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La télévision qui dérange continue son travail d'endoctrinement de la populasse servile.

France 2 programme "Une vérité qui dérange" ce soir, juste avant Copenhague, tout comme "Home" avait été programmé

juste avant les élections européennes.

Un reportage hier au 20h00 dans une série sur Copenhague, ou le présentateur annonce que le réchauffement climatique touche aussi les forêts tropicale, mais dans le reportage qui suit, il est en fait question de la déforestation du fait de l'exploitation forestière… RIEN A VOIR AVEC LE RECHAUFFEMENT.

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France 2 programme "Une vérité qui dérange" ce soir, juste avant Copenhague, tout comme "Home" avait été programmé

juste avant les élections européennes.

Gros lavage prévu la semaine prochaine : France 2 ressort "Home" des cartons mardi soir et en remet une couche jeudi en deuxième partie de soirée.

Par contre ce soir c'est télé-thon sur Rance 2, pas le film de A£ Gore. Tu as vu ça où ? :icon_up:

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Il serait bon tout de même que les libéraux aient voix au chapitre dans ce genre d'émissions, au moins une fois de temps en temps. COURTILLOT est un homme remarquable à la fois en tant que scientifique sceptique face au réchauffisme et en tant que personnalité porteur de valeurs de raison et de tolérance. Néanmoins il ne porte les valeurs libérales que sur le plan épistémologique, pas sur le plan économique ou politique.

Euh, c'est quoi les valeurs libérales épistémologiques ?

"Il ressort de ce scandale qu'il n'y a pas la moindre corrélation entre les activités humaines et le changement climatique", a-t-il estimé jeudi.

lol

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Emmanuel Martin sur le changement climatique (à partir de 15:30), sur France 3 - Mediterranée, dans La voix est libre :

http://jt.france3.fr/regions/popup.php?id=…;video_number=0

Que pensez-vous de la prestation de l'ami Manu ?

Copenhague et ses cachoteries : Alors que nous sommes à une semaine du sommet de Copenhague pour un accord mondial, le débat s'installe. Emmanuel Martin sera l'invité de France 3 Marseille dans l'émission La voix est libre pour questionner le député Deflesselles, rapporteur de l'Assemblée Nationale à Copenhague, le samedi 5 décembre à 11h30. Des doutes sérieux subsistent en effet quant à la théorie du réchauffement d'origine anthropique : l'Académie française des sciences ne tranche pas le débat dans son dernier rapport, ce qui atteste d'un réel débat sur la question, affaire du climate gate qui jette le discrédit sur des figures de premier plan du GIEC et de leurs hypothèses reprises par le GIEC, et enfin, absence de réchauffement climatique depuis une décennie. Au vu des conséquences économiques et politiques de Copenhague dont on ne nous parle pas assez, le débat s'impose donc.

Source : http://www.unmondelibre.org/En_bref

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Il serait bon tout de même que les libéraux aient voix au chapitre dans ce genre d'émissions, au moins une fois de temps en temps. COURTILLOT est un homme remarquable à la fois en tant que scientifique sceptique face au réchauffisme et en tant que personnalité porteur de valeurs de raison et de tolérance. Néanmoins il ne porte les valeurs libérales que sur le plan épistémologique, pas sur le plan économique ou politique.

Les prix du marché contiennent l'information nécessaire pour être "soutenable" ou "durable", pas les fixettes arbitraires des écolos. Mais faire un front isolé sur la question pointue du réchauffement climatique n'est déjà pas évident. Il faudrait un croisement de Peter Schiff, Vincent Courtillot et Bjorn Lomborg pour les attaquer sur leur propre terrain :icon_up: . La question environnementale est un gros front de bataille pour les années avenir.

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Il serait bon tout de même que les libéraux aient voix au chapitre dans ce genre d'émissions, au moins une fois de temps en temps. COURTILLOT est un homme remarquable à la fois en tant que scientifique sceptique face au réchauffisme et en tant que personnalité porteur de valeurs de raison et de tolérance. Néanmoins il ne porte les valeurs libérales que sur le plan épistémologique, pas sur le plan économique ou politique.

Sincèrement, je ne pense pas qu'il s'agisse d'une histoire de libéralisme mais plutôt d'une question de bon sens.

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C'est assez énorme de voir Huet répondre en balbutiant concernant la question sur le trick to hide the decline. Il nous assomme de termes compliqués et de phrases incompréhensibles, avant de trouver une explication totalement ahurissante…

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Le grand News Weekly hollandais Elsevier fait du très bon travail sur Climategate. Elsevier se positionne chaque jour un peu mieux comme remplacement de The Economist dans mon budget de crise.

Ici, ils mettent en cause Rob Van Dorland, climatologue du KNMI (Institut Royal Météorologique), qui a défendu l'infâme graphique en crosse de hockey, et qui a ainsi obtenu des compliments de Mann & Jones dans les emails révélés par un whistleblower. (NB : ceci est un billet de blog lié au mag, pas un article d'info du mag lui même).

http://www.elsevier.nl/web/Opinie/Simon-Ro…te.htm?rss=true

Traduction des deux derniers paragraphes :

Il y a de très gros intérêts en jeu dans la recherche sur le climat. Les chercheurs reçoivent beaucoup de subventions, de pouvoir et de visibilité, peuvent voler de conférence en conférence en classe affaire. Toutes sortes d'entreprises et d'organisations environnementales gagnent des millions sur la base de leurs conclusions.

En d'autres termes, je peux m'imaginer que les scientifiques, entreprises et organisations environnementales, et les médias qui sympathisent avec eux, essaient autant que possible de cacher le Climategate sous la table. Et ça, ça ne peut plus durer. En Hollande non plus.

Et en France?

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Wow, la BBC lance le débat. Sous un jour favorable à sa propagande, mais c'est un mode de rédaction tout à fait différent de ce qu'ils ont produit jusqu'à présent. ET Climate Audit et WUWT, et d'autres, sont listés comme blogs à consulter.

http://news.bbc.co.uk/2/hi/science/nature/8376286.stm

Reste plus qu'à débunker leurs dix réponses faiblardes.

Ah, du coup je vois que la tactique des réchauffistes a changé. Désormais il discutent des questions précises. Ils donnent des réponses bidons, mais ils s'exposent :

http://www.skepticalscience.com/argument.php

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Pour ma part j'ai trouvé ce débat avec Huet et Galam profondément ennuyeux. On entend que la voix métallique de Huet qui est très insupportable. Visiblement, Galam ne maitrise pas du tout le dossier. Il est complétement inexistant pendant une heure. Heureusement que l'animateur, lui, est plutôt bon. La fin est assez inhabituelle. :icon_up:

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Ah, du coup je vois que la tactique des réchauffistes a changé. Désormais il discutent des questions précises. Ils donnent des réponses bidons, mais ils s'exposent :

http://www.skepticalscience.com/argument.php

Dans l'article de la BBC c'est amusant de comparer le nombre de ligne accordée aux arguments des sceptiques et celui réservé à ceux des réchauffistes. :icon_up:

Et puis la technique c'est aussi d'opposer les arguments des "sceptiques" ou des "commentator" à ceux des "scientifiques".

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Le second site est assez gerbant: on a droit à une phrase non-expliquée pour les sceptiques, et à un petit argumentaire pour le réchauffisme. Ils prennent encore plus les gens pour des billes avec l'énoncé du site "Skeptic Arguments and What the Science Says" :icon_up:

Edit: j'avais pas vu, mais une de leurs explications m'a fait me tordre de rire : Sceptiques: "It warmed before 1940 when CO2 was low" Réponse des réchauffistes: "Early 20th century warming was in large part due to rising solar activity and relatively quiet volcanic activity. However, both factors have played little to no part in the warming since 1975. Solar activity has been steady since the 50's. Volcanoes have been relatively frequent and if anything, have exerted a cooling effect. " xD

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Emmanuel MARTIN s'est montré excellent à la fois sur la forme et sur le fond. Un argument en complément : le nombre de climatologue du GIEC au coeur de l'assertion réchauffiste est de quelques dizaines seulement. Les autres ont simplement travaillé sur un morceau du puzzle et n'ont pas de compétence particulière pour affirmer la synthèse alarmiste. C'est ce qu'explique par exemple Nir SHAVIV au sujet de sa position initiale dans The great warming swinddle. Certains sceptiques ne sont experts que d'un morceau du puzzle mais cela est suffisant pour invalider la chaine d'assertions des récahuffistes. En revanche peu de climatologues maitrisent la chaîne des assertions des réchauffistes au point de pouvoir prétendre crédiblement valider en tant qu'experts ladite chaine. Au point que dans les publications d'il y a 2 ans dans une étude exhaustive qui avait été menée en réfutation d'une assertion délirante d'une militante hystérique pro réchaufisme on voyait dans les publications scientifiques en climatologie un tiers pour parfois très mollement, un tiers contre dont une proportion remettait en question le schéma d'ensemble et la majorité simplement un morceau de puzzle, et un tiers parlant d'autre chose. Depuis la cote du réchauffisme a beaucoup baissé il faudrait faire une nouvelle stat. ^^

Le député Bernard DEFLESSELLES a adopté une cosmétique "écolo raisonnable" mais s'est très vite énervé pour évacuer le débat de fond. Nous pourrons sans doute compter sur l'UMP pour laisser la science débattre mais pas pour changer les agendas avant que les mangeoires n'aient été remplies pour la tournée qui a été négociée en coulisse.

A propos de l'utilité d'avoir des personnalités libérales sur les plateaux lors des débats sur le réchauffement climatique :

1- Mentionner quelques vérités sur la liberté et la science : la science n'est possible que grace à la liberté de penser, de publier, de remetre en question, de réfuter, de reproduire, (c'est ce que j'appelle le libéralisme épistémologique),

2- Mentionner quelques vérités sur la liberté et le développement : le développement existe grace à la liberté et la liberté appelle au développement, mentionner les solutions libérales aux problèmes du développement des pays en voie de développement.

3- Mentionner quelques vérités sur les libertés fondamentales : les libertés fondamentales existent grace à la vigilance de chacun notamment face aux tentatives d'abus de la puissance publique ; un gouvernement mondial des phéonmènes environnementaux serait la porte ouverte à tous les abus les plus graves et les plus arbirtaires contre les industries et les modes de vie.

4- Mentionner que les libéraux, vigilants au profit des libertés, ont fait partie des premiers réseaux associatifs à détecter la gruge de la coterie des réchauffistes au pouvoir au coeur de la climatologie et du GIEC (avec les vedettes du CRU, NASA/GISS etc.), avec à nos cotés la communauté des physiciens ou celle des statisticiens qui se sont penchés sur ses assertions.

5- Faire de la pédagogie libérale sur la théorie des choix publics et sur le positionnement des libéraux.

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Quand l'Etat finance la science, il crée nécessairement un biais en faveur de certaines thèses. C'est ce qui s'est produit dans le cas présent.

Le pire étant pour moi le CNRS, et ses cohortes de pseudos scientifiques en sociologie ou en politologie, qui nous expliquent que les femmes et les hommes sont absolument égaux (que tout est culturel), ou que l'immigration en France ne pose actuellement aucun problème.

2000€ par mois (voire plus !) pour déblatérer des conneries aux frais du con-tribuable… berk.

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Et c'est parti, la grande parade de Copenhague commence :

Charmant, dès les premières secondes on se fout de la gueule des sceptiques. C'est même l'ennemi désigné maintenant, les grands méchants habituels (compagnies pétrolières, propriétaire d'usines, etc) étant complètement passés au second plan.

On a droit à un extrait de la fameuse vidéo d'archive de la gamine à l'ONU.

Et une bande-son et une imagerie mystiques comme on les aime.

Un régal.

Il y a vraiment quelque chose de terrifiant de brutalité dans cet usage des symboles chocs. On sent déjà le poing vengeur et la foule revancharde derrière cette vidéo.

Glaçant.

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Ce monde me déplait de plus en plus.

La raison, la logique, le bon sens, la science et l'argumentation laissent place à la religion folle.

Valéry avait raison : le XXIème siècle sera bien celui des religions. Il n'avait sans doute pas pensé que ce put être le climatisme, l'antiracisme ou le socialisme.

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Valéry avait raison : le XXIème siècle sera bien celui des religions.

Je sens que certains vont pas être d'accord du tout :icon_up:

L'écologie est devenue une croyance c'est tout mais la religion dedans je ne vois pas le rapport, et puis 21ème siècle, siècle des religions, mort de rire, ça se saurait hein !

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Quand j'avais dit que l'écologie serait le totalitarisme de ce siècle… on y arrive. La bataille de l'humanité contre sa destruction de l'intérieur vient juste de reprendre. Après les bolcheviques, après les nazis, voici les khmers verts. La question est : les laissera-t-on arriver au pouvoir sans réagir ?

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Et la connerie - cette fois-ci climatique - continue de sévir , cette fois-ci en Espagne où le gouvernement a décidé de mettre la clim et le chauffage à votre place. Décret mis en place en loucedé pour lutter contre la consommation d'énergie.

Des limites de température en Espagne

AFP

Par souci d'économies, le gouvernement espagnol a approuvé aujourd'hui un décret limitant été comme hiver la température dans les lieux publics: administrations, commerces, cinémas, bars ou discothèques.

La température dans les lieux publics ne devra pas excéder 21° Celsius en hiver et devra rester au-dessus des 26° en été, afin de réduire la facture de chauffage et de climatisation du pays, a annoncé le conseil des ministres.

Outre les lieux publics déjà cités, elle sera également en vigueur dans les grandes surfaces, les aéroports, les gares ferroviaires, les palais des congrès, salles de concerts, etc. Les édifices et locaux ayant pignon sur rue devront être munis d'un système de fermeture des portes empêchant qu'elles restent en permanence ouvertes aux courants d'air.

Cette mesure s'appliquera dans le cadre d'un plan d'économie et d'efficacité énergétique qui comporte 31 mesures et court jusqu'à 2011

Et bien les espagnols vont bien suer cet été…

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Charmant, dès les premières secondes on se fout de la gueule des sceptiques. C'est même l'ennemi désigné maintenant, les grands méchants habituels (compagnies pétrolières, propriétaire d'usines, etc) étant complètement passés au second plan.

Personnellement je pense que c'est bon signe, les septiques ne sont plus ignorés mais combattus :

First they ignore you, then they ridicule you, then they fight you, then you win.
All truth passes through three stages. First, it is ridiculed. Second, it is violently opposed. Third, it is accepted as being self-evident.

Par exemple pour l'ouverture du sommet de Copenhague, bien que la plupart des journaux ont publié le même édito appelant les politiciens à sauver la planète, on avait cet article du côté du New York Time :

http://www.nytimes.com/2009/12/07/science/…/07climate.html

In Face of Skeptics, Experts Affirm Climate Peril

By ANDREW C. REVKIN and JOHN M. BRODER

Just two years ago, a United Nations panel that synthesizes the work of hundreds of climatologists around the world called the evidence for global warming “unequivocal.”

But as representatives of about 200 nations converge in Copenhagen on Monday to begin talks on a new international climate accord, they do so against a background of renewed attacks on the basic science of climate change.

The debate, set off by the circulation of several thousand files and e-mail messages stolen from one of the world’s foremost climate research institutes, has led some who oppose limits on greenhouse gas emissions, and at least one influential country, Saudi Arabia, to question the scientific basis for the Copenhagen talks.

The uproar has threatened to complicate a multiyear diplomatic effort already ensnared in difficult political, technical and financial disputes that have caused leaders to abandon hopes of hammering out a binding international climate treaty this year.

In recent days, an array of scientists and policy makers have said that nothing so far disclosed — the correspondence and documents include references by prominent climate scientists to deleting potentially embarrassing e-mail messages, keeping papers by competing scientists from publication and making adjustments in research data — undercuts decades of peer-reviewed science.

Yet the intensity of the response highlights that skepticism about global warming persists, even as many scientists thought the battle over the reality of human-driven climate change was finally behind them.

On dozens of Web sites and blogs, skeptics and foes of greenhouse gas restrictions take daily aim at the scientific arguments for human-driven climate change. The stolen material was quickly seized upon for the questions it raised about the accessibility of raw data to outsiders and whether some data had been manipulated.

An investigation into the stolen files is being conducted by the University of East Anglia, in England, where the computer breach occurred. Rajendra K. Pachauri, chairman of the United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change, has also said he will look into the matter. At the same time, polls in the United States and Britain suggest that the number of people who doubt that global warming is dangerous or caused by humans has grown in recent years.

Politics, ideology and economic interests interlace the debate, and the stakes on both sides are high. If scientific predictions about global warming’s effects are correct, inaction will lead at best to rising social, economic and environmental disruption, at worst to a calamity far more severe. If the forecasts are wrong, nations could divert hundreds of billions of dollars to curb greenhouse gas emissions at a time when they are struggling to recover from a global recession.

Yet the case for human-driven warming, many scientists say, is far clearer now than a decade ago, when the skeptics included many people who now are convinced that climate change is a real and serious threat.

Even some who remain skeptical about the extent or pace of global warming say that the premise underlying the Copenhagen talks is solid: that warming is to some extent driven by greenhouse gases spewing into the atmosphere from human activities like the burning of fossil fuels and deforestation.

Roger A. Pielke Sr., for example, a climate scientist at the University of Colorado who has been highly critical of the United Nations climate panel and who once branded many of the scientists now embroiled in the e-mail controversy part of a climate “oligarchy,” said that so many independent measures existed to show unusual warming taking place that there was no real dispute about it. Moreover, he said, “The role of added carbon dioxide as a major contributor in climate change has been firmly established.”

The Copenhagen conference itself reflects increasing acceptance of the scientific arguments: the negotiations leading to the talks were conducted by high-ranking officials of the world’s governments rather than the scientists and environment ministers who largely shaped the 1997 Kyoto Protocol. Late last week, President Obama changed the date of his visit to Copenhagen to Dec. 18, the last day of the talks.

For many, a 2007 report by the Intergovernmental Panel on Climate Change was a marker of a shift in the global warming debate. In it, the panel — a volunteer network of hundreds of scientists from many disciplines who meet periodically to review climate studies and translate the results into language useful to policy makers — concluded that no doubt remained that human-caused warming was under way and that, if unabated, it would pose rising risks.

Over the last several decades, other reviews, by the National Academy of Sciences and other institutions, have largely echoed the panel’s findings and said the remaining uncertainties should not be an excuse for inaction.

The panel’s report was built on two decades of intensive scientific study of climate patterns.

Greenhouse gases warm the planet by letting in sunlight and blocking the escape of some of the resulting heat. “The physics of the greenhouse effect is so basic that instead of asking whether it would happen, it makes more sense to ask what on earth could make it not happen,” said Spencer Weart, a physicist and historian. “So far, nobody has been able to come up with anything plausible in that line.”

The atmospheric concentration of greenhouse gases released by humans has risen rapidly in the last century, along with industrialization and electricity use. Carbon dioxide from burning of coal, oil and natural gas is the most potent of the greenhouse gases because it can persist in the atmosphere for a century or more.

Methane — from landfills, livestock and leaking pipes, tanks and wells — has recently been found to be a close second. And these gases not only have a heating effect, but also cause evaporation of water from sea and soil, producing water vapor, another powerful heat-trapping gas.

In reaching its conclusion, the climate panel relied only partly on temperature data like that collected by the scientists at the Climatic Research Unit at the University of East Anglia, whose circulated e-mail correspondence set off the current uproar. It also considered a wide range of data from other sources, including measurements showing the retreat of glaciers in mountain ranges around the world, changes in the length and character of the seasons, heating of the oceans and marked retreats of sea ice in the Arctic.

Since 1979, satellites have provided another check on surface temperature measurements. Strong disagreements about how to interpret the satellite data were largely resolved after the Bush administration began a review in which competing research groups worked out some of their differences.

Science is about probability, not certainty. And the persisting uncertainties in climate science leave room for argument. What is a realistic estimate of how much temperatures will rise? How severe will the effects be? Are there tipping points beyond which the changes are uncontrollable?

Even climate scientists disagree on many of these questions. But skeptics have been critical of the data assembled to show that warming is occurring and the analytic methods that climate scientists use, including mathematical models used to demonstrate a human cause for warming and project future trends.

Both sides also have at times been criticized for overstatement in characterizing the scientific evidence. The contents of the stolen e-mail messages and documents have given fresh ammunition to the skeptics’ camp.

The Climatic Research Unit’s role as a central aggregator of temperature and other climate data has also made it a target. One widely discussed file extracted from the unit’s computers, presumed to be the log of a researcher named Ian Harris, recorded his years of frustration in trying to make sense of disparate data and described procedures — or “fudge factors,” as he called them — used by scientists to eliminate known sources of error.

The research in question concerned attempts to chart past temperature changes by studying tree rings and other indirect indicators, an area of research that has long been fraught with disputes. An influential study that drew in part on the British data was challenged in 2003. In 2006, a review by the National Academy of Sciences concluded, with some reservations, that “an array of evidence” supported the broad thrust of the research.

To skeptics, the purloined files suggest a conspiracy to foist an expensive policy agenda on the nations of the world and to keep inconsistent data from the public.

“If we were arguing about archaeology then people could hoard their data,” said Stephen McIntyre, a blogger and retired Canadian mining consultant who since 2003 has investigated climate data, sometimes finding errors. “But I don’t think the public has any time for that” in the climate debate.

Many scientists, however, deny that any important data was held back and say that the e-mail messages and documents will in the end prove merely another manufactured controversy.

“There will remain after the dust settles in this controversy a very strong scientific consensus on key characteristics of the problem,” John Holdren, President Obama’s science adviser, told a Congressional hearing last week. “Global climate is changing in highly unusual ways compared to long experienced and expected natural variations.”

Whichever view prevails, the questions will undoubtedly linger well after the negotiators who are trying to work out the complex issues that still stand in the way of an international climate treaty leave Copenhagen.

Andrew C. Revkin reported from New York, and John M. Broder from Washington.

Rien que ça c'était impensable il y a quelques temps.

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:icon_up: Collector !

Explique ?

Je sens que certains vont pas être d'accord du tout :doigt:

L'écologie est devenue une croyance c'est tout mais la religion dedans je ne vois pas le rapport, et puis 21ème siècle, siècle des religions, mort de rire, ça se saurait hein !

Y'en a qui vivent pas dans le même monde que les autres.

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Et la connerie - cette fois-ci climatique - continue de sévir , cette fois-ci en Espagne où le gouvernement a décidé de mettre la clim et le chauffage à votre place. Décret mis en place en loucedé pour lutter contre la consommation d'énergie.

Et bien les espagnols vont bien suer cet été…

hmouais pour la clim je serais assez pour, je trouve que c'est un gadget coûteux et dispensable. je préfère 100 fois un ventilo de plafond qui permet de garder les fenêtres ouvertes. En Thaïlande je devenais malade de la clim, à tel point que j'avais hâte de ressortir des lieux climatisés pour retrouver cette bonne grosse chaleur tropicale à laquelle on s'habitue assez bien…

ceci étant, l'état encore une fois ne devrait pas se mêler de ça. m'enfin pour une fois que les français ne sont pas à la pointe de la pignouferie, on va pas se plaindre. :doigt:

à propos de pignouferie : dans le TV Mag de cette semaine (s'cusez la référence) on trouve un sujet sur "Laurence Ferrarri va sauver les ours au Groenland" (avec JL Etienne, grand spécialiste de que dalle) pour la conférence de Jokenhague, et à la page suivante : "Lagaf' fait du quad en Tunisie"… au cas où on n'aurait pas déjà compris : le RC c'est pour les PAUVRES.

Au fait c'est quand déjà le "Dakar" ??? :icon_up:

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