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… mais localement ce n'est pas toujours le cas. Un volcan en activité crache volontier chaque seconde plusieurs milliers de tonnes de lave à 1000°C, de quoi réchauffer chaque jour d'un degré une épaisseur d'un mêtre d'eau sur une surface de plusieurs milliers de km2. Plusieurs chaines volcaniques sous marines sont très actives.

Affirmation gratuite. Pas de mesure, pas d'article scientifique => sans valeur…

Dniz, vous faites semblant d'oublier le reste ! Enfin !!! Une pro comme vous !

Quelle "reste" ?

Remarquez ça tombe bien : votre video montre que, justement le 18 mai 2011, la banquise du pôle nord était solidement installée à perte d'horizon. Rien à voir avec le 18 mai 1987 où cela avait déjà suffisamment fondu pour que la région ait une surface mi eau mi glace.

Tout d'abord, il n'y a pas besoin que la glace fonde pour trouver de l'eau libre dans la banquise: les mouvements de la glace ouvrent des failles régulièrement (les polyinies). Et bien entendu, c'est ces zones que les sous-marins recherchent pour faire surface, ce qui fausse complètement la représentativité de l'échantillon.

Mais plus je regarde la photo, plus j'ai des doutes sur son authenticité. Un simple coup d'oeil à la météo à cette date montre que les conditions entre le 15 et le 20 mai étaient totalement incompatible avec l'existence de lac de fontes: il faisait en moyenne -8 au pôle nord sur toute la période (http://img221.imageshack.us/img221/603/compday8921761106324164.gif )

http://web.mst.edu/~rogersda/military_service/Subs%20at%20North%20Pole.jpg

http://web.mst.edu/~rogersda/military_service/Three%20Subs%20at%20North%20Pole.jpg

Ces photos sont datée du 6 mai 1986: "North Pole rendezvous of the American submarines Archerfish (SSN 678) (top), Ray (SSN 653) (center) and Hawkbill (SSN 666) (bottom) on May 6, 1986. ". C'est bien plus compatible avec la météo d'un moi de mai !

Ces photo là donne une vision différente de la rencontre de 1987:

http://www.navsource.org/archives/08/0866403.jpg

http://www.navsource.org/archives/08/0866408.jpg

Même si il y a bien une large polynie, l'état de la glace semble par ailleurs compacte (pas de lac de fonte)

De toute façon, c'est anecdotique: en 1987 la banquise était largement plus étendue qu'en 2011, comme montré par les satellites…

… et les viking avaient au sud du Groenland (dont la cote nord ouest est située à quelques kilomètres de votre ile) des cultures que l'on ne saurait faire pousser aujourd'hui car il n'y fait pas encore assez chaud. Je ne sais pas si je prendrai le temps de lire l'article qui porte votre argument sur les bois dérivants : il pourrait être intéressant mais j'imagine déjà 1000 autres explications à l'information trop rudimentaire que vous nous en rapportez. Pouvez vous développer un peu plus ?

Développez ? J'ai mis un article complet sur le sujet + un site web qui suit la fonte année après années ! Vous voulez que je vous lise les articles à voix haute ?

Par contre, de votre côté, vous affirmez sans preuve… Encore ce vieux mythe du Groenland couvert de champs de blé ! C'est totalement faux… Amenez moi donc des preuves de ce que vous affirmez !

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Je ne souhaite pas acquérir la formation et les informations nécessaires qui me permettraient de juger la meilleure thèse pour l'aspect scientifique du réchauffisme. Etant ingénieur de formation, je serai surement capable de comprendre chaque argument technique si j'y consacrai suffisamment de temps. Je connais toute la difficulté technique du concept de "mesure". Je sais aussi la difficulté de surmonter les risques de se tromper sur ce que l'on croit mesurer. C'est à cause de cela que je ne suis pas satisfait des exposés que j'ai pu lire sur les mesures faites, sur les données.

Dniz, vous soutenez qu'il n'y aurait pas de débat scientifique sur l'existence du réchauffement. Je viens de lire un article de Vincent Courtillot qui émet des doutes sur les thèses du GIEC. http://agentsdentret…id=46&Itemid=70 Ainsi, il existe au moins un scientifique compétent dans cette matière, Courtillot, qui a consacré des années de travail à la climatologie et qui n'est pas d'accord avec les thèses du réchauffement. Je passe outre les minables diffamations dont il a été victime. Cela fait peut-être partie du combat habituel des idées. Je ne m’arrête pas non plus aux erreurs de bonne foi, ou de mauvaise foi, que des chercheurs trop confiants dans leur thèses, auraient commises. Mais, j'observe que le débat scientifique n'est pas clos.

Que devient le grand climatologue Richard Lindzen? Il y a deux ans, il était opposé aux thèses réchauffistes? Aurait-il rejoint les thèses réchauffistes? Sinon, le débat continue à exister. Pourquoi, alors soutenez-vous que le débat scientifique serait clos?

Il n'a pas de toute sur l'existence du réchauffement sur le XXe siècle. Toutes les vérifications ont été faites dans tous les sens, par des instituts reconnus (GISS, Hadley center, NOAA), par des insituts privés financier par les pétroliers (!) (BEST), par des "bloggeurs" passionné…

En ce qui concerne Courtilliot, il peut bien dire ce qu'il veut dans les interview, ce qui compte, c'est ça production scientifique. Les quelques articles qu'il a publié (Courtillot ne s'intéresse au climat que depuis 2006 !) ne démontrent absolument rien du tout, et ils sont entachés d'erreur. Courtillot y affirme même que le réchauffement 1980-2000 ne peut pas être expliqué par l'activité du soleil ! Il y confirme également la corrélation à longue distance des anomalies de température, propriété utilisée par Hansen pour le calcul de la température globale…

En ce qui concerne Lindzen, il confirme l'existence de l'effet de serre, il est d'accord avec la valeur de la sensibilité du climat pour 2xCO2 sans rétroaction, il valide le modèle de l'équilibre radiatif-convectif utilisé par les modèles, il reconnait le puissant feedback positif que joue la vapeur d'eau dans l'atmosphère… Son seul point de désaccord, c'est qu'il est convaincu qu'il existe de puissante rétroaction négative… Il cherche désespérment à le prouver, mais hélas ses arguments sont peu convaincants…

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Les mecs, ça y est : Climategate 2.0

/// The IPCC Process ///

<1939> Thorne/MetO:

Observations do not show rising temperatures throughout the tropical

troposphere unless you accept one single study and approach and discount a

wealth of others. This is just downright dangerous. We need to communicate the

uncertainty and be honest. Phil, hopefully we can find time to discuss these

further if necessary […]

<3066> Thorne:

I also think the science is being manipulated to put a political spin on it

which for all our sakes might not be too clever in the long run.

<1611> Carter:

It seems that a few people have a very strong say, and no matter how much

talking goes on beforehand, the big decisions are made at the eleventh hour by

a select core group.

<2884> Wigley:

Mike, The Figure you sent is very deceptive […] there have been a number of

dishonest presentations of model results by individual authors and by IPCC […]

<4755> Overpeck:

The trick may be to decide on the main message and use that to guid[e] what’s

included and what is left out.

<3456> Overpeck:

I agree w/ Susan [solomon] that we should try to put more in the bullet about

“Subsequent evidence” […] Need to convince readers that there really has been

an increase in knowledge – more evidence. What is it?

<1104> Wanner/NCCR:

In my [iPCC-TAR] review […] I critcized […] the Mann hockeytick […]

My review was classified “unsignificant” even I inquired several times. Now the

internationally well known newspaper SPIEGEL got the information about these

early statements because I expressed my opinion in several talks, mainly in

Germany, in 2002 and 2003. I just refused to give an exclusive interview to

SPIEGEL because I will not cause damage for climate science.

<0414> Coe:

Hence the AR4 Section 2.7.1.1.2 dismissal of the ACRIM composite to be

instrumental rather than solar in origin is a bit controversial. Similarly IPCC

in their discussion on solar RF since the Maunder Minimum are very dependent on

the paper by Wang et al (which I have been unable to access) in the decision to

reduce the solar RF significantly despite the many papers to the contrary in

the ISSI workshop. All this leaves the IPCC almost entirely dependent on CO2

for the explanation of current global temperatures as in Fig 2.23. since

methane CFCs and aerosols are not increasing.

<2009> Briffa:

I find myself in the strange position of being very skeptical of the quality of

all present reconstructions, yet sounding like a pro greenhouse zealot here!

<2775> Jones:

I too don’t see why the schemes should be symmetrical. The temperature ones

certainly will not as we’re choosing the periods to show warming.

<1219> Trenberth:

[…] opposing some things said by people like Chris Landsea who has said all the

stuff going on is natural variability. In addition to the 4 hurricanes hitting

Florida, there has been a record number hit Japan 10?? and I saw a report

saying Japanese scientists had linked this to global warming. […] I am leaning

toward the idea of getting a box on changes in hurricanes, perhaps written by a

Japanese.

<0890> Jones:

We can put a note in that something will be there in the next draft, or Kevin

or I will write something – it depends on whether and what we get from Japan.

<0170> Jones:

Kevin, Seems that this potential Nature paper may be worth citing, if it does

say that GW is having an effect on TC activity.

<0714> Jones:

Getting people we know and trust [into IPCC] is vital – hence my comment about

the tornadoes group.

<3205> Jones:

Useful ones [for IPCC] might be Baldwin, Benestad (written on the solar/cloud

issue – on the right side, i.e anti-Svensmark), Bohm, Brown, Christy (will be

have to involve him ?)

<4923> Stott/MetO:

My most immediate concern is to whether to leave this statement ["probably the

warmest of the last millennium"] in or whether I should remove it in the

anticipation that by the time of the 4th Assessment Report we’ll have withdrawn

this statement – Chris Folland at least seems to think this is possible.

/// Communicating Climate Change ///

<2495> Humphrey/DEFRA:

I can’t overstate the HUGE amount of political interest in the project as a

message that the Government can give on climate change to help them tell their

story. They want the story to be a very strong one and don’t want to be made

to look foolish.

<0813> Fox/Environment Agency:

if we loose the chance to make climate change a reality to people in the

regions we will have missed a major trick in REGIS.

<4716> Adams:

Somehow we have to leave the[m] thinking OK, climate change is extremely

complicated, BUT I accept the dominant view that people are affecting it, and

that impacts produces risk that needs careful and urgent attention.

<1790> Lorenzoni:

I agree with the importance of extreme events as foci for public and

governmental opinion […] ‘climate change’ needs to be present in people’s

daily lives. They should be reminded that it is a continuously occurring and

evolving phenomenon

<3062> Jones:

We don’t really want the bullshit and optimistic stuff that Michael has written

[…] We’ll have to cut out some of his stuff.

<1485> Mann:

the important thing is to make sure they’re loosing the PR battle. That’s what

the site [Real Climate] is about.

<2428> Ashton/co2.org:

Having established scale and urgency, the political challenge is then to turn

this from an argument about the cost of cutting emissions – bad politics – to

one about the value of a stable climate – much better politics. […] the most

valuable thing to do is to tell the story about abrupt change as vividly as

possible

<3332> Kelly:

the current commitments, even with some strengthening, are little different

from what would have happened without a climate treaty.

[…] the way to pitch the analysis is to argue that precautionary action must be

taken now to protect reserves etc against the inevitable

<3655> Singer/WWF:

we as an NGO working on climate policy need such a document pretty soon for the

public and for informed decision makers in order to get a) a debate started and

B) in order to get into the media the context between climate

extremes/desasters/costs and finally the link between weather extremes and

energy

<0445> Torok/CSIRO:

[…] idea of looking at the implications of climate change for what he termed

“global icons” […] One of these suggested icons was the Great Barrier Reef […]

It also became apparent that there was always a local “reason” for the

destruction – cyclones, starfish, fertilizers […] A perception of an

“unchanging” environment leads people to generate local explanations for coral

loss based on transient phenomena, while not acknowledging the possibility of

systematic damage from long-term climatic/environmental change […] Such a

project could do a lot to raise awareness of threats to the reef from climate

change

<4141> Minns/Tyndall Centre:

In my experience, global warming freezing is already a bit of a public

relations problem with the media

Kjellen:

I agree with Nick that climate change might be a better labelling than global

warming

Pierrehumbert:

What kind of circulation change could lock Europe into deadly summer heat waves

like that of last summer? That’s the sort of thing we need to think about.

/// The Medieval Warm Period ///

<5111> Pollack:

But it will be very difficult to make the MWP go away in Greenland.

<5039> Rahmstorf:

You chose to depict the one based on C14 solar data, which kind of stands out

in Medieval times. It would be much nicer to show the version driven by Be10

solar forcing

<5096> Cook:

A growing body of evidence clearly shows [2008] that hydroclimatic variability

during the putative MWP (more appropriately and inclusively called the

“Medieval Climate Anomaly” or MCA period) was more regionally extreme (mainly

in terms of the frequency and duration of megadroughts) than anything we have

seen in the 20th century, except perhaps for the Sahel. So in certain ways the

MCA period may have been more climatically extreme than in modern times.

/// The Settled Science ///

<0310> Warren:

The results for 400 ppm stabilization look odd in many cases […] As it stands

we’ll have to delete the results from the paper if it is to be published.

<1682> Wils:

[2007] What if climate change appears to be just mainly a multidecadal natural

fluctuation? They’ll kill us probably […]

<2267> Wilson:

Although I agree that GHGs are important in the 19th/20th century (especially

since the 1970s), if the weighting of solar forcing was stronger in the models,

surely this would diminish the significance of GHGs.

[…] it seems to me that by weighting the solar irradiance more strongly in the

models, then much of the 19th to mid 20th century warming can be explained from

the sun alone.

<5289> Hoskins:

If the tropical near surface specific humidity over tropical land has not gone

up (Fig 5) presumably that could explain why the expected amplification of the

warming in the tropics with height has not really been detected.

<5315> Jenkins/MetO:

would you agree that there is no convincing evidence for kilimanjaro glacier

melt being due to recent warming (let alone man-made warming)?

<2292> Jones:

[tropical glaciers] There is a small problem though with their retreat. They

have retreated a lot in the last 20 years yet the MSU2LT data would suggest

that temperatures haven’t increased at these levels.

<1788> Jones:

There shouldn’t be someone else at UEA with different views [from "recent

extreme weather is due to global warming"] – at least not a climatologist.

<4693> Crowley:

I am not convinced that the “truth” is always worth reaching if it is at the

cost of damaged personal relationships

<2967> Briffa:

Also there is much published evidence for Europe (and France in particular) of

increasing net primary productivity in natural and managed woodlands that may

be associated either with nitrogen or increasing CO2 or both. Contrast this

with the still controversial question of large-scale acid-rain-related forest

decline? To what extent is this issue now generally considered urgent, or even

real?

<2733> Crowley:

Phil, thanks for your thoughts – guarantee there will be no dirty laundry in

the open.

<2095> Steig:

He’s skeptical that the warming is as great as we show in East Antarctica — he

thinks the “right” answer is more like our detrended results in the

supplementary text. I cannot argue he is wrong.

<0953> Jones:

This will reduce the 1940-1970 cooling in NH temps. Explaining the cooling with

sulphates won’t be quite as necessary.

<4944> Haimberger:

It is interesting to see the lower tropospheric warming minimum in the tropics

in all three plots, which I cannot explain. I believe it is spurious but it is

remarkably robust against my adjustment efforts.

<4262> Klein/LLNL:

Does anybody have an explanation why there is a relative minimum (and some

negative trends) between 500 and 700 hPa? No models with significant surface

warming do this

<2461> Osborn:

This is an excellent idea, Mike, IN PRINCIPLE at least. In practise, however,

it raises some interesting results […] the analysis will not likely lie near to

the middle of the cloud of published series and explaining the reasons behind

this etc. will obscure the message of a short EOS piece.

<4470> Norwegian Meteorological Institute:

In Norway and Spitsbergen, it is possible to explain most of the warming after

the 1960s by changes in the atmospheric circulation. The warming prior to 1940

cannot be explained in this way.

/// The Urban Heat Effect ///

<4938> Jenkins/MetO:

By coincidence I also got recently a paper from Rob which says “London’s UHI

has indeed become more intense since the 1960s esp during spring and summer”.

<0896> Jones:

I think the urban-related warming should be smaller than this, but I can’t

think of a good way to argue this. I am hopeful of finding something in the

data that makes by their Figure 3.

<0044> Rean:

[…] we found the [urban warming] effect is pretty big in the areas we analyzed.

This is a little different from the result you obtained in 1990.

[…] We have published a few of papers on this topic in Chinese. Unfortunately,

when we sent our comments to the IPCC AR4, they were mostly rejected.

<4789> Wigley:

there are some nitpicky jerks who have criticized the Jones et al. data sets –

we don’t want one of those [EPRI/California Energy Commission meeting].

Jones:

The jerk you mention was called Good(e)rich who found urban warming at

all Californian sites.

<1601> Jones:

I think China is one of the few places that are affected [urban heat]. The

paper shows that London and Vienna (and also New York) are not affected in the

20th century.

<2939> Jones:

[…] every effort has been made to use data that are either rural and/or where

the urbanization effect has been removed as well as possible by statistical

means. There are 3 groups that have done this independently (CRU, NOAA and

GISS), and they end up with essentially the same results.

[…] Furthermore, the oceans have warmed at a rate consistent with the land.

There is no urban effect there.

/// Temperature Reconstructions ///

<1583> Wilson:

any method that incorporates all forms of uncertainty and error will

undoubtedly result in reconstructions with wider error bars than we currently

have. These many be more honest, but may not be too helpful for model

comparison attribution studies. We need to be careful with the wording I think.

<4165> Jones:

what he [Zwiers] has done comes to a different conclusion than Caspar and Gene!

I reckon this can be saved by careful wording.

<3994> Mitchell/MetO

Is the PCA approach robust? Are the results statistically significant? It seems

to me that in the case of MBH the answer in each is no

<4241> Wilson:

I thought I’d play around with some randomly generated time-series and see if I

could ‘reconstruct’ northern hemisphere temperatures.

[…] The reconstructions clearly show a ‘hockey-stick’ trend. I guess this is

precisely the phenomenon that Macintyre has been going on about.

<3373> Bradley:

I’m sure you agree–the Mann/Jones GRL paper was truly pathetic and should

never have been published. I don’t want to be associated with that 2000 year

“reconstruction”.

<4758> Osborn:

Because how can we be critical of Crowley for throwing out 40-years in the

middle of his calibration, when we’re throwing out all post-1960 data ‘cos the

MXD has a non-temperature signal in it, and also all pre-1881 or pre-1871 data

‘cos the temperature data may have a non-temperature signal in it!

<0886> Esper:

Now, you Keith complain about the way we introduced our result, while saying it

is an important one. […] the IPCC curve needs to be improved according to

missing long-term declining trends/signals, which were removed (by

dendrochronologists!) before Mann merged the local records together. So, why

don’t you want to let the result into science?

<4369> Cook:

I am afraid that Mike is defending something that increasingly can not be

defended. He is investing too much personal stuff in this and not letting the

science move ahead.

<5055> Cook:

One problem is that he [Mann] will be using the RegEM method, which provides no

better diagnostics (e.g. betas) than his original method. So we will still not

know where his estimates are coming from.

/// Science and Religion ///

<2132> Wigley:

I heard that Zichichi has links with the Vatican. A number of other greenhouse

skeptics have extreme religious views.

<4394> Houghton [MetO, IPCC co-chair]

[…] we dont take seriously enough our God-given responsibility to care for the

Earth […] 500 million people are expected to watch The Day After Tomorrow. We

must pray that they pick up that message.

<0999> Hulme:

My work is as Director of the national centre for climate change research, a

job which requires me to translate my Christian belief about stewardship of

God’s planet into research and action.

<3653> Hulme:

He [another Met scientist] is a Christian and would talk authoritatively about

the state of climate science from the sort of standpoint you are wanting.

/// Climate Models ///

<3111> Watson/UEA:

I’d agree probably 10 years away to go from weather forecasting to ~ annual

scale. But the “big climate picture” includes ocean feedbacks on all time

scales, carbon and other elemental cycles, etc. and it has to be several

decades before that is sorted out I would think. So I would guess that it will

not be models or theory, but observation that will provide the answer to the

question of how the climate will change in many decades time.

<5131> Shukla/IGES:

["Future of the IPCC", 2008] It is inconceivable that policymakers will be

willing to make billion-and trillion-dollar decisions for adaptation to the

projected regional climate change based on models that do not even describe and

simulate the processes that are the building blocks of climate variability.

<2423> Lanzante/NOAA:

While perhaps one could designate some subset of models as being poorer in a

lot of areas, there probably never will be a single universally superior model

or set of models. We should keep in mind that the climate system is complex, so

that it is difficult, if not impossible to define a metric that captures the

breath of physical processes relevant to even a narrow area of focus.

<1982> Santer:

there is no individual model that does well in all of the SST and water vapor

tests we’ve applied.

<0850> Barnett:

[iPCC AR5 models] clearly, some tuning or very good luck involved. I doubt the

modeling world will be able to get away with this much longer

<5066> Hegerl:

[iPCC AR5 models]

So using the 20th c for tuning is just doing what some people have long

suspected us of doing […] and what the nonpublished diagram from NCAR showing

correlation between aerosol forcing and sensitivity also suggested.

<4443> Jones:

Basic problem is that all models are wrong – not got enough middle and low

level clouds.

<4085> Jones:

GKSS is just one model and it is a model, so there is no need for it to be

correct.

/// The Cause ///

<3115> Mann:

By the way, when is Tom C going to formally publish his roughly 1500 year

reconstruction??? It would help the cause to be able to refer to that

reconstruction as confirming Mann and Jones, etc.

<3940> Mann:

They will (see below) allow us to provide some discussion of the synthetic

example, referring to the J. Cimate paper (which should be finally accepted

upon submission of the revised final draft), so that should help the cause a

bit.

<0810> Mann:

I gave up on Judith Curry a while ago. I don’t know what she think’s she’s

doing, but its not helping the cause

<3594> Berger:

Phil,

Many thanks for your paper and congratulations for reviving the global warming.

<0121> Jones:

[on temperature data adjustments] Upshot is that their trend will increase

<4184> Jones:

[to Hansen] Keep up the good work! […] Even though it’s been a mild winter in

the UK, much of the rest of the world seems coolish – expected though given the

La Nina. Roll on the next El Nino!

<5294> Schneider:

Even though I am virtually certain we shall lose on McCain-Lieberman, they are

forcing Senators to go on record for for against sensible climate policy

/// Freedom of Information ///

<2440> Jones:

I’ve been told that IPCC is above national FOI Acts. One way to cover yourself

and all those working in AR5 would be to delete all emails at the end of the

process

<2094> Briffa:

UEA does not hold the very vast majority of mine [potentially FOIable emails]

anyway which I copied onto private storage after the completion of the IPCC

task.

<2459> Osborn:

Keith and I have just searched through our emails for anything containing

“David Holland”. Everything we found was cc’d to you and/or Dave Palmer, which

you’ll already have.

<1473> McGarvie/UEA Director of Faculty Administration:

As we are testing EIR with the other climate audit org request relating to

communications with other academic colleagues, I think that we would weaken

that case if we supplied the information in this case. So I would suggest that

we decline this one (at the very end of the time period)

<1577> Jones:

[FOI, temperature data]

Any work we have done in the past is done on the back of the research grants we

get – and has to be well hidden. I’ve discussed this with the main funder (US

Dept of Energy) in the past and they are happy about not releasing the original

station data

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Il n'a pas de toute sur l'existence du réchauffement sur le XXe siècle. Toutes les vérifications ont été faites dans tous les sens, par des instituts reconnus (GISS, Hadley center, NOAA), par des insituts privés financier par les pétroliers (!) (BEST), par des "bloggeurs" passionné…

J'ai cru lire que des thèses soutiennent que le réchauffement du 20e siècle serait lié à des cycles du soleil ou de la Terre. Dans de telles hypothèses, le réchauffement, serait non pas comme le résultat d'une activité humaine du 20e siècle, mais plutôt le résultat d'un cycle.

En ce qui concerne Courtilliot, il peut bien dire ce qu'il veut dans les interview, ce qui compte, c'est ça production scientifique. Les quelques articles qu'il a publié (Courtillot ne s'intéresse au climat que depuis 2006 !) ne démontrent absolument rien du tout, et ils sont entachés d'erreur. Courtillot y affirme même que le réchauffement 1980-2000 ne peut pas être expliqué par l'activité du soleil ! Il y confirme également la corrélation à longue distance des anomalies de température, propriété utilisée par Hansen pour le calcul de la température globale…

Une objection scientifique, pour être valable, n'a pas besoin d’être un article scientifique publié comme tel dans des revues scientifiques. Si l'hypothèse de Courtillot est vraie, elle est une alternative possible aux autres explications. Or, à ma connaissance, l'hypothèse géologique de Courtillot n'a pas été infirmée.

En ce qui concerne Lindzen, il confirme l'existence de l'effet de serre, il est d'accord avec la valeur de la sensibilité du climat pour 2xCO2 sans rétroaction, il valide le modèle de l'équilibre radiatif-convectif utilisé par les modèles, il reconnait le puissant feedback positif que joue la vapeur d'eau dans l'atmosphère… Son seul point de désaccord, c'est qu'il est convaincu qu'il existe de puissante rétroaction négative… Il cherche désespérment à le prouver, mais hélas ses arguments sont peu convaincants…

Ainsi, Lindzen de bonnes raison de penser qu'il existe une "puissante rétroaction négative". Si ce grand scientifique le pense, cela suffit largement, à mes yeux, pour affirmer que le débat scientifique n'est pas clos. Que ses adversaires estiment que ses arguments ne seraient pas convaincant est une réaction bien humaine. Celui qui est convaincu par sa thèse juge que la thèse de l'autre est moins convaincante.

Hormis Courtillot et Lindzen, quels sont les noms des autres scientifiques qui contestent les explications scientifiques du GIEC?

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Hormis Courtillot et Lindzen, quels sont les noms des autres scientifiques qui contestent les explications scientifiques du GIEC?

Tiens, quelques-uns ici:

——————————--

- "Le climat terrestre a toujours varié. Il est très difficile de déterminer les causes de ces changements, et il n'est nullement établi que l'homme en soit responsable". Youri Zaitsev - Académie des Sciences (Russie) - Institut d'Etudes Spatiales. http://en.rian.ru/an…8/81541029.html

- "L'influence de l'effet de serre comme cause des changements climatiques est un mythe basé sur des modèles erronnés et des assimilations incluant une 'température globale' simpliste". Gerhard Kramm - PhD - Géophysicien - Atmospheric Science Group of Geophysical Institute - University of Alaska. http://www.gi.alaska.edu/~kramm/

- "L'origine humaine du réchauffement climatique n'est absolument pas établie. Cette théorie est loin de faire l'unanimité dans le monde scientifique". Laurence Gould - PhD - Physicien - Professeur à Hartford University (USA) - Correspondant de l'American Physical Society. http://uhaweb.hartford.edu/LGOULD/NES%20APS%20Spring%2020…

- "La tendance au réchauffement climatique remonte au minimum à la moitié du XlXe siècle". John Magnusson - PhD - Systèmes écologiques des Lacs et Cours d'eau - Professeur émérite Zoologie et Limnologie University of Wisconsin (USA) http://www.rtflash.fr/climat-tendance-rechauffement-est-a…

- "Le réchauffement climatique global n'est pas un phénomène anormal. Y voir une responsabilité humaine découle d'une science fausse". Franco Battaglia - PhD - Professeur de Chimie de l'environnement Université de Modène (I) http://peppecaridi2.wordpress.com/2009/11/28/clima-interv…

- "L'hypothèse de la responsabilité humaine dans le réchauffement climatique est maintenant réfutée par beaucoup de scientifiques dans le monde". Eric T Karlstrom - PhD - Professeur de Géographie Physique et Environnementale - State University of California. http://www.naturalclimatechange.us/

- "Les variations de la distribution des glaces de mer dans l'Arctique répondent à des cycles naturels". Ivan Frolov - PhD - Océanographe - Directeur de l'Institut de Recherches sur l'Arctique et l'Antarctique de St Petersbourg (Russie) http://www.lecerclep…ing/Frolov.html

- "L' effet de serre n'est qu'un facteur affectant le climat parmi beaucoup d'autres. Je ne crois pas aux prévisions climatiques à long terme". William R Cotton - PhD - Physique des Nuages - Professeur en Sciences Atmosphériques Colorado State University. http://ff.org/centers/csspp/library/co2weekly/20070109/20…

- "Il y a une relation claire entre la couverture nuageuse et la température de la journée. En Australie, l'ennuagement a diminué depuis 1950, tandis que la température augmentait en conséquence". Jonathan Lowe - BSc - Analyses statistiques appliquées à la météo. http://gustofhotair.blogspot.com/

- "Le récent réchauffement global est dû à des modifications de l'ennuagement et des changements dans la quantité de cristaux de glace dans la haute atmosphère, et non aux gaz à effet de serre dûs aux activités humaines". Vladimir Shaidurov - Expert en modélisations - Membre de l'Académie des Sciences de Russie. http://www2.le.ac.uk/ebulletin/news/press-releases/2000-2…

- "Quoique les modèles climatiques aient une valeur considérable pour notre compréhension de la physique du climat, on ne peut affirmer qu'ils sont fiables pour des prédictions à long terme". Peter Ridd - PhD - Physique des Océans - Professeur de Physique James Cook University - Conseiller scientifique Australian Environment Foundation http://www.onlineopinion.com.au/view.asp?article=11387&am…

- "Le grand minimum solaire prochain sera similaire à celui qui a causé le petit âge glaciaire, et durera approximativement jusqu'à l'an 2100". Cornelis de Jager - PhD - Physicien du Soleil - ex Secrétaire Général du International Astronomical Union. http://journalofcosm…eChange111.html

- "Les changements climatiques ont toujours existé, avec des niveaux de CO2 bien plus élevés qu'aujourd'hui. Je préfère le climat actuel, même avec un éventuel réchauffement, que la prochaine ère glaciaire qui s'annonce". John T Everett - PhD - Directeur Fisheries Research Division du NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) - Ecosystem Analyst - Ex collaborateur du GIEC. http://www.climatechangefacts.info/ClimateChangeDocuments…

- "Les cycles solaires sont responsables des changements climatiques. Nous nous dirigeons maintenant vers un refroidissement". Galina Mashnich - Physique du Soleil - Institute of Solar Terrestrial Physics -Russian Academy of Sciences. -

- "Le véritable désastre ne sera pas le réchauffement climatique soutenu par des modèles informatiques douteux, mais bien le refroidissement global". Norman Borlaug - Agronome - Prix Nobel de la Paix - Concepteur de la "Révolution Verte". http://climaterealists.com/?id=4053

- "L'hystérie du réchauffement global est basée sur des prédictions non établies de modèles climatiques, eux-mêmes bâtis sur des processus approximatifs de phénomènes physiques extrêmement complexes" James P Koermer - PhD - Météorologue - ex Directeur de Atmospheric Sciences US Air Force - Professeur de Météorologie Plymouth State University. http://goliath.ecnext.com/coms2/gi_0199-7599803/Climate-c…

- "Le CO2 émis par les activités humaines n'a aucune influence sur le climat. Le GIEC utilise des données inappropriées pour ses modèles informatiques". Anton Uriarte - PhD - Géographe - Spécialiste en Climatologie- Ex professeur Université du Pays Basque (SP) - Fellow du Royal Meteorological Society. http://antonuriarte.blogspot.com/

- "Les modèles climatiques peuvent amener des conclusions trompeuses, par la présence d'hypothèses sous-jacentes présentes lors de leur programmation". Donald DuBois - PhD - Spécialiste en modélisation informatique. http://www.takeonit….uestion/69.aspx

- "Le GIEC et les scientifiques du climat ont ignoré la littérature scientifique sur les principes de la prévision. Nous n'avons trouvé aucune référence sur les méthodes utilisées". J. Scott Armstrong - PhD - Spécialiste en management et en prévisions à long terme. http://ff.org/images/stories/sciencecenter/armstrong_pres…

http://en.wikipedia….Scott_Armstrong

- "Il y a une similitude remarquable entre la croyance au surnaturel, et la croyance en la responsabilité de l'homme dans le réchauffement climatique. Toutes deux font appel à une adhésion aveugle de leurs partisans". Chris Schoneveld - PhD - Géologue (NL) http://web.me.com/chrisschoneveld/Global_Warming/Why_the_…

- "Le mythe du CO2 responsable du réchauffement climatique a largement été répandu par Al Gore et son documentaire de 2006. Or les relevés historiques montrent que le réchauffement climatique précède l'augmentation des niveaux de CO2". Andrew Miall- PhD - Géologue - Professeur de Géologie Université de Toronto - Ex Président de l'Académie des Sciences du Canada.http://www.mcgilltribune.com/news/speaker-on-campus-andre…

- "Il n'y a pas de preuve que les émissions de CO2 soient responsables d'un réchauffement climatique. La corrélation ne constitue pas une preuve de causalité. Les modèles climatiques générés par ordinateur ne sont actuellement pas crédibles". Howard Greyber - PhD - Astrophysicien - Membre actif de International Astronomical Union. http://www.nytimes.com/2007/09/30/opinion/30iht-edletters…

- « D’autres expertises (que celle du GIEC) sur les changements climatiques existent, et le débat n’est pas clos. La recherche scientifique devrait être indépendante de la politique ». Joseph Conklin - Météorologue - Collecte et analyse des Observations Météo de surface.

- "Quant aux modifications du climat, les données enregistrées montrent clairement l'influence des variations de l'ennuagement dues à l'influence du rayonnement solaire, et donc de la chaleur atteignant la surface de la planète ". Martin Wild - Climatologue - Senior scientist Institute for Atmospheric and Climate Science (CH).

- "Le GIEC fait une erreur fondamentale dans la façon d'analyser les données climatiques, et tire des conclusions sur l'importance des changements de température fondées sur une hypothèse de base insoutenable". Douglas J Keenan - Mathématicien - Spécialiste en analyse des statistiques.

- « Quand vous êtes chaque jour dans les prévisions météo, vous réalisez le peu de fondement de nos modèles informatiques ». Mel Goldstein - PhD - Météorologue - Ex Professeur de Météorologie Western Connecticut State University (USA)

- « Le 'Climategate' a mis en évidence la pression exercée par des membres influents du GIEC sur les éditeurs, mais aussi la rétention de données. Cela mène à de graves problèmes de fiabilité scientifique » . Aynsley Kellow - PhD - Professeur Université de Tasmanie - Spécialiste en politique environnementale - Ex collaborateur du GIEC. (AUS)

- "Une majorité d'économistes considère comme certaine la responsabilité humaine sur les changements climatiques. Ceci n'est pas un bon point de départ, et ils devraient prendre en compte les énormes incertitudes qui subsistent". David Henderson - Economiste - Ex directeur Département Economie et Statistiques de l'OCDE.

- "La façon dont les scientifiques du GIEC ont marginalisé leurs confrères qui ne partagent pas leurs conclusions sur le réchauffement climatique est particulièrement inquiétante". Neil Frank - PhD - Météorologue - ex Directeur du National Hurricane Center (USA)

- "On augmente artificiellement le nombre de tempêtes tropicales, en y incorporant les sous-orages tropicaux, afin de conforter l'hypothèse du réchauffement climatique". Joe Sobel - PhD - Météorologue - Prévisionniste.

- "Le changement climatique n'est pas un problème de l'âge industriel. Les preuves de modifications parfois brutales du climat avant même l'apparition de l'homme pourrait influer sur la compréhension du réchauffement actuel". Simon C Brassell - PhD - Prof of Geological Sciences Indiana University - Biochemistry and Molecular Organic Geochemistry (USA)

- "Les variations climatiques sont le fait de causes naturelles. Nous nous dirigeons vers un refroidissement climatique similaire à celui qui prit fin au XlX e siècle". David Dilley - BS - Météorologue - Membre du National Weather Association - Auteur de "Global Warming, global cooling, Natural cause found".

- "Le problème des changements climatiques a été artificiellement gonflé par les milieux scientifiques, politiques et environnementaux qui tous y voient un intérêt". Francis Massen - Physicien - Professeur en Sciences Physiques et Mathématiques (LUX).

-283 "Les déclarations du GIEC sur le climat ont été adoptées par les médias occidentaux et de nombreux décideurs comme émanant d'un oracle divin. Tout doute à ce sujet est considéré comme acte de mauvaise foi ou comme un déni". Frank Furedi - PhD - Professeur de Sociologie University of Kent - Auteur de plusieurs ouvrages sur la Politique de la Peur.

-284 « Les changements climatiques sont le résultat de cycles naturels que l’homme ne peut maîtriser. Nous nous dirigeons maintenant vers un refroidissement du climat ». Dennis Avery - Directeur du Center Global Food Issues - Hudson Institute - Ex Senior Agricultural Analyst US Department of State.

-285 « Le CO2 n’est pas le principal facteur dans les changements climatiques ». Robert Cohen - Météorologue American Meteorological Society - Météorologie Marine et Océanique.

-286 « Le réchauffement climatique est causé par l’activité naturelle à la surface du soleil, et non par les activités humaines ». Horst Borchert - PhD - Physicien - Directeur dept of Physics - Johannes Gutenberg Institute (D)

-287 "Quant à l'évolution du climat, nous ne pouvons pas faire de prévision à long terme, car le bilan de ce type de prévision est mauvais. Il n'existe pas de modèle fiable du climat". David Orrell - PhD - Mathématicien - Spécialiste de la prévision de systèmes complexes.

-288 "Dans le processus du réchauffement climatique, la quantité de CO2 naturellement libérée par la décomposition de matières organiques dans le sol ne peut être intégrée dans les modèles, et rend ceux-ci aléatoires". Mark Harmon - PhD - Professeur Sciences Forestières - Oregon State University (USA);

-289 « Les changements climatiques doivent peu à l’effet de serre. Le GIEC génère sa propre légitimité et bâtit des projets scientifiques destinés d’abord à lever des fonds ». Yves Lenoir - Chercheur à l’Ecole Nationale Supérieure des Mines - Laboratoire d’automatique des Systèmes (F) - Ex membre de Greenpeace - Militant écologiste - Auteur de « Climat de Panique ».

-290 « Certains changements climatiques du passé ont été aussi rapides que n’importe quoi en cours aujourd’hui. Cela résulte de découvertes récentes ». Robert Giegengack - PhD - Géologue - Professeur de Sciences de la Terre - University of Pennsylvania (USA).

-291 "Même s'il y avait un réchauffement climatique à l'échelle planétaire, nous n'en maîtrisons pas suffisamment les paramètres pour déterminer quelle en est la cause". Dennis Hollars - PhD - Astrophysicien - Physique des Plasmas - Etude et production de cellules solaires.

-292 « Les sommes énormes engagées pour lutter contre le réchauffement climatique auraient été bien plus efficaces si elles avaient été engagées directement contre ses effets, notamment la gestion de l’eau et la faim dans le monde ». Indur M Goklany - PhD - Analyste Science et Technologie du Gouvernement US - Ex représentant US auprès du GIEC.

-293 « La modélisation de l’évolution climatique en est encore dans ses balbutiements. Elle ne prend pas en compte des mécanismes très importants, tel que l’ennuagement ». Paul Knight - Météorologue - Climatologue de l’Etat de Pennsylvanie - Pennsylvania State University Dept Meteorology (USA)

-272 « Les changements climatiques ne sont pas causés par les activités humaines. Au plus on analyse les données alarmistes, au plus on constate des conclusions erronées. Burt Rutan - Ingénieur en Aérospatiale - Concepteur d’engins spatiaux et en Aéronautique.

-273 « Nous en sommes arrivés au point où chaque évènement météo est relié à la théorie des gaz à effet de serre causés par l’homme. Tout ce qui arrive servira à conforter cette théorie falsifiée ». Tim Coleman - PhD - Sciences de l’atmosphère - Professeur associé University of Alabama (USA).

-274 « Le climat global dépend de l’interaction atmosphère-océans, du rayonnement solaire, des forces gravitationnelles entre la Terre et la Lune et de la rotation de la Terre. L’influence du CO2 est une pure fiction ». Claes Johnson - PhD - Professeur en Mathématiques appliquées et Modélisations - Royal Institute of Technology (S)

-275 « Le climat mondial est influencé par l’activité volcanique, les variables de l’activité solaire, les courants océaniques, les régimes des vents. Le rôle des activités humaines est éclipsé par la variabilité naturelle ». Dave Epstein - Météorologue - Membre du American Meteorological Society - Professeur au Framingham State College (USA) .

-276 « Le réchauffement climatique est devenu une question politique. Toute autre cause (que le CO2 d’origine humaine) sur le sujet est un intrus qui bouleverse l’orthodoxie établie ». Eugene Parker - PhD - Astrophysicien - ex professeur d’astrophysique University of Chicago - A développé les théories du vent solaire et de la « Spirale de Parker ».

-277 « Les effets du rayonnement solaire sur les changements climatiques sont historiquement mis en évidence, et sont sans doute prépondérants ». Nigel Marsh - Spécialiste en rayonnement cosmique - Center for Sun-Climate Research - Danish National Space Center (DK).

-278 « Les flux de plasma -ou le vent solaire- sont à l’origine des changements climatiques. Ils sont responsables de la désorganisation des courants d’air chaud dans l’atmosphère ». Neil Arnold - Modélisation de l’Atmosphère - Professeur de Physique et Astronomie University of Leicester (UK).

-279 « Les changements climatiques sont liés à la variabilité des champs magnétiques solaires ». Oliver K Manuel - Chimie nucléaire - University of Missouri (USA).

-280 « Les glaciers himalayens, et ceux du reste du monde, ont reculé et avancé sans aucun lien avec un réchauffement ou un refroidissement climatique ». Vijai Kumar Raina - Glaciologue - Ex directeur Division Glaciologie du Geological Survey of India - Auteur d’un livre blanc pour le Gouvernement Indien.

-281 « Le réchauffement climatique n’est pas causé par les activités humaines. Il trouve son origine dans les variations cycliques du climat terrestre ». James Spann - Météorologue - Collaborateur météo de médias audiovisuels.

-282 « Le réchauffement climatique actuel n’est pas le premier dans l’histoire de la Terre. Il y a des tas de raisons pour lutter contre la pollution; le réchauffement global n’en est pas une ». Peter Sciaky - Géologue (USA)

-260 « Des sommes énormes ont été gaspillées pour imposer l’idée que le réchauffement climatique était causé par les activités humaines. Le seul problème est que cette théorie n’est pas appuyée par la méthode scientifique ». Geraldo Luis Lino - Géologue - Auteur de « The Global Warming Fraud » (Brazil)

-261 « Je suis en désaccord avec l’affirmation du GIEC impliquant le CO2 d’origine humaine dans le processus du réchauffement climatique ». Mary Mumper - PhD - Professeur assistant Faculté de Chimie - Frostburg State University of Maryland (USA)

-262 « Les changements climatiques sont liés à des cycles naturels et à l’activité solaire » Pavel Makarevich - Biologiste - Académie des Sciences section Biologie Marine (Russie)

-263 « Les principes scientifiques de base démontrent que le réchauffement climatique n’est pas causé par les gaz à effet de serre d’origine humaine ». Hans Jelbring - PhD - Climatologue - Section Paléogéophysique et Géodynamique - Stockholm University (S).

-264 « Le GIEC affirme que la planète se réchauffe suite à l’émission de CO2 émis par les activités humaines. Cela est une fraude initiée par l’abandon de la méthode scientifique ». John Reid - PhD - Physicien de l’atmosphère - Chercheur en Océanographie théorique.

-265 « Supposer que le réchauffement climatique est un problème contre lequel il faut combattre est supposer que le climat actuel est le meilleur que nous puissions avoir, et que nous devons faire en sorte qu’il ne change plus jamais ». Michael Griffin - PhD - Astrophysicien - Ex directeur à la NASA.

-266 « Affirmer que l’homme est responsable des changements climatiques est de la désinformation ». Nikos Mamassis - Sciences de la Terre - Water Resources National Technical University of Athens (Grèce)

-267 « Le film d’Al Gore -Une vérité qui dérange- n’est pas un documentaire. Un documentaire doit présenter les faits objectivement, sans éditorial ou insertion de séquences de fiction ». J.R. Kirtek - Météorologue - Membre de American Meteorological Society.

-268 « La liaison entre les gaz à effet de serre d’origine humaine et le réchauffement climatique est fallacieux. C’est le Soleil qui est la cause principale du phénomène ». Michael Beenstock - Analyste - Professeur en Sciences économiques - Statistiques et Probabilités Université de Jérusalem (Isr).

-269 « Quant aux changements climatiques, les scientifiques doivent abandonner le dogme du consensus et en revenir à des concepts scientifiques. Je ne fais plus confiance aux conclusions du GIEC ». Judith Curry - PhD - Climatologue - Sciences Géophysiques Georgia Institute of Technology - Membre du Conseil Scientifique de la NASA.

-270 « L’augmentation du CO2 atmosphérique n’est pas la cause du réchauffement climatique, mais en est la conséquence ». Tom Russell - Météorologue - Membre de American Meteorological Society - Membre du National Weather Association.

-271 « L’homme n’est pas responsable des changements climatiques. Les solutions présentées à l’appui de ce mensonge sont la véritable menace à laquelle nous sommes confrontés ». Peter Taylor - BA Natural Sciences - Biologiste - Membre du British Association of Nature Conservationists - Ex conseiller environnemental de l’ONU.

-249 « L’hystérie portant le réchauffement global est alimenté par une science simpliste de pacotille ». Neil Waterhouse - PhD - Physicien - Mesures des Températures - ex membre du National Research Council (Canada)

-250 « Je ne crois pas que les activités humaines aient une influence sur les changements climatiques ». Anthony Watts - Collaborateur météo de stations radio (USA)

-251 « L ‘hypothèse de la responsabilité des activités humaines sur le réchauffement climatique est une fausse alarme alimentée par des modèles informatiques manipulés ». David E Wojick - PhD - Energy and Environnemental consultant (USA)

-252 « Les chercheurs en sciences du climat sont souvent tentés de modifier leurs données pour être en phase avec la vision politiquement correcte sur les changements climatiques ». Eduardo Zorita - PhD - Paléoclimatologue - Chercheur à l’Institut pour la Recherche Côtière GKSS (D) Ex collaborateur du GIEC.

-253 « Les coûts engendrés par une politique climatique doivent être proportionnels à ses avantages. Or l’impact du changement climatique est relativement faible ». Richard Tol - PhD - Prof of the Economics of Climate Change Vrije Universiteit Amsterdam (NL) Prof associé Hamburg Centre for Marine and Atmospheric Science (D).

-254 « Malgré ce qui se dit dans les médias, il n’y a aucun consensus scientifique sur les causes des changements climatiques ». Tom Tripp - Spécialiste en applications du magnésium - Membre du pannel technique du GIEC.

-255 « Toute analyse scientifique raisonnable doit conclure que la théorie des changements climatiques causés par les gaz à effet de serre est fausse. Le grand problème actuel se situe plutôt dans la lutte contre la pollution ». Leonard Weinstein - ScD - Physicien - Chercheur au NASA Langley Research Center - National Institute of Aerospace (USA).

-256 « Les changements climatiques sont la conséquence de fluctuations naturelles, routinières dans l’histoire de la planète. Ce processus est en dehors de nos possibilités de contrôle ». Robert B Laughlin - PhD - Physicien - Prix Nobel de Physique - Professeur à Stanford University (USA)

-257 « Le climategate a mis en évidence le fait que les données servant aux projections climatiques ont été falsifiées ». Christopher J Kobus - PhD - Directeur du Clean Energy Research Center - Professeur associé Mechanical Engineering Oakland University.

-258 « Les changements climatiques découlent d’un processus naturel soumis à des cycles. Les activités humaines y ont un apport négligeable ». Anatoly Levitin - PhD - Directeur du Laboratoire des Variations Géomagnétiques - Institut du Magnétisme Terrestre - Académie des Sciences (Russie)

-259 « Il n’y a aucune raison de croire à la responsabilité humaine sur le changement climatique, car rien ne met ce phénomène en évidence ». Antonis Christofides - Sciences de la Terre - Water Resources - National Technical University of Athens (GR)

-238 « La responsabilité humaine dans le réchauffement climatique est un mythe, et ceux qui y croient relayent en fait une propagande politique » Hilton Ratcliffe - Astrophysicien - Mathématicien (South Africa)

-239 « Les changements climatiques ne sont pas dus aux activités humaines, mais bien aux variations du rayonnement solaire et aux mouvements orbitaux de la Terre ». William W Vaughan - PhD - Météorologue - Spécialiste de l’atmosphère à la NASA - Ex chef de division au Marshall Space Flight Center (USA)

-240 « Un climat plus doux ne posera aucun problème majeur à l’humanité dans son ensemble, et sera bon pour la diversité ». Josef Reichholf - Biologiste - Professeur en Sciences Environnementales Université de Munich - Directeur du Conservatoire Zoologique de Munich (D)

-241 « L’allégation selon laquelle 97% des climatologues croient en l’origine humaine du réchauffement climatique est mensongère ». John Shade - Physicien - ex météorologue - Consultant en statistiques (GB)

-242 « On ne peut exclure le fait que les changements climatiques aient des explications naturelles, et que l’homme n’y soit pour rien ». Gosta Walin - PhD - Physique théorique - Professeur émérite d’Océanographie - Sciences de la Terre Goteborg University (S)

-243 « Beaucoup de scientifiques s’élèvent contre l’affirmation selon laquelle il y aurait consensus sur l’origine humaine du réchauffement climatique ». Thomas Sheahen - PhD - Physicien MIT Massachusetts Institute of Technology (USA)

-244 « Les changements climatiques sont dùs aux cycles solaires et autres phénomènes naturels, et non aux gaz à effet de serre émis par les activités humaines ». Charles L Wax - PhD - Climatologue - Professeur Dept Geosciences Mississippi State University - Ex président American Association of State Climatologists.

-245 « Je suis sceptique quant à l’influence humaine sur les changements climatiques. Nous devons toutefois lutter contre les dommages que nous causons à l’environnement ». Walter Sharck - PhD - Océanographe - Spécialiste en Biologie Marine.

-246 « Les gouvernements ont dépensé des centaines de millions de dollars, soi-disant pour lutter contre le réchauffement global, alors qu’une période glaciaire est sans doute à nos portes ». Patrick Collins - Professeur Azabu University - Chercheur au Institute of Space and Astronautical Science (Japan)

-247 « Les fluctuations de l’ennuagement ont une influence prépondérante sur le réchauffement climatique. Les projections prévisionnelles informatiques ne peuvent en tenir compte ». Hans-Gunter Appel - Docteur Ingénieur en Sciences des Matériaux - Professeur en Sciences Appliquées Université de Wilhelmshaven (D) - Développeur des premiers générateurs solaires et éoliens.

-248 « Je ne crois pas que les changements climatiques soient liés en tout ou en partie aux activités humaines ». Bruce Schwoegler - BS - Météorologue (USA)

226- « Les politiciens liés au GIEC et les médias donnent une image fausse d’un prétendu consensus scientifique sur les scénarios climatiques du GIEC, alors que ceux-ci sont critiquables». Peter Stilbene - Professeur de Physique et Chimie - KTH Institute of Technology Stockholm (S)

227- « Un sentiment d’anxiété et de peur a remplacé le raisonnement scientifique dans la théorie du réchauffement climatique global » Tom Dunklee - Météorologue - Chief Atmospheric Scientist - Global Climate Center.

228- « L’augmentation du CO2 dans l’atmosphère est plus un phénomène naturel qu’une conséquence des activités humaines ». Charles R Andersen - PhD - Physique des matériaux.

229- « Essayer de modifier un changement climatique d'origine probablement naturelle en gaspillant de l'argent est un crime moral, alors qu'il y a dans le monde tant de problèmes de santé publique et d'approvisionnement en eau » . Clive Schaupmeyer - B.Sc - M.Sc- Agrologist - Climate studies ( Canada)

230- « La plupart des variations climatiques ne peut être expliquée par l’effet de serre ». Ralph B. Alexander - PhD - Physicien - Ex professeur Detroit State University (USA)

231- « Ce sont des mécanismes naturels, et non le CO2, qui sont les facteurs principaux du climat ». Diane Douglas - PhD - Paléoclimatologue - Archéologue.

232- Largement GIECosceptique, le site « Pensée Unique » est à consulter sans modération. http://www.pensee-unique.fr/index.html Il est animé par : Jacques Duran - Physicien - Directeur de Recherche au CNRS - Ex vice-président chargé de la recherche Université Pierre et Marie Curie (F)

233- « C’est une erreur de croire que l’on peut prévoir l’évolution du climat à 10 ou 30 ans, alors que notre connaissance de ses mécanismes est très parcellaire » Kari Mullis - PhD - Biochimiste - Prix Nobel de Chimie.

234- « Le mythe du réchauffement climatique est un leurre destiné à escamoter d’autres forces bien plus destructrices de la planète ». Denis Rancourt - PhD - Ex professeur de physique Université d Ottawa (Canada)- activiste militant-

235- « La théorie du réchauffement climatique causé par l’homme est une pseudo-science. Comme l’astrologie, n’importe quel évènement confirme cette théorie ». Frank Tipler - PhD - Physicien mathématicien - Professeur à Tulane University of New Orléans (USA)

236- « L’influence des activités humaines sur les changements climatiques est loin d’être établie ». Anastasios Tsonis - PhD - Physicien - Professeur Département des Sciences Mathématiques Milwaukee University - Spécialiste de la théorie du chaos appliquée à la météorologie.

237- « La récente tendance au réchauffement climatique ne peut être provoquée par l’augmentation du CO2 atmospérique due aux activités humaines ». Sallie Baliunas - PhD - Astrophysicienne - Astronome Harvard Smithsonian Center for Astrophysics (USA)

215- « Les modèles informatiques (montrant un réchauffement climatique) contiennent des hypothèses non fondées. Les projections informatiques sur l’évolution du climat qui en découlent sont assimilables à des horoscopes ». Kenneth P Green - Docteur en Sciences Environnementales - Chercheur American Enterprise Institute.

216- « Le débat sur le réchauffement dans l’Antarctique occidental est faussé par la localisation périphérique des stations de mesures, qui ne donnent pas un relevé correct de l’intérieur du continent ». Ross Hays - Sciences atmosphériques - NASA Columbia Scientific Balloon Facility -

217- « Le réchauffement climatique constaté le siècle dernier peut être expliqué en partie ou en totalité par le rayonnement solaire ou cosmique ». Jasper Kirkby - Physicien des particules - CERN (Centre Européen de Recherche Nucléaire).

218- « Le réchauffement global est causé par l’augmentation de l’activité solaire et les variations du champ magnétique ». Craig Idso - PhD - Géographe - Center for Study of Carbon Dioxid and Global Change (USA).

219- « Le réchauffement climatique causé par l’homme est un dogme. (…) Les corrélations historiques et géologiques entre les courbes de températures et les taux de CO2 ne permettent pas de déterminer où se trouve la cause et où est l’effet ». Albert F Jacobs - MSc - Géologue - Ex directeur de Friends of Science Society (Canada).

220- « L’irradiance solaire a un rôle prépondérant sur les variations de température de la troposphère. Il n’y a aucune influence humaine sur les changements climatiques ». Olavi Kärner - PhD - Tartus Observatory - Dept of Atmospheric Physics - (Estonia)

221- « La déclaration du NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) qui dit que les changements climatiques dus au CO2 émis par l’homme sont irréversibles pour les 1000 prochaines années, ne repose sur aucune base historique ou scientifique ». Harrison Schmitt - PhD - Géologue - Astronaute Apollo 17

222- « La fréquence des ouragans sur l’Atlantique a été anormalement faible au cours des années 1970 et 1980. L’augmentation constatée depuis 1995 est un retour à la normale, selon un cycle de 270 ans » Björn Malmgren - PhD - Professeur émérite en Géologie marine et Paléoclimatologie - Göteborg University (S)

223- « Il faut un débat ouvert et honnête sur les causes des changements climatiques. Si l’augmentation des gaz à effet de serre n’en n’était pas une cause significative, nous gaspillons nos ressources ». Douglas Leahy - PhD - Météorologue - Président de Friends of Science (Canada).

224- « Les océans dégagent de grandes quantités de CO2 suite à l’augmentation de la température globale. La cause et l’effet du réchauffement climatique sont mal compris par de nombreux scientifiques ». Leonid Khilyuk - PhD - Professeur d’ Engineering et modélisation Southern California University - Secrétaire scientifique Académie des Sciences Naturelles (Russie).

225- « La recherche sur le climat est aujourd’hui le meilleur exemple de la corruption de la science, (…)et de l’impact politique sur la recherche scientifique ». Ingemar Nordin - PhD - Professeur en Philosophie de la Science - Linköpings University (S)

204- « Au minimum 60% du réchauffement climatique récent est induit par des cycles naturels présents dans le système solaire » Nicola Scafetta - PhD - Physicien - Chercheur au dept Physique Duke University (USA)

205- « Les photos de Yann Arthus Bertrand sont traumatisantes et sans aucun rapport avec la réalité. Je regrette leur large diffusion dans les écoles ». Alain Miossec - Recteur de l’Académie de Rennes - Professeur de géographie à l’Université de Nantes - Ex directeur de l’Institut de Géographie.

206- « Les variations de température de ces 100 dernières années sont en grande partie imputables à des variations naturelles ». Frederick Seitz - PhD - Physicien - ex Président de la National Academy of Sciences (USA)

207- « Il semble que nous exagérions la question du réchauffement climatique comme s’il s’agissait d’un phénomène nouveau, alors qu’il s’est déjà produit de nombreuses fois conformément aux cycles glaciaires ». BPR Radhakrishna - PhD - Géologue - Ex directeur Geological Society of India - (admet toutefois une certaine influence humaine sur les changements climatiques)

208- « Il faut condamner le bourrage de crâne médiatique sur le changement climatique, un sujet qui souffre d’une grande démagogie ». Jean-Robert Pitte - Géographe - Président de l’Université Paris VI (F)

209- « La Terre est maintenant entrée dans une période de refroidissement global qui durera au moins 20 ans ». Terri Jackson - Physicien - Climatologue - Independant Climate Research Group (GB)

210- « Après toute la désinformation menée par Al Gore et ses amis, les vrais climatologues doivent montrer au public la nature réelle du problème ». Robert Durrenberger - PhD - Ex président de American Association of State Climatologists - Professeur émérite de Géographie Arizona State University (USA)

211- « L’idée d’un réchauffement climatique catastrophique réduit la science à un jeu politico-économique. La tactique de la peur et la science tronquée sont au service de lucratifs contrats ». Gordon J. Fulks - PhD - Physicien.

212- « Pour l’évaluation scientifique du réchauffement global, seul l’examen de tous les paramètres est correct. Or, le gouvernement (néo-zélandais) ne prend en compte qu’un seul point de vue : celui qui conforte sa politique (de lutte contre le réchauffement climatique) ». RW Gauldie - PhD - Professeur émérite Hawai Institute of Geophysics and Planetology.

213- « Il est plus exact de dire que le CO2 est l’un des multiples composants des changements climatiques, plutôt que le principal ». Ole Humlum - PhD - Professeur Institute of Geosciences - University of Oslo (N).

214- « On commence à douter que la très faible proportion des gaz à effet de serre d’origine humaine aurait un effet notable sur le climat planétaire ». Albrecht Glatzle - PhD - Agrobiologiste - Directeur scientifique de INTTAS (Paraguay).

- « Nous savons qu’il y a eu en France, plus d’ouragans au XVIIIe siècle qu’au XXe ». Emmanuel Garnier - Historien - Maître de conférence à l’Université de Caen (F). (Adhère par ailleurs globalement aux conclusions du GIEC)

- « Quant à la prétendue influence humaine sur le climat, nous devrions rendre la science indépendante de la politique, et revenir à la méthodologie scientifique. Celle-ci n’a rien à voir avec la foi ». Bob Zybach - PhD - Environmental Sciences Program - Oregon State University - Ecologie de la forêt (USA)

- « Il y a une forte corrélation entre la masse glaciaire dans les Alpes suisses, et la variabilité de l’activité solaire. Cette influence sur les masses glaciaires est bien plus importante qu’estimée auparavant ». Anne Hormes - PhD - Ex professeur associée en Géologie du Quaternaire - Centre universitaire du Svalbard (Spitzberg) (N)

- « Le scénario avancé par le GIEC (sur l’influence humaine dans les changements climatiques) est en contradiction avec les preuves empiriques des archives géologiques. (…) C’est l’activité solaire qui est à la base des changements climatiques. Tim Patterson - PhD - Paléoclimatologue - Professeur de Géologie et Directeur du Geoscience Center Carleton University - (Canada)

- « Les données livrées par les carottes glaciaires démontrent que les changements climatiques précèdent les modifications de CO2 atmosphérique de plusieurs centaines d’années » Ernst Georg Beck - Biochimiste - Professeur à Merian Schule Freiburg (D) Auteur d’une étude sur le CO2 atmosphérique.

- « (Le scandale du réchauffement global) est la plus grande et la plus efficace fraude pseudo scientifique que j’ai pu voir dans ma carrière de physicien, portée par les milliards de dollars de la corruption scientifique ». Harold Lewis - Physicien - Professeur émérite University of California (Santa Barbara).- Membre démissionnaire de l’American Physical Society.

- « Les changements climatiques induits par l’homme sont négligeables, parmi les forces globales naturelles ». George V. Chilingar - PhD - Géologue - Président de l’US Branch Académie des Sciences Naturelles (Moscou) - Professeur de Civil and Petroleum Engineering University of Southern California (USA).

- « Les changements climatiques observés sont causés par les variations du rayonnement solaire ». Willie Soon - PhD - Astrophysicien Harvard Smithsonian Center for Astrophysics (USA)

- « Les ours polaires ont toujours prospéré dans des périodes plus chaudes qu’aujourd’hui , comme au Haut Moyen Age et pendant l’optimum holocène. Susan Rockford - PhD - Paléo zoologiste - Professeur adjoint d’anthropologie University of Victoria (Canada)

- « Une combinaison de science mal interprétée et de lobbies politiques ont créé l’hystérie actuelle centrée sur le mythe du réchauffement climatique ». August Auer - Météorologue - Professeur émérite des Sciences Atmosphériques Université du Wyoming.

- « L’ Arctique ne se réchauffe pas, il se refroidit depuis 1998 (…) Le système climatique est très complexe et le GIEC ne détient pas la vérité absolue ». Oleg Pokrovsky - Voeikov Main Geophysical Observatory (Russie).

- « La climatologie est la moins exacte des sciences contemporaines. Que des experts se permettent de jeter des fatwas sur les contradicteurs du rapport du GIEC est vraiment navrant ». Said Rachafi - PhD - Physicien - ex professeur à l’Université Catholique de Louvain et à la Faculté des Sciences de Tanger.

- « Le consensus sur la responsabilité humaine quant aux changements climatiques est en train de s’effriter. Les données scientifiques sont plus fragiles et moins concluantes qu’on le croit ». Benoit Rittaud - Mathématicien - Maître de conférence à l’Université Paris XIII (F).

- « Sans véritable preuve scientifique, le GIEC devrait cesser son alarmisme climatique ». Aksel Wiin Nielsen - PhD - Professeur émérite Sciences Géophysiques Université de Copenhague (DK)- Ex directeur de l’Organisation Météorologique Mondiale-

- « Aujourd’hui l’écologie, la peur du réchauffement climatique engendrent des visions de transes et de cauchemars comme au Moyen-Age la peur du diable, de l’antéchrist ou de la fin du monde ». Jacques Le Goff - Agrégé d’histoire - Spécialiste du Moyen-Age. (F)

- « Le réchauffement de l’Arctique n’est pas dû à l’augmentation du CO2, mais aux courants qui amènent l’eau chaude du Pacifique et à l’effet des vents soufflant de la Mer de Bering ». Mitchell Taylor - PhD - Biologiste - Spécialiste de l’étude des ours polaires - Ministère de l’Environnement Gouvernement du Nunavut (Canada).

- « Même si l’on fermait toutes les usines dans le monde, détruisait chaque auto et chaque avion, éteignait toute production d’énergie, le climat se modifierait encore, et souvent de façon spectaculaire ». Philip Stott - Professeur émérite de biogéographie - School of Oriental and African Studies - University of London (GB)

- « Le cycle solaire de 11 ans a une influence sur les modifications climatiques, en raison notamment des fluctuations du rayonnement solaire ». Tung Ka-Kit - PhD - Professeur de mathématiques appliquées - Professeur adjoint en Sciences Atmosphériques Université de Washington (USA)

- « Sans doute consacrons-nous trop de ressources pour corriger l’impact humain sur les changements climatiques, sans certitude que nous y soyons vraiment pour quelque chose ». Bill Barrow - Climatologue - Membre du Royal Meteorological Society (Canada).

- « Des milliers de scientifiques dans le monde pensent que le CO2 n’est pas le responsable des changements climatiques » Art Horn - Météorologue - Professeur de Météorologie Naugatuck Valley Community Collège - Collaborateur de programmes météo radio-tv (USA)

- « Le recul des glaciers est dû en partie à des changements climatiques naturels, causés par les cycles de variation de température de l’Atlantique Nord ». Martin Funk - Glaciologue - Professeur de glaciologie Ecole Polytechnique de Zürich (CH)

- « Le rôle du CO2 (dans les changements climatiques) doit être remisé au rayon des farces et attrapes. C’est bien sûr le soleil qui est l’acteur principal de ces variations ». Louis Reynaud - Spécialiste des fluctuations des glaciers - Maître de conférence et chercheur en glaciologie Université de Grenoble (F).

- « Il y a des signes montrant que le système climatique s’adapte et s’auto-règlemente. Ceci n’est pas pris en compte dans les modèles du GIEC ». Christian Beer - Max Planck Institute for Biochemistry (D)

- « Les phénomènes météorologiques extrêmes ont toujours existé, et ne peuvent être imputés à l’activité humaine ». Joe Bastardi - Météorologue - Collaborateur météo de médias TV (USA)

- « Les hautes couches de l’atmosphère terrestre se sont refroidies de façon inattendue depuis la faible activité solaire qui dure depuis 2007, et qui pourrait se prolonger pendant les 10 à 30 prochaines années ». Stanley Solomon - PhD - Professeur Université du Colorado - Chercheur au National Center for Atmospheric Research (USA)

- « Je n’ai constaté aucun lien scientifique entre le CO2 d’origine humaine et le réchauffement climatique. Des modèles informatiques incomplets négligent un trop grand nombre de variables ». John W Brosnahan - Physicien - Professeur émérite Université du Colorado dépt Astrophysique.

- « Une température ne définit pas à elle seule un climat. Le réchauffement de l’atmosphère de moins de 1°C a provoqué surtout un échauffement des esprits ». Martine Tabeaud - Géographe - Climatologue - Professeur de Géographie Université de la Sorbonne (F).

- « Au cours de ces dernières années, les observations montrent de façon écrasante que les émissions de gaz à effet de serre n’ont aucun rôle perceptible dans les changements climatiques ». Göran Ahlgren - PhD - Professeur de chimie organique - Stockholm (S)

- « Pour ce qui concerne la fonte des glaces en Arctique, il faut compter avec la variabilité naturelle et ne pas tout attribuer au réchauffement climatique ». Ola Johannessen - Océanographe - Président de l’Académie pour la recherche polaire - Professeur à l’Université de Bergen (N).

- « Les fluctuations du champ magnétique terrestre pourraient être à l’origine de certaines variations climatiques ». Yves Gallet - Directeur du Laboratoire de Paléomagnétisme de l’Institut de Physique du Globe - Chercheur au CNRS (F).

- « Le fait de ne pas inclure l’activité solaire dans les modèles climatiques est synonyme de naïveté ». Jay Lehr - PhD - Sciences de l’environnement - Science Director of Heartland Institute (USA)

- « La quantité de méthane larguée par les océans a été sous-évaluée et non prise en charge par le GIEC. Sa contribution dans le réchauffement climatique est plus importante que prévu ». Evan A Solomon - PhD - Sciences de la Terre - Institut d’Océanographie - University of California (USA).

- « Le fait que la zone de glace de l’Arctique serait en baisse globale se fonde sur des données partielles ». Jock Allison - PhD - Ex Directeur de recherches en Sciences agricoles (NZ).

- « Il n’existe aucune preuve que le CO2 soit à l’origine d’un quelconque changement climatique. Par conséquent, se soucier du CO2 n’est pas pertinent ». Piers Corbyn - Astrophysicien - Météorologue.

- « Il y a un lien net entre le magnétisme terrestre et l’évolution du climat(…) Les données utilisées par le GIEC doivent faire l’objet d’une analyse critique ». Vincent Courtillot - Géophysicien - Professeur Université Paris Vll - Directeur de l’Institut de Physique du Globe (F).

- « Après avoir réétudié le problème, j’ai modifié mon point de vue sur l’origine humaine des changements climatiques. Il n’est pas possible que le CO2 anthropique soit à l’origine de ceux-ci ». William McClenney - Géologue - ex vérificateur de l’Environnement - Victoria (AUS).

- « L’atmosphère est un système très complexe. Je suis sceptique quant à l’origine humaine sur les changements climatiques, et je suis impressionné par le nombre de collègues qui doutent également de cette origine ». Frederic Wolf - Professeur de Météorologie et Climatologie - Keen State College New Hampshire (USA)

- « Le plafonnement des émissions humaines de CO2 n’aura aucun effet sur le climat. Son seul effet sera une augmentation du chômage en Europe ». Benny Peiser - Faculté des Sciences - John Moores University (GB)

- « Dans le cadre d’une étude sur 2000 ans, le réchauffement climatique récent est conforme à la tendance naturelle, semblable à la période de réchauffement médiéval ». Craig Loehle - Docteur en Ecologie Mathématique - National Council for Air and Stream.

- « Les données récentes montrent que le rapport entre la fraction atmosphérique de CO2 et la fraction émise par les activités humaines est restée approximativement stable depuis 1850 ». Wolfgang Knorr - Professeur au Département des Sciences de la Terre - Bristol University (UK)

- « Le réchauffement climatique n’est pas la cause de la disparition des récifs coralliens ». Gary D. Sharp - PhD - Biologiste marin - Directeur scientifique du Center for Climate/Ocean Resources Study.

- « L’atmosphère de la planète Mars se réchauffe pour des causes assez proches que celles qu’on connaît sur Terre, dont la fonte des calottes glaciaires ». Lauri Fenton - Ames Research Center (NASA) (USA)

- « La méthode d’étude du GIEC est déficiente à la racine. Contrairement à ce qu’affirme le GIEC, il n’y a à ce jour aucune preuve définitive que le réchauffement actuel soit principalement dû à l’effet de serre ». Syun Ichi Akasofu - PhD - Ex-directeur de l’International Arctic Research Center - University of Fairbanks (Alaska USA) - professeur émérite de Géophysique.

- « Le réchauffement global créé par l’homme n’est qu’une hypothèse parmi d’autres (…) La question climatique est trop complexe pour que lui soit appliquée une réponse définitive ». Jean-Louis Le Mouël - Géophysicien - Physicien émérite à l’Institut de Physique du Globe - ex-Président de la Société Géologique de France.

- « Après avoir obtenu les données brutes utilisées par le GIEC (pour le calcul des courbes de température) je suis choqué par ce travail bâclé ».Peter Webster - PhD - Météorologue - Professeur Ecole des Sciences terrestres et atmosphériques - Georgia Institute of Technology (USA).

- « Les recherches sur le climat ont été influencées par la politisation, comme aucune autre branche scientifique ».Hans Von Storch - Climatologue - Professeur au Meteorogical Institute - Université de Hambourg(D)

- « Les scientifiques devraient pouvoir se détacher de leurs théories et les réviser au vu des nouvelles découvertes. La recherche (climatique) doit être basée sur des certitudes, et non sur des croyances ». Reinhard Hüttl - PhD - Directeur du German Research Center for Geosciences - Potsdam (D)

- « Les deltas des principaux fleuves mondiaux s’enfoncent d’eux-mêmes plus rapidement que la mer ne monte ». James Syvitski - PhD - Géologue - University of Colorado.

- « Le travail (du GIEC) a été trop politisé pour que la communauté paléoclimatique puisse réévaluer ses positions publiques sans perdre sa crédibilité ». Edward Wegman - PhD - Professeur de sciences statistiques - George Mason University (USA).

- « Le rayonnement solaire a bien un rôle important dans les changements climatiques ». Eigil Friis-Christensen - PhD - Physicien - Directeur du Danish National Space Center.

- « Il est difficile d’évaluer l’impact du réchauffement climatique sur le nombre et la force des cyclones, ceux-ci étant soumis à une oscillation naturelle tous les 20 à 30 ans ». Michel Desbois - Directeur de recherches - Laboratoire de Météorologie du CNRS (F).

- « On peut identifier une grande corrélation entre les taches solaires, l’activité magnétique du soleil et leur influence sur le champ magnétique terrestre, et les anomalies climatiques ». Robert Baker - PhD - Professeur agrégé Sciences Environnementales - University of New England (AUS)

-  « On ne peut lier la tendance à l’aggravation des cyclones au réchauffement climatique. La série est bien trop courte pour généraliser ». Kerry Emanuel - Climatologue - Professeur de météorologie - Massachusetts Institute of Technologie (USA).

- « Bien sûr qu’il y a un réchauffement climatique, et ceci depuis la fin du mini-âge glaciaire qui s’est terminé au XIXe siècle ». Reid Bryson - Géologue - Météorologue - Sciences de l’atmosphère - Professeur émérite Université du Wisconsin (USA)

- « J’ai entendu des histoires scandaleuses de la part de collègues qui ont essayé de faire publier des thèses en désaccord avec les vues du GIEC. Il y avait un comportement totalement contraire à l’éthique de la part de certains éditeurs ». William Briggs - Statisticien climatique - American Meteorological Society - Probability Statistics Committee.

- « Il subsiste des incohérences importantes entre les températures relevées au niveau du sol ou au niveau océanique, et les enregistrements par satellites. Philip J. Klotzbach - PhD - Dept Sciences Atmosphériques Colorado State University. (USA)

- « Rien n’établit que le CO2 soit la cause d’un réchauffement climatique. La plupart des changements climatiques sont le fait de variations naturelles » . George Taylor - Météorologue - Collège des Sciences Océaniques et Atmosphériques Université d’Oregon - ex-président de l’Association Américaine des Climatologues d’états.

- « La menace présumée des prétendues armes de destructions massives de Saddam Hussein a eu d’importantes conséquences géopolitiques. Prenons garde que ceux qui cherchent à amplifier les risques liés aux changements climatiques ne nous conduisent à des conséquences similaires ». Mike Hulme - Professeur de Sciences environnementales East Anglia University (GB)- ex directeur du Tyndall Centre for Climate Change Research.

- « Il n’existe aucune preuve de l’influence du CO2 dans le processus climatique ». Jarl R. Ahlbeck - PhD - Professeur associé de Technologie Environnementale Abo Akademi University (Finland) - ex membre de Greenpeace.

- « Les orientations prises quant au réchauffement climatique ne seront pas décidées sur des bases scientifiques, mais sur base d’intérêts politiques et économiques ». Benny Peiser - Professeur d’Anthropologie Sociale - Faculté des Sciences Liverpool John Moores University (GB).

- « Toutes les périodes glaciaires ont commencé par une élévation de la température globale. Le récent réchauffement est naturel et précède un nouvel âge glaciaire ». George Kukla - Paléoclimatologue - Professeur émérite de Climatologie Columbia University - Chercheur au Lamont-Doherty Earth Observatory (USA).

- « Malheureusement, la climatologie est devenue une idéologie. Il est tragique de constater que certains scientifiques -peut-être bien intentionnés- ont attisé une frénésie mondiale sur un phénomène pour le moins douteux (l’influence humaine sur les changements climatiques) ». Robert H. Austin - PhD - Physicien - Professeur Princeton University (USA).

- « Les éléments qui influencent le climat sur le long terme ne sont pas connus avec assez d’exactitude que pour déduire (l’origine) d’éventuels changements climatiques ». Jack Barrett - PhD - Professeur au King’s College London.

- « On prétend que le réchauffement climatique de ces 100 dernières années est dû aux gaz à effet de serre d’origine humaine, avec une certitude de 90% . J’en suis très surpris, sachant que les modèles utilisés sont hautement incertains ». Ben Herman - PhD - Directeur de l’Institut de Physique Atmosphérique - Université de l’Arizona (USA).

- «Pour ce qui concerne le réchauffement climatique, je suis préoccupé par le fait que nous sommes passés d’un manque total de précautions à une panique irrationnelle, et que nous prenons des décisions basées sur la peur plutôt que sur des bases scientifiques ». Daniel B. Botkin - PhD - Biologiste - Professeur d’Ecologie et de Biologie Marine University of California (Santa Barbara) - Professeur de Biologie George Mason University.

- « On peut relever la concordance historique entre l’activité solaire et le climat de la Terre ». Douglas V. Hoyt - Climatologue - Physique du Soleil.

- « Il apparaît que les résultats des modèles climatiques sont en désaccord avec les températures observées dans la troposphère ». David H. Douglass - PhD - Département de Physique et Astronomie - Université de Rochester (USA)

- « C’est l’océan qui est l’acteur principal de l’évolution du climat mondial ». Hans Jurgen Krock - PhD - Professeur d’Océanographie Université de Hawai (USA)

- « Nous pourrions être proche d’un refroidissement climatique d’une durée de 20 ou 30 ans ». Mojib Latif - Institut Leibniz des Sciences Climatiques Université de Kiel (D) - Collaborateur du GIEC.

- « Le traitement des données (par le GISS et utilisées par le GIEC) est une parodie de science commise par des scientifiques pour faire avancer un agenda politique pro-réchauffement ». Joseph d’Aleo - Climatologue - ex professeur de météorologie Lyndon State College (USA).

- « Le climat terrestre est entièrement dépendant de l’activité solaire ». Kenneth Tapping - PhD - Radioastronome - Sciences de l’Espace - Herzberg Institute of Astrophysics (Canada)

- « Le débat sur les changements climatiques souffre de l’exclusivité donnée aux scientifiques financés par les gouvernements ». Len Walker - Ingénieur Civil - Institut australien des Ressources Minières.

- « Les modèles climatiques (utilisés par le GIEC) n’ont pas correctement intégré les effets du vent sur la circulation océanique, donc l’erreur a été compensée en surestimant l’importance du rôle de l’homme dans la fonte de la glace polaire ». Joëllen Russel - Professeur assistant en Géosciences - Université de l’Arizona.

- « Nous ignorons encore beaucoup de paramètres sur la mécanique et la dynamique des changements climatiques ». Gordon E Swaters - PhD - Mathématiques appliquées et Physique des Océans - Université d’Alberta.

- « La récente augmentation de la fréquence des ouragans en Atlantique Nord n’a rien à voir avec le réchauffement climatique, mais bien avec le cycle naturel de l’oscillation Nord-Atlantique ». Max Mayfield - ex directeur du National Hurricane Center (Floride) - Président régional de l’Organisation Météorologique Mondiale.

- « Le protocole de Kyoto est fondé sur de la science imparfaite, et est sans réel fondement scientifique ». Paavo Siitam - PhD - Professeur émérite biologie-chimie-physique à Combourg (Ontario) - Astrophysique théorique Norwegian Space Center.

- « Il n’y a aucune preuve solide que l’accroissement de CO2 dû aux activités humaines soit à l’origine ou entraînerait des changements dangereux du climat mondial ». Chris de Freitas - PhD - Professeur associé de Géologie et de sciences environnementales Université de Auckland (NZ) -Vice-président de la Meteorogical Society (NZ)

- « Il est temps pour le GIEC de s’attaquer à ses erreurs, ou de perdre toute crédibilité ». Robert Watson - PhD - Conseiller scientifique au ministère britannique de l’Environnement - Ex membre du GIEC démissionnaire en 2002.

- « Concernant les effets du réchauffement climatique en Afrique repris dans le rapport du GIEC, je ne trouve dans ce rapport aucune preuve de ce qui est avancé » . Chris Field - Professeur de Biologie et Environnement Université de Stanford (USA) -Lead author auprès du GIEC.

- « Il est absurde de mettre (le réchauffement climatique) sur le dos du seul CO2. L’urbanisation, l’évolution de l’utilisation des terres, la déforestation, le volcanisme, l’activité solaire ont une influence beaucoup plus importante pour l’évolution du climat ». Harry Priem - PhD - Professeur émérite de géologie planétaire et de géophysique Universtité d’Utrecht (NL) - ex directeur du Netherlands Institute for Isotope Geosciences.

- « Le rôle du soleil dans les changements climatiques est grandement sous-estimé. Il existe bien une forte corrélation entre l’activité solaire et le climat ». Bas Van Geel - PhD - Paléobiologiste - Institut de la Biodiversité Université d’Amsterdam (NL).

- « Dans les débats publics sur les changements climatiques, on ignore la question fondamentale : qu’est-ce qu’un climat normal ? Je ne peux accepter l’idée que le réchauffement global soit causé par une origine humaine ». Brian Prat - PhD - Sédimentologiste - Paléontologue dept des Sciences Géologiques University of Saskatchewan (Canada)

- « Le climat est un système très complexe. Il n’y a aucune preuve que les changements climatiques soient causés par l’activité humaine ». Al Pekarek - PhD - Professeur associé de Géologie et Sciences Atmosphériques - St Cloud State University (Minnesota).

- « Il n’est pas établi que l’augmentation de CO2 atmosphérique provoque un réchauffement climatique perceptible, et ce n’est certainement pas accepté par la majorité des scientifiques ». Garth W Paltridge - PhD - Physicien de l’atmosphère - Professeur émérite et ex directeur de l’Institut des Recherches de l’Antarctique et de l’Océan Pacifique - Université de Tasmanie (AUS)

- « La machine de propagande du GIEC est somptueuse. Il devient de plus en plus difficile d’obtenir des crédits de recherche si on ne s’affirme pas en faveur des thèses du réchauffement climatique dû à l’homme ». Cliff Ollier - PhD - Géologue - Professeur émérite Ecole des Sciences de la Terre - University of Western (AUS)

- « Le système climatique comprend toute l’atmosphère, les océans, les terres émergées, les systèmes glaciaires et l’influence solaire. Les modèles actuels ne sont pas capables d’une projection correcte ». James J O’Brien - PhD - Professeur émérite de Météorologie et Océanographie - Florida State University.

- « Le GIEC rejette tous les modèles non-conformes aux leurs. Nous sommes face à un scandale scientifique profond ». Peter Stilbs - PhD - Professeur de Chimie Physique - Institut Royal de Technologie - Stockholm (Suède).

- « Aucune corrélation n’est prouvée entre les modifications de la température moyenne mondiale et la moyenne de CO2 atmosphérique ». Dirck Thoenes - PhD - Professeur émérite d’ingéniérie et chimie - University of Technology - Eindhoven (NL)

- « L’élément déterminant de notre climat est le soleil. En analysant les cycles des taches solaires, certains astrophysiciens prédisent un refroidissement plutôt qu’un réchauffement, et les conséquences en seraient bien pires ». Gerrit Van der Lingen - PhD - Géologue - Paléoclimatologue.

- « La gigantesque et triste farce mondiale qu’est l’affaire du réchauffement climatique pose la question de l’évolution de la méthode scientifique au XXle siècle, surtout lorsque des décisions politiques lourdes de conséquences peuvent en découler ». Xavier Driancourt - PhD - Spécialiste des modélisations - Computers Sciences and Statistics.

- « La hausse des concentrations en CO2 atmospérique ne peut être imputée à l’activité humaine. (…) Les mesures de températures terrestres sont soumises à beaucoup d’incertitudes, dont les effets des ilôts de chaleur et le manque de mesures océaniques ». Tom Quirck - PhD - Physicien.

- « Je ne sais pas ce qu’il se passe (au GIEC) , mais ce n’est pas de la science ». Ross McKitrick - Professeur Economie de l’Environnement - University of Guelph (Canada).

- « La théorie de l’origine humaine du réchauffement climatique n’est pas scientifiquement prouvée ». Patrick Moore - PhD - Docteur en Science - Président de Greenpeace Canada démissionnaire en 1986.

- « Depuis 1998 jusqu’aujourd’hui (2008), la température globale a baissé de 0,2°c, voire 0,3°c dans l’hémisphère Sud, alors que les émissions de CO2 anthropique n’ont fait qu’augmenter ». Horst Malberg - PhD - Professeur de Météorologie et Climatologie - Institut de Météorologie de Berlin (D).

- « La quantité de CO2 que nous produisons est insignifiante au vu des échanges naturels air-eau-sol. Les résumés (du GIEC) ont distordu la science. Le processus est tellement vicié que le résultat équivaut à une fraude ». Philip Lloyd - Physicien nucléaire - Ingénieur chimiste - ex coordinating author au GIEC.

- « Il est très important de prendre en compte tous les facteurs influant les changements climatiques, et pas seulement l’influence présumée des activités humaines ». John Maunder - PhD - Climatologue - ex président de la Commission de Climatologie de l’Organisation météorologique Mondiale -

- « (Dans l’affaire du réchauffement climatique) c’est la tromperie et l’affirmation de dogmes idéologiques au nom de la science qui me choque ». Graham Smith - PhD - Professeur associé - Dépt de Géographie - University of Western (Ontario)

- « Le réchauffement climatique actuel n’est pas lié aux activités humaines. Les changements cycliques se sont produits et continueront à se produire ». Vitali Bouchoulev - Directeur de l’Institut de Stratégie énergétique (Moscou)

- « L’Antarctique fond de moins en moins depuis 1980, et nous sommes parvenus à un minimum historique de fonte des glaces». Patrick J. Michaels - ex professeur de Sciences Environnementales de l’Université de Virginie - ex climatologue de l’Etat de Virginie.

- « La climatologie est une science malade. Ceci n’est plus de la science authentique, mais une croyance. Les mails du ’climategate’ démontrent l’intention de tromper ». Arthur Rorsch - PhD - Professeur émérite de génétique moléculaire Leiden University

- « Le GIEC a un discours plus géopolitique que scientifique. Les glaciers sont en extension dans certains endroits et en recul dans d’autres». Robert Vivian - Docteur en glaciologie - ex directeur département Géographie et Environnement Université de Cergy Pontoise.

- « Le premier principe de la causalité est que la cause précède l’effet. L’histoire montre que les changements climatiques précèdent l’augmentation de CO2 atmosphérique ». Howard C. Haydn - PhD - Professeur émérite de Physique - Université du Connecticut.

- « L’effet de serre dû au CO2 (…) décrit un mécanisme fictif dans lequel l’atmosphère terrestre se comporte comme une pompe à chaleur(…). Selon la 2e loi de la thermodynamique, une telle machine planétaire ne peut jamais exister ». Gerhard Gerlich - Professeur de Physique Théorique - Institut fur Mathematische Physik - Braunschweig.

- « Bien que les politiciens offrent des solutions simplistes comme le protocole de Kyoto, le climat continue son évolution naturelle. Le débat anthropocentrique amène les gens à croire qu’ils peuvent modifier cet état de chose ». Lee C. Gerhard - PhD - Senior scientist université du Kansas - Géologue au Kansas Geological Survey.

- « La théorie du réchauffement climatique causé par l’activité humaine est la plus dangeureuse, la plus ruineuse et constitue la plus grande manipulation de l’histoire ». Ian Plimer - Géologue - Professeur émérite des Sciences de la Terre - Université de Melbourne.

- « Les changements climatiques sont inévitables. Le climat est en constante évolution et continuera à changer, quoique nous fassions». Fred Michel - PhD - Directeur de l’Institut des Sciences environnementales - Professeur associé des Sciences de la Terre - Carleton University (Canada).

- Toute augmentation éventuelle de CO2 n’aura aucun effet sur la densité de la couche de gaz à effet de serre ».Lubos Motl - PhD - Physicien théoricien - ex professeur adjoint Harvard University.

- « La banquise antarctique est globalement stable ou en expansion. Certains changements n’ont rien à voir avec le réchauffement climatique, mais sont liés à des variations naturelles ». Duncan Wingham - PhD - Physicien - Professeur de Physique Climatique University College of London- Directeur du Centre pour l’Observation Polaire et la Modélisation.

- « Depuis quelques années, l’Océan Pacifique se refroidit. Ceci est à mettre en corrélation avec le refroidissement de la planète qui se constate depuis quelques années, et qui résulte d’une oscillation régulière ». Don J. Easterbrook - PhD - Professeur émérite de géologie Western Washington University.

- « Les données météo ne remontent qu’à 1860. Le rapport du GIEC ne tient pas compte d’une période de refroidissement ainsi que d’une période de réchauffement du dernier millénaire ». Wibjorn Karlen - PhD - Professeur émérite de Géographie physique et de Géologie du Quaternaire Université de Stockholm.

- « Je n’approuve pas l’idée que le réchauffement global soit le fait de l’homme ». David Kear - Géologue - ex directeur du Département de Recherches Scientifiques et Industrielles de Nouvelle Zélande.

- « Depuis 1998, la température moyenne s’est globalement stabilisée, alors que les émissions de CO2 anthropique dans l’atmosphère se sont poursuivies. Ceci n’est pas conforme aux prédictions du GIEC». Salomon Kroonenberg - Géologue - Université de Delft (NL).

- « L’activité humaine ne représente aucun danger pour le climat. Ce sont des motifs politiques et idéologiques qui développent des alarmes irrationnelles sur le réchauffement climatique ». Roy Spencer - PhD - Spécialiste des mesures de température par satellites - Chercheur Alabama University - ex chercheur en études climatiques à la NASA -

- « Les médias pontifient sur le réchauffement climatique sans réelle compréhension sur les mécanismes du climat, choses que nous-mêmes ne maîtrisons pas ». Sonja A.Boehmer Christiansen - PhD - Professeur département de géographie - Hull University .

- « Le réchauffement climatique est devenu une idéologie (…) Le problème est quand les décideurs deviennent membres de cette secte, et dépensent des millions pour démontrer leur idéologie ». José Ramon Arevalo - PhD - Docteur en sciences biologiques - Professeur d’écologie université de La Laguna (ESP).

- « Plus que les émissions de CO2, les modulations du champ magnétique solaire modifient la couverture nuageuse et son pouvoir réfléchissant, ce qui entraîne des fluctuations thermiques et donc climatiques ». Nir Shaviv - PhD- Astrophysicien - Professeur de physique et sciences du climat université de Jerusalem.

- « Le rayonnement cosmique affecte la formation des nuages (…) et l’effet de serre. Le champ magnétique solaire s’est renforcé ces trois dernières décennies. Les recherches dans ce sens sont encore dans l’enfance ». David Evans - Ingénieur mathématicien - ex chercheur sur la traçabilité du carbone pour le Gouvernement Australien.

- « Les émissions de CO2 ne sont pas la cause des changements climatiques. Ceux-ci sont causés par le système dynamique Terre-Soleil-Cosmos ». Lance Endersbee - Ingénieur civil - Spécialiste des ressources hydrauliques - Professeur émérite Monash University (Melbourne).

- « Le climat change tout le temps. Cela ne constitue pas en soi une menace pour l’humanité. Intégrer les activités humaines dans ce processus est la plus grande escroquerie des temps modernes ». Fred Singer - Physique de l’atmosphère - Professeur émérite en sciences de l’environnement de l’Université de Virginie.

- « Les modèles climatiques actuels, utilisés pour prévoir des situations apocalyptiques, occultent les phénomènes naturels qui sont des causes bien plus importantes ». David Legates - Climatologue - Professeur associé de Géographie et Sciences Océaniques de l’université du Delaware.

- « Les erreurs des modèles sont un problème sérieux. Nous avons un long chemin à faire pour les corriger. Elles détériorent nos prévisions (climatiques) ». Tim Stockdale - Centre européen des prévisions à moyen terme - Membre du GIEC.

- « Les modifications climatiques (…) s’expliquent essentiellement par les liens Soleil-Terre, l’activité solaire et d’autres facteurs. Il y a tout lieu de penser que les prévisions sur le réchauffement climatique ne vont pas se réaliser ». Lev Karline - Recteur de l’université d ‘Hydrométéorologie de Saint-Petersbourg.

- « Puisque nous ne comprenons pas l’intégralité de la physique du climat, il est prématuré de la modéliser et de croire aveuglément à leurs résultats » Stewart Franks - PhD - Professeur associé en physique environnementale université de Newcastle. - Président de la Commission Internationale sur le système atmosphère/Terre.

- « Le changement climatique actuel a des causes naturelles. Rien de ce qui arrive ne peut être considéré comme anormal ». Thomas B. Gray - Météorologue - Paléoclimatologue National Océanic & Atmospheric Administration.

- « L’affaire du réchauffement climatique est déguisée comme de la science. Mais c’est de la propagande, pas de la science ». Paul Reiter - Spécialiste des maladies propagées par les insectes - Responsable de service à l’Institut Pasteur - ex collaborateur du GIEC.

- « La corrélation entre le réchauffement éventuel et l’augmentation de CO2 est particulièrement faible. L’énergie solaire et les mouvements océaniques sont bien plus importants dans ce processus ». Don Aitkin - PhD - ex vice-chancelier et président de l’université de Canberra.

- « Les fontes dramatiques des glaces de l’Arctique résultent plutôt des cycles naturels que du réchauffement climatique ». Vicky Pope - prévisionniste climatique au Hadley Center.

- « Le CO2 atmosphérique n’est pas la cause du réchauffement global. C’est le réchauffement qui est la cause de l’augmentation de CO2, et non le contraire ». Robert H. Essenhigh - PhD - professeur en préservation de l’énergie - Ohio State University.

- « L’activité humaine n’est pas responsable des changements climatiques, mais bien le cycle naturel. Les ordinateurs permettent à un mauvais modèle d’être précisément faux ». William Gray - PhD Sciences Géophysiques - Spécialiste des ouragans - Professeur émérite des Sciences Atmosphériques Colorado State University.

- « Il est impossible de prouver un réchauffement climatique en se fondant sur les calculs actuels. On pourrait tout aussi facilement prouver un refroidissement ». Bjarne Andresen - PhD - Physicien - Professeur au Niels Bohr Institute - Université de Copenhague.

- »La température moyenne de l’Antarctique n’a augmenté que de 0,4°C au XXe siècle, contrairement aux prévisions des modèles. La fonte des glaces dans l’Antarctique durant l’été 2008-2009 (oct à janvier) a été le plus bas jamais enregistré dans l’histoire des observations par satellite (env 30 ans). Andrew Monaghan - Chercheur au National Center for Atmospheric Research (NCAR).

- « Les phénomènes physiques associés au climat sont parmi les plus complexes qui soient, et la science ne sait pas dire grand-chose sur leur évolution future ». Christopher Essex - PhD - co directeur du programme de physique théorique - Western University (Ontario).

- « Le débat actuel au niveau mondial sur le réchauffement climatique est dénué de presque tout aspect scientifique et a été politisé. Un débat libre et ouvert serait bénéfique ». Madhav Khandekar - PhD - Météorologiste - ex chercheur en sciences de l’environnement du Canada.

- « Il n ’existe aucune preuve (…) que les activités humaines aient un quelconque effet sur le climat mondial. En outre, le prétendu consensus sur les émissions de CO2 n’a aucun fondement dans la réalité ». John Nicol - Physicien - Président Australia Climate Science Coalition - James Cook University (Australie).

- « Les récentes découvertes montrent que la Terre entre dans une période de refroidissement. Le gouvernement devrait agir avec beaucoup de prudence dans la question des ’bourses carbone’ « . Owen McShane - Chargé de cours gestion stratégique et gestion des technologies - Auckland University.

- « Il n’est pas établi, comme le prétend le GIEC, que le CO2 soit responsable d’un quelconque réchauffement climatique. Les modèles utilisés par cet organisme sont incapables de simuler les variations de la couverture nuageuse ». Asmunn Moene - PhD - ex dirigeant du Centre de Prévisions - Institut météorologique norvégien.

- « Le facteur principal influençant le climat est l’activité solaire, et non les gaz à effet de serre ». Willie Soon - PhD - Astrophysicien - Harvard Smithsonian Center for Astrophysics.

- « L’activité humaine a un impact négligeable sur le climat, par rapport à l’activité solaire ». Henrik Svensmark - physicien - directeur du Center for Sun Climate Research - chercheur au Centre danois de la Recherche Spatiale.

- « Les gaz à effet de serre ne peuvent pas créer le moindre réchauffement climatique (…) Si réchauffement il y a, il ne peut provenir que de causes naturelles (…) sans que l’homme en soit responsable ». Miklos Zagoni - physicien - chercheur en science de l’environnement.

- « Les modèles climatiques sont au plus bons à expliquer les changements climatiques après coup ». Hajo Smit - météorologue - ex membre du comité néerlandais du GIEC. -

- « C’est la variation de l’activité solaire qui est le principal responsable des changements climatiques, comme dans le passé ». Ian Clark - Hydrogéologue - professeur des sciences de la Terre à l’université d’Ottawa .

- »Je ne vois pas la preuve évidente que l’activité humaine soit la cause unique du réchauffement climatique. Je vois plutôt l’utilisation aveugle de modèles climatiques ». John Christy - Professeur de sciences de l’atmosphère université de l’Alabama - ex rédacteur au GIEC.

- « Depuis le début de l’ère industrielle, les températures se modifient dans une ampleur comparable à ce qu’elles ont toujours oscillé dans l’histoire climatique de la Terre. La récente hausse n’a rien d’extraordinaire ». Nathan Paldor - Professeur de météorologie dynamique et de physique océanographique - université de Jérusalem.

- "La menace du réchauffement climatique est largement exagérée au vu de la faiblesse et de la superficialité de nos connaissances et du manque de données ». Dyson Freeman - Physicien - Professeur émérite à l’université de Princeton.

- « La cause des évolutions climatiques actuelles est encore inconnue. L’influence humaine n’est pas prouvée ». Serge Galam - PhD - Docteur en physique - Directeur de recherche au CNRS.

- « Rien ne montre un réchauffement exceptionnel du globe, et encore moins une éventuelle origine humaine ». Vincent R Gray - PhD chimie physique - fondateur du New Zealand Climate Science Coalition.

- « Ce qui était une science est devenu une religion ». William Happer - PhD physique - université de Princeton - ex directeur du Bureau US de recherche sur l’Energie.

- « Les modèles climatiques du GIEC sont simplistes. Ils occultent les facteurs naturels comme notamment l’activité solaire ». William Kininmonth - météorologue - ex directeur du Centre National australien du Climat - ex représentant de l’Australie à l’Organisation Météorologique Mondiale.

- « Le GIEC profère des absurdités. La recherche de l’accumulation d’un mythique CO2 pour expliquer sa durée de vie non mesurable et l’utiliser pour des modèles informatiques qui prouveraient l’influence des énergies fossiles, est une pure fiction ». Tom Segalstad - directeur du geological muséum université de Oslo - ex relecteur du GIEC.

- « Je ne crois pas qu’il y ait des preuves valides pour accuser l’activité humaine du réchauffement climatique. Les phénomènes naturels en sont la principale cause ». Anthony Lupo - PhD - professeur de sciences de l’atmosphère - université du Missouri - membre de l’Amercan Meteorology Society.

- « Le GIEC est instrumentalisé à des fins politiques. Sur les 300 dernières années, il existe des variations cycliques du niveau des océans, mais aucune tendance significative ». Niels Axel Mörike - PhD - Professeur émérite paléo géophysique et de géodynamique’- université de Stockholm.

- « Les prévisions alarmistes du GIEC sont infondées ». Ryan Maue - Météorologue - Florida State University - Center for Océan-Atmosphère Prédiction Studies.

- « Les changements climatiques ont une origine principalement naturelle. Il n’y a aucune preuve d’une hypothèse catastrophiste due à l’activité humaine ». Willem de Lange - PhD - Professeur département des sciences de la Terre et des Océans - Université Waikato (New Zealand).

- « Quiconque déclare que le débat (sur le réchauffement climatique) est clos, et que les conclusions sont définitives, a une approche fondamentalement non scientifique ». Pal Brekke - Physique solaire - senior adviser du Norwegian Space Center.

- « Le réchauffement climatique a maintenant quitté le débat scientifique pour devenir une religion. L’ensemble des fonds destinés à la recherche sont canalisés dans la promotion de l’alarmisme climatique ». Bruno Wiskel - géologue université Atlanta - ex signataire du protocole de Kyoto.

- « Les modèles climatiques ne débouchent sur aucune preuve établie et vérifiable sur une issue dramatique de changement climatique. Rien ne prouve que les coûteuses mesures proposées auront un effet significatif sur le climat ». William JR Alexander - professeur émérite génie civil et bio systèmes université Pretoria - ex membre du comité scientifique de l’ONU sur les catastrophes naturelles.

- « Environ 2/3 des orateurs (du congrès international de géologie 08/2008) exprimaient un rejet complet des conclusions du GIEC. Ceci a été un choc pour moi. Je n’avais pas conscience qu’ils étaient si nombreux ». Charles Hall - Suny College of Environnemental Science - State University of New York.

- « Je fais allusion à l’arrogance, au refus du débat, aux mensonges éhontés, à la défense insensée d’une science falsifiée et à la politisation qui règnent au GIEC ». Roger Cohen - Physicien - Membre American Physical Society.

- « Il y a aujourd’hui un parti-pris écrasant dans les médias concernant le réchauffement climatique. Toutes les catastrophes naturelles sont aujourd’hui rattachées à ce réchauffement, peu importe la plausibilité des faits ». David Deming - PhD - Professeur géophysique - Université Oklahoma.

- « Toute la théorie sur l’influence humaine sur le réchauffement global, et ses conséquences scientifiques, politiques et économiques, est basée sur les études de carottes glaciaires qui donnent une fausse image des niveaux de CO2 atmosphérique ». Zbigniew Jaworowski -ex président du laboratoire central des Nations Unies sur les effets radiologiques.

« Il n’y a aucun lien prouvé entre réchauffement global et activités humaines ». Yuri Izrael - Vice-président du GIEC - Conseiller scientifique auprès du gouvernement russe.

- « Les médias colportent un battage publicitaire sans précédent sur le réchauffement global. Les médias et beaucoup de scientifiques ignorent les faits importants qui inclinent pour une variation naturelle du climat ». Eugenio Hackbart - Directeur du MetSul Meteorologia Center (Brésil) -

- « En dépit de toute la mise en scène sur le réchauffement climatique, de plus en plus de gens réalisent que statistiquement, les températures moyennes du globe n’ont pas augmenté de manière significative depuis la fin des années’90 ». Richard S. Lindzen - Titulaire de la chaire de Météorologie - Massachusets Institute of Technology.

- « L’influence du rayonnement cosmique et des vents solaires forment une meilleure explication des changements climatiques que la tentative du GIEC d’impliquer l’influence humaine sur les gaz à effet de serre ». Boris Winterhalter - ex professeur de géologie marine - Université d’Helsinki.

- «L’augmentation de la concentration de CO2 est la conséquence et non la cause du changement climatique ». Khabibullo Abdusamatov - Physicien - Spécialiste de l’impact de l’activité solaire sur le climat - Chercheur en physique solaire de l’observatoire Pulkovo de St Petersbourg (Russie).

- « Je ne veux pas saper le GIEC, mais les prévisions, tout spécialement celles qui concernent le changement climatique régional, sont infiniment incertaines ». Tim Palmer - sciences de l’atmosphère - Centre européen pour la prédiction météorologique à moyen terme.

- « Les rayons cosmiques, modulés par les cycles magnétiques solaires, pourraient avoir un impact à grande échelle sur le climat terrestre ». Kanya Kasano - Directeur de la Japan Agency for Marine & Earth Science &Technology.

- « Le soleil est le véritable responsable des changements climatiques ». David Archibald - Spécialiste de l’interaction solaire sur le climat.

- « La global warming-mania continue avec de plus en plus d’emballement médiatique, et de moins en moins de réflexion. Avec un zèle quasi religieux, les gens scrutent tous les évènements pouvant être mis sur le dos du réchauffement global ». Kelvin Klemm - PhD - Diplômé en physique nucléaire.

- « La température terrestre s’est refroidie depuis 1998, en contradiction avec les prévisions du GIEC ». Richard Keen - Climatologue - Dept des sciences océanographiques et atmosphériques - Université du Colorado.

- « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en cours, et plus encore qu’il soit causé par l’activité humaine ». Robert (Bob) Carter - Paléoclimatologie - Professeur à la James Cook University (AUS).

- « Combien d’années la planète doit-elle se refroidir pour que nous commencions à comprendre qu’elle ne se réchauffe pas ? ». David Gee - Géologue - Président du comité scientifique du Congrès International de Géologie - Professeur émérite sciences de la Terre et géophysique à l’Université de Uppsala (Suède)

- « Je ne fais pas partie dudit consensus, qui croit que la science du réchauffement climatique causé par l’homme ne se discute plus. En fait, il y a peu de vraie science dans cette histoire ». Reid A. Bryson - sciences de l’atmosphère - météorologue - géologue - professeur émérite de l’université du Wisconsin. -

- « Le GIEC n’est absolument pas représentatif de la communauté scientifique. Il occulte notamment l’influence solaire et l’influence du global dimming (diminution de l’ensoleillement de la surface terrestre) ». Gerald Stanhill - climatologue - professeur de physique environnementaliste . -

- « Ce qui menace la planète, ce n’est pas le réchauffement climatique mais les politiques économiques stupides qui pourraient en dériver, poussées par des politiciens en quête d’une bonne cause« . Gary Becker - prix Nobel d’économie - professeur université de Chicago. -

- « Le GIEC n’a plus la neutralité nécessaire à un travail scientifique. » Christopher Landsea - Météorologue senior au National Hurricane Center. Démissionnaire du GIEC en 2005.

- « De nouvelles données font que je ne crois plus à l’influence du CO2 dans le réchauffement climatique ». David Evans - ex-collaborateur du Bureau Australien sur l’effet de serre auprès du protocole de Kyoto (1999-2005).

- « Je considère la partie du rapport du GIEC qui parle du paléoclimat comme fausse. Je peux en parler en tant qu’expert ». Augusto Mangini - physicien de l’environnement - expert en paléoclimat université de Heidelberg.

- « Les théoriciens de Kyoto ont mis la charrue avant les bœufs. (L’étude des carottes glaciaires démontre que) c’est le réchauffement global qui est la cause de hauts niveaux de CO2 dans l’atmosphère et non le contraire ». Andrei Kapitsa - géographe - spécialiste de l’Antarctique- Membre de l’académie des Sciences de Russie.

- « Le CO2 n’a rien à voir avec le réchauffement global, quelle qu’en soit la quantité produite par l’activité humaine ». Kunihiko Takeda - Vice Chancelier Institut des Sciences et technologies - Université de Chubu

- « Les vraies raisons du changement climatique sont le rayonnement solaire, la précession terrestre, l’instabilité des courants océaniques, les fluctuations de la salinité des eaux de surface arctiques etc… Le CO2 et les gaz à effet de serre n’entrent pas en ligne de compte ». Oleg Sorokin - Chercheur à l’Institut d’Océanographie - Académie des Sciences de Russie.

- « C’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique ». Stanley Goldenberg - Météorologue à la division de recherche sur les ouragans de la NOAA - ex directeur au National Hurricane Center.

- « La focalisation sur l’origine humaine du réchauffement climatique est totalement absurde. Cette théorie n’est pas de la science car il n’y a pas de preuve scientifique qui la soutienne ». Reid Bryson - Sciences de l’atmosphère - Météorologue - Professeur émérite de l’université de Wisconsin.

« Aucune preuve convaincante du réchauffement climatique causé par l’homme n’a été découverte« . Dr Richard Courtney - Relecteur expert du GIEC - Consultant en science du climat et de l’atmosphère - déclaration de 2001 confirmée en 2006. -

« Tous les glaciers des Pyrénées auront disparu en 2050. Il faut toutefois noter que le processus de dégel a commencé en 1750. » Chercheurs des universités de Cantabria, Madrid et Valladoid. -

« Les modèles et prévisions du GIEC sont incorrects, car ils sont basés sur des modèles mathématiques(…) qui n’incluent pas l’activité solaire (parmi d’autres). Victor Emmanuel Velasco Herrera - Chercheur à l’Institut de Géophysique - Université de Mexico. -

« La région arctique s’est réchauffée plus rapidement pendant le réchauffement de 1910-1940 que lors du réchauffement de 1970-2008. Pendant la prériode de refroidissement 1940-1970, l’amplification Arctique a été extrêmement intense, entre 9 et 13. Nous suggérons que la varibilité multi décennale de la circulation thermo haline de l’Océan Arctique est la cause principale de la variation de la température Arctique… ». En bref, le réchauffement actuel est calqué sur les oscillations naturelles de la température des océans (périodes de 60 à 80 ans.) Pietr Chylek - Chef d’équipe au Los Alamos National Laboratory - Spécialiste de physique atmosphérique et des glaces polaires. -

« La description que fait Al Gore sur la hausse des océans est totalement absurde. (…) Penser que l’on peut agir sur le climat comme on agit en tournant le bouton d’un thermostat est ridicule ». Hendrik Tennekes - ex-directeur de l’Institut Royal Météorologique des Pays-Bas. -

« Le réchauffement global n’est pas dû au fait que l’homme produise du CO2. Il s’agit là du plus grand mensonge organisé de toute l’histoire de la science. Nous perdons beaucoup de temps, d’énergie et de milliards de dollars à propos d’un problème qui ne repose sur aucune base scientifique ». Thimoty Ball - Président du Projet Ressources Naturelles (Canada) - Ex-professeur de climatologie Université de Winnipeg. -

« L’effet de serre n’est pas la cause du changement climatique. Le réchauffement global est une imposture scientifique ». Marcel Leroux - Climatologue - ex-directeur du laboratoire de climatologie, risques et environnement - Université de Lyon lll. -

« Créer une idéologie basée sur le CO2 est un dangereux non-sens. L’alarmisme actuel sur les changements climatiques (…) est un prétexte pour des intérêts industriels et politiques majeurs. Le fait que cela devienne une idéologie est préoccupant. Prof. Delgado Domingos - scientifique environnementaliste - fondateur du Numerical Weather Forecast Group. -

« L’influence des gaz à effet de serre sur le réchauffement climatique est surestimé par le GIEC. L’excès éventuel de CO2 ne peut avoir aucun effet. Il faut rechercher d’autres causes à ce réchauffement ». Ferenc Miskolczi - physicien de l’atmosphère - ex directeur de recherche à la NASA.

-« Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. 5% seulement du CO2 dans l’atmosphère émane de l’activité humaine . » Jan Veizer - Professeur de géologie émérite de l’Université d’Ottawa - Membre notamment du Royal Society of Canada - Nombreuses publications scientifiques.

-« Plusieurs pays pourraient disparaître sous les eaux d’ici 10 ans. » Déclaration faite en 1988 - Maurice Strong - Directeur du Bureau de l’Environnement de l’ONU.

-« La peur du réchauffement (causé par l’homme) est le pire scandale de l’histoire. Lorsque les gens connaîtront la vérité, cela fera des déçus de la science. » Docteur Kiminori Itoh - Docteur ès-sciences - Titulaire d’une chaire de Chimie-Physique de l’environnement de l’Université de Yokohama.

-« Toutes les variations des températures du XXe siècle (…) peuvent être expliquées sans l’intervention de l’effet de serre dû au CO2. » Anastasis Tsonis - Kyle Swanson - Sergey Kravtsov - spécialistes en thermodynamique atmosphérique et dynamique des climats - Atmospheric Sciences group - University of Wisconsin - paru dans le Geophysical Research Letters (07/2007).

- « Le réchauffement global est devenu une nouvelle religion. » Ivar Giaever - Prix Nobel de physique - Professeur émérite au Rensselaer Polytecnic Institute - Professeur honoraire à l’université de Oslo.

- « Engloutissement définitif de l’ilot habité Mortlock dès 2001. » Professeur Richard Moyle -Université de Oakland dans Science et Avenir de 09/2000. (Rassurez-vous, l’ilôt et ses habitants sont toujours là en 2009..)

- « Le réchauffement global est pour une large part un phénomène naturel. Le monde est en train de dépenser d’énormes sommes d’argent pour stabiliser quelque chose qui ne peut l’être ». David Bellamy - Botaniste environnementaliste - ancien maître assistant à l’université de Durham.

- « Maintenant que je ne fais plus partie d’aucune organisation et que je ne reçois plus de financement, je peux parler franchement. Je reste sceptique quant à l’influence humaine sur les changements climatiques. Cette thèse se fonde quasi exclusivement sur des modèles climatiques, dont chacun connaît la fragilité concernant le système air-terre ». Joanne Simpson - Météorologiste spécialiste de l’atmosphère - A reçu le Carl-Gustaf Rossby Research Ward, la plus haute distinction de l’American Meteorological Society.

- « Au début, je croyais fermement au réchauffement global causé par l’homme, jusqu’à ce que j’y travaille moi-même. Tad Marty - climatologue océanographe - Chaire des Sciences de la Terre - Université d’Ottawa -

- « Les variations climatiques sont intimement liées au taux d’ennuagement, lui-même corrélé à l’activité solaire et au rayonnement cosmique ». Geoffrey Duffy - Professeur au département Chemical and Materials Engineering - Université d’Auckland.

- « Beaucoup de scientifiques sont en train de chercher un moyen de revenir doucement en arrière (sur les causes humaines du réchauffement climatique) sans ruiner leur carrière« . James A. Eden - Spécialiste en physique de l’atmosphère.

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Etc… à suivre..

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Rhô: effacer des emails que la loi exige de garder, pour échapper à la loi.

<2440> Jones: I’ve been told that IPCC is above national FOI Acts. One way to cover yourself and all those working in AR5 would be to delete all emails at the end of the

process

<2094> Briffa: UEA does not hold the very vast majority of mine [potentially FOIable emails] anyway which I copied onto private storage after the completion of the IPCC

task.

Le lessivage à la Muir Russel va demander beaucoup de javel ce coup-ci. Mais je leur fais confiance.

Au passage Harrabin qui a couvert Climategate 1 pour la BBC était payé par … l'université d'East Anglia. 15K£. Ca serait de la fiction, on n'y croirait pas.

http://www.dailymail.co.uk/news/article-2063737/BBCs-Mr-Climate-Change-accepted-15-000-grants-university-rocked-global-warning-scandal.html?ito=feeds-newsxml

Oui, Smarrant…

Oui mais là c'est des vraies informations, sous forme de vrais emails.

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Hormis Courtillot et Lindzen, quels sont les noms des autres scientifiques qui contestent les explications scientifiques du GIEC?

Voir l'article de Wikiberal proposant une Liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique [catastrophique d'origine antropique]. Voici issus de cette liste quelques scientifiques qui ont particulièrement retenu mon attention (pour des raisons scientifiques ou médiatiques) : Khabibullo Abdusamatov, Claude Allègre, David Archibald, Gary Becker, Reid Bryson, Bob Carter, John Christy, Vincent Courtillot, Thomas B. Gray, Vincent R. Gray, Craig Idso, Zbigniew Jaworowski, Christopher Landsea, Marcel Leroux (+), Richard Lindzen, Patrick J. Michaels, Nir Shaviv, Willie Soon, Henrik Svensmark, Jan Veizer, Antonino Zichichi. Je souhaite en ajouter quelques autres, parmi lesquels Roy Spencer (climatologue), David Deming (ancien paléoclimatologue, "fusillé" pour avoir combattu le hockey stick frelaté en dénonçant le parti pris de la coterie que le Climategate a révélé ultérieurement être un gang de climatologues sans scrupules).

900+ Peer-Reviewed Papers Supporting Skeptic Arguments Against ACC/AGW Alarm . Dans un esprit légèrement différent on pourra aussi consulter la copieuse liste des auteurs cités dans le projet CO2Science par les IDSO (famille de scientifiques climatosceptiques) qui comporte aussi bien des sceptiques que des alarmistes.

NIPCC : 2011 VO, 2009 VO, 2008 VF. Parmi les contributeurs : Warren Anderson (USA), J. Scott Armstrong (USA), Dennis Avery (USA), Franco Battaglia (Italy), Robert Carter (Australia), Piers Corbyn (UK), Richard Courtney (UK), Joseph d’Aleo (USA), Don Easterbrook (USA), Fred Goldberg (Sweden), Vincent Gray (New Zealand), William Gray (USA), Kesten Green (Australia), Kenneth Haapala (USA), David Hagen (USA), Klaus Heiss (Austria), Zbigniew Jaworowski (Poland), Olavi Karner (Estonia), Richard Alan Keen (USA), Madhav Khandekar (Canada), William Kininmonth (Australia), Hans Labohm (Netherlands), Anthony Lupo (USA), Howard Maccabee (USA), H. Michael Mogil (USA), Christopher Monckton (UK), Lubos Motl (Czech Republic), Stephen Murgatroyd (Canada), Nicola Scafetta (USA), Harrison Schmitt (USA), Tom Segalstad (Norway), George Taylor (USA), Dick Thoenes (Netherlands), Anton Uriarte (Spain), Gerd Weber (Germany)

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900+ Peer-Reviewed Papers Supporting Skeptic Arguments Against ACC/AGW Alarm

NIPCC : 2011 VO, 2009 VO 2008 VF. Parmi les contributeurs : Warren Anderson (USA), J. Scott Armstrong (USA), Dennis Avery (USA), Franco Battaglia (Italy), Robert Carter (Australia), Piers Corbyn (UK), Richard Courtney (UK), Joseph d’Aleo (USA), Don Easterbrook (USA), Fred Goldberg (Sweden), Vincent Gray (New Zealand), William Gray (USA), Kesten Green (Australia), Kenneth Haapala (USA), David Hagen (USA), Klaus Heiss (Austria), Zbigniew Jaworowski (Poland), Olavi Karner (Estonia), Richard Alan Keen (USA), Madhav Khandekar (Canada), William Kininmonth (Australia), Hans Labohm (Netherlands), Anthony Lupo (USA), Howard Maccabee (USA), H. Michael Mogil (USA), Christopher Monckton (UK), Lubos Motl (Czech Republic), Stephen Murgatroyd (Canada), Nicola Scafetta (USA), Harrison Schmitt (USA), Tom Segalstad (Norway), George Taylor (USA), Dick Thoenes (Netherlands), Anton Uriarte (Spain), Gerd Weber (Germany)

@Kuing Yamang @xavdr

Merci de cette abondance de toutes ces références de scientifiques qui contestent les thèses scientifiques du GIEC. C'est impressionnant! Comment, dans ces conditions, existe-t-il des scientifiques qui soutiennent que le débat scientifique serait clos? Comment analyser les raisons sociologiques pour lesquelles le débat scientifique coince, dysfonctionne?

@Dniz

Pensez-vous que le débat scientifique serait clos? Vous soutenez que le débat scientifique ne peut se faire que par des articles scientifiques. A mon avis, les articles scientifiques publiées sont surtout destinés à apporter des résultats d'expériences et non pas des réfutations de publications précédentes. Qu'en pensez-vous?

Les 900 articles de sceptiques sur le réchauffement climatique cités par xavdr http://www.popularte…supporting.html ont-ils été réfutés?

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J'ai cru lire que des thèses soutiennent que le réchauffement du 20e siècle serait lié à des cycles du soleil ou de la Terre. Dans de telles hypothèses, le réchauffement, serait non pascomme le résultat d'une activité humaine du 20e siècle, mais plutôt le résultat d'un cycle.

L'hypothèse des cycles tient plus de l'astrologie que de la science… des cycles on croit en trouver dès qu'on regarde une série temporelle. Sauf qu'il faut des dizaines de cycles pour assurer la validité d'une hypothèse cyclique, pas juste une bosse et un creux. Attention, je ne dis pas qu'il n'y pas de cycle climatique (ceux de 11 voire 22 ans sont bien marqué), je dis juste qu'ils n'expliquent pas l'évolution des température du XXe, ni, par exemple, l'évolution de la banquise arctique, ni l'évolution d'autres paramètres (recul des glaciers, fontes des calottes polaires).

Une objection scientifique, pour être valable, n'a pas besoin d’être un article scientifique publié comme tel dans des revues scientifiques. Si l'hypothèse de Courtillot est vraie, elle est une alternative possible aux autres explications. Or, à ma connaissance, l'hypothèse géologique de Courtillot n'a pas été infirmée.

Une objection scientifique n'a pas besoin d'être publiée pour être valable ? Ok… J'affirme que la terre est plate… Il faut immédiatement arrêter les bateaux, parce qu'ils risquent de tomber au bout de la terre… La question fait débat !!!

Sinon, Couritillot lui même n'arrive pas a expliquer le réchauffement récent avec son modèle !

http://www.earth.ox.ac.uk/~gideonh/pppc/week7/Courtillot%20et%20al.%202007.pdf "The observed correlation between temperature and magnetism fails after the mid-1980s, when solar irradiance and magnetic activity drop, whereas temperature continues an accelerated rise"

La décorrélation soleil-climat dans la 2e moitié du XXe siècle est largement validée dans la littérature scientifique

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Are secular correlations between sunspots, geomagnetic activity, and global temperature significant? – Love et al. (2011)

http://www.agu.org/pubs/crossref/2011/2011GL049380.shtml

"In other words, straightforward analysis does not support widely-cited suggestions that these data record a prominent role for solar-terrestrial interaction in global climate change. With respect to the sunspot-number, geomagnetic-activity, and global-temperature data, three alternative hypotheses remain difficult to reject: (1) the role of solar-terrestrial interaction in recent climate change is contained wholly in long-term trends and not in any shorter-term secular variation, or, (2) an anthropogenic signal is hiding correlation between solar-terrestrial variables and global temperature, or, (3) the null hypothesis, recent climate change has not been influenced by solar-terrestrial interaction."

Ce qui est intéressant, c'est que ce papier reprend la thèse de l'hypothése nulle chère à Nick de Cusa…. En effet, on peut dire que les variations sont "naturelles", issus d'un processus chaotique, si on prend cette voie pour nier l'effet du CO2, eh bien on doit également nier l'effet solaire…

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Solar change and climate: an update in the light of the current exceptional solar minimum – Lockwood (2010)

http://rspa.royalsocietypublishing.org/content/466/2114/303.full.pdf

"It is important not to make the mistake made by Lord Kelvin and argue that there can be no influence of solar variability on climate: indeed, its study is of scientic interest and may well further our understanding of climate behaviour. However, the popular idea (at least on the Internet and in some parts of the media) that solar changes are some kind of alternative to GHG forcing in explaining the rise in surface temperatures has no credibility with almost all climate scientists."

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Solar trends and global warming – Benestad & Schmidt (2009)

http://pubs.giss.nasa.gov/docs/2009/2009_Benestad_Schmidt.pdf

"Our analysis shows that the most likely contribution from solar forcing a global warming is 7 ± 1% for the 20th century and is negligible for warming since 1980."

Cet article tire la même conclusion que Courtillot 2007 …

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Recent oppositely directed trends in solar climate forcings and the global mean surface air temperature – Lockwood & Fröhlich (2007)

"Here we show that over the past 20 years, all the trends in the Sun that could have had an influence on the Earth’s climate have been in the opposite direction to that required to explain the observed rise in global mean temperatures."

Toujours même conclusion que Courtillot

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Can solar variability explain global warming since 1970? – Solanki & Krivova (2003)

http://www.mps.mpg.de/homes/natalie/PAPERS/warming.pdf

“The solar records are scaled such that statistically the solar contribution to climate is as large as possible in this period. Under this assumption we repeat the comparison but now including the period 1970–1999. This comparison shows without requiring any recourse to modeling that since roughly 1970 the solar influence on climate (through the channels considered here) cannot have been dominant."

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The effects of solar variability on the Earth’s climate – Haigh (2002)

http://ruby.fgcu.edu/courses/twimberley/EnviroPhilo/Haigh.pdf

“Observational data suggest that the Sun has influenced temperatures on decadal, centennial and millennial time-scales, but radiative forcing considerations and the results of energy-balance models and general circulation models suggest that the warming during the latter part of the 20th century cannot be ascribed entirely to solar effects.”

Toujours les même conclusions…

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Ainsi, Lindzen de bonnes raison de penser qu'il existe une "puissante rétroaction négative". Si ce grand scientifique le pense, cela suffit largement, à mes yeux, pour affirmer que le débat scientifique n'est pas clos. Que ses adversaires estiment que ses arguments ne seraient pas convaincant est une réaction bien humaine. Celui qui est convaincu par sa thèse juge que la thèse de l'autre est moins convaincante.

Je vois que vous n'avez toujours pas répondu à ma question d'il y a quelque post: pourquoi croyez-vous que le virus VIH provoque le SIDA ?? Elle vous met mal à l'aise ?

Il existe des scientifiques qui continuent à croire que le SIDA n'est pas d'origine virale.

Voilà une liste de 2813 sceptiques sur la question, dont bon nombre de scientifiques:

http://www.rethinkingaids.com/quotes/rethinkers.htm

Voilà une liste de citation:

http://www.rethinkingaids.com/quotes/aidsquotes.htm

Donc d'après vous, puisque la question fait débat, il faut arrêter toute prévention, et stopper les thérapies en cours ??

Ou alors vous êtes convaincu que ces sceptiques sont dans l'erreur ? Mais pourquoi ? Qu'est ce qui vous convainc que c'est bien le VIH qui provoque le SIDA ??

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"Vous jouez à quoi" Dniz ?

Vous nous citez … "une liste de 2813 sceptiques [de tous pays] sur la question [du sida], dont bon nombre de scientifiques" … mais aussi des acteurs, psychologues ou juristes constitutionnels. Il y a des centaines de millions de diplômés de l'enseignement supérieur dans le monde, dont des millions de médecins et des milliers de chercheurs sur le Sida. Votre liste représente donc un taux de l'ordre de 1/100 000 (diplômés de l'enseignement supérieur).

La pétition de l'Oregon rassemble 31 000 scientifiques sceptiques dont 9000 PhDs états uniens de toutes disciplines scientifiques et la pétition du sénateur Inhoffe rassemble 700 chercheurs climatiques sceptiques de tous pays. Il y a dans le monde des milliers scientifiques climatiques (climatologues et autres scientifiques de disciplines connexes) ayant consacré des mois de travail aux évolutions du climat. La liste de chercheurs représente donc un taux de l'ordre de 1/10 (ou 1/100 si vous chipotez pour pêcher les sans noms, temporaires et autres ingénieurs électroniciens en charge des satellites). Il y a des centaines de milliers de PhD aux USA. La pétition de l'Oregon représente donc à nouveau un taux de l'ordre de 1/10 ou 1/100. Et il s'agit là de pétition avec publication de l'identité des signataires, les sondages anonymes montrent des taux bien évidemment beaucoup plus forts.

Disons pour faire simple : le taux de scepticisme est 1000 ou 10 000 fois plus important pour le climat que pour le sida. J'ajoute que je ne vois aucun inconvénient à ce que des voies de recherche alternatives existent sur le sida qui peut avoir des causes complexes où le HIV ne serait qu'un ingrédient fortement aggravant. Quant la "prévention" des pouvoirs publics en matière de sida, elle occulte la fidélité dans le couple pour ne se concentrer que sur le préservatif, ce qui relève d'un parti pris caractéristique de la militance de gauche, hystérisant les peurs des "minorités" inquièt(é)es, et symbolise l'importance à géométrie variable accordée par les pouvoirs publics à la santé. Quant aux thérapies cela regarde essentiellement le patient libre d'être sceptique et de façon annexe son assureur et son médecin. Rien à voir avec une révolution planétaire par garotage coercitif téléguidé des sources d'énergie bon marché infligée contre leur volonté aux lucides sceptiques.

"Ca vous met mal à l'aise ?"

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le sida qui peut avoir des causes complexes où le HIV ne serait qu'un ingrédient fortement aggravant.

Aggravant ???

Tiens donc… tu avances donc que le sida est un syndrome qui peut exister sans hiv mais que le hiv pourrait l'aggraver et non le déclencher donc que le hiv n'est pas forcément nécessaire au sida… ça me rappelle quelqu'un.

Quant la "prévention" des pouvoirs publics en matière de sida, elle occulte la fidélité dans le couple pour ne se concentrer que sur le préservatif,

Oui, d'ailleurs la fidélité plutôt que le préservatif, c'est les résultats des travaux de recherche des célèbres prix Nobel de médecine Jean-Paul II et Benoit XVI.

http://www.lefigaro.fr/international/2009/03/17/01003-20090317ARTFIG00469-pour-benoit-xvi-le-preservatif-aggrave-le-probleme-du-sida-.php

.

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Quant la "prévention" des pouvoirs publics en matière de sida, elle occulte la fidélité dans le couple pour ne se concentrer que sur le préservatif, ce qui relève d'un parti pris caractéristique de la militance de gauche, hystérisant les peurs des "minorités" inquièt(é)es, et symbolise l'importance à géométrie variable accordée par les pouvoirs publics à la santé.

What ?? Tu veux dire que pour prévenir le SIDA il faut inciter les gens à être fidèle ?

Tu crois pas plutôt que le mot sincère suffit ?

Genre : chérie je t'ai trompé, je sais pas si j'ai qqch et comme je veux pas te mettre en danger, je préfère te le dire que de risquer de te contaminer.

Aggravant ???

Tiens donc… tu avances donc que le sida est un syndrome qui peut exister sans hiv mais que le hiv pourrait l'aggraver et non le déclencher donc que le hiv n'est pas forcément nécessaire au sida… ça me rappelle quelqu'un.

Intéressant ton article, ça me fait penser au blogger dans le dernier film de Soderbergh, Contagion.

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@Kuing Yamang @xavdr

Merci de cette abondance de toutes ces références de scientifiques qui contestent les thèses scientifiques du GIEC. C'est impressionnant! Comment, dans ces conditions, existe-t-il des scientifiques qui soutiennent que le débat scientifique serait clos? Comment analyser les raisons sociologiques pour lesquelles le débat scientifique coince, dysfonctionne?

Et la liste des associations de scientifiques qui endossent la thèse de l'origine anthropique du réchauffement récent, n'est-elle pas impressionnante ?

European Academy of Sciences and Arts

International Council of Academies of Engineering and Technological Sciences

Network of African Science Academies

Royal Society of New Zealand

Royal Society of the United Kingdom

Polish Academy of Sciences

National Research Council (US)

American Association for the Advancement of Science

American Chemical Society

American Institute of Physics

American Physical Society

Australian Institute of Physics

European Physical Society

European Science Foundation

Federation of Australian Scientific and Technological Societies

National Aeronautics and Space Administration (NASA)

American Geophysical Union

American Society of Agronomy, Crop Science Society of America, and Soil Science Society of America

European Federation of Geologists

European Geosciences Union

Geological Society of America

Geological Society of London

International Union of Geodesy and Geophysics

National Association of Geoscience Teachers

American Meteorological Society

Australian Meteorological and Oceanographic Society

Canadian Foundation for Climate and Atmospheric Sciences

Canadian Meteorological and Oceanographic Society

Royal Meteorological Society (UK)

World Meteorological Organization

American Quaternary Association

International Union for Quaternary Research

American Association of Wildlife Veterinarians

American Institute of Biological Sciences

American Society for Microbiology

Australian Coral Reef Society

Institute of Biology (UK)

Society of American Foresters

The Wildlife Society (international)

American Academy of Pediatrics

American College of Preventive Medicine

American Medical Association

American Public Health Association

Australian Medical Association

World Federation of Public Health Associations

World Health Organization

American Astronomical Society

American Statistical Association

Engineers Australia (The Institution of Engineers Australia)

International Association for Great Lakes Research

Institute of Professional Engineers New Zealand

@Dniz

Pensez-vous que le débat scientifique serait clos? Vous soutenez que le débat scientifique ne peut se faire que par des articles scientifiques. A mon avis, les articles scientifiques publiées sont surtout destinés à apporter des résultats d'expériences et non pas des réfutations de publications précédentes. Qu'en pensez-vous?

Les 900 articles de sceptiques sur le réchauffement climatique cités par xavdr http://www.popularte…supporting.html ont-ils été réfutés?

Le débat scientifique se fait dans la littérature scientifique. Il y a des articles de réfutations, il y a des articles qui montrent que les hypothèse formulée n'ont pas pu être vérifiée de manière indépendante.

Les 900 articles, ça c'est du méga "Gish Gallop" ! C'est vrai, finalement, y'a qu'à jouer à celui qui a la plus grosse… Vous voulez que je vous balance à la tête les milliers de références du derner rapport du GIEC ?

Un peu facile… Montrez moi un article qui "fait débat", et on en discute… Vous pensiez que Courtillot avançait des arguments convaincant ? Je vous ai montré qu'il est le premier à reconnaître la décorrélation soleil-climat récente ! Dans la liste des 900 "réfutation du GIEC", il y a de nombreux articles qui ne "réfutent" rien du tout, et qui sont totalement en phase avec l'avis "mainstream": seul l'esprit tordu des climato-sceptique peut transformer ces articles en "réfutation". Pour vous donner une image, c'est un peu comme si on considérait que des articles sur les oiseaux migrateurs réfutaient les lois de la gravitation: "Voyez ces oiseaux qui volent sur des millers de km, et vous venez nous bassinez avec la chute des corps ? ".

Un exemple. On sait très bien que jusqu'il y a 6000 ans environ, le climat de l'arctique était plus chaud qu'aujourd'hui, étant donné que l'insolation était plus forte en été à cause de la variations des paramètre orbitaux terrestre. En fait, le climat c'est même bien plus réchauffé que pourrait le laisser prévoir le simple forçage radiatif local du à l'insolation estivale supplémentaire, preuve évidente des puissants feedback positifs en oeuvre (albedo feedback): tout ce qui décrit un climat arctique chaud à l'époque est une PREUVE que le climat est sensible à de petit forçages radiatifs, et donc une preuve de l'amplification arctique des température (que l'on observe aujourd'hui également !).

Pourtant, dans la liste des 900, on trouve des articles qui sont juste là parce qu'il parle de l'optimum holocène dans l'arctique:

Holocene thermal maximum in the western Arctic (0–180°W) (PDF)

(Quaternary Science Reviews, Volume 23, Issues 5-6, pp. 529-560, March 2004)

- D. S. Kaufman et al.

http://esp.cr.usgs.gov/research/alaska/PDF/KaufmanAger2004QSR.pdf

La conclusion de l'abstract est édifiante:

"The spatial asymmetry of warming during the HTM resembles the pattern of warming observed in the Arctic over the last several decades. Although the two warmings are described at different temporal scales, and the HTM was additionally affected by the residual Laurentide ice, the similarities suggest there might be a preferred mode of variability in the atmospheric circulation that generates a recurrent pattern of warming under positive radiative forcing. Unlike the HTM, however, future warming will not be counterbalanced by the cooling effect of a residual North American ice sheet"

Oui, la conclusion est… alarmiste ! !! Je pioche UN article de votre fameuse liste, non seulement il ne réfute rien du tout (comme je l'ai expliqué plus haut), mais les auteurs nous expliquent que le réchauffement futur (tout à fait GIEC compatible, vu qu'il endosse l'hypothèse du "positive radiative forcing" (sous entendu du CO2 pour le "future warming")) risque d'être plus important que pendant l'optimum holocène !

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L'hypothèse des cycles tient plus de l'astrologie que de la science… […] Attention, je ne dis pas qu'il n'y pas de cycle climatique (ceux de 11 voire 22 ans sont bien marqué) […] La décorrélation soleil-climat dans la 2e moitié du XXe siècle est largement validée dans la littérature scientifique

Les cycles "de 11 voire 22 ans" sont ceux observés dans les taches solaires. Il semblent liés aux cycles … astronomiques (dont les corrélations réelles ou fantasmées avec le monde humain sont le fondement de … l'astrologie qui fonde certains pans de l'ésothérisme aux ramifications puissantes dans le monde du pouvoir politique). Les planètes géantes (principalement Jupiter, puis Saturne) influent sur le centre de gravité du système solaire autour duquel le soleil tourne (en "l'absorbant" une partie du temps) et engendrent vraisemblablement des marées internes au soleil susceptibles d'influer par exemple sur la conduction de la chaleur vers sa périphérie dont la température de quelques milliers de degré engendre la lumière qui nous baigne.

Il semble donc établi que des cycles incontestables (le mouvement des planètes) ont une influence sur … le soleil puis le climat terrestre, ce qu'on constate notamment dans les mesures liées à la pluviométries des bassins fluviaux.

Or on dispose d'autres indicateurs de l'activité solaire, notamment les fameuses tâches solaires, dont les absences par le passé ont été corrélées avec les petits ages glaciaires.

En outre d'autres travaux montrent les corrélations entre phénomènes cosmiques (dont solaires) et climatologiques à de multiples échelles depuis les heures (impact des tempêtes solaires sur la pluviométrie à court terme) jusqu'aux millions d'années (impact des RCG sur les périodes glaciaires, vraisemblablement liés à la trajectoire du système solaire dans les bras galactiques plus ou moins riches en RCG).

Les cycles climatiques les plus connus restent fort légitimement les cycles de Milankovich dont le plus puissant est d'environ 100 000 ans, spectaculairement observable dans les carottes glaciaires. Ces cycles sont liés à la cinétique de la terre dans son mouvement spatial autour du soleil (mouvement de toupie dont les paramètres fluctuent de façon cyclique tant que des influences tierces e.g. cosmiques ou telluriques d'importance majeures ne viennent pas les remettre en question).

Quant aux soi disant réfutations de l'influence solaire au motif d'une soi disant décorrélation récente [à l'échelle des années], elles reposent habituellement sur :

1- des mesures satellitaires hétérogène récemment remises en question,

2- une mauvaise utilisation des RCG, dont seuls certaines catégories sont pertinentes pour la théorie de Svensmark,

3- l'omission de l'énorme accumulateur-relaxateur océanique qui loin de nier l'influence des fluctuations solaires, les redéploie dans le temps à l'échelle des mois, des années, et des siècles.

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Oui, la conclusion est… alarmiste ! !! Je pioche UN article de votre fameuse liste, non seulement il ne réfute rien du tout (comme je l'ai expliqué plus haut), mais les auteurs nous expliquent que le réchauffement futur (tout à fait GIEC compatible, vu qu'il endosse l'hypothèse du "positive radiative forcing" (sous entendu du CO2 pour le "future warming")) risque d'être plus important que pendant l'optimum holocène !

Ce n'est pas ce qui est écrit dans votre citation. Ce que votre citation dit c'est que l'évolution des températures arctiques a lors de l'épisode HTM connu la même forme que de nos jour. On comprend facilement que le feedback de la fonte de la glace est négatif à l'horizon de quelques semaines ("stock de froid") puis positif à l'horizon de quelques années (albedo modifié par la disparition de la glace ou la neiger qui réfléchissait le soleil). Ce que dit l'article c'est : "comme d'hab" [il y a 6000 ans]. Ensuite il se peut que l'article fasse conformistement risette aux subventions, mais ça c'est de la com' embeded et ce n'est plus de la science per se. Rien de scientifiquement alarmiste là dedans.

Quant à votre citation d'organismes elle est … soviétoïde.

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Vous jouez à quoi Dniz ?

Vous nous citez … "une liste de 2813 sceptiques [de tous pays] sur la question [du sida], dont bon nombre de scientifiques" … mais aussi des acteurs, psychologues ou juristes constitutionnels. Il y a des centaines de millions de diplômés de l'enseignement supérieur dans le monde, dont des millions de médecins et des milliers de chercheurs sur le Sida. Votre liste représente donc un taux de l'ordre de 1/100 000 (diplômés de l'enseignement supérieur).

La pétition de l'Oregon rassemble 31 000 scientifiques sceptiques dont 9000 PhDs états uniens de toutes disciplines scientifiques et la pétition du sénateur Inhoffe rassemble 700 chercheurs climatiques sceptiques de tous pays. Il y a dans le monde des milliers scientifiques climatiques (climatologues et autres scientifiques de disciplines connexes) ayant consacré des mois de travail aux évolutions du climat. La liste de chercheurs représente donc un taux de l'ordre de 1/10 (ou 1/100 si vous chipotez pour pêcher les sans noms, temporaires et autres ingénieurs électroniciens en charge des satellites). Il y a des centaines de milliers de PhD aux USA. La pétition de l'Oregon représente donc à nouveau un taux de l'ordre de 1/10 ou 1/100. Et il s'agit là de pétition avec publication de l'identité des signataires, les sondages anonymes montrent des taux bien évidemment beaucoup plus forts.

Trop drôle que vous soulignez que dans la liste des sceptiques du SIDA, il y a de tout et n'importe quoi, et que pour la liste "Inhofe" vous ne soyez pas plus regardant…

Déjà qu'elle contient 400 nom, et pas 700 !

La liste contient 44 présentateur météo, 49 retraités, 20 économistes, et 70 personnes qui n'ont aucune compétence particulière dans les sciences climatiques.

http://www.thedailygreen.com/environmental-news/latest/inhofe-global-warming-deniers-scientists-46011008

Quand à la pétition de l'Orégon, montée dans des conditions très douteuse (un faux article de PNAS a été joint à la pétition), on a déjà fait des statistiques sérieuses sur sa représentativité

Voilà à quoi ressemblait la pétition:

http://www.scholarsandrogues.com/wp-content/uploads/2009/08/oismpet-lrg.gif

Vous remarquez qu'on peut très bien y mettre n'importe quoi ! Se prétendre PhD sans l'être, ou alors s'appeler

A lire:

http://www.skepticalscience.com/scrutinising-31000-scientists-in-the-OISM-Petition-Project.html

Les conclusions c'est que les 32000 représentent plutôt 0.3% des "scientifiques"

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Déjà qu'elle contient 400 nom, et pas 700 !

La liste contient 44 présentateur météo, 49 retraités, 20 économistes, et 70 personnes qui n'ont aucune compétence particulière dans les sciences climatiques.

http://www.thedailyg…ntists-46011008

Dniz ! Enfin !!! Si vous bavouillez sur le décompte d'un sénateur US président de commission (majoritaire puis minoritaire), donnez vous au moins la peine de lire les 10 lignes (en tête) de son communiqué où il décrit ces chiffres !

Over 700 dissenting scientists (updates previous 650 report) from around the globe challenged man-made global warming claims made by the United Nations Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) and former Vice President Al Gore. This new 2009 255-page U.S. Senate Minority Report -- updated from 2007’s groundbreaking report of over 400 scientists who voiced skepticism about the so-called global warming “consensus”

En clair : la liste est en constante progression ; 400 en 2007, 650 en 2008, 700 en 2009.

Les présentateurs meteo sont souvent des ingénieurs météo, et les autres ont pu voir la propagande orchestrée en coulisse biaiser les présentations publiques.

Les retraités en question sont des gens d'une grande compétence qui ont exercé des responsabilités éminentes et dont la parole est libérée de toute contrainte professionnelle. Leur opinion, parmi d'autres, a légitimement sa place dans la liste. Si je me souviens bien l'un d'entre eux est le directeur scientifique qui ayant supervisé le contrôle au sein de la NASA des travaux de James Hansen le gourou d'Al Gore, expliquait que JH avait au motif de sa passion politique protégée par sa surmédiatisation et ses accointances politiciennes enfreint de façon grossière et chronique les règles manageriales déontologiques et scientifiquement prudentielles de la NASA, grévant le futur de l'agence d'un discrédit majeur. Je crois même me souvenir qu'il ajoutait que les modèles de JH étaient de dispendieux échecs récurrents sans valeur prédictive.

Les 20 économistes et les autres personnes pour un total de 70 sans compétence sur les sciences climatiques [dures] sont tout à fait pertinentes, parmi d'autres, dans cette liste qui répond à l'ensemble de la dialectique alamiste portée notamment par le GIEC dont la thèse catastrophiste inclue la climatologie proprement dite, son impact sur la nature, et son impact sur l'économie et la société.

J'observe avec satisfaction que vous n'avez rien à reprocher contre la majorité des membres de cette liste, qui sont des scientifiques de la physique du climat, en activité, complétée par la pertinente minorité que vous décriez en raclant les fonds de tiroirs de votre extraordinaire forme réthorique.

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Et la liste des associations de scientifiques qui endossent la thèse de l'origine anthropique du réchauffement récent, n'est-elle pas impressionnante ?

Donc, la réalité n'est que le fruit d'un vote concernant des théories divergentes ?

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Je vois que vous n'avez toujours pas répondu à ma question d'il y a quelque post: pourquoi croyez-vous que le virus VIH provoque le SIDA ?? Elle vous met mal à l'aise ?

Il existe des scientifiques qui continuent à croire que le SIDA n'est pas d'origine virale.

Voilà une liste de 2813 sceptiques sur la question, dont bon nombre de scientifiques:

http://www.rethinkin.../rethinkers.htm

Voilà une liste de citation:

http://www.rethinkin.../aidsquotes.htm

Donc d'après vous, puisque la question fait débat, il faut arrêter toute prévention, et stopper les thérapies en cours ??

Ou alors vous êtes convaincu que ces sceptiques sont dans l'erreur ? Mais pourquoi ? Qu'est ce qui vous convainc que c'est bien le VIH qui provoque le SIDA ??

Disons que les médecins, à la différence des militants réchauffistes, n'exigent pas un changement radical de notre mode de vie, sur base d'un acte de foi qu'on appelle principe de précaution.

Et puis le débat n'est pas autant politisé, envahi de corporations qui défendent leurs subsides, ce qui fait qu'on peut avoir une certaine confiance envers les personnes qui gèrent la situation.

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On continue à rire. Plusieurs pages de débat pour prouver qu'il n'y a pas débat. Et quand on voit le nombre de personnes sceptiques, on se dit que le débat sur le non-débat peut continuer.

Sans parler du climategate 2, 's'pas Dniz.

(oui je sais, c'est out of context, rien que des méchants mails)

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