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Le scandale Climategate du jour :

Le CRU aurait bidonné le réchauffement du territoire russe :

http://climateaudit.org/2009/12/16/iearuss…n-climate-data/

75% des stations ont été écartées alors que leurs données, généralement de meilleure qualité, montraient une absence de réchauffement.

En 2004 Phil JONES avait personnellement, en tant que relecteur (anonymisé) de revues scientifiques rejeté des articles indiquant que le CRU aurait mal représenté les températures sibériennes. Il était également "allé en ville" [allé exercer son influence] au sein des deux [comités de ?] relectures.

http://www.eastangliaemails.com/emails.php…=1080742144.txt

Le caractère peu crédible de l'énorme hausse affichée sur la Sibérie avait déjà été signalée par Vincent GRAY (ancien rédacteur du GIEC, démissionnaire face à la mauvaise fois du GIEC) dans un article de 1999 dont voici une version mise à jour en 2003, publiée sur le merveilleux site de John DALY (celui dont Phil JONES se réjouissait de la mort) .

http://www.john-daly.com/guests/regional.htm

La Sibérie compte pour 12% des terres émergées.

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Le scandale Climategate du jour :

Le CRU aurait bidonné le réchauffement du territoire russe :

http://climateaudit.org/2009/12/16/iearuss…n-climate-data/

75% des stations ont été écartées alors que leurs données, généralement de meilleure qualité, montraient une absence de réchauffement.

En 2004 Phil JONES avait personnellement, en tant que relecteur (anonymisé) de revues scientifiques rejeté des articles indiquant que le CRU aurait mal représenté les températures sibériennes. Il était également "allé en ville" [allé exercer son influence] au sein des deux [comités de ?] relectures.

http://www.eastangliaemails.com/emails.php…=1080742144.txt

Le caractère peu crédible de l'énorme hausse affichée sur la Sibérie avait déjà été signalée par Vincent GRAY (ancien rédacteur du GIEC, démissionnaire face à la mauvaise fois du GIEC) dans un article de 1999 dont voici une version mise à jour en 2003, publiée sur le merveilleux site de John DALY (celui dont Phil JONES se réjouissait de la mort) .

http://www.john-daly.com/guests/regional.htm

La Sibérie compte pour 12% des terres émergées.

Je m'apprêtais à reporter l'information.

http://wattsupwiththat.com/2009/12/16/russ…rmest-stations/

The IEA believes that Russian meteorological-station data did not substantiate the anthropogenic global-warming theory.

Analysts say Russian meteorological stations cover most of the country’s territory, and that the Hadley Center had used data submitted by only 25% of such stations in its reports.

Over 40% of Russian territory was not included in global-temperature calculations for some other reasons, rather than the lack of meteorological stations and observations.

The data of stations located in areas not listed in the Hadley Climate Research Unit Temperature UK (HadCRUT) survey often does not show any substantial warming in the late 20th century and the early 21st century.

The HadCRUT database includes specific stations providing incomplete data and highlighting the global-warming process, rather than stations facilitating uninterrupted observations.

On the whole, climatologists use the incomplete findings of meteorological stations far more often than those providing complete observations.

A prendre avec précaution pour l'instant mais le filet se resserre de jour en jour.

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La suite de l'analyse épistémique du climategate chez Tipota, dont le premier volet, excellent, fut signalé par Polydamas. Il montre ici en quoi le "trick" n'est pas une simple astuce, mais de fait une fraude selon les critères et les protocoles expérimentaux d'une science honnête :

http://egoborone.free.fr/?p=529

Accessoirement, il démasque les petites impostures de Sylvestre Huet, ce qui ne gâche rien.

A lire aussi, les articles du dernier numéro de la revue Books sur le physicien Freeman Dyson, pionnier de l’électrodynamique quantique et de la modélisation du climat, où celui-ci en tant qu'écologiste et scientifique, adresse un message de modestie aux climatologues servant le consensus politique et parle de "brêches énormes" dans la science officielle.

Le premier est réservé aux abonnés, mais il est facile de se le procurer en bibliothèque.

http://www.booksmag.fr/magazine/a/effet-de…encombrant.html

Effet de serre : un sceptique encombrant

« Brèches énormes dans notre savoir, caractère dispersé des observations disponibles, superficialité de nos théories… » Pourquoi un grand savant tranquille est sorti de sa tanière, à 85 ans, pour s’en prendre au discours dominant sur le changement climatique.

Le sommet de Copenhague sur le changement climatique, en décembre, est l’occasion de revenir sur les fondamentaux du débat. Le « New York Times » y a contribué en publiant au printemps 2009 ce portrait de Freeman Dyson. Géant de la physique américaine, maître de la vulgarisation, auteur de nombreux livres sur les liens entre l’entreprise scientifique et l’aventure humaine, ce personnage hors norme est parti en campagne, à 85 ans, contre l’« idéologie » du changement climatique. Le sujet lui est familier, car il avait participé à la fin des années 1970 au lancement des premières recherches interdisciplinaires sur les effets de l’augmentation du CO2. Il est par ailleurs très au fait des recherches sur le monde vivant et s’est battu pour la défense de l’environnement et la préservation des ressources naturelles. Mais le battage fait autour de cette question de l’effet de serre lui paraît« grossièrement exagéré ».

Le second explique en quoi son caractère irréfutable place l'idéologie réchauffiste comme héritière du communisme:

Climato-sceptique

Le vilain néologisme « climato-sceptique », qu’on écrira bientôt « climatosceptique », sans trait d’union, fait désormais la manchette des moins mauvais journaux. Comme tous les mots véhiculant des idées chargées d’émotion, il prête à malentendu.

Pour simplifier, je dirais qu’il existe quatre catégories de climatosceptiques. Il y a ceux qui sont payés ou instrumentalisés par les compagnies pétrolières, gazières, charbonnières et autres grandes entreprises ayant intérêt à calmer le jeu, avec la complicité passive ou active des Etats qui leur sont liés.

Il y a ceux, citoyens ordinaires, que leur bon sens porte à douter (à tort ou à raison) et à penser que la planète connaît peut-être des priorités plus urgentes que le global warming.

Il y a les climatologues qui en toute bonne foi pensent que le beau consensus présenté par ce machin nommé GIEC ou IPCC, sorte d’ONU de la science climatique, masque trop de failles et d’insuffisances pour justifier ce bruit et cette fureur.

Et puis il y a ceux, les plus rares et les plus intéressants, qui, scientifiques de haut niveau sans être climatologues à part entière, formulent des objections relevant à la fois de l’épistémologie (science de la science) et de la psychologie individuelle et collective.

L’un d’eux est le physicien américain Freeman Dyson. Au soir de sa vie, cet immense esprit, qui fut l’un des grands physiciens de son temps et, incidemment, l’un des premiers à modéliser le climat, écologiste convaincu, s’est résolu à élever la voix. Le dernier numéro de Books, encore en vente pour une dizaine de jours, présente le portrait magistral de cet éléphant de la science et du combat « citoyen » (autre néologisme). Il y exprime les vraies raisons de douter.

Ces raisons sont profondes. Elles tiennent pour l’essentiel à deux types d’arguments. Le premier relève de l’épistémologie. Simplifions-le en essayant de ne pas en dénaturer l’esprit. Il consiste à dire qu’en dépit des progrès réalisés ces trente dernières années, les climatologues savent pertinemment qu’ils ne connaissent pas toutes les variables à prendre en compte pour modéliser l’évolution du climat, et, à plus forte raison, qu’ils ne savent pas comment pondérer celles qu’ils connaissent.

Un exemple entre mille ou davantage : révisant les observations faites sur la circulation des eaux océaniques, une équipe de climatologues sérieux a prévu en 2008 une stabilisation de la moyenne des températures à la surface du globe au cours des dix prochaines années. Par la force des choses, cette prédiction n’a pas été prise en compte dans le dernier rapport du GIEC, sur lequel repose le fameux consensus à propos du réchauffement climatique, puisque ce rapport date de 2007.

L’été dernier, la même équipe a fait savoir que son point de vue avait évolué : elle pense désormais que nous allons assister à un refroidissement global au cours des vingt prochaines années. Peut-être a-t-elle raison, peut-être pas. Nul ne le sait. L’essentiel est dans cette question : qu’est-ce donc qu’une équation dans laquelle le nombre de variables est inconnu et dans laquelle les variables connues ne peuvent être affectées d’aucun coefficient crédible ?

Ce type de soupçon ne remet pas forcément en cause la thèse principale selon laquelle nous sommes confrontés à la menace d’un réchauffement planétaire substantiel, mais en bonne rigueur scientifique, cette thèse n’est pas vérifiée.

Pour dire les choses autrement, le point de vue développé par Dyson est que les climatologues auteurs et défenseurs du « consensus » en savent beaucoup moins qu’ils le prétendent.

L’attitude de Dyson est typiquement socratique : vous dites que vous savez, vous prétendez savoir, mais en réalité vous ne savez pas. Ici Dyson quitte l’épistémologie stricto sensu pour faire valoir des arguments de nature psychologique. Sous la forme d’un syllogisme, cela donne : c’est un vieux penchant de l’homme que de prétendre savoir alors qu’il ne sait pas vraiment. Or, les experts sont aussi des hommes. Ils ne sont donc pas exempts de ce penchant.

Il y a même de bonnes raisons de penser que beaucoup de climatologues ont intérêt à survaloriser ce qu’ils savent. Il est de leur intérêt objectif de surestimer un risque, car c’est une façon bien répertoriée d’attirer l’attention à la fois des médias et des bailleurs de fonds. Surtout si la majorité des chercheurs participent de cette attitude.

Aller à contre-courant, dans le monde de la recherche scientifique comme ailleurs, c’est prendre un risque personnel, celui d’être plus souvent barré par les comités éditoriaux des revues scientifiques, d’avoir plus de difficulté à décrocher des crédits et, au bout du compte, de compromettre sa carrière. Cela ne veut pas dire que beaucoup de chercheurs modifient consciemment les résultats de leurs travaux pour aller dans sens du vent, mais il ne fait guère de doute que beaucoup le font inconsciemment. D’autant qu’ils y sont poussés par un autre facteur, également souligné par Dyson : l’adhésion idéologique.

A la grande époque du communisme, il était mal vu, dans les milieux intellectuels, de mettre en avant les faits susceptibles de porter atteinte à la vulgate. Il en va de même à la grande époque de l’écologisme, qui est la nôtre.

Le message de Dyson n’est pas seulement de nous inviter à prendre nos distances à l’égard des professionnels de la rhétorique climatique. Il est aussi de nous inviter à engager une réflexion qui est à peu près complètement absente des débats actuels : où peut-on raisonnablement situer le risque dans la hiérarchie des dangers que nous avons à prendre en compte ? Pour ne prendre qu’un exemple, la question du climat est plus médiatique que celle de la pauvreté, mais en quoi serait-elle plus urgente ?

http://www.booksmag.fr/opinions/b/climato-…communiste.html

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Quel est le temps de résidence du CO2 d'origine humaine dans l'atmosphère? Partant de là, l'augmentation actuelle de sa teneur en CO2 est-elle due aux émissions humaines, ou non?

Another way to think of it: As long as the water drains from your tub faster than it comes from the spigot, the tub won't overflow and cause you serious problems with your landlord (and the folks downstairs). Conversely, if the tap is only dripping but the drain is plugged the tub will slowly, but inevitably, overflow.

We might not be putting much CO2 into the atmosphere, but over time it could build up enough to really wreck the climate. And that's what some of the climate models show. So I'm thinking that the answer to how long CO2 actually sticks around before it is absorbed or broken down is pretty important, right? As the author puts it:

Knowledge of the correct timing of the whereabouts of CO2 in the air is essential to a correct understanding of the way nature works and the extent of anthropogenic modulation of, or impact upon, natural processes.

You'd think the IPCC would have nailed down the answer to this early on. Not quite. IPCC only "roughly" estimates how long CO2 remains in the atmosphere. That number right now is somewhere upward of 200 years.

Essenhigh on the other hand calculates that this number is closer to 5 years. That's a pretty significant difference.

http://www.evaneco.com/2009/08/how-persistent-is-co2.php

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La dissonnance entre 5 ans et 200 ans n'est qu'apparente.

  • * Chaque molécule de CO2 reste en moyenne un peu plus de 5 ans dans l'atmosphère avant d'être abosrbée par un puis de carbone (vivant, océan…). On le sait par une mutlittude d'analyses isotopiques qui toutes fournissent le même ordre de grandeur.
    * Chaque puis absorbe des molécule de CO2 mais aussi en libère. Aussi, quantitativement, le surstock de CO2 mettra plus que 5 ans à s'en aller.

La question est : quelle est la durée de séjour d'un surstock de CO2 ? Il n'y a pas de réponse certaine à cette question. On croit connaitre la quantité de CO2 émise par l'homme. On connait l'équation de solubilité du CO2 dans l'eau de mer mais on connait mal les volumes océaniques superficiels qui communiquent facilement avec l'atmosphère, et encore plus mal leurs échanges/permutations avec les couches profondes qui elles stockent 50 fois plus de CO2 que l'atmosphère. La dynamique de stockage dumonde du vivant, de la couche superficielle terrestre, et de la couche sédimentaire océanique sont très mal connues. Le taux de CO2 atmosphérique augmente et on calcule par soustraction des émissions industrielles de CO2 la quantité de CO2 qui serait absorbée si on cessait soudainement d'émettre du CO2. Or ce raisonnement est totalement spécieux : le CO2 atmosphérique résulte peut-être d'un équilibre naturel et non d'une cynétique saturée par l'homme.

Le second hockey sick, celui du CO2, est brandi en preuve. Il résulte du scotchage de millénaires de quantités lissées (bulles des glaces polaires qui se ferment en quelques siècles) à la datation bidouillée (peut-être intelligemment, peut-être pas) de quelques décennies, avec des mesures directes faites depuis le milieu du 20ème siècle à Hawaï. Les mesures directes depuis le 19ème siècle sont écartées arbitrairement ; elles montrent des périodes de fluctuations importantes semblables à celles que nous connaissons. Les reconstitutions à base de proxys géologiques sont écartées : elles montrent des flucutations qui sont non négligeables par rapport à celle que nous connaissons.

Rappelons qu'une éruption volcanique majeure peut dégager dans l'atmosphère autant de CO2 que l'industrie en une année.

Au total :

  • * L'hypothèse de la causalité anthropogénique de l'augmentaion du taux de CO2 dans l'atmosphère me semble la plus probable mais elle loin d'être certaine.
    * Le chiffre de 200 ans de durée de vie du surstock est très douteux, voire fantaisiste.

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Ces histoires de géoingénierie (citées dans la fin de cette tribune) sont quand même vaguement inquiétantes.

Dans le registre des géo-bidouilles, une rumeur affirme carrément que la tempête qui a dévasté les forêts françaises en 1999 serait le résultat d'une sanction américaine. :icon_up:

http://www.google.fr/search?hl=fr&clie…mp;aq=f&oq=

A prendre avec précaution pour l'instant mais le filet se resserre de jour en jour.

L'info est reprise par Russia Today. C'est rare de vivre une fin d'année aussi riche en rebondissement ! :doigt:

Scène de "ménage" à Copenhague : :mrgreen:

Perle :

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Un petit espoir …. :doigt:

«C'est mort, pas d'accord!», nous dit à 16 heures Jade Lindgaard, envoyée spéciale de Mediapart.

Un update sur la situation: tous les échos de la réunion des chefs d'Etat sont très mauvais. Enguelades, cris. Apparemment, ils en sont au moins à la 3e version du texte d'accord. Les points de blocage sont au moins trois: l'Allemagne, la Belgique et la Commision européenne bloquent sur le passage à 30% de réductions de gaz à effet de serre de l'UE. En face, le Royaume Uni pousse à fond pour, et menace de dénoncer publiquement ceux qui s'y opposent. Nicolas Sarkozy aurait demandé qu'un vote ait lieu en plénière sur le sujet pour que le monde entier voit qui bloque.

C'est sans doute encore trop tôt pour le dire définitivement, mais il semble bien que l'accord de Copenhague soit mort. C'est en tout cas le message que fait passer depuis quelques minutes le gouvernement français. Réalité? Tactique? Pour l'instant tous les echos et rumeurs vont dans le même sens.

Aprèsb un autre update il s'avèrerait que Sarko a exigé un objectif à -50% en 2050. LE G77 veut un objectif fort à 2020, la Chine n'a pas voulu mais réfléchit à 2025. Reprise de la séance à 19H30, quand le Chinois aurait appelé Pékin.

Et il paraitrait que Sarko entend utiliser l'arme ultime de…. la taxe carbone à la frontière…. Bastiat tout ça… :icon_up:

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au vu de l'énorme fiasco de la conférence de Copenhague, le JT de F2 nous dégaine l'arme fatale : Nicolas Hulot pousse un "coup de gueule" en duplex… Est-ce qu'il sait, au moins, ce cuistre que, à part en France, tout le monde s'en branle de ce qu'il pense ? enfin ceux qui savent qu'ils existent, les autres ne se donnent même pas la peine de s'en foutre !!!

inde aille ame choure i spix zeu ingliche so ouelle zatte evribodi in copenhagen iz rili imprest ouenne zai mite im inde i tox abaoute zeu ecologie of ze planet zatte itte iz so eurgennte to sève fore ze fioutcheure djénérécheunne !

eat shit wanker !

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La suite de l'analyse épistémique du climategate chez Tipota, dont le premier volet, excellent, fut signalé par Polydamas. Il montre ici en quoi le "trick" n'est pas une simple astuce, mais de fait une fraude selon les critères et les protocoles expérimentaux d'une science honnête :

http://egoborone.free.fr/?p=529

Accessoirement, il démasque les petites impostures de Sylvestre Huet, ce qui ne gâche rien.

J'approuve pleinement ce témoignage. Il vient si je comprend bien d'un biochimiste, ou d'un biologiste. Le même scénario se produit en machine learning, statistiques (vraiment) appliquées etc.

Accessoirement je confirme en tant que spécialiste que la méthode statistique de MANN (avec deux N) pour produire son hockey-stick MBH98 ~= MBH99 est gravement BUGGUEE.

J'ajoute que je suis devenu un sceptique vraiment militant après avoir vu le bug et l'absence d'audit et d'excuses du GIEC qui en avait fait son symbole, puis la mauvaise fois écoeurante de ses amis de realclimate.org qui tentaient de le défendre de façon intellectuellement malhonête qui plus est en bavant de façon infecte contre les auditeurs indépendants qui avaient à juste titre détecté et révélé l'erreur. Or MANN et ses amis représentent une part importante du gang du Climategate au pouvoir dans le monde de la climatologie via les comités de relecture des publications les plus en vue, et via la struture soviétoïde multicouche du GIEC. L'académie des sciences US était divisée puisque les statisticiens ne pouvaient que condamner sans rémission le hockey stick, pendant que les "responsables" des sciences de la nature tentaient pitoyablement de tasser l'affaire en trouvant au hockey stick des vertues qui relèvent de l'estétique et en soulignant épistémologiquement quelques originalités méthodologiques putativements pertinentes à sa confection tout en minimisant coupablement (sans les nier pour l'essentiel) l'irrémédiable BUG statistique, les données scandaleusement POLLUEES et les hallucinantes LACUNES géographiques. Or c'est bien ce BUG et ces POLLUTIONS qui ont engendré la forme en hockey stick et ce sont ces LACUNES qui ont permis à MANN d'être le premier à publier une reconstitution globale du millénaire ou du double millénaire, globale à l'hémisphère nord ou à tout le globe, ce qui a servit de prétexte soviétoïde pour faire de ce graphe hockey stick l'unique sélectionné en telle ou telle occasion médiatique notamment le GIEC 2001 qui a brandi massivement ce hockey stick pour terrifier la planète médiatique entière et donner à ses politiciens idiots, négligents et/ou corrompus l'illusion de devoir agir. Pourtant existaient des dizaines ou des centaines de publications portant sur tout l'hémisphère nord et sur une grande part de l'hémisphère sud montrant que les températures loin d'une forme en hockey stick avaient une forme plus cyclique avec un moyen âge plus chaud et plus longuement chaud que notre 20ème siècle.

http://www.john-daly.com/hockey/hockey.htm

http://www.co2science.org/data/mwp/mwpp.php

Signalons que lors de leur enquète mandatée par [une commission de] le parlement US, les statisticiens avaient noté que les 42 co-auteurs de MANN au fil de sa carrière consituaient une proportion dominante des auteurs de la paléclimatologie et entre autre contrôlaient les comités de lecture de la paléo(?)climatologie. Concernant MANN notamment, les comités de relecture [des revues et du GIEC] sont donc suspects de COMPLAISANCE.

http://republicans.energycommerce.house.go…gman_Report.pdf

Enfin on dispose du témoignage de DEMING (putativement contre OVERPECK) puis les révélations du Climategate sur les agissements de JONES, montrant que les ayatollah du réchauffisme cherchaient à "se débarasser" de la période chaude du moyen-âge. Loin derrière vient la gruge scandaleuse (oups le truc = "trick" dixit "intelligent" selon JONES, HUET, FOUCART & co) de la dissimulation du déclin ("hide the decline") fort bien exposé dans l'article-témoignage de TIPOTA cité par notre ami FreeJazz. Paradoxalement je pense que la reconstitution (courbe verte sur le graphe mentionné) de BRIFFA est la plus honnête(*) et la plus fiable de la bande du Climategate alors que c'est celui qui montre le plus de déclin caché par ses amis les ayatollah. La lecture des arbres n'est pas totalement fiable mais il se peut que la différence vienne … des bidouilles sur les mesures thermométriques "globales" qui ont été de trimestre en trimestre … refroidies dans le passé lointain et réchauffées dans la période récente au motif de "correctifs" suspectement à sens unique. Pour avoir mis en place par étapes des systèmes prévisionnels dans des contextes manageriaux difficiles, je sais fort bien à quel point les convictions d'un management pressé peuvent guider certaines explorations au point de biaiser le résultat si on y prend pas garde. Or le Climategate a révélé que dans le contexte hyperpolitisé et peu vérifiable empiriquement de la climatologie, le fanatisme de certains ayatollah tels MANN et JONES est allé jusqu'à chercher à toute force à obtenir un hockey stick malgré les dénégations de leurs collaborateurs épuisés à force de chercher sans succès à en produire un, et aussi à empêcher la publication d'articles mettant en cause la qualité de leurs reconstitutions en forme de hockey stick ou la qualité de la base de données thermométriques HADCRU servant de référence n°1 au GIEC…

(*) en revanche BRIFFA semble avoir gravement fauté dans l'affaire des pins de YAMAL où il semble avoir engendré ou couvert la pollution de ces données (utilisées par lui mais aussi d'autres membres du Climategate) afin d'y faire apparaitre artificiellement un hockey stick en sélectionnant une poignée d'arbres atypiques (qui avaient peut-être individuellement bénéficié d'événements favorables tels que la découverte d'une poche de ressources par une racine lointaine ou la mort d'un concurrent local).

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un point positif (peut-être à exploiter) : sans le savoir ces cuistres se sont appliqué à eux-mêmes leur sacro-saint principe de précaution. Comme je l'ai lu sur le site de l'institut Hayek ce principe devrait s'appliquer avant tout aux actions des gouvernements qui sont très souvent nuisibles à court-moyen-long-très long terme.

fort de ce précedent exigeons la dissolution du GIEC, la reprise à zéro des études climatiques, l'abandon de toute fiscalité verte (et accessoirement que Hulot soit nommé ministre des pingouins en Terre-Adélie, Arthus-Bertrand attaché culturel à Mogadiscio, que Borloo démissionne et que son ministère soit dissout) etc, etc… :icon_up:

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Copenhague s'est terminé dans une ambiance très tendue. Le délégué soudanais aurait déclaré sur l'absence d'accord contraignant que

C'est une solution fondée sur les mêmes valeurs qui ont conduit six millions de gens en Europe dans des fours

ou comment la rhétorique "radicale" de nos chers activistes écologistes, tiers-mondistes et collectivistes s'invite dans les cénacles diplomatiques et imprègne jusqu'aux discours officiels.

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Reste l'ardoise de l'événement, plusieurs centaines de millions.

+ 30.000.000.000 $ que nos politocards vont nous soutirer "pour planter des narbres".

Le délégué soudanais aurait déclaré sur l'absence d'accord contraignant que…

Il parlait de four ou de Darfour ?

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Les écolos ont la rage : ils ne pourront pas se sucrer sur les milliards qu'ils escomptaient que les Etats allaient soutirer pour eux.

Le problème, c'est qu'il va y avoir d'autre conférences à l'instar l'infatigable cycle du GATT qui ne sert à rien sinon à engraisser des cliques de crevards qui prétendent oeuvrer pour le bien de tous et en particuliers des plus pauvres, avec toutes les mouches à merde en embuscade.

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Les écolos ont la rage : ils ne pourront pas se sucrer sur les milliards qu'ils escomptaient que les Etats allaient soutirer pour eux.

Le problème, c'est qu'il va y avoir d'autre conférences à l'instar l'infatigable cycle du GATT qui ne sert à rien sinon à engraisser des cliques de crevards qui prétendent oeuvrer pour le bien de tous et en particuliers des plus pauvres, avec toutes les mouches à merde en embuscade.

Ceci dit ça nous laisse plus de temps pour convaincre les non sceptique, et la science peut essayer d'avancer.

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Nos amis les écolos et autres réchaufistes semblent en avoir plein la tronche ^^

Ils n'ont pas le moral et laissent à l'abondon leur lobbyig de propagande sur Wikipedia et autre.

On a le champ libre durant quelques jours pour remettre de l'ordre dans tout ça…

Soit dit en passant sur le fond :

  • * 100 milliards ont été annoncés pour financer les adaptations climatiques des PVD. C'est un vol pur et simple sous un prétexte fallacieux. Concrètement ces sommes vont être massivement détournées par les administrations et Christopher MONKTON pense que cela sera utilisé pour financer une administration gouvernementale mondiale en cours de gestation.
    * il nous faut aussi réfléchir aux solutions libérales aux sujets tels que les menaces météoritiques capable de détruire au moins une ville (probabiliité faible dans le siècle à venir, mais non négligeable) ou climatiques (plongée attendue ce millénaire vers 90 000 ans de phases glaciaires, à en croire la régularité quasi métronomiques des carottes polaires, avec à la clé la conversion des sols de l'Europe du nord en un glacier de 2 km d'épaisseur).

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