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Sans doute mais ce n'est pas mon propos.

C'est dommage, c'est toute la clé du problème.

Ok pas mal pas mal.

Essaie un peu innodations, secheresses, ouragans, tornades pour voir.

Quelle ligne traces-tu entre "éruption", "tsunami", et "innondations", "sécheresses" ?

Qu'est-ce qui doit être pris en compte, peut être omis, etc… ?

Et surtout, pourquoi ? Es-tu sûr d'avoir les bons paramètres ?

Sinon oui l'activite humaine a un impact sur le climat ou peut aggraver les consequences de certains evenements

Justement, on n'en a aucune preuve. Tu assènes ceci comme si c'était vrai. Le climat a un impact sur l'activité humaine, c'est certain, mais l'inverse, rien n'est moins sûr.

Bref, tout ceci manque furieusement de fond et d'argumentation solide.

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La clef serait deja de savoir ce qui se passe.

Comme personne ne sait exactement (ou même vaguement), on n'est pas avancé.

Comme technique de résolution de pb concret, c'est un peu zéro.

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Et je pourrai te sortir moult papiers disant que l'influence du soleil est bien plus prépondérante que l'hypothétique (j'insiste sur ce dernier mot) impact humain. Encore une fois, "science IS NOT settled", ce qui revient bel et bien à dire ce que j'ai écrit ci-dessus :

Comme personne ne sait exactement (ou même vaguement), on n'est pas avancé.

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1 : L'activité humaine influe sur le climat, mais le climat n'a pas attendu l'activité humaine pour être très volatil, l'histoire climatique de la planète n'est pas un long fleuve tranquille.

2: Dans l'hypothèse ou le modèle étant intrinsèquement chaotique, une activité humaine, même négligeable, peut provoquer des effets de basculement, rien n'indique dans quel sens ce basculement peut avoir lieu, et encore plus, si il y a un sens qui soit 'positif' ou 'négatif', prétendre calculer une fonction d'utilité globale du climat et donc dire qu'un réchauffement ou un refroidissement sont bons ou mauvais, c'est encore plus ridiculement scientiste que la simple planification économique.

3: il n'y a pas de relation entre les catastrophes naturelles et un sens particulier d'évolution climatique.

4: Le climat peut tres bien avoir une faible volatilité a moyen terme et une très forte volatilité a court terme (sauf que les traces historiques semblent montrer une forte volatilité a toutes les échelles, il parait même que la température varie considérablement sur un cycle de 24h !), on ne peut pas déduire la volatilité a court terme et géographiquement limitée de la volatilité a long terme, weather is not climate, donc parler de catastrophes climatiques pour autre chose que de la désertification majeure ou une ère glaciaire est abusif, ce sont des catastrophes météorologiques.

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Et je pourrai te sortir moult papiers disant que l'influence du soleil est bien plus prépondérante que l'hypothétique (j'insiste sur ce dernier mot) impact humain. Encore une fois, "science IS NOT settled", ce qui revient bel et bien à dire ce que j'ai écrit ci-dessus :

Comme personne ne sait exactement (ou même vaguement), on n'est pas avancé.

Je me demande bien ou j'ai dit que le soleil n'avait pas d'influence ou encore "science is settled"?

C'est d'ailleurs pour ca que j'affirme depuis 2 pages qu'il est temps de s'interesser serieusement a la question.

Although the natural causes of climate variations and changes are undoubtedly important, the human influences are significant and involve a diverse range of first- order climate forcings, including, but not limited to, the human input of carbon dioxide (CO2). Most, if not all, of these human influences on regional and global climate will continue to be of concern during the coming decades.
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Pielke sr n'a jamais dit que "l'homme a clairement une influence sur les evenements climatiques". Tu connais au moins sa position réelle, ou tu joues au bluff ?
Suite a la remarque de minitax voici deux papiers de pielke Jr sur l'impact des ouragans et sur les innondations.

Oui donc, si on regarde les valeurs normalisées, il n'y a pas aucune hausse de l'impact climatique sur 1 siècle de mesures, que ce soit les inondations ou les ouragans.

Une autre mesure que tu pourrais regarder aussi, c'est le nombre de morts dus aux accidents climatiques (tempêtes, innondations, vagues de froid…). Là, la normalisation est encore plus simple et incontestable, les données existent et des études ont été publiées (cf les noms précités). Et là encore, non seulement le nombre normalisé de morts "climatiques" a baissé mais le nombre absolu a lui aussi baissé sur 1 siècle.

Donc pour ton histoire de "l’accentuation de notre vulnerabilte face aux dit evenements", pour l'instant, c'est tout le contraire qu'on constate dès qu'on regarde de près au lieu de se contenter d'affirmer. Tu as autre chose à ajouter ?

Non mais ca accentue les consequences des dit evenements. 2000 morts et 200 000 personnes a reloger pr katerina c'est quand meme une tragedie. Apres on peut relativiser et dire comme Minitax qu'au final y a moins de consequences qu'il y a un siecle (si tu avais le lien d'ailleurs stp). Mais bon on peut quand meme essayer d'ameliorer encore les choses non?

Les gens ne t'ont attendu depuis tout ce temps en se tournant les pouces pour n'apprendre que maintenant qu'il faut essayer d'améliorer les choses. Ton enfonçage de porte est à la limite du mégalo.

Au passage, histoire de dire autre chose que des fatuités réchauffistes maintes fois répétées, sache que Katrina, c'était un ouragan de catégorie 3 quand il avait touché terre. Je te laisse en tirer la conclusion sur la pertinence de ton poster child.

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Je me demande bien ou j'ai dit que le soleil n'avait pas d'influence ou encore "science is settled"?

C'est d'ailleurs pour ca que j'affirme depuis 2 pages qu'il est temps de s'interesser serieusement a la question.

Mh je crois qu'on ne se comprend pas.

Si justement on ne connait pas l'influence humaine sur le climat, on peut certes chercher (ça ne fait pas de mal), mais on fait quoi, dans le temps moyen avant l'obtention des réponses ? Parce que bon, les inondations, c'est ici & maintenant, pas dans 10 ans quand on aura justement les réponses.

En outre, si on a 100€ pour (recherche OU protection concrète) et qu'on consacre 100€ à la recherche et 0 à la protection, est-ce un choix malin ?

Les ressources étant limitées, et les recherches coûteuses, il est plus judicieux à mon avis de régler les problèmes de façon la plus efficace connue avec la science connue actuellement plutôt que tenter de trouver des réponses coûteuses à des questions épineuses qui n'apporteront pas de façon certaine une solution.

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En outre, si on a 100€ pour (recherche OU protection concrète) et qu'on consacre 100€ à la recherche et 0 à la protection, est-ce un choix malin ?

Les ressources étant limitées, et les recherches coûteuses, il est plus judicieux à mon avis de régler les problèmes de façon la plus efficace connue avec la science connue actuellement plutôt que tenter de trouver des réponses coûteuses à des questions épineuses qui n'apporteront pas de façon certaine une solution.

Historiquement, ce problème de choix entre atténuation (réduire le CO2 supposé la source d'un hypothétique "dérèglement climatique"-qu'il-va-être-hyper-méchant") et adaptation s'incrit dans les gènes de l'arnaque climatique.

Et le choix avait été vite fait puisque la fraternité réchauffiste a vu dans l'atténuation (ou pour reprendre la novlangue giecienne, la "mitigation") le moyen stratégique rêvé dans leur guerre contre le capitalisme, la société technologique, la croissance et le progrès. Historiquement, ce choix avait séduit aussi les financiers et autres traders véreux qui y voient une occasion en or de vendre du vent. C'est ainsi qu'Enron avait été un des plus grands contributeurs et lobbyistes du protocole de Kyoto en 1997 et que la bourse du carbone (cap & trade) a pu se faire en Europe avec la bénédiction de la City de Londres.

Toute cette vaste escroquerie lucrative n'a pu se faire qu'en marchant sur la tête, en promouvant activement l'atténuation au détriment de l'adaptation réduite à la portion congrue voire dénigrée, ce qui a été jusqu'à présent la position officielle et martelée avec force par la FARCE (fraternité des alarmistes du RC exagérée), GIEC en premier. Ca revient à prendre une assurance hors de prix contre les chutes de météorites au point de ne plus avoir de quoi pour réparer le toit qui fuit. Sans doute ce que Stan Selene appelle grandiosement "essayer d'ameliorer encore les choses".

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Pielke sr n'a jamais dit que "l'homme a clairement une influence sur les evenements climatiques". Tu connais au moins sa position réelle, ou tu joues au bluff ?
Although the natural causes of climate variations and changes are undoubtedly important, the human influences are significant and involve a diverse range of first- order climate forcings, including, but not limited to, the human input of carbon dioxide (CO2). Most, if not all, of these human influences on regional and global climate will continue to be of concern during the coming decades.

Edit: Un exemple: Further Evidence Of The Diversity Of Human Climate Forcings

“…the 2007 Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) assessment did not sufficiently acknowledge the importance of these other human climate forcings in altering regional and global climate and their effects on predictability at the regional scale. It also placed too much emphasis on average global forcing from a limited set of human climate forcings. Further, it devised a mitigation strategy based on global model predictions. For example, although aerosols were considered as a global average forcing, their local effects were neglected (e.g., biomass burning, dust from land use/land cover management and change, soot from inefficient combustion).”

Ou encore plus exhaustif: Q&A -Does Human Activity, In Addition To CO2 and Other Human-Added Greenhouse Gases, Significantly Influence Local, Regional And Global Climate On Decadal Time Scales??

Oui donc, si on regarde les valeurs normalisées, il n'y a pas aucune hausse de l'impact climatique sur 1 siècle de mesures, que ce soit les inondations ou les ouragans.

Une autre mesure que tu pourrais regarder aussi, c'est le nombre de morts dus aux accidents climatiques (tempêtes, innondations, vagues de froid…). Là, la normalisation est encore plus simple et incontestable, les données existent et des études ont été publiées (cf les noms précités). Et là encore, non seulement le nombre normalisé de morts "climatiques" a baissé mais le nombre absolu a lui aussi baissé sur 1 siècle.

Donc pour ton histoire de "l’accentuation de notre vulnerabilte face aux dit evenements", pour l'instant, c'est tout le contraire qu'on constate dès qu'on regarde de près au lieu de se contenter d'affirmer. Tu as autre chose à ajouter ?

J'avais mis les liens vers les papiers pour montrer que tu avais raison sur les USA.

Sinon la meme chose mais pour les caraibes.

http://sciencepolicy.colorado.edu/admin/pu…769-2003.21.pdf

On pourra quand meme regarde a la page 111 que l'action humaine peut accuentuer les choses:

Finally, although deforestation is caused by many factors, such as conversion of forests to grazing and farming uses, road building and settlement, mining, and logging ~Thrupp 1993!, poverty can also force the clearing of forests for agriculture, homebuilding, and fuel gathering. Deforestation adds to vulnerability by increasing soil erosion, which can enhance the incidence of landslides, mudslides, and flooding
Les gens ne t'ont attendu depuis tout ce temps en se tournant les pouces pour n'apprendre que maintenant qu'il faut essayer d'améliorer les choses. Ton enfonçage de porte est à la limite du mégalo.

Au passage, histoire de dire autre chose que des fatuités réchauffistes maintes fois répétées, sache que Katrina, c'était un ouragan de catégorie 3 quand il avait touché terre. Je te laisse en tirer la conclusion sur la pertinence de ton poster child.

Je pense que l'arnarque rechauffiste pompent les ressources qui seraient utiles pour de vrais problemes et nous enferme dans une voie sans issue en ce qui concerne l'analyse des consequences. C'est ce que je dis entre autre depuis 2 pages cf mon post http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=697253, alors va falloir respirer un grand coup pas le nez.

Je ne sais pas si je suis megalo, en tout cas je ne fais que repeter ce que je lis ailleurs et qui me semble intelligent. (Apres quand je me trompe je l'admets)

http://judithcurry.com/2010/10/05/what-con…climate-change/

In my opinion, the primary reason that the UNFCCC has been unable to define “dangerous” anthropogenic climate change is because they have framed the problem and its solution to be irreducibly global. If the problem is viewed as an aggregate of regional problems in the context of a bottom-up incremental policy approach such as that promoted by Ron Brunner, then presumably a more meaningful understanding of dangerous climate change could emerge, which would be a source of political will for actually addressing the problems.

More importantly, extreme weather events and natural climate variability have adverse impacts, which in some instances (time-space) may counter the impacts of AGW and in others may amplify the AGW impacts. Addressing the regional impacts of natural variability in combination with possible AGW impacts would increase overall resilience to extreme weather events and climate change/variability.

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Je pense que l'arnarque rechauffiste pompent les ressources qui seraient utiles pour de vrais problemes et nous enferme dans une voie sans issue en ce qui concerne l'analyse des consequences.

Tu prétends d'un coté avoir bien compris l'arnaque réchauffiste, et deux mots plus loin, tu parle d'analyse des conséquences, les conséquences de QUOI ?

Parce que fondamentalement, des catastrophes naturelles, il y en a toujours eu, il y en aura toujours, en quoi c'est une 'conséquence' de quelque chose ?

Donc penser en terme de causes et de conséquences, ça a bien entendu un intérêt scientifique mais je suis convaincu que la complexité du système dépasse tout simplement l'entendement humain et que si il est naturel de chercher, il est orgueilleux de penser être proche de la vérité dans ce domaine (et la défaillance systématique de tous les modèles sur des nouvelles données devrait normalement enseigner cette humilité…).

Par contre, ça n'en a strictement aucun et c'est purement contre-productif si l'objectif est de diminuer les drames liés a ces catastrophes, il n'y a rien de mieux pour que les gens ne se protègent pas contre quelque chose que de leur mentir et de dire qu'on peut empêcher que ça se produise.

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Il y a quand même un truc que je ne comprends pas : si considère que le climat est un système trop complexe pour pouvoir isoler l'influence du facteur humain, il est impossible de conclure dans un sens comme dans l'autre. Autrement dit, peut être que les "réchauffistes" se trompent, mais peut être aussi qu'ils ont raison d'une façon intuitive. Ou bien, on peut dire que les réchauffistes se trompent car leur raisonnement n'est pas correct, mais cela n'élimine pas la possibilité que le climat se modifie dans un certain sens en fonction de l'activité humaine…

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Il y a quand même un truc que je ne comprends pas : si considère que le climat est un système trop complexe pour pouvoir isoler l'influence du facteur humain, il est impossible de conclure dans un sens comme dans l'autre. Autrement dit, peut être que les "réchauffistes" se trompent, mais peut être aussi qu'ils ont raison d'une façon intuitive. Ou bien, on peut dire que les réchauffistes se trompent car leur raisonnement n'est pas correct, mais cela n'élimine pas la possibilité que le climat se modifie dans un certain sens en fonction de l'activité humaine…

Etre réchauffiste ce n'est pas seulement dire que la Terre se réchauffe, c'est aussi dire que c'est la faute à l'Homme et qu'il convient donc de prendre des mesures politiques pour empêcher l'Homme de continuer son carnage.

On peut discuter sur le fait que la Terre se soit réchauffée, personnellement j'ai l'impression que ce fut le cas au 20ème siècle plus particulièrement dans les 20 dernières années, mais c'est juste une impression, un sentiment peut-être irrationnel, tout comme j'ai l'impression que l'on va depuis 5 ans vers des saisons plus froides, la simple observation me permet de dire que je n'avais pas vu d'hiver aussi froid quand j'étais gosse ni des étés aussi pluvieux, chose que l'on revoit depuis 5 ans et que les anciens avaient vu dans leur jeunesse. En revanche, imputer les variations climatiques à l'activité humaine me parait déjà plus osé, c'est un peu prendre l'Homme pour un Dieu, et lui imputer les causes du réchauffement de manière unilatérale en raillant la contestation scientifique et le débat me parait hautement suspect.

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Ou bien, on peut dire que les réchauffistes se trompent car leur raisonnement n'est pas correct, mais cela n'élimine pas la possibilité que le climat se modifie dans un certain sens en fonction de l'activité humaine…

oui mais il y a quand même un problème sur la corrélation statistique CO2 / températures

=> l'homme émet des gaz à effet de serre qui réchauffent la planète

=> ces émissions semblent avoir un impact très faible par rapport à d'autres facteurs connus ou non.

c'est mon avis non éclairé.

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Il y a quand même un truc que je ne comprends pas : si considère que le climat est un système trop complexe pour pouvoir isoler l'influence du facteur humain, il est impossible de conclure dans un sens comme dans l'autre. Autrement dit, peut être que les "réchauffistes" se trompent, mais peut être aussi qu'ils ont raison d'une façon intuitive. Ou bien, on peut dire que les réchauffistes se trompent car leur raisonnement n'est pas correct, mais cela n'élimine pas la possibilité que le climat se modifie dans un certain sens en fonction de l'activité humaine…

Tout a fait, il est certain que l'activité humaine a une influence climatique, mais une fois qu'on a dit ca, on n'a rien dit d'utile.

C'est l'étape suivante ou l'on prétends pouvoir la mesurer et prédire ses effets qui est la première dérive scientiste, c'est enfin l'idée selon laquelle on pourrait déterminer si le changement climatique est globalement positif ou négatif qui est la deuxième dérive qui cumule le scientisme dans l'ignorance volontaire de l'irréductible complexité du monde et l'ignorance totale de la subjectivité de la fonction d'utilite.

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Il est certain qu'elle a une 'influence' qu'elle soit majeure c'est autre chose, qu'il n'y ai pas de mechanismes de régulation naturels qui la neutralise a moyen terme c'est encore une autre question.

Mais on ne peut pas prétendre par exemple que les grandes déforestations ne changent pas l'albedo, ni que la libération des énergies fossiles ne change pas le bilan thermique terrestre, même si de façon mineure.

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L'idée c'est simplement de sortir de ces positions idéologiques stériles pour voir les différents modèles climatiques, et les prévisions qu'ils peuvent permettre.

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Il y a quand même un truc que je ne comprends pas : si considère que le climat est un système trop complexe pour pouvoir isoler l'influence du facteur humain, il est impossible de conclure dans un sens comme dans l'autre. Autrement dit, peut être que les "réchauffistes" se trompent, mais peut être aussi qu'ils ont raison d'une façon intuitive. Ou bien, on peut dire que les réchauffistes se trompent car leur raisonnement n'est pas correct, mais cela n'élimine pas la possibilité que le climat se modifie dans un certain sens en fonction de l'activité humaine…

Oui. La recherche fondamentale et l'effort d'adaptation et d'assurance sont les seules actions humaines adaptées. Prétendre protéger des causes alors que ces causes sont incertaines est une nécessairement erreur intellectuelle. C'est aussi une erreur politique. En effet, il existe 1000 manières d’être dans l'erreur. Au mieux, il y aurait une chance sur 1000 que ces mesures pour éviter le "réchauffement" aillent dans le bon sens. Mais, l'adaption aux effets d'un hypothétique réchauffement serait moins coûteuse. Or les Etats ne font nul bilan chiffré des effets positifs d'un réchauffement, ni du coût d'une adaptation lente.

Le réchauffement, s'il existe, est lent, se compte en dizaines d'années. La durée de tout investissement financier est du même ordre de grandeur. Ainsi, si on sait que la mer va monter à tel endroit, la valeur des maisons en bord de mer baisse progressivement pendant 30 ans. La perte pour les propriétaire est faible, voire nulle. Ils peuvent vendre sans réelle perte. cet exemple s'applique à tous les investissements. Le coût d'adaptation à un réchauffement serait alors très faible voire nul.

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L'opinion de Pielke, et ce n'est qu'une opinion, NON quantifiée, est que les activités humaines pourraient une influence sur le climat (et non sur les "événements" climatiques, sous entendu, d'un impact important). Ce qu'il a cherché à quantifier, c'est l'influence sur le climat local et ça n'a rien de nouveau. Mais il ne s'agit que d'UNE opinion, très vague qui n'est pas plus réfutable que de dire "pisser dans un lac fait monter le niveau d'eau". De là tu en conclus que "l'homme a clairement une influence sur les evenements climatiques", sans donner une seule source, réf ou exemple précis, c'est clairement de l'exagération.
On pourra quand meme regarde a la page 111 que l'action humaine peut accuentuer les choses:

Deforestation adds to vulnerability by increasing soil erosion, which can enhance the incidence of landslides, mudslides, and flooding

Là pareil, tu répètes une vague généralité qui n'est en aucun cas une évaluation objective des faits. La déforestation a des désavantages mais a aussi d'énormes avantages en terme de prospérité et donc de baisse vulnérabilité que tu ne cites pas.

La première source de vulnérabilité, c'est la pauvreté qui entraîne tout le reste (déforestation, faiblesse des infrastructures, manque de moyen de prévention et de secours…), la déforestation n'est qu'une conséquence, pas une cause. Regarde par GoogleMap l'île de St Domingue et compare Haiti et la République Dominicaines. Ce sont deux pays aux conditions géographiques et climatiques identiques, l'un est complètement dévasté écologiquement et l'autre avec des forêts partout. De même, je peux te citer des milliers d'autres exemples, le Texas et la Somalie ont le même climat, Israel et et la bande de Gaza ont le même climat, la vulnérabilité ici comme partout ailleurs n'a rien à voir avec le climat.

J'avais mis les liens vers les papiers pour montrer que tu avais raison sur les USA.

Sinon la meme chose mais pour les caraibes.

http://sciencepolicy.colorado.edu/admin/pu…769-2003.21.pdf

Tu as basé ton raisonnement sur des choses CLAIREMENT fausses, comme par ex. "l'accentuation de la vulnérabilité", alors que c'est facilement vérifiable, qui te dis que le reste de tes affirmations n'est pas faux ?
Je pense que l'arnarque rechauffiste pompent les ressources qui seraient utiles pour de vrais problemes et nous enferme dans une voie sans issue en ce qui concerne l'analyse des consequences. C'est ce que je dis entre autre depuis 2 pages cf mon post http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=697253, alors va falloir respirer un grand coup pas le nez.

Je ne sais pas si je suis megalo, en tout cas je ne fais que repeter ce que je lis ailleurs et qui me semble intelligent. (Apres quand je me trompe je l'admets)

Ce n'est pas parce que tu répètes ce qui te semble intelligent que c'est intelligent, surtout quand c'est clairement faux dès qu'on en examine le détail. Le diable est dans le détail, tu ne peux pas prétendre faire des conclusions justes en te basant sur des faits erronés.

Tu fais une fixette sur une hypothétique "accentuation de la vulnérabilité" et après tu viens sermonner sur une soit-disant "voie sans issue en ce qui concerne l'analyse des consequences", bref tu dis une chose et fais tout le contraire, ce n'est pas crédible. Sur le plan logique et scientifique, il n'y a aucune raison de consacrer plus de moyens à se prémunir contre le climat que ce que les sociétés ont fait déjà depuis des lustres par l'adaptation et la prévention, quand elles peuvent se le permettre. Le climat n'a jamais tué, c'est la météo qui tue et pour l'instant, personne ne peut dire ce que serait une météo "normale" sans l'homme, donc toute cette discussion sur l'atténuation du climat n'est qu'une prétention vaine, ce que Leroux résume parfaitement par le terme "d'animisme climatique".

La réduction de la vulnérabilité n'a pas besoin d'être dictée d'en haut, elle s'est toujours faite, naturellement, avec le progrès, bien avant toute cette propagande alarmiste pour justifier l'intervention d'une clique qui cherche à prendre plus de pouvoir, selon le schéma de manipulation de masse archi-classique d'un banal à pleurer mais qui visiblement, marche toujours aussi bien : "si tu veux maîtriser le peuple, invente lui un ennemi". Mais SI on devait faire quelque chose pour réduire la vulnérabilité, il y a toutes les raisons pour mettre ça derrière des priorités bien plus évidentes comme la lutte contre la pauvreté, le développement technologique, la détection et la prévention contre les risques sismiques (qui font infiniment plus de morts "naturels" que le climat). Ce n'est pas pour rien que dans tous les sondages non biaisés, les gens mettent la "lutte" contre le changement climatique en dernier des priorités. C'est une hiérarchisation judicieuse des priorités qui tombe sous le sens populaire mais qui échappe complètement à ceux qui prétendent gouverner, comme dab.

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Il y a quand même un truc que je ne comprends pas : si considère que le climat est un système trop complexe pour pouvoir isoler l'influence du facteur humain, il est impossible de conclure dans un sens comme dans l'autre. Autrement dit, peut être que les "réchauffistes" se trompent, mais peut être aussi qu'ils ont raison d'une façon intuitive. Ou bien, on peut dire que les réchauffistes se trompent car leur raisonnement n'est pas correct, mais cela n'élimine pas la possibilité que le climat se modifie dans un certain sens en fonction de l'activité humaine…

Résumé de la climatologie en trois couvertures du Time :

climatefraud.jpg

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Puisque l'on parle de dogmes et de croyances, un petit coup de Popper : j'aimerais bien connaître la réponse aux questions suivantes.

Les sceptiques peuvent-ils imaginer des données qui les convaincraient de la réalité du réchauffement climatique d'origine humaine (AGW)? Quels seraient ces données? Pourraient-ils s'agir d'une fonte continue et significative des banquises et calottes polaires (arctique et antarctique réunies), d'une hausse continue des températures de surfaces enregistrées par les satellites météorologiques? Sur quelle période? Quel serait la signature authentique de l'AGW par rapport à un réchauffement d'origine purement solaire qui pourrait convaincre les sceptiques que leurs doutes ne sont pas fondés et leur opposition sans fondements?

De même, quels seraient les données qui permettraient de convaincre les réchauffistes de l'inanité de l'hypothèse AGW? Y a-t-il un événement ou une série d'événement qui soient jamais à même de leur faire reconnaître leur erreur?

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Puisque l'on parle de dogmes et de croyances, un petit coup de Popper : j'aimerais bien connaître la réponse aux questions suivantes.

Les sceptiques peuvent-ils imaginer des données qui les convaincraient de la réalité du réchauffement climatique d'origine humaine (AGW)? Quels seraient ces données? Pourraient-ils s'agir d'une fonte continue et significative des banquises et calottes polaires (arctique et antarctique réunies), d'une hausse continue des températures de surfaces enregistrées par les satellites météorologiques? Sur quelle période? Quel serait la signature authentique de l'AGW par rapport à un réchauffement d'origine purement solaire qui pourrait convaincre les sceptiques que leurs doutes ne sont pas fondés et leur opposition sans fondements?

De même, quels seraient les données qui permettraient de convaincre les réchauffistes de l'inanité de l'hypothèse AGW? Y a-t-il un événement ou une série d'événement qui soient jamais à même de leur faire reconnaître leur erreur?

Moi j'attends encore de voir Maurice et les Seychelles sous les eaux, chose qu'on m'affirmait dans les années 90 pour les années 2010-2020, et je n'ai toujours pas vu le moindre grain de sable englouti sous les eaux, tout au plus un affaissement dans l'eau par-ci et l'extension d'une plage par-là, des mouvements géologiques certe, parfois des changements de courant provoqués par l'homme à travers les constructions sur le littoral.

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Les sceptiques peuvent-ils imaginer des données qui les convaincraient de la réalité du réchauffement climatique d'origine humaine (AGW)? Quels seraient ces données?

La signature incontestable d'un réchauffement anthropique, càd par les gaz à effet de serre tel que c'est prédit par les modèles, c'est le réchauffement plus rapide de la troposphère au niveau de l'équateur par rapport à un réchauffement moyen, ce qu'on appelle le hot-spot. Si le réchauffement est naturel, pas de hotspot, si le réchauffement est anthropique, ce hotspot DOIT être présent, toujours selon le modèle. Or on a 30 ans de mesures satellites et PAS de hotspot. Donc…

De même, quels seraient les données qui permettraient de convaincre les réchauffistes de l'inanité de l'hypothèse AGW? Y a-t-il un événement ou une série d'événement qui soient jamais à même de leur faire reconnaître leur erreur?
Scientifiquement, pas besoin d'une "série d'événements" pour réfuter une théorie, un seul fait qui ne colle pas à la théorie suffit pour la mettre à la poubelle. Point !

La théorie du RCA dit que la hausse des GES d'origine humaine sont la première cause du réchauffement climatique. Or la hausse ces GES n'a pas cessé depuis 15 ans, donc le climat ne peut que se réchauffer. Or depuis 15 ans, statistiquement, il n'y a aucun réchauffement, il y a même un léger refroidissement (là encore, pas statistiquement significatif) depuis 2002. Conclusion ?

De toute façon, on entend les promoteurs de la théorie du RCA expliquer tout par le réchauffement, que ce soit la canicule ou les épisodes neigeuses, que ce soit les sécheresses ou les inondations, que ce soit la migration des morues ou la proliférations des moules bleues, voire la hausse du taux de suicides ou de la prostitution (si, si, véridique !). Donc il ne s'agit pas de science ou de rationnel, il s'agit d'une religion, qui profite un max à ses prêtres et à certains de ses fidèles. Du moins jusqu'à maintenant…

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La signature incontestable d'un réchauffement anthropique, càd par les gaz à effet de serre tel que c'est prédit par les modèles, c'est le réchauffement plus rapide de la troposphère au niveau de l'équateur par rapport à un réchauffement moyen, ce qu'on appelle le hot-spot. Si le réchauffement est naturel, pas de hotspot, si le réchauffement est anthropique, ce hotspot DOIT être présent, toujours selon le modèle. Or on a 30 ans de mesures satellites et PAS de hotspot. Donc…

Scientifiquement, pas besoin d'une "série d'événements" pour réfuter une théorie, un seul fait qui ne colle pas à la théorie suffit pour la mettre à la poubelle. Point !

La théorie du RCA dit que la hausse des GES d'origine humaine sont la première cause du réchauffement climatique. Or la hausse ces GES n'a pas cessé depuis 15 ans, donc le climat ne peut que se réchauffer. Or depuis 15 ans, statistiquement, il n'y a aucun réchauffement, il y a même un léger refroidissement (là encore, pas statistiquement significatif) depuis 2002. Conclusion ?

De toute façon, on entend les promoteurs de la théorie du RCA expliquer tout par le réchauffement, que ce soit la canicule ou les épisodes neigeuses, que ce soit les sécheresses ou les inondations, que ce soit la migration des morues ou la proliférations des moules bleues, voire la hausse du taux de suicides ou de la prostitution (si, si, véridique !). Donc il ne s'agit pas de science ou de rationnel, il s'agit d'une religion, qui profite un max à ses prêtres et à certains de ses fidèles. Du moins jusqu'à maintenant…

Merci Minitax. Dans tes nombreux débats as-tu déjà posé ce genre de question à des réchauffistes : que faudrait-il pour vous faire changer d'avis? S'ils se rendent compte qu'aucune donnée (comme l'absence de hotspot) ne peut les convaincre, peut-être prendront-ils conscience, même fugitivement, du caractère non scientifique de leurs théories.

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Moi j'attends encore de voir Maurice et les Seychelles sous les eaux, chose qu'on m'affirmait dans les années 90 pour les années 2010-2020, et je n'ai toujours pas vu le moindre grain de sable englouti sous les eaux, tout au plus un affaissement dans l'eau par-ci et l'extension d'une plage par-là, des mouvements géologiques certe, parfois des changements de courant provoqués par l'homme à travers les constructions sur le littoral.
Une étude sur 60 ans des îles ont du Pacifique ont montré que non seulement la majorité est restée stable et certaines se sont même surélevées ! Vous n'êtes pas au courant ? C'est normal, ce genre de données qui dérangent, la FARCE ne risque pas de le crier sur les toits.

Quant aux îles dans les océans indiens, aucun changement de niveau, puisque le niveau des mers n'a pas changé depuis que les mesures existent, on peut le voir sur les cartes satellites (par ex. de l'université du Colorado). D'après Morner, le niveau de certaines zones de l'océan indien a même tendance à baisser à cause d'une hausse d'évaporation.

Anecdote amusante, à Cancun, un journaliste a demandé à un officiel de ces îles-nations le prix des habitations. S'il y a risque de submersion imminente, du moins selon le discours larmoyant qu'ils servent, le prix des bords de plage doit atteindre la cave. Réponse, aucun changement du prix de l'immobilier.

Sans surprise, à chaque fois qu'on ouvre un placard réchauffiste, on trouve un cadavre.

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Merci Minitax. Dans tes nombreux débats as-tu déjà posé ce genre de question à des réchauffistes : que faudrait-il pour vous faire changer d'avis? S'ils se rendent compte qu'aucune donnée (comme l'absence de hotspot) ne peut les convaincre, peut-être prendront-ils conscience, même fugitivement, du caractère non scientifique de leurs théories.
Ce genre de déduction suppose que ton interlocateur est rationnel, logique et capable de saisir la démarche de l'essai-erreur, ce dont un réchauffiste est totalement incapable. Il va te répondre par des lieux communs à la Stan Selene, le chantage moral (tu n'es qu'un saccageur de la planète, tu veux niquer l'avenir de nos zenfants et petizenfants) voire l'arme ultime des écochondriaques gauchistes (pléonasme) : le principe de précaution.

Autant pisser dans un violon.

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