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Avis à la population,

Voir ici le documentaire "Le réchauffement climatique : la grande fraude" (The Great Global Warming Swindle)

avec le sous-titrage en français !

Courrez vite le regarder, et matez la brochette impressionnante de scientifiques sceptiques (j'aime bien Paul Reiter, de l'Institut Pasteur avec son histoire de la Malaria ou Piers Corbyn qui sait mieux prévoir le climat en étudiant le soleil que la Met Office).

Pensez à faire des mirroirs du film si vous avez l'ADSL (la procédure est indiquée sur le blog) car ça risque d'être supprimé et faites passer le mot !!!!

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Merci miniTAX ! Ce film est déjà un incoutournable…

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Tiens, j'ignorais qu'un politicien français reprenait à son compte les idées contraires à celles du réchauffement climatique provoqué par l'homme.

Extrait du chat des lecteurs du Monde avec JMLP:

GERALD : Dans votre discours de Nantes sur l'environnement (11 février 2007), vous faites part de vos doutes en ce qui concerne le réchauffement climatique. Pensez-vous que les scientifiques mentent ?

Jean-Marie Le Pen : Je crois savoir qu'avec M. Allègre il y a 15 000 scientifiques qui sont de mon avis et qui mettent en doute ce nouveau dogme très médiatisé qui a, comme c'est drôle, remplacé celui du trou d'ozone qui, lui, semble-t-il, a disparu. Et qui était pourtant destiné à terroriser les populations.

Il y a plus de 50 ans j'ai dit que je connaissais l'existence de ce qu'on appelait la montée de la barrière de chaleur, qui était d'ailleurs scientifiquement mesurée dans la vallée du Rhône et qui progressait à la vitesse de 1 km par an, ce qui est la vitesse à laquelle progresse le désert saharien. De là à penser que ce réchauffement était plus probablement d'origine solaire qu'industrielle et humaine, il n'y a qu'un pas, que je suis tenté de franchir.

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Super Taf!

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Merci miniTAX pour le travail de sous-titrage que tu as entre autres effectué.

Cependant à la lecture que j'en ai faite tout à l'heure, il y avait de nombreux problèmes de citations tronquées.

Concernant Thatcher, c'est peut-être un tropisme un peu trop britannique du reportage.

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La véritable histoire des niveaux de CO2 :

La courbe supérieure représente les valeurs réelles, la courbe inférieure, celles de l'IPCC. Il s'agit d'une étude d'Ernst-Georg Beck, disponible sur demande par email :

http://antigreen.blogspot.com/2007/03/real…ide-levels.html

Ce qui n'est pas dit sur la courbe en question c'est que les mesures avant 1960 sont faite par analyse chimique, et celle après 1960 par spectro IR : et brutalement les mesures horriblement bruitées deviennent très douces.

D'ici à penser que les mesures par voies chimiques sont peu fiables il n'y a qu'un pas que s'est refusé à franchir l'auteur…

Probablement une cause "inconnue" est responsable de cette accalmie des fluctuations, et le rapport avec le changement de technique de mesure une pure "coincidence"….

PS : la couche complete est ici

http://www.anenglishmanscastle.com/180_yea…cal_Methods.pdf

Quelle coincidence !!!!!

Egalement très interessant cette idée de tronquer la courde et de l'arreter à 1970 sur "antigreen" !!!!

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Voir ici le documentaire "Le réchauffement climatique : la grande fraude" (The Great Global Warming Swindle)

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Je me joins aux remerciements pour l'info et le boulot effectué.

Je n'ai pas énormément de connaissances sur le sujet mais je suis d'un naturel sceptique, donc je ne me prononçais pas beaucoup jusqu'à maintenant.

Je creuserai le sujet quand je pourrai mais ce reportage a le mérite d'être logique et simple, ce qui me plaît beaucoup.

Je diffuse autour de moi, merci encore !

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Selon l'Institut für Elektrische Energietechnik, le boom de l'énergie solaire en Allemagne a représenté une augmentation des émissions de CO2 de 400.000 tonnes. La production de cellules photovoltaïques au silicium est un processus coûteux en énergie. La même chose se produit avec l'énergie éolienne. Ah ! Fafékon…

Photovoltaik-Boom sorgt für mehr CO2-Emissionen

Der Boom von Sonnen- und Windenergie hat auch seine ökologischen Schattenseiten: So hat das starke Wachstum der Photovoltaik im vergangenen Jahr allein in Deutschland per saldo für 400.000 Tonnen mehr Kohlendioxid-Austoß gesorgt. Denn vor allem die Herstellung von Silizium ist ein höchst energieintensiver Prozess: Laut dem Institut für Elektrische Energietechnik der Technischen Universität Berlin dauert es zwischen 25 und 57 Monaten, bis Solarzellen so viel Energie erzeugt haben, wie für ihre Produktion verbraucht wurde. Daraus lässt sich berechnen, dass die Produktion der 750 Megawatt an Photovoltaik-Leistung, die 2006 in Deutschland neu installiert wurden, 1,5 Millionen Tonnen an CO2-Emissionen verursacht hat. Im selben Jahr wurden in der Bundesrepublikmit Hilfe des Solarstroms (ca 2500 Megawatt installierte Gesamtleistung) rund 1,1 Millionen Tonnen CO2 eingespart.

Grundlage für diese Berechnung sind der Mittelwert der von der TU Berlin ermittelten energetischen Amortisationszeit sowie CO2-Emissionen beziehungsweise -Einsparungen nach dem derzeitigen weltweiten Energiemix. Auf lange Sicht bessert sich die CO2-Bilanz von Photovoltaik allerdings beträchtlich: Bei einer Lebensdauer von 30 Jahren holen Solarzellen zwischen 6- und 14-mal so viel Energie herein, wie ihre Produktion verbraucht hat. Bei einer sorgfältigen Installation ist die angenommene Langlebigkeit selbst bei Solarmodulen der ersten Generation realistisch, wie Tests an der TU Berlin gezeigt haben.

Dazu kommt aber auch: Der Ausbau der "dargebotsabhängigen Energieformen" wie Sonne und Wind führt nicht automatisch dazu, dass CO2-Schleudern vom Netz genommen oder nicht gebaut werden. Denn bis heute gibt es keine wirtschaftlichen Speicher für diese "volatilen" Energieformen – der Puffer zwischen Angebot und Nachfrage wird vom Stromnetz gebildet. Die etablierte Stromwirtschaft investiert längst Millionenbeträge in Windprognosen, weil diese die Einsatzpläne der konventionellen Kraftwerke entscheidend beeinflussen. Denn typische Spitzenlastkraftwerke wie Gaskraftwerke werden eigentlich nur dann angefahren, wenn der Preis an der Strombörse gerade hoch genug ist – es sei denn, eine plötzliche Flaute zwingt die Versorger zur schnellen Bereitstellung zusätzlicher Energie. Umgekehrt kann es auch passieren, dass mehr regenerative Energie eingespeist wird als eigentlich geplant. Dann müssen die konventionellen Kraftwerke im ungünstigen Teillastbetrieb gefahren werden.

Je größer die installierte Windleistung, desto bedeutender wird das Planungsproblem. Die so genannte "Day-Ahead-Prognose", mit der deutschlandweit die Einspeisung der Windenergie geplant wird, hat zwar nur eine mittlere Abweichung von sechs Prozent, sagt Philipp Siemes, wissenschaftlicher Mitarbeiter am Institut für Elektrische Anlagen und Energiewirtschaft der RWTH Aachen. Aber: "Für die Planung ist natürlich nicht die durchschnittliche Abweichung maßgeblich, sondern die größte. Und die kann durchaus auch mal bei 30 Prozent der installierten Leistung liegen – das heißt, wir reden hier über rund sechs Gigawatt." Weil die typische Blockgröße eines konventionellen Kraftwerks bei 600 bis 800 Megawatt liegt, sind also einige konventionelle Kraftwerke im Spiel – die als Reserve trotzdem am Netz bleiben müssen. Das so genannte Substitutionspotenzial, also der Anteil an konventionellen Kraftwerken, die beim Ausbau regenerativer Energien vom Netz genommen werden kann, liegt nach einer Studie der RWTH Aachen für Windenergie bei ewa 14 Prozent. "Eine CO2-freie Utopie mit 70 Prozent regenerativen Energien funktioniert also einfach nicht", sagt Mario Adam, Energiespezialist an der FH-Düsseldorf.

http://www.heise.de/newsticker/meldung/87578

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Avis à la population,

Voir ici le documentaire "Le réchauffement climatique : la grande fraude" (The Great Global Warming Swindle)

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Pensez à faire des mirroirs du film si vous avez l'ADSL (la procédure est indiquée sur le blog) car ça risque d'être supprimé et faites passer le mot !!!!

On peut choper une version du reportage sur la mule compatible avec la plupart des lecteurs et qui intègre bien les sous-titres que vous pouvez trouver dans les commentaires du lien ci-dessus.

Seul vlc lisait la version .avi de googlevideo avec sous-titrage.

Enfin je suppose que ce post ne s'adressera qu'aux utilisateurs de Windows… :icon_up:

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Climat. Les gaz à effet de serre enfin reconnus «polluants» .

Bush désavoué par la Cour suprême

Source Libé

Vous allez voir se multiplier ce genre de titre tonitruant comme des petits pains par Jésus lors des prochains jours dans nos médias chéris. Comme d'hab, quitte à se ridiculiser, les hystériques du réchauffement ne ratent pas une seule occasion de faire des déformations grossières de la réalité. En l'occurrence, il s'agit ici de gros mensonges concernant la décision de la Cour Suprême des EU, avec au passage, pourquoi s'en priver avec l'anti-américanisme primaire, un gros coup de pied de l'âne à Bush comme dans l'article de Libé :icon_up:

J'invite les gens qui ne veulent pas se laisser laver le cerveau à consulter la source même de la Décision au lieu de se fier aux médias de masse, surtout, celles qu'on a en France, qui sont de toute façon irrécupérables sur la question, On peut lire à la fin du syllabus de la décision de la Cour Suprême ceci :

These policy judgments have nothing to do with whether greenhouse gas emissions contribute to climate change and do not amount to a reasoned justification for declining to form a scientific judgment. Nor can EPA avoid its statutory obligation by noting the uncertainty surrounding various features of climate change and concluding that it would therefore be better not to regulate at this time. If the scientific uncertainty is so profound that it precludes EPA from making a reasoned judgment, it must say so. The statutory question is whether sufficient information exists for it to make an endangerment finding. Instead, EPA rejected the rulemaking petition based on impermissible considerations. Its action was therefore “arbitrary, capricious, or otherwise not in accordance with law,” §7607(d)(9). On remand, EPA must ground its reasons for action or inaction in the statute. Pp. 30–32.

En clair, la Cour dit suelement qu'il est dans les compétences de l'EPA de légiférer sur le CO2 (chose que l'EPA a refusé de faire jusque là, et ce de manière arbitraire selon la Cour) et que l'EPA doit motiver sa décision de légiférer ou NON sur la question (ce que l'EPA n'a pas fait jusqu'à présent). Il est nulle part question de classer le CO2 comme polluant et il est pour l'instant pas question pour l'EPA de limiter le CO2.

Faire croire que la Cour Suprême a "reconnu le CO2 comme polluant" (alors que c'est un gaz essentiel pour la vie), il faut vraiment marcher sur la tête car dans ce cas, il faudrait aussi classer la vapeur d'eau (premier GES et de loin) qui sort des pots d'échappement comme polluant.

Mais apparemment, plus c'est gros, plus ça a de chance de passer auprès du grand public. Bref, la même vieille ficelle de la propagande de masse: "mentez, mentez, il restera toujours quelque chose".

Anecdote: Al Gore, dans son film et ses conférences insiste lourdement que la question du réchauffement "n'est pas partisane, mais morale". Or sur les 9 juges de la Cour Suprême, 4 étaient démocrates, 4 étaient républicains, 1 neutre.

5 ont décidé qu'il est du ressort de l'EPA de légiférer sur les émissions de CO2, 4 ont voté CONTRE. Devinez qui a voté pour quoi.

D'ailleurs, ça soulève un tendance qui me révolte autant que ça m'inquiète. Les éco-fondamentalistes adoptent de plus en plus la stratégie de porter les affaires où ils perdent parce que scientifiquement, leur thèse vaut zéro, devant la justice. Vu les énormes moyens financiers et humains qu'ils ont grâce aux dons suscités par la manipulation de masse, la peur, la valorisation de l'irrationnel, ils peuvent pourrir la vie de n'importe quelle société et à fortiori de n'importe quel individu avec leur stratégie de la judiciarisation à l'extrême. Le lobbying ne leur suffit plus (tiens, ça me rappelle une ancienne discussion sur le sujet).

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Moi, ce que je vois avec le réchauffement bidule truc, c'est que je chauffe nettement moins chez moi, et que je paye donc nettement moins de charges à ce niveau. Eh oui, ma bonne dame, ça fera plus de chocolat à la fin du mois !

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A la limite qu'il y est réchauffement ou pas … moi je vois pas trop de différence sur les comportements à adopter !

De toute manière vu la vitesse où les carburants fossibles brulent, on va devoir trouver d'autres moyens énergétiques, qui seront economes en énergie.

Et puis comme le disait un chef … " Bah, tu sais l'écologie s'est un truc génial pour la boite, si tu en fais le marketing va l'utiliser (+ de clients) et en bonus on fait des économies de charges (+ de marges) avec des investissements en immobilisations … " :icon_up:

Après, pour moi il n'y a pas de réchauffement "monstre", où alors il y a un microclimat sur le havre parce que vu les t° ici … :doigt:

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Sans vouloir jeter de l'huile sur le feu, il faut bien dire que s'il n'y a pas réchauffement climatique alors c'est vachement bien imité.

Ca dépend vachement beaucoup de l'endroit !

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Sans vouloir jeter de l'huile sur le feu, il faut bien dire que s'il n'y a pas réchauffement climatique alors c'est vachement bien imité.
L'Antarctique se refroidit depuis 20 ans. La moitié des USA (où il existe le plus grand réseau de mesure) ne se réchauffe pas. Et je signale que les données de HadCRUT qui ont permis de conclure à une hausse ainsi que les méthodes de correction de l'effet d'îlot de chaleur urbain n'ont PAS été divulguées. En science, quand ce genre de chose se produit, c'est un gros signal d'avertissement.

P.S. Si tu veux constater le réchauffement, il suffit de rouler en voiture de la campagne vers la ville et de surveiller le thermomètre du tableau de bord. Tu verras qu'il y a facilement un écart de 4 à 5°C (Météo France dit qu'il peut y avoir un écart moyen jusqu'à 10°C entre la ville et la campagne). Mais ça n'a rien à voir avec les gaz à effet de serre.

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C'est fini miniTax, je ne crois plus à tes arguments. J'ai trouvé ce blog imparable contre lequel toutes tes statistiques et tes preuves scientifiques ne pourront rien :

http://zara-ecolo.over-blog.com/

Désolé, tu ne fera jamais le poids…

PS : Ne surtout pas louper ce billet fort pertinent contre les écolo-sceptiques : :icon_up:

http://zara-ecolo.over-blog.com/article-6170181.html

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C'est fini miniTax, je ne crois plus à tes arguments. J'ai trouvé ce blog imparable contre lequel toutes tes statistiques et tes preuves scientifiques ne pourront rien :

http://zara-ecolo.over-blog.com/

Désolé, tu ne fera jamais le poids…

Punaise, avec mes arguments rationalistes à la noix, je fais complètement fausse route moi. :doigt:

Faudrait que fasse mes posts avec un fond rose plus des images de Q. Il n'y a que ça qui convainc les gens :icon_up:

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http://news.rgj.com/apps/pbcs.dll/article?…50349/1002/NEWS

Global warming rally cut short by cold weather

ASSOCIATED PRESS

Posted: 4/15/2007

More than two dozen demonstrators braved cold, wet weather Saturday in Reno to attend a rally designed to draw attention to global warming.

The event was cut short by heavy rain and sleet, said organizer Lisa Stiller of the Northern Nevada Coalition for Climate Change.

"It's kind of disappointing that the weather kept people away," Stiller said. "But, we still think it (climate change) is something that people should talk about."

The storm prevented the use of solar ovens for a potluck picnic, Stiller said, and caused the planned two-hour demonstration to break up after about an hour.

Step It Up

More than 1,300 events were organized in every state under the banner Step It Up 2007 to push Congress to require an

80 percent cut in carbon dioxide emissions by 2050.

In downtown Reno's Brick Park, demonstrators listened to speeches urging Nevadans to do their part to cut greenhouse gas emissions.

Dale Brabham, a chemistry instructor at Truckee Meadows Community College, said people can reduce gas use by buying more fuel-efficient vehicles or eliminating the need for owning a vehicle.

People also can tune up vehicles for maximum gas mileage, make homes energy efficient and convert to nonincandescent lighting, he said.

"The evidence is strong and clear. The conclusion is that life as we know will change soon, very likely in our lifetime," Brabham said.

"Everyone must shoulder the responsibility of meeting the challenge of delaying the change by reducing their impact on the environment. Our survival depends on it."

'Green Summit'

Reno City Councilman Dave Aiazzi talked about the city's efforts to reduce carbon emissions and urged residents to attend Reno's 'Green Summit' on Thursday. The event is designed to develop plans to reduce emissions and improve energy efficiency.

Local activist Bob Tregilus gave a demonstration of his electric motorcycle and urged people to consider such alternative modes of transportation.

"Americans need to wean themselves from the pump and adopt the plug," he said.

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Pour la première fois, le Conseil de sécurité a débattu sur le lien entre réchauffement et risque de conflits.

Le changement climatique gagne son siège à l'ONU , par Céline CURIOL

QUOTIDIEN : vendredi 20 avril 2007

Jamais le changement climatique n'avait été débattu par le Conseil de sécurité. C'est à l'initiative du Royaume-Uni, qui le préside en avril, qu'un débat a pu être organisé mardi sur les menaces que laisse planer ce phénomène sur la sécurité de la planète. «Aucun forum international ne l'a encore traité sous cet angle», note un document remis par la présidence du Conseil en préparation du débat, auquel plus de cinquante ministres et ambassadeurs ont participé.

L'idée de réfléchir à la manière dont le changement climatique pourrait créer de nouveaux conflits dans le monde et au rôle que pourrait jouer le Conseil de sécurité a suscité la réticence de plusieurs pays. Les Etats-Unis, la Chine et la Russie estiment que le thème abordé n'entre pas dans les prérogatives du Conseil. Pour eux, il existe déjà des organes internationaux adaptés, telle la Convention des Nations unies sur les changements climatiques (UNFCC). Certains vont même jusqu'à parler de pratique dangereuse. «Transformer des prévisions incertaines à long terme en menaces sécuritaires équivaut à une modification officieuse de la charte de l'ONU», s'est plaint l'Inde. Réponse de la Grande- Bretagne et des autres pays européens : si le Conseil ne peut être l'instance prioritairement en charge, il ne peut y avoir d'exclusivité quand il s'agit d'un problème mondial. La ministre des Affaires étrangères britannique, Margaret Beckett, qui a participé aux négociations du protocole de Kyoto comme secrétaire à l'Environnement, comptait le prouver en présidant le débat.

Migration. D'après le dernier rapport du Giec (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat), les risques d'inondations ne vont cesser d'augmenter, et des millions d'individus seront touchés annuellement par le problème. Ces inondations, comme d'autres types de catastrophes naturelles, provoqueront des migrations importantes, pouvant atteindre jusqu'à 200 millions de personnes, une échelle sans précédent. Des migrations qui, si elles ne menacent pas en elles-mêmes la sécurité, ont la capacité de modifier les répartitions sociales et d'exacerber les tensions ethniques. Au Bangladesh, les inondations du Gange dues à la fonte de certains glaciers de l'Himalaya sont à l'origine d'un important flux migratoire vers l'Inde. L'augmentation régulière du niveau des mers peut aussi provoquer des déplacements massifs de populations, non seulement parce qu'elle accroît l'érosion costale et perturbe les cultures, mais aussi parce qu'elle menace de dépeupler des îles entières. Ce qui soulève une autre question : comment la montée des eaux modifiera-t-elle le tracé des frontières maritimes et terrestres, qui a souvent été l'enjeu de guerres ?

Historiquement, les hommes n'ont cessé de lutter pour s'approprier les ressources naturelles nécessaires à leur survie. En 1998, la décision de la Turquie d'ériger un barrage sur l'Euphrate a failli provoquer un incident avec la Syrie qui l'accusait de s'en servir comme outil de pression. Le conflit au Moyen-Orient est en partie assimilé à une lutte pour le contrôle des ressources aquifères. Et le conflit au Darfour, qui a provoqué la mort et la fuite de centaine de milliers de personnes, découle d'une lutte pour l'accès à l'eau entre les tribus nomades et les cultivateurs.

Le lien entre réchauffement et sécurité n'est certes pas direct. Sauf que les zones instables, promptes aux conflits, n'en seront que plus vulnérables. Et les gouvernements faibles, confrontés à des contraintes ingérables, n'en auront que plus de mal à remplir leurs fonctions et à maintenir leur autorité. «Les changements climatiques posent une sérieuse menace à la sécurité nationale américaine… Et ils contribueront à l'accroissement des tensions, même dans les régions les plus stables du monde», affirme un groupe de onze généraux américains à la retraire. Selon leur rapport publié cette semaine, le réchauffement affectera la planification militaire, notamment l'emplacement des bases militaires, et devra être pris en compte dans les stratégies de défense nationale.

«Sagesse». Aucune décision n'est sortie du Conseil de sécurité, mais le débat de mardi pourra servir de tremplin à la treizième conférence des parties au protocole de Kyoto, à Bali en décembre. Le nouveau secrétaire général, Ban Ki-moon, prendra peut-être dorénavant en compte les facteurs climatiques dans les analyses de risques présentées au Conseil pour que, comme l'a souhaité Margaret Beckett, «le changement climatique soit une menace qui puisse nous rassembler si nous avons la sagesse de ne pas le laisser nous diviser.»

C'est le "nous" qui me fait craindre le pire, moi et pas le réchauffement climatique.

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