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Oui en effet ! :mrgreen:

General Assembly 8 July 2008

[…]

SRGJAN KERIM, President of the General Assembly, opened the discussion by saying that 11 of the last 12 years had ranked among the 12 warmest since the keeping of global temperature records had begun in 1850. Two points were significant: that climate change was inherently a sustainable-development challenge; and that more efforts than ever before must be exerted to enable poor countries to prepare for impacts because it had been estimated that there would be between 50 million and 200 million environmental migrants by 2010.

:doigt::icon_up:

C'est soviétoïde…

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… d'après Antony WATTS la page de l'ONU/PNUE (en : UNEP) faisant la publicité de ce grave, grave problème des réfugiés climatiques soulevé dans un de ses rapports de 2005 pointait vers l'image suivante :

un_50million_11kap9climat.png

… qui émane apparemment d'un média qui ne nous est pas inconnu : Le Monde Diplomatique, organe crypto stalinien du tiers mondisme castriste "non aligné". Cependant pour être honnête, l'immonde diplodocus a élaboré cette carte sur la base d'informations publiées par un honorable professeur au collège vert de l'université d'Oxford, Norman MYERS, bien connu pour sa contribution climatoalarmiste au problème des réfugiés environnementaux. Ceux ci existent bel et bien sans l'affaire du CO2 à l'occasion des inondations, tremblements de terre et autres sécheresses. Norman MYERS les chiffrait à 25 millions en 1995 (!?!) essentiellement en Afrique, principalement dans la corne (sécheresse au Sahel, Somalie, etc.).

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… d'après Antony WATTS la page de l'ONU/PNUE (en : UNEP) faisant la publicité de ce grave, grave problème des réfugiés climatiques soulevé dans un de ses rapports de 2005 pointait vers l'image suivante :

un_50million_11kap9climat.png

… qui émane apparemment d'un média qui ne nous est pas inconnu : Le Monde Diplomatique, organe crypto stalinien du tiers mondisme castriste "non aligné". Cependant pour être honnête, l'immonde diplodocus a élaboré cette carte sur la base d'informations publiées par un honorable professeur au collège vert de l'université d'Oxford, Norman MYERS, bien connu pour sa contribution climatoalarmiste au problème des réfugiés environnementaux. Ceux ci existent bel et bien sans l'affaire du CO2 à l'occasion des inondations, tremblements de terre et autres sécheresses. Norman MYERS les chiffrait à 25 millions en 1995 (!?!) essentiellement en Afrique, principalement dans la corne (sécheresse au Sahel, Somalie, etc.).

Je ne connais rien à ce sujet, mais ce serait pas mal de faire une comparaison entre les prévisions et ce qui s'est passé réellement, non? On a assez de recul désormais?

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L'article d'Antony WATTS montre que les îles les plus "menacées" ont vu leurs population augmenter notamment durant la récente décennie… On attend donc toujours ces fameux 50 M réfugiés climatiques ! Actuellement leur nombre est zéro. Certains écolo hystériques brandissent une poignée de personnes issues d'atolls en cours d'engloutissement mais en réalité ces atolls s'affaissent lentement à force de surexploitation de leurs matériaux coralliens qui en viennent à réduire leurs flux de sable entrant.

Les recherches de Norman MYERS sont controversées depuis longtemps. L'un des motifs de controverse est qu'il règne une large confusion pratique entre "réfugiés climatiques", "réfugiés météorologiques", "réfugiés environnementaux", "réfugiés économiques" et "réfugiés politiques". Comment faut-il compter une guerre civile issue de tensions engendrées par une sécheresse ? Ou une inondation issue d'une mauvaise décision dans la régulation des flots par les barrages en amont lors de fortes précipitations (cas de l'Australie il y a quelques semaines) ? Si on compte les victimes de toutes les inondations, sécheresses, etc. qui se sont éloignées quelques jours ou mois de leur domicile, on atteint des chiffres importants (loins des 50 à 200 M réfugiés annoncés, mais importants tout de même), mais évidemment ces événements sont récurrents depuis des millénaires et on peut difficilement les imputer sans rougir au grand méchant CO2. Évidemment c'est très différent de dire que durant 2 semaines les victimes d'une inondation sont allés se mettre au sec et de dire que des habitants d'un lieu devenu définitivement invivable ont migré pour toujours. Aussi j'aimerais que pour commencer nous vérifiions le contenu du fameux chiffre de 25 M réfugiés environnementaux en 1995, que Norman MYERS avançait en 2005 en prédisant les 50 M à 200 M réfugiés climatiques en 2010 qu'on attend toujours !

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Aussi j'aimerais que pour commencer nous vérifiions le contenu du fameux chiffre de 25 M réfugiés environnementaux en 1995, que Norman MYERS avançait en 2005 en prédisant les 50 M à 200 M réfugiés climatiques en 2010 qu'on attend toujours !
Norman Myers est un serial catastropher typique de la pseudo-science post moderne et on peut être sûr qu'il va sauter sur la moindre occasion pour prédire une apocalypse imminente dans quel que domaine que ce soit. C'est pour ça même qu'il est le darling des éco-chondriaques et autres verdâtres.

C'est le même Myers qui a prédit 40.000 extinctions d'espèces PAR AN (!) dans The Sinking Ark, en 1979 (on doit être à moins de 900 extinctions recensées… depuis 500 ans) alors bon, ses oracles computerisées, poubelle.

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L'exctinction d'espèces est un débat vicié. Il semblerait qu'il y ait une certaine densité d'espèces nouvelles au km2 de foret sauvage. C'est une mesure empirique (dont je n'ai pas d'idée sur la salubrité du protocole), une observation couramment admise parmi les spécialistes. La théorie duale c'est que si on réduit le nombre de km2 de forets sauvages, on réduirait vraisemblablement à terme ne nombre d'espèces (coté animal principalement des fourmis, insectes, etc. plus quelques oiseaux ou mamifères). Mais cela ne se produit pas instantanément. Une espèce n'est pas localisée dans un unique km2. Simplement la rationalisation des populations, la raréfaction du matériel génétique permettrait ou pas la survie de l'espèce dans la durée et selon cette théorie à un certain horizon qui selon les cas se compte en années, millénaires ou millions d'années, il y aura réalignement du nombre d'espèces et du nombre de km2 de forêt sauvage. On peut aussi émettre l'idée que ces espèces sont de toutes façon presque toutes vouées à disparaitre en quelques siècles et supplantées par celles d'entre elles qui s'avéreront les plus adaptées et celles là survivront peut-être bien à une déforestation modérée. Bref il y a débat, avec une présomption statistiques aux causalités mal maitrisées et aucune preuve rigoureuse.

Quand on fait le décompte des grosses espèces (mamifères, oiseaux, reptiles…), on voit qu'ils ne disparaissent plus beaucoup. On les protège depuis des décennies.

Concernant Norman MYERS il est trop connu, trop respecté académiquement, pour qu'on puisse se contenter de la négligence affichée par miniTAX. Il nous faudrait avoir des billes sur la nature de ses "millions de réfugiés environnementaux" observés par le passé et les débats qui existent sur cette qualification, puis la nature de son extrapolation à des "millions de réfugiés climatiques" futurs. Ceux là seront facile à démonter (puisque au fond du fond ils n'existent pas. Simplement il nous faut être en mesure de voir s'il confond météo et climat ou s'il produit de purs fantasme extrapolés à partir du mauvais roman de SF publié par le GIEC.

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Concernant Norman MYERS il est trop connu, trop respecté académiquement, pour qu'on puisse se contenter de la négligence affichée par miniTAX.

Ce n'est pas parce qu'une personne est une sommité mondialement connue qu'elle est forcément respectable sur le plan de ses idées.

Je me souviens avoir trouvé sur le web un pamphlet virulent de Hubert Reeves, le célèbre astrophysicien mondialement connu, réputé et respecté, qui affirmait que brûler des sacs plastiques dans des incinérateurs dégage des dioxines (c'était il y a plusieurs années).

Absurdité la plus totale sachent que les sacs plastiques sont en polyéthylène, une matière composée exclusivement de carbone et d'hydrogène.

Or pour produire des dioxine, une molécule contenant du chlore, il faut partir de substances contenant elle même du chlore et réaliser une combustion incomplète.

C'est ce qui se passe en général avec des polymères chlorés tel que PVC ou PVDC.

En clair, ce Monsieur s'est permis de faire une approximation par rapport à des informations qu'on lui a rapportée sans chercher à vérifier la réalité scientifique de ses arguments.

L'époque du mandarinat se termine et fait place à une ère nouvelle ou la vérité n'est plus détenue par une minorité oligarchique bien pensante et détenant la connaissance universelle. C'est vrai non seulement en politique, mais aussi sur le plan scientifique.

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+1

Quand j'étais enfant, Hubert REEVES m'a fait rêver comme il a fait rêver des millions d'enfants. C'est quelqu'un qui a l'amour de sa science. Cependant il a endossé pas mal de bêtises dans le domaine du développement durable et de l'énergie, exploitant l'image de son profil scientifique dans des domaines où il n'était pas spécialiste.

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Absurdité la plus totale sachent que les sacs plastiques sont en polyéthylène, une matière composée exclusivement de carbone et d'hydrogène.

Moui mais il faut voir si les sacs plastiques ne contiennent pas des plastifiants comprenant du chlore, ce que je ne sais pas.

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Moui mais il faut voir si les sacs plastiques ne contiennent pas des plastifiants comprenant du chlore, ce que je ne sais pas.

Plus qu'imporbable.

Revenons à nos moutons.

Pourquoi, se demandait Anthony Watts, pourquoi les données de niveau de la mer n'étaient plus mises à jour depuis mi-2010 ?

Hein ?

Et il demandait, et il redemandait. Et on lui répondait, on non, rien du tout, on est en train de refaire un peu le site web, c'est tout. Quelques semaines de patience SVP (après, quoi, 10 mois, tout de même).

http://wattsupwiththat.com/2011/04/17/doin…-and-downtrend/

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Moui mais il faut voir si les sacs plastiques ne contiennent pas des plastifiants comprenant du chlore, ce que je ne sais pas.

Non, tous les additifs chlorés sont bannis.

Il y a des charges minérales (carbonate, talc), des additifs de process, des agents glissants, des antibloquants (silice), des anti-statiques, parfois des colorants et des anti-UVs.

Mais au maximum, ça contient donc un peu de O et N, rien de plus.

Il n'y a rien de plus innofensif chimiquement qu'un sac plastique, c'est plus ou moins du pétrole solide, l'équivalent de la cire de bougie, avec parfois quelques charges minérales.

Il y a même des exigences pour certains sacs et films d'emballage soient certifiés casher en traçant l'origine des composés utilisés pour la production des additifs employés…

Mais parfois, cas absurde, on tente de le rendre dégradable, auquel cas on incorpore des composés de fer, manganèse, ou cobalt en faible concentration.

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Et encore une vérité qui dérange "effacée" du net à la Staline et ses photos post purges. Cette fois-ci c'est le New York Times. Surprise surprise.

http://wattsupwiththat.com/2011/04/18/anot…ng-disappeared/

"Si tu veux enlever un mouche du front de ton ami, ne le fais pas à la machette" :icon_up:

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l'étude citée est à double tranchant. De nombreuses questions sont posées : sources d'informations préférées, connaissances "scientifiques", sensibilité thématique… Les participants sont alors triés en catégories d'opinion relativement au réchauffement (alarmistes, concernés, prudents, indifférents, dubitatifs, sceptiques) et en bonnes et mauvaises réponses quand la réponse est considérée comme connue. Or les auteurs de l'étude considèrent que la réponse aux questions "scientifiques" est connue, notamment l'existence du grand méchant réchauffement, sa source principale dans les gazs à effet de serre, la responsabilité anthropique dans iceuces, etc. Bref du cathéchisme. Au final les alarmistes apparaissent ainsi comme de (fallacieux) puits de science réchauffistes. Quand on élimine la questions scientifiques controversées, restent … quelques questions scientifiques de base, auxquelles les sceptiques répondent légèrement mieux que les alarmistes. La grosse différence réside selon moi dans le mode d'information. Les sceptiques ne font pas confiance aux media mainstream, aux instituteurs, aux professeurs d'université, au ministère de l'environnement US. Les alarmistes eux, privilégient … les ONG écolos ^^ Quand les sceptiques s'informent, c'est via internet. Surtout, les sceptiques, plus que tous autres, visitent régulièrement … des parcs naturels, des musées d'histoire naturels, etc. !

En tous cas c'est amusant de voir qu'un journaliste écolo alarmiste retire rétrospectivement une phrase avouant la (légère) meilleure connaissance des faits scientifiques de base présente chez les sceptiques comparés aux alarmistes.

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Une citation officielle somptueuse qu'on ne risque pas d'entendre de la part des propagandistes de la FARCE (la fraternité des alarmistes du RC exagéré)

En 2010, la consommation intérieure française

d’électricité a augmenté de 5,5% par rapport à

2009, et atteint 513,3 TWh.

Cet accroissement de la consommation provient

pour les 2/3 de l’effet des températures d’une

année 2010 plus froide que l’année 2009. Selon

Météo France, il faut remonter à 1987 pour

trouver une année plus froide.

LE BILAN ÉLECTRIQUE FRANÇAIS 2010, par RTE

http://www.rte-france.com/uploads/media/pdf_zip/presse/dp-2011/2011_01_20_DP_Bilan_electrique_francais_2010.pdf

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Le grand secret du niveau de la mer continue, et je pense que, quand le nouveau site web wa arriver, il va y avoir de sacrées farces sur la présentation des données passées et récentes.

http://wattsupwiththat.com/2011/04/25/update-on-the-cu-sea-level-page-status/#more-38664

C'est vraiment pas de bol de lancer un nouveau site web qui n'arrive pas à être prêt, juste au moment ou le niveau de la mer baisse.

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J'ai arrêté de lire au troisième paragraphe :

A la suite du prix Nobel de chimie Paul Crutzen (dans Nature en 2002), ils proposent d'ajouter un nouvel échelon à l'échelle des temps géologiques : l'anthropocène. Soit, selon eux, la période actuelle. Celle où l'homme est devenu la principale force de mutation de la planète, qui perturbe les cycles bio-géo-chimiques, et les grands équilibres du système Terre.

Sinon, moi, j'ai des fourmis dans mon potager, et je les suspecte d'être responsables d'une profonde perturbation de l'équilibre du cycle bio-chemico-astrologique de mon système jardin. J'en veux pour preuve qu'il y a encore 3 mois, il n'y avait pas de feuilles sur les arbres, et que désormais, il en pousse de partout.

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Source

Un nouveau rapport publié par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) sétablit avec un degré de certitude jamais atteint auparavant que les activités humaines sont responsables du réchauffement climatique, et en montre les dangers. Les ultralibéraux vont-ils continuer à nier la réalité au nom de leur idéologie ?

Voici la source du GIEC —--> ats1.jpg

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Des panneaux photovoltaïques seraient à l'origine d'un incendie, hier, près de Limoges. Ce type de sinistre, à la fois nouveau et très rare, soulève de nombreuses questions.

Pas de blessé

Quinze pompiers de Beaubreuil, appelés à 16 heures, sont intervenus pour maîtriser le sinistre. Ils ont arrosé abondamment la toiture mais n'ont rien pu faire devant une propagation extrêmement rapide des flammes. Aucune personne n'a été blessée : les habitants de la maison - un couple et ses deux enfants - étaient absents au moment du départ de feu.

« C'est le premier feu dans le département sur des panneaux photovoltaïques », reconnaissait le capitaine Sabourdy, des pompiers de Limoges évoquant le futur de cette production d'électricité chez des particuliers. Car les questions de sécurité incendie n'ont été, jusqu'à présent, que peu que peu évoquées ou approfondies à leur propos.

Les risques de ces installations

Dans le contexte d'un engouement sans précédent pour les énergies renouvelables, on aurait peut-être oublié de se pencher sérieusement sur les risques potentiels de telles installations.

« Les risques associés aux panneaux n'ont pas vraiment été prévus ni anticipés, reconnaissait le capitaine Sabourdy. Statistiquement, ce type d'événement arrivera également à la campagne où on interviendra non pas sur des panneaux de 3 mètres carrés mais sur des installations de 4.000 mètres carrés. Quand nous savons que 90 % des incendies sont d'origine électrique en France, on peut se douter que si l'on rajoute des installations dans les habitations, les risques augmentent. Le problème, c'est que si un court-circuit intervient au niveau du régulateur par exemple, ça ne disjoncte pas. Le panneau solaire continue de produire en continu ». De tels incendies seraient, selon le capitaine, « déjà arrivés en France » mais n'ont pas fait l'objet d'études spécifiques. « Nous n'avons pas assez de retours pour l'instant. »

Autre souci évoqué : il est lié à l'intervention des pompiers eux-mêmes. Car le panneau de la maison sinistrée du Palais-sur-Vienne, même à terre, continuait toujours de produire de l'électricité. « C'est du 110 volts en continu. Si on marche dessus, on peut être électrisé ! »

Simpsons_nelson_haha.jpg

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