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Le Conseil d’Etat a décidé de rejeter l’article de la loi de Finances visant à imposer aux entreprises participant au plan d’allocation de quotas de CO2 européen d’en acheter 10 % dès 2011.

La Commission européenne a adopté aujourd'hui un plan de mesures concrètes visant à réduire encore la consommation d'énergie. L'efficacité énergétique est un instrument majeur pour renforcer la compétitivité de l'Europe, qui permet de limiter la dépendance énergétique tout en diminuant les émissions. L'ensemble de mesures proposées a pour objectif de générer des avantages considérables pour les ménages, les entreprises et les pouvoirs publics. Le plan devrait transformer le quotidien des Européens en offrant le potentiel d'engendrer des économies allant jusqu'à 1 000 euros par ménage et par an, de renforcer la compétitivité industrielle de l'UE, et de créer jusqu'à 2 millions de nouveaux emplois.

http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction…;guiLanguage=fr

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A la station service de la Hanauer Landstrasse à Francfort, non loin du futur siège de la Banque centrale européenne (BCE), une pompe reste désespérément libre. Peu loquace, le pompiste reconnaît finalement que seule une « poignée » de clients s'y hasarde. Sur le flanc de la pompe, un autocollant géant affiche un sigle qui est au centre de la vie publique allemande depuis plusieurs jours. « E10 », l'abréviation d'un nouveau carburant contenant 10 % d'éthanol issu de la betterave.

Un carburant « vert » introduit depuis le début de l'année outre-Rhin à la place du classique « super 95 » et qui a rencontré un vrai rejet de la part des automobilistes. En théorie, près de 90 % des autos allemandes acceptent pourtant ce carburant. Mais le défaut d'information a conduit les consommateurs à la défiance. Craignant pour leurs moteurs, ils n'ont guère été rassurés par les pompistes qui, par prudence ou ignorance, leur ont souvent conseillé de se replier sur le plus cher et plus polluant, mais aussi plus sûr, super 98. Du coup, le phénomène est vite devenu préoccupant pour l'industrie pétrolière. Selon BP Allemagne, la part de marché du E10 atteindrait avec peine la moitié de celle de feu le super 95. Du coup, alors que les stocks de carburant « vert » restaient pleins, ceux de super 98 se vidaient rapidement, menaçant de désorganiser l'ensemble de la distribution. Si bien que jeudi dernier, la Fédération des industries pétrolières, la MWV, a décidé de suspendre « temporairement » la production du nouveau carburant E10 afin de s'adapter à la réalité du marché. Diktat de l'ÉtatCette « révolte des consommateurs » a rapidement occulté les autres grands sujets du moment dans les médias allemands. Le ministre de l'Économie, Rainer Brüderle a dû convoquer ce mardi un sommet de crise auquel ont participé pas moins de quatre ministres fédéraux. Il est vrai que chacun s'est renvoyé la balle des responsabilités. La MWV s'en est pris au diktat de l'État qui a contraint les groupes à passer au E10. Son président, Klaus Picard a ainsi déploré que « dans des conditions de marché normales, si nous n'avions pas une intervention massive de l'État, nous retirerions ce produit ». En face, le ministre de l'Environnement Norbert Röttgen, très contesté, a renvoyé les pétroliers au manque d'information du consommateur. Il s'est aussi caché derrière les directives de Bruxelles, oubliant cependant que la législation européenne adoptée en 2007, notamment sous la pression allemande, ne dit rien du E10, mais demande seulement l'introduction de 10 % d'énergie renouvelable dans les transports en 2020. Sans surprise, l'affaire a pris rapidement une dimension politique. Face aux critiques de l'opposition, les Libéraux du FDP, toujours aux abois dans les sondages, ont réclamé que l'on retire le nouveau carburant. Mais à l'issue du sommet, le gouvernement fédéral réaffirme son intention d'imposer le E10 au marché moyennant une « offensive d'information » et la reconnaissance d'une « responsabilité commune de tous » dans la crise. Une crise qui risque cependant de marquer les esprits à deux semaines du grand dimanche électoral du 27 mars où se dérouleront plusieurs scrutins locaux déterminants.

Source : La Tribune

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Sinon. Hum.

Inspecteur Général NOAA à Eugene Wahl (auteur GIEC) :

- avez vous reçu le mail de Phil Jones de déléter des emails

- oui

- l'avez-vous reçu directement de Phil Jones ou de quelqu'un d'autre

- de Michael Mann

- et avez vous accedé à leur demande de déléter ?

- ouep

(On rappelera que l'Université de Penn State avait blanchi Mann sur cette question … Le niveau de corruption du système, des intitutions parmi les plus réputées du monde -Penn State l'est, en engineering et, certaines saisons, en football- est ahurissant).

http://wattsupwiththat.com/2011/03/08/to-s…ann/#more-35440

http://climateaudit.org/2011/03/08/wahl-transcript-excerpt/

Si la merde ne tape pas dans le ventilateur cette fois-ci, c'est que les choses sont bien plus lugubres que nous le pensons.

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Une "experte" de l'UE sur les questions climatiques se fait démolir en 5 minutes chrono sur une radio australienne. Les kangourous en rient encore…

http://blogs.telegraph.co.uk/news/jamesdel…n-commissioner/

It’s an Australian interview with Jill Duggan, a British woman who you almost certainly won’t have heard of, but who yet holds the economic future of an entire continent in her grasp. As an expert on carbon markets for the European Commission’s Directorate-General for Climate Action, Duggan will help mastermind the EU’s bold – and massively expensive – plans to reduce Europe’s carbon emissions by 20 per cent by 2020. In the process she will of course destroy every last vestige of 550 million people’s economic future: but until now – as is evident from her stumbling and surprise – no one has really called her on it.

That’s what makes it such good radio. Her Aussie interviewers Andrew Bolt (the great sceptical blogger) and radio host Steve Price destroy her feeble arguments so magnificently, comprehensively, and irrefutably that the entire AGW edifice has since collapsed, wind farm ownership has been made a capital offence and Al Gore and Michael Mann have been sent to Guantanamo for crimes against humanity.

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NASA Study Finds Earth's Lakes Are Warming

Researchers Philipp Schneider and Simon Hook of NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, Calif., used satellite data to measure the surface temperatures of 167 large lakes worldwide.

They reported an average warming rate of 0.81 degrees Fahrenheit per decade, with some lakes warming as much as 1.8 degrees Fahrenheit per decade. The warming trend was global, and the greatest increases were in the mid- to high-latitudes of the Northern Hemisphere.

http://www.nasa.gov/home/hqnews/2010/nov/H…obal_Lakes.html

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Rejet d'eau chaude des industries accru ?

Tiens, une victoire majeure un peu passée sous silence : Science et Vie hors série mars 2011 "Planète Dangereuse" ou quelque chose comme ça.

P. 42 : pas de changement majeur de fréquence / sévérité des tempêtes violents depuis 2.500 ans.

Commentaire du très savant journaliste : "c'est une surprise". Mouhaha.

Néanmoins, presque en douce, l'air de rien …

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Je résume à froid parce que les négationistes font une propagande dégueulasse

1. Michael Mann a fait suivre l'email de Briffa demandant d'effacer des emails (qui sinon devaient être révélés, dans le cadre d'une requête officielle "Freedom Of Information Act"), certes mais il ne l'a pas fait, en aucun cas, pour que le destinaire ultime, Eugene Wahl, efface en effet ces emails. Pas du tout.

2. Eugene Wahl les a bien effacés. Chronologiquement, après avoir reçu l'email de Michael Mann. Mais succession n'est en rien causation. Il ne l'a pas du tout fait en conséquence de l'email de Mann. Pas du tout.

Tout est désormais clair.

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Ce week end, je suis allé faire quelques chutes libres, et là haut, je me suis demandé ce que le GIEC entendait par climat quand il présente la température moyenne.

C'est complètement arbitraire, mais si on se contente de parler de la fine couche au niveau sol, ça n'a plus rien à voir avec le climat global qui au sens où je l'entend comporte toute la masse gazeuse de la planète.

En effet, là haut, à 4200m, il faisait -15°C. Et je crois savoir qu'à l'altitude de nos vols commerciaux, à 10 000m, il fait -60°C.

ça fait déjà une mesure sacrément sélective pour nous présenter une température moyenne positive alors qu'elle est négative.

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Ce week end, je suis allé faire quelques chutes libres, et là haut, je me suis demandé ce que le GIEC entendait par climat quand il présente la température moyenne.

C'est complètement arbitraire, mais si on se contente de parler de la fine couche au niveau sol, ça n'a plus rien à voir avec le climat global qui au sens où je l'entend comporte toute la masse gazeuse de la planète.

En effet, là haut, à 4200m, il faisait -15°C. Et je crois savoir qu'à l'altitude de nos vols commerciaux, à 10 000m, il fait -60°C.

ça fait déjà une mesure sacrément sélective pour nous présenter une température moyenne positive alors qu'elle est négative.

Ce qui importe c'est l'impact d'une augmentation de la température globale sur les évènements climatiques en terme de fréquence et d'intensité. Maintenant, je pense que ces évènements sont tellement complexes dans leur nature et dans le lien de cause à effet qui les génère, qu'il est très difficile de pouvoir attribuer leur évolution (positive ou négative) à un facteur en particulier, ici la température globale. Beaucoup d'autres variables entre en jeu.

La bonne démarche, selon moi, est de limiter les impacts négatifs de l'Homme, cause de souffrance future, tout en sachant qu'un tel comportement n'aura pas forcément d'influence majeure sur l'évolution climatique globale (il y a eu des phases de réchauffement ou de glaciation avant l'apparition des voitures!). Ensuite, anticiper les conséquences d'un réchauffement sur l'activité humaine pour pouvoir inventer des stratégies qui nous permettraient de résister à ces changements et, pourquoi pas, en tirer parti.

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La bonne démarche, selon moi, est de limiter les impacts négatifs de l'Homme, cause de souffrance future, tout en sachant qu'un tel comportement n'aura pas forcément d'influence majeure sur l'évolution climatique globale (il y a eu des phases de réchauffement ou de glaciation avant l'apparition des voitures!).

Et quels sont les impacts négatifs de l'homme, cause de souffrances futures ?

Car oui, l'influence de nos comportements est loin d'être démontrée dans l'évolution globale du climat.

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La bonne démarche, selon moi, est de limiter les impacts négatifs de l'Homme

C'est un problème de bactérie avant tout… :icon_up:

Je m'explique: tant que le milieu nutritif est favorable les bactéries s'étendent dans la boîte de petri, c'est l'histoire du vivant et l'homme n'y échappe pas. Tant qu'il y aura du fossile pas cher il sera consommé ou, (en favorisant l'augmentation de la population ou de son niveau de vie) consommé par les descendants ou ceux dont le niveau de vie aura augmenté.

En bref chaque litre que nous ne consommerons pas sera consommé ailleurs, tôt ou tard. Le freiner radicalement ou l’arrêter est totalement illusoire.

Le bonne nouvelle c'est que nous ne somme pas des bactéries et qu'a force d'investir dans les technologie énergétique il *se pourrait* que nous trouvions un saint graal genre fusion, moins cher, "illimité" moins polluant ou des manières beaucoup plus efficaces d'utiliser l’énergie qui nous relancerait dans la course. (produire plus pour chaque unité d’énergie consommée)

Il se "pourrait", il est impossible de prédire les progrès de la technologie, la fusion est très loin de la production et aucune énergie "verte" ne rivalise actuellement avec le fossile. Il ce pourrait aussi bien que de mauvais choix "vert" torpillent la civilisation occidentale.

J'ai confiance: oui on va tout bouffer, non ce n'est pas si grave, de gré ou de force on trouveras un moyen de préserver l'humanité et une planète viable. (Déjà par une simple loi de la nature: la baisse des nutriments ou un milieu moins favorable réduit automatiquement la population de bactéries; lemmings; humains)

Pat

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C'est un problème de bactérie avant tout… :icon_up:

Je m'explique: tant que le milieu nutritif est favorable les bactéries s'étendent dans la boîte de petri, c'est l'histoire du vivant et l'homme n'y échappe pas. Tant qu'il y aura du fossile pas cher il sera consommé ou, (en favorisant l'augmentation de la population ou de son niveau de vie) consommé par les descendants ou ceux dont le niveau de vie aura augmenté.

C'est bien pour ça que les divers malthusianisme sont aberrant.

Limiter la consommation aura des conséquences économiques catastrophiques, la paupérisation qui en résultera ainsi que l'instabilité politique feront qu'il est impossible qu'elles soient durables.

Et même la consommation modérée par une autorité des ressources limitées n'empêchera jamais leur épuisement. Tout cela ne fera que retarder l'inéluctable, tout en perdant la capacité économique de pouvoir trouver un substitut.

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Et quels sont les impacts négatifs de l'homme, cause de souffrances futures ?

L'Homme est un organisme vivant capable de s'adapter à son environnement. Il arrivera toujours à s'adapter. Cependant, lorsque le changement de l'environnement est rapide, l'adaptation se fait difficilement.

C'est un problème de bactérie avant tout… :icon_up:

Je m'explique: tant que le milieu nutritif est favorable les bactéries s'étendent dans la boîte de petri, c'est l'histoire du vivant et l'homme n'y échappe pas. Tant qu'il y aura du fossile pas cher il sera consommé ou, (en favorisant l'augmentation de la population ou de son niveau de vie) consommé par les descendants ou ceux dont le niveau de vie aura augmenté.

En bref chaque litre que nous ne consommerons pas sera consommé ailleurs, tôt ou tard. Le freiner radicalement ou l’arrêter est totalement illusoire.

Le bonne nouvelle c'est que nous ne somme pas des bactéries et qu'a force d'investir dans les technologie énergétique il *se pourrait* que nous trouvions un saint graal genre fusion, moins cher, "illimité" moins polluant ou des manières beaucoup plus efficaces d'utiliser l’énergie qui nous relancerait dans la course. (produire plus pour chaque unité d’énergie consommée)

Il se "pourrait", il est impossible de prédire les progrès de la technologie, la fusion est très loin de la production et aucune énergie "verte" ne rivalise actuellement avec le fossile. Il ce pourrait aussi bien que de mauvais choix "vert" torpillent la civilisation occidentale.

J'ai confiance: oui on va tout bouffer, non ce n'est pas si grave, de gré ou de force on trouveras un moyen de préserver l'humanité et une planète viable. (Déjà par une simple loi de la nature: la baisse des nutriments ou un milieu moins favorable réduit automatiquement la population de bactéries; lemmings; humains)

Pat

Je partage globalement ton avis, mais comme tu le fais remarquer, nous ne sommes pas des bactéries. Nous avons une Raison qui nous permet d'arbitrer entre nos tendances "animales" et une réflexion intelligente sur le rapport de cause à effet.

Plusieurs solutions s'offrent à nous tous :

- Privilégier l'environnement et risquer un "torpillage" économique.

- Privilégier la compétition économique et risquer une dégradation difficilement supportable de l'environnement.

- Sortir du cadre de réflexion binaire (le bond quantique !) et concilier puissance économique et respect de l'environnement. Cette voie n'est pas facile mais c'est la plus viable à long terme. Elle constitue le vrai challenge des années à venir je pense.

A l'heure actuelle, cette voie peut paraître fantaisiste parce qu'elle ne correspond pas à un besoin immédiat, d'où l'existence d'un débat. Comment en effet promouvoir une solution face à un risque futur alors que les priorités actuelles (économiques) pourraient être menacée ?

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- Privilégier la compétition économique et risquer une dégradation difficilement supportable de l'environnement.

Les systèmes qui ont le plus tué la compétition économique ont aussi le plus tué l'environnement.

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Les systèmes qui ont le plus tué la compétition économique ont aussi le plus tué l'environnement.

Je pensais moins à des systèmes qu'à des technologies.

Pour prendre l'exemple du pétrole, nous savons tous qu'il rejette des gaz dans l'atmosphère ( nous n'avons d'ailleurs pas besoin du GIEC pour nous dire que c'est pas top ). Tout notre mode de vie est basé sur cette énergie et un arrêt brutal de sa consommation provoquerait un cataclysme économique. Or nous savons aussi que ces gaz, en s'accumulant dans l'atmosphère peuvent avoir des conséquences négatives pour notre bien-être général. L'idée est de réfléchir (dogma free !) à un moyen de créer une source d'énergie équivalente et qui permet de maintenir notre mode de vie, tout en préservant notre éco-système. La tâche est ardue bien entendue, mais nécessaire et les énergies renouvelables peuvent nous y aider. Rends-toi compte comme le principe est géniale : un mouvement perpétuel (marée, vents,….), gratuit, accessible en de nombreux endroits du globe, et qui permet de créer de l'énergie. Ces énergies ne sont pas efficaces pour le moment mais si la recherche le permet un jour, pourquoi les rejeter ?! Nous n'avons qu'à y gagner !

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Elles ne seront pas rejetées si elles deviennent un jour efficaces et plus efficientes que les autres modes de production d'énergie qui existeront alors.

La qualité de l'air est un bien, qu'on peut estimer en valeur, comme les autres biens, et faire la balance. Si un mode de production pour un même Kwh, est moins nocif pour la qualité de l'air, que cette différence de pollution vaut la différence de coût comparé à un autre mode plus polluant, ce sera largement adopté.

Polluer l'air est une dégradation d'un bien commun à l'humanité, les pollueurs doivent réparer les dommages, dédommager les victimes. Ce qui représenterait un coût si justice était faite. Le souci est que les pollueurs, si on peut les identifier aisément, on ne peut pas en faire autant avec les victimes. L'Etat pourrait jouer un rôle important par des taxes dans les cas où les tribunaux et les marchés échouent.

Mais c'est à la charge du plaignant ou de l'Etat de prouver la pollution, et qu'elle est nocive (le contraire de négligeable, comme des pets de vache, ou des gaz issus de la combustion de tas de feuilles). Pas le contraire, sinon c'est n'importe quoi.

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Pour prendre l'exemple du pétrole, nous savons tous qu'il rejette des gaz dans l'atmosphère ( nous n'avons d'ailleurs pas besoin du GIEC pour nous dire que c'est pas top ).

Je te rappelle la combustion des hydrocarbures:

prenons le cas des alcanes, mais pour les autres, ça revient au même:

CnH(2n+2) + O2 → nCO2+ H2O

Quel produit de la réaction n'est "pas top" ? le vert ou le bleu ?

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Je te rappelle la combustion des hydrocarbures:

prenons le cas des alcanes, mais pour les autres, ça revient au même:

CnH(2n+2) + O2 → nCO2+ H2O

Quel produit de la réaction n'est "pas top" ? le vert ou le bleu ?

Fastoche ! C'est le bleu. Tout le monde connait les dégâts et catastrophes engendrés quotidiennement par l'oxyde de dihydrogène (qui vient d'ailleurs de causer près de 20000 morts au Japon) et qui se trouve être aussi un puissant gaz à effet de serre. J'ai bon?

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