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Concernant les quelque 190 délégations nationales, il reviendra à chaque gouvernement de décider s’il souhaite rembourser en crédits verts le voyage de ses représentants.

Comme ça, les contribuables paient deux fois le séjour à Bali.

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Ma contribution sur le sujet de la nouvelle taxe carbone.

Merci de me faire part de vos commentaires sur d'éventuelles inexactitudes ou erreurs.

L'article me semble excellent. Une remarque sur "à quoi sert cette nouvelle taxe, si son montant doit être intégralement redistribué" :

Le but du jeu est précisément d'éduquer les citoyens pour les rendre éco-responsables. Et pour apprendre à être propre, rien de vaut le principe de la cravache et du susucre de la manipulations des incitations par taxation/subvention, en théorie neutre sur le budget de l'Etat.

J'insisterai plutôt sur le fait que le taux initial de 17,00 euros la tonne constitue un prix d'ami destiné à augmenter rapidement, que le coût administratif de la redistribution et les effets de la désincitation à produire (industrie, transport routier, etc) ne sont pas comptabilisés. La taxe aura donc bien à terme un impact négatif sur le niveau de vie des français contrairement à ce que laisse entendre le gouvernement.

De manière générale on peut aussi relever tout simplement que l'on nage en plein délire. Croire qu'une loi ou une série de décrets puissent influencer le climat, c'est de la folie furieuse. Pour rappel, le climat est déterminé notamment par la combinaison complexe de cycles naturels de différentes fréquences (de quelques années à plusieurs dizaines ou centaines de milliers d'années : précession des équinoxes, cycles solaires, circulation thermohaline,…) et Sarkozy, avec son p'tit zizi, s'opposerait par l'instauration d'une taxe aux forces extraordinaires qui gouvernent le climat ! Mais qui peut croire cela ?

Sans vouloir rajouter de l'huile sur un feu éteint, mais relativement au message de Minitax et à sa comparaison avec le nazisme, je comprends mieux pour le vivre hic et nunc le processus par lequel une population tout entière semble devoir sombrer dans la folie collective.

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Pour la première fois, un membre éminent du GIEC fait publiquement part de ses doutes :

…nous pourrions être proche d’entrer dans une ou deux décennies de refroidissement climatique…

Je ne suis pas un des sceptiques du climat. Cependant, nous devons nous poser les questions dérangeantes nous-mêmes, sinon d’autres le feront.

Ces propos ont été prononcés par Mojib Latif, modélisateur du GIEC, lors de la 3e conférence internationale sur le climat, début septembre à Genève.

Le New Scientist, qui donne l'info, précise :

Peu de scientifiques vont aussi loin que Latif qui est un auteur du GIEC. Mais ils sont de plus en plus nombreux à reconnaître que les pronostics à court terme du changement climatique sont beaucoup moins assurés qu’on le pensait auparavant.

http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/?p=590

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Pour la première fois, un membre éminent du GIEC fait publiquement part de ses doutes :

Ces propos ont été prononcés par Mojib Latif, modélisateur du GIEC, lors de la 3e conférence internationale sur le climat, début septembre à Genève.

Le New Scientist, qui donne l'info, précise :

http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/?p=590

Et quel terrible aveu : sous-entendu ils ne se sont pas posés de questions jusqu'ici.

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elyons sends word out of UCLA of a completely unexpected discovery in the physics of the Sun-Earth interaction — a previously unknown basic mode of energy transfer from the solar wind to the Earth's magnetosphere. "'It's like something else is heating the atmosphere besides the sun. This discovery is like finding it got hotter when the sun went down,' said Larry Lyons, UCLA professor of atmospheric and oceanic sciences. 'We all have thought for our entire careers — I learned it as a graduate student — that this energy transfer rate is primarily controlled by the direction of the interplanetary magnetic field. The closer to southward-pointing the magnetic field is, the stronger the energy transfer rate is, and the stronger the magnetic field is in that direction. [it turns out that] if it is both southward and big, the energy transfer rate is even bigger.'" The researchers have two papers on the discovery coming out in the Journal of Geophysical Research.

http://science.slashdot.org/story/09/09/12…pper-Atmosphere

A part ça, les modèles sont parfaits et il n'y a plus rien à découvrir …

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http://www.google.com/hostednews/afp/artic…Vt-S1PGzJwKMM6g

World celebrities sing to stop global warming

(AFP) – 1 day ago

GENEVA — British rock group Duran Duran and heavy metal band Scorpions are among 55 world celebrities who have joined in recording a song to draw attention to the global warming crisis, organisers said on Monday.

The song is part of a mass media campaign on the threats of climate change organised by the Geneva-based Global Humanitarian Forum, headed by former UN secretary general Kofi Annan.

The song entitled "Beds'r Burning", which was originally recorded by the Australian group Midnight Oil in the 1980s, can be downloaded from the Internet for free and will be presented to the public at a launch in Paris on October 1.

"If we do not stop the (greenhouse gas) emissions today, global warming will be still be with us in 40 to 50 years," warned Walter Fust, director of the Forum, at a press conference in Geneva.

The media campaign featuring the song is aimed at putting pressure on world leaders to reach an agreement on tackling climate change at a UN-sponsored conference in Copenhagen in December.

Some of the other popular artists who add their voices to the anti-global warming song include French 'Piaf' actress Marion Cotillard, Senegalese star Youssou N'dour, Irish singer/composer Bob Geldorf, Chinese singer Khalil Fong, and even a Nobel peace laureate, South African archbishop Desmond Tutu.

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global warming will be still be with us in 40 to 50 years

enieme changement d'expression, je croyais que le rechauffement allait tout peter, ben non, c'est juste qu'on doit le faire partir, c'est pratique si on veut bien taxer pour longtemps et faire beaucoup d'autres shows…

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James Delingpole parle au Professeur Ian Plimer, géologue australien, dont le dernier livre montre que le « réchauffement climatique d’origine humaine » est une fiction ruineuse et dangereuse, un « luxe de pays développé » sans aucune base scientifique. Honte aux éditeurs qui n’ont pas voulu de ce livre !

Imaginez à quel point le monde serait merveilleux si le réchauffement climatique d’origine humaine n’avait été qu’une fiction dans l’imagination d’Al Gore. Plus de ces fermes éoliennes immondes étendant leur ombre sur le haut pays. Plus de factures d’électricité délirantes, augmentées artificiellement par une taxe carbone instaurée par l’Union Européenne. Plus besoin de prendre chaque jour de douceur ensoleillée comme le terrible présage d’un désastre écologique à venir Et, finalement, plus besoin du projet de loi de limitation des émissions de carbone à 7.400 milliards de dollars – la plus haute taxe de l’histoire américaine – que le président Obama et ses partisans essayent sans relâche d’imposer à l’économie des Etats-Unis.

N’imaginez plus, votre bonne fée est ici. Son nom est Ian Plimer, professeur de géologie minière à l’Université d’Adélaïde, et il a récemment publié Heaven And Earth , un livre qui fera date et changera pour toujours la façon dont nous pensons au changement climatique.

« L’hypothèse comme quoi l’activité humaine pourrait créer un réchauffement global est extraordinaire parce qu’elle est contraire à tout ce que nous enseignent la physique du soleil, l’astronomie, l’histoire, l’archéologie et la géologie », explique Plimer, et bien que sa thèse ne soit pas nouvelle, il y a peu de chances que vous l’ayez entendue exprimée avec autant de vigueur, de certitude et d’autorité scientifique. Alors que d’autres sceptiques comme Bjorn Lomborg ou Lord Lawson of Blaby se préparent soigneusement à approuver les prédictions les plus modestes du Groupe Intergouvernemental d’experts sur l’Evolution du Climat (GIEC), Plimer ne cède pas un pouce de terrain. La théorie du réchauffement climatique d’origine humaine, explique-t-il, est la plus grande, la plus dangereuse, et la plus ruineuse manipulation de l’histoire.

Pour comprendre, allons à la rencontre du bon professeur. L’homme a le teint hâlé, les trais rudes, les cheveux blancs, la soixantaine – courtois et jovial mais combatif quand il faut l’être – et rayonne de la santé d’un homme qui a passé la moitié de sa vie dans des expéditions sur le terrain en Iran, en Turquie et dans son cher Outback australien. Et il est assis dans mon jardin à boire du thé pendant un de ces jours que George Monbiot du Guardian aimerait faire interdire. Un beau jour doux et ensoleillé.

Alors, allons-y, prof. Qu’est-ce qui vous rend si sûr que ce que vous dites est vrai et que tous ces scientifiques qui disent le contraire est faux ?

« Je suis géologue. Nous autres géologues avons toujours admis que le climat change au cours du temps. Nous sommes différents de ces gens qui soutiennent le réchauffement climatique anthropocentrique par notre compréhension des échelles. Ils ne s’intéressent qu’aux 150 dernières années Notre cadre est de 4.567 millions d’années. Ce qu’ils essayent de faire équivaut à essayer de comprendre l’intrigue de Casablanca à partir d’une courte séquence de la scène d’amour. Vous ne pouvez pas. Ca ne marche pas.

La force de Heaven And Earth est de restaurer une perspective scientifique à un débat qui a été détourné par « des politiciens, des activistes de l’environnement et des opportunistes ». Il fait remarquer, par exemple, que la glace des pôles n’a été présente sur terre que pendant 20% du temps géologique; que les extinctions d’espèces sont banales ; que les changements climatiques sont cycliques et normaux ; que le CO2 dans l’atmosphère – auquel l’activité humaine contribue pour une fraction infime – ne représente que 0,001% du CO2 contenu dans les océans, les roches de surface, les terres et les espèces vivantes ; que le CO2 n’est pas un polluant mais une nourriture pour les végétaux ; que les périodes les plus chaudes de la Terre – comme lorsque les Romains faisaient pousser des vignes et des citronniers jusqu’au nord du Mur d’Hadrien en Angleterre – étaient des époques de richesse et d’abondance.

Tout ceci sont des faits scientifiques avérés – plus que ce que vous pouvez dire de ces modèles informatiques dégorgeant leur flot de scénarios de fin du monde avec des températures inexorablement croissantes, des îles submergées et des banquises qui s’effondrent. Plimer n’accorde aucune confiance à ces modèles parce qu’ils semblent n’avoir peu ou pas de prise avec la réalité observée.

« Je suis un scientifique de terrain. Je suis dehors chaque jour, enfoncé dans la m… jusqu’au cou à récolter des données brutes. Et c’est pourquoi je suis si sceptique quant à ces modèles, qui n’ont rien à voir avec la science ou l’empirisme mais se contentent de torturer les données jusqu’à ce qu’elles se confessent. Aucun d’entre eux n’a prévu la période de refroidissement global dans laquelle nous nous trouvons. Il n’y a pas de problème de réchauffement climatique. Il a cessé en 1998. Les deux dernières années de refroidissement ont effacé presque trente ans d’augmentation de température.

La position sans compromis de Plimer ne l’a pas rendu populaire. « Ils disent que je viole les vaches, que je mange les bébés, que je ne sais rien sur quoi que ce soit. Ma lettre favorite est celle qui dit: « Cher monsieur, allez vous faire foutre ». J’ai aussi eu droit à une manifestation à Sidney lors du lancement d’un de mes livres, et j’avais une mère venant vers moi en tenant son gamin de deux ans dans les bras en disant : « Vous n’avez donc aucune moralité ? L’avenir de cet enfant est en train d’être détruit. » Typique du personnage, Plimer lui rétorqua vigoureusement: « Si vous êtes tellement inquiète, pourquoi avoir eu un enfant ? »

Cette approche pragmatique doit sans doute quelque chose à l’éducation du jeune Ian à Sydney, dans une situation financière difficile. Son père souffrait de sclérose multiple, laissant sa mère élever trois enfants sur le seul salaire d’une institutrice.

« Nous ne pouvions pas nous offrir une télévision – bien que la télé soit arrivée en Australie dès 1956. Nous utilisions le même sac en papier brun encore et encore pour nos déjeuners à l’école, nous éteignions toujours les lumières, non à cause d’un quelconque impératif moral, mais par pure nécessité. »

L’écologisme moderne l’irrite profondément, notamment parce qu’il est mené par des gens qui sont trop riches.

« Quand j’essaye d’expliquer le réchauffement climatique à des gens en Iran ou en Turquie, ils n’ont pas la moindre idée de ce dont je parle. Leur vie se résume à survivre jusqu’au lendemain, à trouver leur prochain repas. La culpabilité écologique est un luxe de pays développé. C’est la nouvelle religion de populations urbaines ayant perdu leur foi dans le Christianisme. Le rapport du GIEC est leur bible. Al Gore et Lord Stern sont leurs prophètes. »

Heaven And Earth est la suite d’un livre de vulgarisation publié par Plimer en 2001, appelé A Short History of Planet Earth. Il se basait sur dix années d’émission radio sur ABC destinées aux habitants des zones rurales. Bien que le livre soit un best-seller et gagne un prix Euréka, ABC refusa de publier la suite, de même que les autres éditeurs majeurs que l’auteur approcha.

« Il y a ici beaucoup de gens qui ont peur . Personne ne veut aller contre le paradigme à la mode. »

Puis, quelqu’un l’a mis en relation avec un minuscule éditeur perdu au milieu du bush – « Le mari, l’épouse, trois enfants, si pauvres qu’ils n’avaient même pas de rideaux ». – et ils ont dit oui.

Plimer se retint de réclamer une avance qu’ils ne pouvaient clairement pas se permettre. Mais quelque chose de remarquable est arrivé. Les 5 000 exemplaires de la première édition furent écoulés en deux jours seulement. Cinq autres éditions ont rapidement suivi. L’ouvrage a été vendu à 26 500 exemplaires rien qu’en Australie – avec des perspectives tout aussi réjouissantes pour l’Angleterre et les Etats-Unis. Il est même question d’une édition destinée à la très verte Allemagne.

Mais entre tous, les Australiens, avec leurs feux de brousse et leurs sécheresses prolongées, ne devraient-ils pas être les derniers à souscrire à son message

« Ah, mais l’homme de la rue n’est pas un imbécile. Je reçois parfois jusqu’à 1 000 lettres et emails par jour de gens qui se sentent impuissants, désabusés et carrément malades de toutes les aberrations qu’ils entendent sur le réchauffement climatique de la part de gauchistes urbains qui ne savent même pas d’où viennent leur viande ou leur lait. »

En outre, l’économie australienne est particulièrement vulnérable aux effets de l’alarmisme sur le changement climatique

« Bien que disposant de 40% des réserves mondiales d’uranium, nous n’avons pas l’énergie nucléaire. Nous nous reposons sur des tonnes de charbon à bon marché. 80% de notre électricité vient du charbon et les producteurs d’aluminium s’agglutinent autour des bassins houillers. La loi Cap and Trade proposée par Kevin Rudd est la dernière chose dont l’économie australienne a besoin. Si elle passe, le pays fera faillite.

Plimer ne croit pas une seconde qu’elle passera. Comme pour son équivalent américain du projet de loi Waxman-Markey, le projet d’Emission Trading Scheme de Kevin Rudd a réussi à se glisser jusqu’à la Chambre des représentants.

Mais comme en Amérique, le vrai défi attend à la chambre haute, le Sénat. En partie grâce à l’influence de Plimer et de son livre – « les politiciens me téléphonent sans arrêt » – le Sénat rejettera vraisemblablement le texte. S’il le refuse deux fois, alors le gouvernement australien s’effondrera et donnera lieu à une « double dissolution » et des élections anticipées. « L’Australie est un point très intéressant dans le débat sur le changement climatique », note Plimer. [NdT: l'actualité récente semble lui donner raison.]

Bien sûr, les répercussions potentielles hors de l’Australie sont encore plus grandes. Jusqu’à ce jour, les législations environnementales avaient la partie facile dans les parlements de l’Anglosphère et de l’Eurosphère, avec des politiciens plus verts les uns que les autres (de Dave Cameron (dit l’« Eolienne ») à Dave Miliband (du : « Les sceptiques du réchauffement sont les partisans de la Terre Plate de notre temps. »), se bousculant pour imposer des objectifs d’émission de carbone toujours plus restrictifs et taxer leurs malheureux électorats.

Les politiciens pouvaient s’en tirer tant que duraient les jours où les gens se sentaient assez riches pour payer ces coûts supplémentaires et assez coupables pour penser qu’ils les méritaient. Mais l’effondrement économique global a changé la donne. Comme d’innombrables sondages le montrent, plus les gens se sentent pauvres, plus bas plonge la vertu écologique dans la liste de leurs priorités.

« C’est une des rares bonnes choses à sortir de cette récession, explique Plimer. Les gens commencent à se demander: Avons-nous vraiment les moyens de nous payer toute cette législation verte? »

La lecture de Heaven And Earth est une expérience à la fois enrichissante et terrifiante. Enrichissante parce que 500 pages de prose abondamment annotée, fruits de cinq ans de recherche, vous laissent sans le moindre doute. La contribution de l’homme à ce qu’ils appellent aujourd’hui le « changement climatique » était, est et sera probablement toujours négligeable. Terrifiante, parce que vous ne pouvez qu’être consterné devant tant d’argent gaspillé, tant de restrictions légales érigées en vain pour résoudre un problème qui n’existe pas. (La série South Park, comme souvent, a été probablement la première à illustrer cela dans un épisode mémorable où Al Gore s’invite dans la classe pour prévenir les écoliers du danger que pose une bête terrible, l’Homme-Sanglier-Ours, qui n’existe que dans son esprit…).

Le livre est-il arrivé à temps pour éviter un désastre ? S’il y a une justice, Heaven And Earth contribuera autant au réalisme sur le changement climatique que le film d’Al Gore, une « Vérité Qui Dérange » en a fait en faveur de l’alarmisme. Mais comme Plimer le sait bien, il existe désormais un vaste corps constitué d’intérêts dressé contre lui : des gouvernements comme celui d’Obama, qui utilisent le « réchauffement climatique » pour faire passer plus de taxes, de régulation et de protectionnisme ; des producteurs d’énergie et des investisseurs qui espèrent faire fortune avec des arnaques comme le marché des droits d’émission de CO2 ; des organisations non-gouvernementales comme Greenpeace dont la levée de fonds est directement liée à l’anxiété du public ; des envoyés spéciaux sur des questions d’environnement qui doivent sans arrêt surenchérir la menace pour justifier leur job.

Pense-t-il vraiment que son message arrivera à passer? Plimer sourit.

« Si, il y a trente ans, vous aviez demandé à n’importe quel médecin ou scientifique d’où venaient les ulcères à l’estomac, ils vous auraient tous donné la même réponse : ils sont évidemment causés par l’acide gastrique consécutif à un excès de stress . Tous sauf deux scientifiques, qui furent cloués au pilori pour leur idée délirante selon laquelle une bactérie serait derrière tout ça. En 2005 ils ont reçu le Prix Nobel. Le consensus s’était trompé. »

James Delingpole

08/07/2009

SPECTATOR.co.uk

Titre original

« Meet the man who has exposed the great climate change con trick »

Traduction en français :

http://www.stephane.info/show.php?code%3Dw…D1485%26lg%3Dfr

Correspondance Polémia

31/08/2009

http://fr.novopress.info/31502/lhomme-qui-…ent-climatique/

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Je suis en train de lire le bouquin de Plimer et c'est passionnant, surtout pour les amateurs de géologie au sens large du terme (enfin pour le premier chapitre sur l'histoire du climat, après je ne sais pas encore :icon_up: ). Mais ça s'avère croustillant, notamment des passages sur les arnaques du GIEC.

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« Vous n’avez donc aucune moralité ? L’avenir de cet enfant est en train d’être détruit. » Typique du personnage, Plimer lui rétorqua vigoureusement: « Si vous êtes tellement inquiète, pourquoi avoir eu un enfant ? »

Bouahahah, fabuleux. Je la ressortirai.

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"If we do not stop the (greenhouse gas) emissions today, global warming will be still be with us in 40 to 50 years,"

Très intéressante, effectivement cette phrase. Les réchauffistes, Al Gore en tête, on commit l'erreur originale des Témoins de Jéhovah qui annonçaient initialement la fin du monde pour 1914. Les leaders du mouvement ont dû repousser à plusieurs reprises la date d'Armageddon devant l'insolente bonne santé des apostats et l'indolence de Satan pour renoncer finalement à toute prédiction précise et annoncer une fin des temps "imminente" mais sine die.

D'apès les prévisions les plus alarmistes diffusées au cours des années 90, nous devrions connaître dès l'année prochaines le début des manifestations catastrophiques liées au réchauffement climatique. Or New-york et la Louisianne ne semblent pas encore prêts d'être noyés sous les eaux, il est donc significatif d'entendre parler "des 40 à 50 prochaines années" ou du "sort de nos arrières petits-enfants" (qui vont "frire comme des merlans", dixit Michel "Ziglou" Rocard).

Une différence cependant : la propagande à ses limites et le grand public n'est pas constitué majoritairement de fanatiques prêts à vivre indéfiniment dans un monde de peurs millénaristes. Alors combien de temps tiendra la manipulation ?

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Une différence cependant : la propagande à ses limites et le grand public n'est pas constitué majoritairement de fanatiques prêts à vivre indéfiniment dans un monde de peurs millénaristes. Alors combien de temps tiendra la manipulation ?

Dès que le non-réchauffement deviendra trop évident. A moins qu'un génie marketing des verts lance l'idée "vous voyez, on a pris des mesures et grâce à nous on est vivants".

Mais j'espère secrètement que le sursaut médiatique du réchauffisme n'est qu'une dernière convulsion avant son retour aux limbes de la deep ecology. Un peu comme quand le grand public s'est passionné pour la locomotive à vapeur ou pour les techniques de la mine juste avant leur disparition, quoi.

Après tout, la parano autour du refroidissement dans les années 70 a bien fini par nous foutre la paix elle aussi.

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La série South Park, comme souvent, a été probablement la première à illustrer cela dans un épisode mémorable où Al Gore s’invite dans la classe pour prévenir les écoliers du danger que pose une bête terrible, l’Homme-Sanglier-Ours, qui n’existe que dans son esprit…

… Ca me fait penser au Chat Spatial Géant Rose, ça !

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Une différence cependant : la propagande à ses limites et le grand public n'est pas constitué majoritairement de fanatiques prêts à vivre indéfiniment dans un monde de peurs millénaristes. Alors combien de temps tiendra la manipulation ?

Une peur millénariste donnée a effectivement une influence limitée dans le temps et les esprits, malheureusement il semble que la parade ait été trouvée : quand le réchauffement climatique ne fera plus recette, on passera à autre chose. De cette manière j'ai bien peur qu'il soit possible d'immerger le gros d'une population dans le fanatisme de manière permanente.

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The song entitled "Beds'r Burning", which was originally recorded by the Australian group Midnight Oil in the 1980s, can be downloaded from the Internet for free and will be presented to the public at a launch in Paris on October 1.

Pour la petite histoire, l'auteur de ce tube (qui me rappelle de bons souvenirs, le tube, pas l'auteur hein :icon_up: ) est Peter Garrett (le chauve qui se trémousse dans un décor de désert brûlant) qui n'est autre que l'actuel ministre de l'environnement en Australie, un poste qui est loin d'être factice là-bas. Il a eu un rôle actif au sein du gouvernement (gauchiste) Rudd dans l'élaboration du crap & tax (la bourse carbone) australien, qui a reçu récemment un enterrement de première classe au Sénat, grâce à la vigilance d'une presse qui a encore un minimum d'esprit critique exilé depuis longtemps du sol d'Europe et de France en particulier.

Comme quoi, cette sinistre vision de l'enfer carbonnée toute judéo-chrétienne (la fameuse "poêle à frire" made in Rocardland), elle ne date pas d'aujourd'hui et elle est loin d'être cantonnée qu'aux plus tarés des Khmers verts.

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Dès que le non-réchauffement deviendra trop évident. A moins qu'un génie marketing des verts lance l'idée "vous voyez, on a pris des mesures et grâce à nous on est vivants".

Mais j'espère secrètement que le sursaut médiatique du réchauffisme n'est qu'une dernière convulsion avant son retour aux limbes de la deep ecology. Un peu comme quand le grand public s'est passionné pour la locomotive à vapeur ou pour les techniques de la mine juste avant leur disparition, quoi.

Après tout, la parano autour du refroidissement dans les années 70 a bien fini par nous foutre la paix elle aussi.

Et le réchauffisme sera remplacé par autre chose :/

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