Aller au contenu

Messages recommandés

La fonte des glaciers pourrait stimuler les éruptions

Le réchauffement climatique a-t-il été un facteur déclencheur de l'éruption de l'Eyjafjöll, le petit volcan sous-glaciaire islandais dont le panache cendreux continue d'obscurcir le ciel de l'Europe ? Les chercheurs ne le pensent pas. Le glacier qui le recouvre, l'Eyjafjallajökull, est de taille trop réduite, et la couche de glace – entre 200 et 300 mètres – trop peu épaisse, pour qu'une variation de cette calotte ait pu avoir une influence déterminante sur la géologie locale. A plus grande échelle, en revanche, la fonte des glaciers menace d'accroître l'activité volcanique.

[…]

http://www.lemonde.fr/planete/article/2010…40013_3244.html

et oui ils ont osé….

Lien vers le commentaire

C'est fort !

Mais ils oublient de rajouter : si le réchauffement climatique provoque les éruptions volcaniques, les éruptions volcaniques provoquent le réfroidissement climatique, et donc le réchauffement climatique et la source même du refroidissement climatique.

Un système auto-régulé en quelque sorte, nous n'avons plus donc rien à craindre.

Conclusion : nous pouvons émettre autant de CO2 que nous voulons.

Lien vers le commentaire

C'est une theorie issue de l'ancienne mode qui consistait a dire betement que l'industrie refroidissait la planete par ses rejets de pollution dans l'air qui renvoient la lumiere du soleil d'ou elle vient.

Si j'ai du mal a avaler le GW anthropo, j'ai autant de mal a avaler le GCooling anthropo. Surtout si c'est pour glisser doucement l'idee debile de jouer a l'ingenierie climatique. C'est dangereux de jouer a un jeu ou les trois quarts des regles nous echappent.

Lien vers le commentaire

Il me semble que quelques climato-sceptiques soulignent que la notion de « température moyenne » n’a aucun sens physique. Quelqu’un pourrait me donner un lien expliquant plus précisément ce qu’ils veulent dire par là ?

Lien vers le commentaire
Il me semble que quelques climato-sceptiques soulignent que la notion de « température moyenne » n’a aucun sens physique. Quelqu’un pourrait me donner un lien expliquant plus précisément ce qu’ils veulent dire par là ?

Oh, 2 secondes de réflexions permettent de comprendre.

C'est quoi, la T° moyenne du globe ? La moyenne entre les T° constatées sur tous les points du globe ? A quel moment ? Sur quelle épaisseur atmosphérique ? Parce que bon, la T° à 40 km d'altitude côté nuit et à 0m niveau sahara le jour, ça fait une légère différence, hein.

Et une fois ce nombre calculé, en imaginant que ce soit possible de façon correcte (problème de précision des mesures), que veut-il dire physiquement ?

Lien vers le commentaire
Oh, 2 secondes de réflexions permettent de comprendre.

C'est quoi, la T° moyenne du globe ? La moyenne entre les T° constatées sur tous les points du globe ? A quel moment ? Sur quelle épaisseur atmosphérique ? Parce que bon, la T° à 40 km d'altitude côté nuit et à 0m niveau sahara le jour, ça fait une légère différence, hein.

Et une fois ce nombre calculé, en imaginant que ce soit possible de façon correcte (problème de précision des mesures), que veut-il dire physiquement ?

Il semblait me souvenir d’une problématique plus fondamentale, du genre il y a toujours un problème même si on suppose qu’on peut connaître la température de manière précise sur tous les points du globe simultanément.

Mais ayant une mémoire digne d’un vieux souffrant d’Alzheimer, il est aussi probable que j’ai confondu avec la simple problématique d’ordre pratique…

Lien vers le commentaire
Il semblait me souvenir d’une problématique plus fondamentale, du genre il y a toujours un problème même si on suppose qu’on peut connaître la température de manière précise sur tous les points du globe simultanément.

Oui, quelle pondération utiliser ? Combien "pèse" la température d'un mètre cube d'océan par rapport à mille litres de stratosphère dans ladite moyenne ? Ça n'a aucun sens.

Lien vers le commentaire

La seule réponse valable sur le plan de la thermodynamique serait de calculer la quantité de chaleur du système "Atmosphère + hydrosphère" (plus éventuellement biosphère et premières couches de terre). Non seulement les équations résultantes seraient profondément différentes, mais surtout, ce serait radicalement impraticable.

Lien vers le commentaire
Oui, quelle pondération utiliser ? Combien "pèse" la température d'un mètre cube d'océan par rapport à mille litres de stratosphère dans ladite moyenne ? Ça n'a aucun sens.

La capacité calorifique ?

La seule réponse valable sur le plan de la thermodynamique serait de calculer la quantité de chaleur du système "Atmosphère + hydrosphère" (plus éventuellement biosphère et premières couches de terre). Non seulement les équations résultantes seraient profondément différentes, mais surtout, ce serait radicalement impraticable.

Huh ? « Quantité de chaleur du système », kesako ? La quantité de chaleur n’est pas une variable d’état…

Lien vers le commentaire
Oh, 2 secondes de réflexions permettent de comprendre.

C'est quoi, la T° moyenne du globe ? La moyenne entre les T° constatées sur tous les points du globe ? A quel moment ? Sur quelle épaisseur atmosphérique ? Parce que bon, la T° à 40 km d'altitude côté nuit et à 0m niveau sahara le jour, ça fait une légère différence, hein.

Et une fois ce nombre calculé, en imaginant que ce soit possible de façon correcte (problème de précision des mesures), que veut-il dire physiquement ?

Comme je le vois, et n'ayant aucune notion, ça permet d'établir une probabilité sur le temps et d'en déduire si le globe terrestre a tendance à se réchauffer ou à se refroidir.

Le RC ce n'est pas "il fera chaud partout" mais des changements et des écarts importants de températures. Ça joue par exemple sur les précipitations qui fait que s'il pleut moins en France où la gestion d'eau n'est pas un problème, il tombe des averses en Indonésie provoquant des inondations et détruisant les cultures. La pénurie on peut le gérer, ça beaucoup moins.

Lien vers le commentaire
Huh ? « Quantité de chaleur du système », kesako ? La quantité de chaleur n’est pas une variable d’état…

Quelles sont les conditions à atteindre pour être une variable d'état, déjà ? Sinon, la température multipliée par la capacité calorifique, comme tu le proposes, ça donne bien la quantité de chaleur. Qui a le mérite d'être une variable extensive, donc sommable (en tout cas avec plus de sens que n'aurait une moyenne de températures).

Lien vers le commentaire
Comme je le vois, et n'ayant aucune notion, ça permet d'établir une probabilité sur le temps et d'en déduire si le globe terrestre a tendance à se réchauffer ou à se refroidir.

Non. Tu vas obtenir un nombre, résultat d'un calcul qui n'a pas de sens. Ensuite, tu obtiendras une série de nombres, qui va permettre d'établir une tendance. Or, et c'est là que c'est marrant, cette tendance pourra être inversée ou remise en question par n'importe qui changeant les présupposés que tu auras posés au départ.

Exemple : tu estimes qu'il faut pondérer la température de l'atmosphère par un facteur X par rapport à la température des océans (par exemple, pour refléter l'inertie calorique de l'eau par rapport à l'air). Ce coefficient sera arbitraire, tout simplement parce qu'on ne le connaît pas, et qu'il ne peut lui-même être que le résultat d'un compromis pour essayer de modéliser une inertie qui n'est pas la même entre de l'eau salée à 10 km de profondeur et de l'eau douce à 0m, que l'air d'altitude n'est pas le même que l'air de surface, etc…

Bref : d'approximations arbitraires en moyennes moyennant qui moyennent, on se retrouve avec un nombre puis une tendance … qui ne veulent absolument rien dire.

Lien vers le commentaire
Quelles sont les conditions à atteindre pour être une variable d'état, déjà ?

Une variable d’état ne doit dépendre que de l’état du système, et pas de la manière dont on s’est pris pour amener le système dans cet état.

Premier principe : ΔU = Q + W. U étant une variable d’état, W n’étant pas une variable d’état, Q ne peut pas être une variable d’état.

Sinon, la température multipliée par la capacité calorifique, comme tu le proposes, ça donne bien la quantité de chaleur.

L’équation à laquelle tu penses, c’est dQ = cv.dT + l.dV, utilisée habituellement à volume constant (donc dQ = cv.dT). Et ça ne donne que la quantité de chaleur échangée, pas la « quantité de chaleur du système »

Je reformule d’une manière équivalente : qu’entends-tu par quantité de travail d’un système ? La quantité de travail échangée entre deux systèmes lors d’une transformation, je vois ce que c’est ; mais la quantité de travail d’un système en lui-même, j’ai plus de mal.

Sloonz, tu peux regarder du cote Pielke, il en parle frequement sur son blogue.

Un court exemple.

Il dit : ce qui est important pour les phénomènes climatiques, c’est la température locale et pas une moyenne globale. Ça a peu de rapport avec ma question :icon_up:

Ce coefficient sera arbitraire, tout simplement parce qu'on ne le connaît pas, et qu'il ne peut lui-même être que le résultat d'un compromis pour essayer de modéliser une inertie qui n'est pas la même entre de l'eau salée à 10 km de profondeur et de l'eau douce à 0m, que l'air d'altitude n'est pas le même que l'air de surface, etc…

Encore une fois, la capacité calorifique, ça sert à ça

Lien vers le commentaire
L’équation à laquelle tu penses, c’est dQ = cv.dT + l.dV, utilisée habituellement à volume constant (donc dQ = cv.dT). Et ça ne donne que la quantité de chaleur échangée, pas la « quantité de chaleur du système »

Je reformule d’une manière équivalente : qu’entends-tu par quantité de travail d’un système ? La quantité de travail échangée entre deux systèmes lors d’une transformation, je vois ce que c’est ; mais la quantité de travail d’un système en lui-même, j’ai plus de mal.

Hmmm, merci pour les rappels de thermo. Ne pourrait-on pas s'en sortir avec le produit T.S ? (Théoriquement, hein, because calculer S, c'est une autre paire de manches… Et oh, miracle, S a l'unité d'une capacité calorifique.)

Lien vers le commentaire
Hmmm, merci pour les rappels de thermo. Ne pourrait-on pas s'en sortir avec le produit T.S ? (Théoriquement, hein, because calculer S, c'est une autre paire de manches… Et oh, miracle, S a l'unité d'une capacité calorifique.)

Non, puisque la détermination de ce produit nécessite la détermination d’autres variables intensives (pression, tension,…) qui elles-mêmes ne sont pas homogènes sur tous les points du globe.

(T = (U - PV - uq - …)/S)

Lien vers le commentaire
Former Vice President Al Gore and his wife, Tipper, have added a Montecito-area property to their real estate holdings, reports the Montecito Journal.

The couple spent $8,875,000 on an ocean-view villa on 1.5 acres with a swimming pool, spa and fountains, a real estate source familiar with the deal confirms. The Italian-style house has six fireplaces, five bedrooms and nine bathrooms.

http://articles.latimes.com/2010/apr/28/ho…p-gore-20100428

Sans panneaux solaires, visiblement…

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...