) Réponse : cela fait partie du "totalitarisme climatique". Emettre des nuances, c'est déjà être un adversaire du "climatiquement correct"."

Voici pourtant ce que l'on peut lire dans le résumé du dernier rapport du GIEC : "Pour l'heure, les rétroactions nuageuses constituent la principale source d'incertitude des estimations de la sensibilité du climat."

P. 109 Claude Allègre produit une figure montrant un lien étroit entre plusieurs courbes : celle donnant l'évolution de la température globale moyenne de la basse atmosphère terrestre au XXe siècle, celle de l'irradiance solaire, et deux autres, donnant les variations du magnétisme terrestre.

Cette figure a certes été publiée en 2005, puis en 2007, dans la revue Earth and Planetary Science Letters (EPSL). Mais elle a été clairement réfutée en décembre 2007, pour des erreurs d'attribution de données.

P. 138 Claude Allègre présente comme très forte l'opposition de la communauté scientifique aux conclusions du GIEC. Il écrit : "L'événement le plus significatif est peut-être le vote qui a eu lieu parmi les spécialistes américains du climat. (…) Le 19 octobre 2009, le Bulletin de la Société météorologique américaine en a rendu publics les résultats. Les voici : 50 % d'entre eux ne croient pas à l'influence de l'homme sur le climat, 27 % en doutent. Seuls 23 % croient aux prédictions du GIEC."

Interrogé, Paul Higgins, un responsable de l'American Meteorological Society, se souvient de cette enquête. A ceci près qu'elle ne concernait nullement les "spécialistes américains du climat", mais les présentateurs météo des chaînes de télévision américaines…

Stéphane Foucart

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010…12167_3244.html

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Et pendant ce temps, Foucart défend son bifsteak :

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010…12167_3244.html

Ce qui m'interpelle, c'est encore l'affirmation par Foucart selon laquelle la fonte des glaciers fait augmenter le niveau des mers, alors que cette idée devrait être contestée par la théorie mais aussi la pratique. Il me semble qu'il n'a été observée depuis plusieurs décennies aucune augmentation du niveau des mers à différents points du globe, puisqu'aucune étude sérieuse même chez les réchauffistes ne mentionne un changement visible ou mesuré, et il n'est même pas forcément nécessaire de prendre des mesures pour cela mais les anciens sur les îles peuvent très bien en témoigner. Je prends la cas de l'Ile Maurice, les plages restent les mêmes qu'il y a quelques décennies selon tous les gens auxquels j'ai posé la question, et aucune île des Maldives ni des Seychelles n'a été recouverte ni n'a bougé d'un iota.

Il peut arriver qu'à certains endroits où il n'y avait pas de plages naturelles mais où l'homme a amené du sable pour créer des plages artificielles, que la mer ait mangé le sable et repris son terrain normal car l'endroit est trop exposé aux courants. Il peut arriver aussi que se produisent des glissements géologiques dans la mer comme dans le cas d'anciennes îles volcaniques. Ceci peut induire en erreur probablement, mais évidemment rien ne lie ces phénomènes à un soi-disant "réchauffement climatique".

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L'écorce terrestre peut aussi baisser (ou monter), par exemple elle a fort monté après l'âge glaciaire aux endroits qui avaient été recouverts de glace, par le simple effet du soulagement de ce poids. Sinon, sur les îles affleurantes, un pompage exagéré de la nappe phréatique, quand il y en a une, peut provoquer un affaissement du terrain.

Bref, quand la mer gagne, ça ne veut pas forcément dire qu'elle monte, ça peut aussi vouloir dire que le sol baisse.

Eh oui.

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L'écorce terrestre peut aussi baisser (ou monter), par exemple elle a fort monté après l'âge glaciaire aux endroits qui avaient été recouverts de glace, par le simple effet du soulagement de ce poids. Sinon, sur les îles affleurantes, un pompage exagéré de la nappe phréatique, quand il y en a une, peut provoquer un affaissement du terrain.

Bref, quand la mer gagne, ça ne veut pas forcément dire qu'elle monte, ça peut aussi vouloir dire que le sol baisse.

Eh oui.

Intéressant.

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Il me semble qu'il n'a été observée depuis plusieurs décennies aucune augmentation du niveau des mers à différents points du globe,

Plus exactement, il n'y a pas eu d'augmentation du rythme de l'élévation du niveau des mers durant le 20ème siècle, ce rythme étant un peu inférieur à 2 mm / an. Depuis il y a même un tassement net mais les fluctuations de quelques années sont fréquentes ; pour y voir clair il faut une période 20 ans donc RV à ce sujet dans la décennie 2020.

Concernant la baisse de certains sols évoqués par Nick, on peut aussi mentionner l'affaiblissement de récifs coralliens, donc de l'ensablement atollien, par des prélèvements excessifs de matériaux de construction ou de faune marine (qui digère le corail et contribue à produire le sable). Certains dirigeants d'opérette du pacifique essayent d'obtenir le jack-pot de la culpabilisation du méchant consommateur occidental en cachant leurs turpitudes de mauvais gestionnaires locaux.

Pour information des études montrent que le niveau des mers était plus élevé lors de l'optimum du moyen-age (par exemple le sol du palais des templiers à St Jean d'Acre est actuellement noyé alors que la tectonique locale est jugée stable sur cette période), ce qui plaide aussi pour l'interprétation selon laquelle ladite période était globalement plus chaude, avec dilatation des océans (et peut être un zest de fonte). Evidemment en théorie on ne peut écarter ex abrupto l'hypothèse d'un va et vient tectonique, mais il faudrait alors qu'on nous explique où !!!.

Stéphane Foucart déconne complètement. C'est navrant et ridicule.

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D'autres facteurs comme la dilatation thermique et la pression atmosphérique peuvent aussi influer sur le niveau des océans.

Et la dérive des continents ?

A terme, la terre devrait en théorie être nivelée de manière uniforme, pour devenir en surface une sphère presque parfaite, recouverte d'une fine pellicule d'eau.

Rassurons-nous, Waterworld c'est pas pour demain…

Une expérience toute bête : faite un tas de sable dans une boite, rajouter de l'eau pour qu'elle atteigne la moitié de la hauteur du monticule (en plastique la boîte, pas en carton recyclé svp), puis soumettez la boîte à des vibrations répétées. Qu'obtient-on en finalité ?

En ce qui concerne la terre, ce nivellement du niveau des sols est compensée par l'activité volcanique et les soulèvements tectoniques, mais c'est basiquement le même principe.

L'eau recouvre de plus en plus la surface. Ce n'est pas parce que le niveau de l'eau monte, mais surtout parce que le niveau des sols tends en moyenne à s'égaliser.

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L'eau recouvre de plus en plus la surface. Ce n'est pas parce que le niveau de l'eau monte, mais surtout parce que le niveau des sols tends en moyenne à s'égaliser.

J'allais poser la question, puisque des études sérieuses affirment que le niveau des mers augmentent de 2 mm/an comme si c'était irrémédiable, pourquoi est-ce une tendance irrémédiable? Pour la baisse du niveau du sol par nivellement?

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Le réchauffement climatique sur le siècle en France

Qu’en est il sur la France ?

Les dangers d’utiliser les données brutes

Il faut tout d’abord insister sur le fait que l’estimation de tendances à long terme est une opération délicate, qui ne peut être conduite à partir des données brutes d’observation sans de grandes précautions. Les techniques d’homogénéisation ont pour objectif d’identifier les ruptures d’homogénéité des longues séries de données climatologiques (générées par les changements de capteurs ou de pratiques d’observation, par le déplacement des sites d’observation, ou par les modifications de leur environnement) et de les corriger. Elles permettent donc d’extraire le signal climatique en supprimant au mieux les effets de poste.

Météo-France utilise des méthodes mises au point récemment par Olivier Mestre (2 000). Le traitement des données de la station de Pau-Uzein illustre extrêmement bien les performances de l’algorithme. La figure 2 présente l’évolution des données brutes de moyennes annuelles des températures maximales quotidiennes sur le XXème siècle. Une estimation de tendance linéaire sur le siècle conduit à un refroidissement important : près de 1,2°C par siècle.

05_02_evolution.jpg

La même opération réalisée après identification des ruptures d’homogénéité et correction de celles-ci (figure 3) conduit à un réchauffement de 0,7°C sur le siècle, tout à fait cohérent avec la tendance globale au réchauffement, et les données environnantes. A noter qu’on retrouve bien sur cette série chronologique les trois phases généralement observées : une croissance modérée de la température jusqu’au début des années 50, une stagnation ou une diminution jusque vers 1970, et ensuite une forte croissance.

05_03_evolution.jpg

http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosclim/bib…chauffement.htm

Voici ce que l'on trouve sur le site du CNRS. Vous noterez au passage la courbe en forme de crosse de hockey de Mann dans la partie supérieur gauche de la page. Ca en dit long sur le sérieux du contenu.

Dans cet article, on peu lire que Olivier Mestre, l'ingénieur de Météo-France qui semble avoir pour mission d'ajuster les données brutes du territoire français au moyen d'un algorithme qu'il a lui même conçu, justifie la "performance" de ce dernier en évaluant sa capacité à relever les températures pour les faire coller à "la tendance globale" de réchauffement, probablement celle fournie par le GIEC, dont chacun sait désormais qu'elle n'est pas fiable.

Ce qui étrange c'est de voir que la validité de l'algorithme semble dépendre du résultat obtenu ! Dans ce doc le fonctionnaire diplômé de l'école de météorologie nous explique peut-être pourquoi et comment il s'y prend pour ajuster les températures brutes. L'exemple de la station Pau-Uzein est évoqué.

Curieux d'en savoir plus sur ce type, j'ai tapoté son nom dans google. Bingo. La personne en charge de vérifier si un réchauffement est mesuré en France est aussi militante pour Europe-Ecologie. Des Oliviers Mestres qui habitent vers Toulouse, météorologues et encartés chez les Verts il doit pas y en avoir 50.

Si demain quelqu'un épluche les données française et trouve une perle, on l'appellera comment ? Frenchgate ? :icon_up:

Edit: il s'agit peut-être de la personne à laquelle tu fais allusion xavdr :

Sur Skyfall est venu dialoguer, à l'occasion d'un récent scandale de "correctif" thermométrique (peut-être celui sur la nouvelle Zélande ou la Russie) le spécialiste statistique de Meteo France dédié aux correctifs statistiques des mesures thermométriques. Son discours technique semble neutre mais incomplet et hyper défensif. Je considère qu'il n'avait pas de réponse satisfaisante pour les ilots de chaleur urbain. Il s'offusquait que l'on puisse mentionner les sources de biais manageriaux présents dans d'autres domaines et susceptibles de se retrouver aussi dans le monde climato. Il explique faire son boulot avec un management qui s'en fout. Actuellement il y a un AO pour la nouvelle génération de correctifs. Il semble que les correctifs soient appliqués comme avec le NOAA/GHCN, GISS/GISTEMP et CRU+Hadley/HADCRU sur des données à échelle épaisse (moyenne annuelle ou mensuelle) ce qui personnellement me choque car on a éviemment une information beaucoup plus riche à échelle fine (min/max/moy quotidienne ou moyenne horaire).
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Un doc intéressant sur l'utilisation des longues séries de données météorologiques. http://www.ccrom.org/documentspublics/acte…06-edition1.pdf

Une recherche rapide le cas du Limousin apparait :

Dans le cadre des états généraux de la culture scientifique et technique organisés par le Ministère de la Recherche et de la Technologie en 1989, les CDM de Brive, Guéret et Limoges ont proposé une étude sur l’évolution du climat du Limousin. Cette étude, réalisée par Vincent Cailliez, au cours de son stage de 3ème année à l’Ecole Nationale de la Météorologie, a été suivie d’une publication intitulée « Y’a plus d’saisons », aux éditions Verso, en 1992.

Le CDM de Limoges, ouvert depuis 1938, disposait d’un document manuscrit donnant une

série complète de températures minimales et maximales et d’extrêmes mensuels allant de

1891 à 1972, données apparemment collectées par un précédent chef de centre.

Cette série a intégralement été utilisée et elle a largement influencé l’homogénéisation des autres séries de la région. A partir de ces données, l’étude de Vincent Cailliez concluait sur un léger refroidissement de la région Limousin entre 1890 et 1990 dans un environnement mondial nettement à la hausse. Pour expliquer cette situation paradoxale, l’hypothèse d’un impact du reboisement massif de la région a été avancée (la superficie boisée a été multipliée par 4 en 1 siècle en Limousin).

L'esprit est toujours le même : si les températures brutes ne suivent pas la tendance mondiales en hausse c'est donc que quelques chose refroidit artificiellement la zone. Ici c'est un reboisement massif. L'article ne dit pas si il faut réchauffer la zone mais précise que cette série de donnée à "largement influencé l’homogénéisation des autres séries de la région". Mystère.

On ne peut vraiment pas se trouver une station rurale et mettre les bottes en caoutchouc, rien que pour rigoler?

Partant pour une balade autour de l'IDF. :icon_up:

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Fine peut-être pas… J'avais en tête les 3 000 mètres.

3000 mètres rapportés à un rayon de 6378 km, ça fait pas très épais, moins de 0,5 pour mille

C'est équivalent à une pellicule d'eau de 50 millième de millimètre (50µm), soit l'épaisseur d'un cheveux plutôt fin, comparé à la taille d'une grosse orange de 10 cm.

(Quizz : vérifier que ce calcul est bon :icon_up:)

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On apprend qu'un couple argentin vient de se suicider, tuant son enfant de 2 ans et ratant l'exécution de son bébé de 7 mois qui miraculeusement a survécu. Dans leur lettre explicative, les suicidés mentionnaient leur peur extrême concernant le réchauffement climatique.

http://minnesotansforglobalwarming.com/m4gw/

http://www.digitaljournal.com/article/288340

http://contacto-latino.com/news/297832/una…azo-clarin-com/

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Température moyenne de la Scandinavie :

Gauche : données calculée par Karlén, un scientifique de l'université de Stockholm.

Droite : températures annoncées dans le rapport du GIEC.

scandicomplille.jpg

http://hidethedecline.eu/pages/posts/scand…-127.php?id=127

Pour en arriver là, le GIEC a du agrandir discrètement la zone qu'il oser appeler encore "Scandinavie", et descendre le curseur jusqu'au niveau de la Bretagne, de l'Autriche et de la Hongrie (48N et 50N) en rajoutant la température de ces pays dans son calcul. Mais ce n'est pas tout. Il a moyenné, au point de le faire disparaitre, le pic de chaleur observé dans les années 1930-1940. Fastoche.

On apprend qu'un couple argentin vient de se suicider, tuant son enfant de 2 ans et ratant l'exécution de son bébé de 7 mois qui miraculeusement a survécu. Dans leur lettre explicative, les suicidés mentionnaient leur peur extrême concernant le réchauffement climatique.

Le réchauffement tue.

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Des stations météo enregistrent les températures de longue date dans des endroits "vierges", c'est en montagne:

Par exemple Pic du Midi dans les Pyrénées: depuis environ 1870 et Mont Aigoual dans le Massif Central depuis environ 1880, reste à trouver les données brutes. …

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Des stations météo enregistrent les températures de longue date dans des endroits "vierges", c'est en montagne:

Par exemple Pic du Midi dans les Pyrénées: depuis environ 1870 et Mont Aigoual dans le Massif Central depuis environ 1880, reste à trouver les données brutes. …

Comme je disais plus haut. Ca ne suffit pas. Un traitement des donnees est necessaire.

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Comme je disais plus haut. Ca ne suffit pas. Un traitement des donnees est necessaire.

A vrai dire dans le cas de stations vraiment vierges comme ces 2 là, à par un ré-étalonnage lors des changements de thermomètres, il doit pas y avoir grand chose à faire …

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A vrai dire dans le cas de stations vraiment vierges comme ces 2 là, à par un ré-étalonnage lors des changements de thermomètres, il doit pas y avoir grand chose à faire …

Malheureusement non.

Je te cite un passage du lien fourni par teabag

Il faut tout d’abord insister sur le fait que l’estimation de tendances à long terme est une opération délicate, qui ne peut être conduite à partir des données brutes d’observation sans de grandes précautions. Les techniques d’homogénéisation ont pour objectif d’identifier les ruptures d’homogénéité des longues séries de données climatologiques (générées par les changements de capteurs ou de pratiques d’observation, par le déplacement des sites d’observation, ou par les modifications de leur environnement) et de les corriger. Elles permettent donc d’extraire le signal climatique en supprimant au mieux les effets de poste.
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