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ca serait grave si notre avis importait.

Vu que les gouvs vont decider de qui fait quoi et comment contre la rechauffitude, qu'on ne soit pas d'accord ne change rien.

apres tout, nous etions deja irresponsables avant d'etre des untermenschen.

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Un nombre record d'Américains croit que les informations sur le RC sont exagérées. Précision : chez les démocrates ils sont peu nombreux, mais la proportion a augmenté de 46% depuis les semaines d'après la sortie de An Inconvenient Truth.

http://www.gallup.com/poll/116590/Increase…ggerated.aspx#1

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Nous avons vu plus haut que les négationistes du RC sont des malades mentaux.

Mais ce n'est pas tout.

Ils sont en plus du mauvais groupe ethnique:

The contrast with the America embodied by Obama's election is stark. The 600 attendees (by the organisers' count) are almost entirely white males, and many, if not most, are past retirement age. Only two women and one African-American man figure on the programme of more than 70 speakers.

http://www.guardian.co.uk/environment/2009…tic-environment

Réaction de Watts Up With That:

http://wattsupwiththat.com/2009/03/13/who-makes-up-the-ipcc/

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L'hystérie réchauffiste ne connaît plus aucune limite, c'est définitif :

L'Irlande veut taxer les pets de vache

Alors que les agriculteurs ont déjà du mal à boucler leur fin de mois, cette nouvelle taxe pourrait bien les mettre un peu plus dans les ennuis.

L’Irlande, mais aussi le Danemark réfléchissent à cette idée. Les états imposeraient une taxe de respectivement, 13 et 80 euros. Et ca non pas pour le cheptel entier, mais par animal.

80 euros par vache pour ses gaz… On imagine aisément que les agriculteurs ne vont pas apprécier !

L’explication des autorités est simple : les gaz émis par ces animaux, et notamment le méthane, contribuent au réchauffement climatique. Et ce dans la mesure où les flatulences et les renvois constituent des gaz à effet de serre.

Cette taxe devrait ainsi permettre d'investir dans la recherche de nouvelles technologies permettant de réduire les gaz à effet de serre. Le Danemark serait en fait un pionner en la matière. Il aurait trouvé un moyen de récupérer et de recycler les gaz émis par les cochons.

L’une des pistes évoquée par un porte parole de la Commission Européenne serait de développer une nouvelle alimentation pour les bêtes, pour qu'ils produisent moins de méthane.

http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/226…s+pets+de+vache

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L'hystérie réchauffiste ne connaît plus aucune limite, c'est définitif :

http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/226…s+pets+de+vache

Déficit public colossal => le Taoiseach impose tout ce qui bouge. L'écologie n'est qu'un prétexte. Comme à peu près toujours pour les politiciens et l'écologie.

Quelques liens Wikibéral par la même occasion : Serge Galam, Robert Vivian, Gerald Stanhill, Victor Manuel Velasco Herrera, James Hansen

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A New York, les anti-Kyoto dénoncent "l'alarmisme environnementaliste"

13.03.09 | 15h20 • Mis à jour le 13.03.09 | 20h07

Elle ne figure pas à l'agenda officiel des grandes réunions sur le climat, mais se targue du titre de "Conférence internationale sur le changement climatique". Sa deuxième édition s'est tenue à New York du 8 au 10 mars, avec comme invité de marque le président tchèque Vaclav Klaus, dont le pays préside actuellement l'Union européenne (UE).

Quant à l'organisateur de ce rassemblement - où s'est pressé un demi-millier de scientifiques, de politiciens et d'économistes -, il s'agit de l'Institut Heartland, un groupe de réflexion qui, selon sa charte, entend "promouvoir des solutions aux problèmes économiques et sociaux par la liberté du marché (et) la dérégulation, partout où l'initiative privée est plus efficace que les bureaucraties gouvernementales".

Credo des participants : dénoncer les théories sur le changement climatique, dénuées, selon eux, de fondements scientifiques et fer de lance d'une guerre sournoise contre le capitalisme. M. Klaus a ouvert les débats en dénonçant "l'alarmisme environnementaliste" dont "le véritable projet est (…) de ramener l'humanité des siècles en arrière". Une déclaration critiquée, le 12 mars, par Martin Bursik, ministre tchèque de l'environnement, qui regrette "l'amateurisme et les positions bizarres" de M. Klaus sur cette question.

Qui sont les vecteurs de cette menace ? Al Gore, l'ancien vice-président américain et co-Prix Nobel de la paix, mais aussi le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), pour qui l'impact de l'homme sur le climat est quasi certain.

"REFROIDISSEMENT PLANÉTAIRE"

Les intitulés des interventions indiquent la tonalité générale des débats. "Comment arrêter le protocole de Kyoto ou sa prochaine version ?", "Pourquoi le CO2 n'est pas responsable du réchauffement", etc. Parmi les tenants du "scepticisme", aucun climatologue de renom, à l'exception de Richard Lindzen (MIT) et Roy Spencer (Université d'Alabama à Huntsville), connu pour ses prises de position néocréationnistes.

Mais des divergences sont rapidement apparues. Plusieurs intervenants remettent en question la réalité même du réchauffement. Ainsi, pour le géologue Don Easterbrook (Université occidentale de l'Etat de Washington), on assiste, depuis 1977, à un "refroidissement planétaire". "Le seul lieu où la supposée catastrophe climatique se produit est dans le monde virtuel des modèles informatiques", expliquait de son côté le politicien Marc Morano. D'autres ne la nient pas, mais récusent le rôle de l'homme. Comme l'astronome Willie Soon (Université Harvard), qui l'attribue à l'activité solaire…

L'essentiel de la communauté climatologique "ignore totalement ce qui se passe à cette réunion, où on ne fait pas de science, et où aucun résultat nouveau n'est annoncé", explique le climatologue Gavin Schmidt (Goddard Institute for Space Studies, NASA). D'autres critiques soulignent que, chose rare pour les conférences scientifiques, les intervenants sont rémunérés. Ce que confirme au Monde Dan Miller, porte-parole de l'Institut Heartland. En outre, le groupe de réflexion ne divulgue pas la liste de ses donateurs. Exxon Mobil en a longtemps fait partie, avant de renoncer, en 2006, à financer le "climato-scepticisme".

Sylvain Cypel (à New York), avec Stéphane Foucart

Le Monde.fr

Je ne sais pas si c'est le bon endroit pour foutre cet article mais je trouvais ça intéressant, si ce n'est pas le cas, un modérateur pourra-t-il gentiment et avec toute la délicatesse requise le mettre ailleurs?

Merci :icon_up:

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Le Monde.fr

Je ne sais pas si c'est le bon endroit pour foutre cet article mais je trouvais ça intéressant, si ce n'est pas le cas, un modérateur pourra-t-il gentiment et avec toute la délicatesse requise le mettre ailleurs?

Merci :icon_up:

Et puis on trouve cet article :

Le plus noir des scénarios climatiques se profile

A neuf mois de la conférence de Copenhague, où la communauté internationale s'est fixé un ultime rendez-vous pour s'accorder sur un plan de réduction des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique, rien ne garantit qu'un accord sera trouvé. C'est dans l'espoir de conjurer un possible échec que près de 2 000 scientifiques, parmi lesquels les plus éminents climatologues mondiaux, se sont réunis du 10 au 12 mars dans la capitale danoise.

"Imaginez un avion dont la probabilité d'arriver à destination est de 10 %. Monteriez-vous à bord ? Evidemment non…" Stefan Rahmstorf, de l'Institut de recherches de Potsdam sur le climat, aime bien cette métaphore pour expliquer ce qui est en train de se passer : depuis le dernier rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), publié en 2007, il est certain, à 90 %, que l'homme est à l'origine de la transformation du climat qui menace les grands équilibres planétaires.

Or tout se passe comme si les gouvernements s'interrogeaient encore sur la possibilité d'embarquer dans cet avion promis à la catastrophe. A Copenhague, la communauté scientifique a voulu démontrer une dernière fois, avant la fin des négociations, que le doute n'était plus permis. "Nous avons accumulé beaucoup de données depuis le dernier rapport du GIEC, en 2007. Nous voulons que les gouvernements décident en connaissance de cause", a expliqué Katherine Richardson, de l'université de Copenhague, l'une des neuf universités à l'origine de cette initiative.

Les conclusions du GIEC s'appuient sur des données datant au mieux de 2005. Compte tenu de la lourdeur de cette organisation, qui réunit 2 500 chercheurs de 130 pays et dont l'ensemble des publications est soumis au consensus, le prochain rapport ne paraîtra pas avant 2014. Or "les dernières observations confirment que le pire des scénarios du GIEC est en train de se réaliser. Les émissions ont continué d'augmenter fortement et le système climatique évolue d'ores et déjà en dehors des variations naturelles à l'intérieur desquelles nos sociétés et nos économies se sont construites", a affirmé le comité scientifique de la conférence. Les prévisions du GIEC anticipent une hausse des températures comprises entre 1,1 °C et 6,4 °C à la fin du siècle par rapport à la période préindustrielle.

Stefan Rahmstorf a présenté une étude selon laquelle le niveau des océans pourrait augmenter dans une fourchette de 75 cm à 190 cm d'ici à 2100. Soit bien au-delà des prévisions du GIEC allant de 18 cm à 59 cm. Celles-ci - et le GIEC avait pris soin de le souligner - ne prenaient pas en compte l'évolution des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique. Or leur rôle serait en réalité majeur, au travers de la fonte des glaces mais surtout de leur "écoulement" dans la mer. "Ce phénomène est beaucoup plus massif et beaucoup plus rapide que nous ne le pensions", confirme Eric Rignot, professeur à l'UC Irvine en Californie.

Lucka Kajfez Bogataj, de l'université de Ljubljana (Slovénie), a épluché l'ensemble des études climatiques parues dernièrement. Elle conclut sans hésiter : "L'impact du réchauffement est plus précoce et plus rapide que prévu." Entre 1990 et 2006, le monde a connu les treize années les plus chaudes depuis 1880, qui marque le début de l'ère industrielle, cite-t-elle en exemple.

Spécialiste des écosystèmes, Andreas Fischlin, de l'Institut fédéral de technologie de Zurich, va dans ce sens : "Les écosystèmes stockent 25 % des émissions mondiales de carbone. Cette capacité de stockage devrait culminer vers 2050, avant que les écosystèmes fragilisés par le réchauffement ne se mettent à leur tour à relâcher du CO2 dans l'atmosphère aggravant ainsi le phénomène. Ce problème est beaucoup plus important que nous ne le pensions il y a cinq ans."

Ce que les scientifiques ont baptisé des tipping points, soit des seuils au-delà desquels les conséquences du réchauffement deviennent irréversibles et incontrôlables, pourraient être plus bas. "Nous pensions que la survie des ours polaires serait menacée à partir d'une hausse des températures de 2,8 °C, il est probable que cela soit déjà vrai à partir de 1,5°C", avance M. Fischlin.

La richesse des hotspots ("points chauds") de la biodiversité, ces régions qui concentrent quantité d'espèces rares ou endémiques, serait en danger à partir d'un réchauffement de 1,6 °C. "Les nouveaux modèles dont nous disposons nous montrent que beaucoup de seuils de rupture se trouvent dans la bande des 2 °C à 3 °C. Et qu'il faudrait mieux garder une distance de sécurité pour ne pas risquer de s'en approcher", poursuit le chercheur. Sir Nicholas Stern, auteur du célèbre rapport sur "l'économie du changement climatique", a indiqué que "le coût de l'inaction sera supérieur à ce qu'il avait présenté en 2006".

Présent à Copenhague, le président du GIEC, Rajendra Pachauri, n'est pas sorti de son devoir de réserve mais, à neuf mois de l'échéance, il a jugé "utile que cette conférence rappelle aux politiques qu'il existe une crise plus grave que la crise économique". James Hansen, le célèbre climatologue de la NASA qui fut l'un des premiers à alerter en 1988 sur les dangers du réchauffement, a été plus direct : "Il faut que l'opinion soit sûre d'une chose. Les scientifiques sont clairs. Il n'existe pas de grosses incertitudes sur le film qui est devant nous. Et les politiques ne peuvent pas s'abriter derrière de prétendues inconnues pour ne pas agir." En clair, les scientifiques ont fait leur travail. Aux politiques maintenant de faire le leur.

(badurl) http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/03/13/le-plus-noir-des-scenarios-climatiques-se-profile_1167544_3244.html (badurl)

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"Les écosystèmes stockent 25 % des émissions mondiales de carbone. Cette capacité de stockage devrait culminer vers 2050, avant que les écosystèmes fragilisés par le réchauffement ne se mettent à leur tour à relâcher du CO2 dans l'atmosphère aggravant ainsi le phénomène. Ce problème est beaucoup plus important que nous ne le pensions il y a cinq ans."

Pour ceux que ça intéresse il doit faire référence à l'article de Philips, et al, paru la semaine dernière http://www.sciencemag.org/cgi/content/abstract/323/5919/1344

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Je ne sais pas si c'est le bon endroit pour foutre cet article mais je trouvais ça intéressant, si ce n'est pas le cas, un modérateur pourra-t-il gentiment et avec toute la délicatesse requise le mettre ailleurs?

Merci :icon_up:

C'est bien le bon endroit.

J'aime beaucoup le :

Mais des divergences sont rapidement apparues. Plusieurs intervenants remettent en question la réalité même du réchauffement. Ainsi, pour le géologue Don Easterbrook (Université occidentale de l'Etat de Washington), on assiste, depuis 1977, à un "refroidissement planétaire". "Le seul lieu où la supposée catastrophe climatique se produit est dans le monde virtuel des modèles informatiques", expliquait de son côté le politicien Marc Morano. D'autres ne la nient pas, mais récusent le rôle de l'homme. Comme l'astronome Willie Soon (Université Harvard), qui l'attribue à l'activité solaire…

En gros, les opinions divergentes sont un signe de manque de rigueur scientifique. Dans le camps réchauffiste, au contraire, la belle unanimité est la preuve qu'on fait du travail scientifique sérieux.

Les journalistes pensent-ils que tous les métiers fonctionnent comme le journalisme?

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Tout d'abord, un mot d'excuse : la version française de ce site (7 sur 7) ne parle pas de la nouvelle suivante. Il s'agit du sondage américain dont je vous ai parlé plus haut.

Le site propose un sondage à ses lecteurs avec quatre options:

Croyez vous au réchauffement climatique?

- Oui, c'est un problème urgent

- Oui, mais les media exagèrent

- Non, le réchauffement climatique n'existe pas

- Sans opinion

Si vous souhaitez participer à la guerre contre les Khmers verts:

http://www.hln.be/hln/nl/2656/Global-Warmi…l-warming.dhtml

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Tout d'abord, un mot d'excuse : la version française de ce site (7 sur 7) ne parle pas de la nouvelle suivante. Il s'agit du sondage américain dont je vous ai parlé plus haut.

Le site propose un sondage à ses lecteurs avec quatre options:

Ja, global warming is een dringend probleem 357 (41%) Ja, maar de media overdrijven 281 (32%) Nee, global warming bestaat niet 229 (26%) Geen mening 12 (1%)
Damned y'a du chemin à faire pour les agedeglacistes :icon_up:
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Le site propose un sondage à ses lecteurs avec quatre options:

Croyez vous au réchauffement climatique?

- Oui, c'est un problème urgent

- Oui, mais les media exagèrent

- Non, le réchauffement climatique n'existe pas

- Sans opinion

L'option 3 est un faux choix : on peut très bien croire que le RC existe (les chances de se tromper sont minces vu que le climat n'a que 2 choix, soit se réchauffer, soit se refroidir, un climat "stable" n'ayant JAMAIS existé) tout en croyant que "non, le RC d'origine humaine n'existe pas".

Si les réchauffistes ont systématiquement recours à ce genre de diversion du débat, c'est parce que leur théorie ne vaut pas un clou.

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L'option 3 est un faux choix : on peut très bien croire que le RC existe (les chances de se tromper sont minces vu que le climat n'a que 2 choix, soit se réchauffer, soit se refroidir, un climat "stable" n'ayant JAMAIS existé) tout en croyant que "non, le RC d'origine humaine n'existe pas".

Si les réchauffistes ont systématiquement recours à ce genre de diversion du débat, c'est parce que leur théorie ne vaut pas un clou.

J'en suis bien conscient. Il y a une lueur d'espoir, c'est que, malgré ces manipulations quotidiennes, le résultat ne leur est pas favorable.

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L'option 3 est un faux choix : on peut très bien croire que le RC existe (les chances de se tromper sont minces vu que le climat n'a que 2 choix, soit se réchauffer, soit se refroidir, un climat "stable" n'ayant JAMAIS existé) tout en croyant que "non, le RC d'origine humaine n'existe pas".

Si les réchauffistes ont systématiquement recours à ce genre de diversion du débat, c'est parce que leur théorie ne vaut pas un clou.

En même temps, que le réchauffement soit d'origine humaine ou pas, on s'en fiche, ça changera rien au schmilblick.

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Si, ça change de savoir si l'on va appliquer des politiques ruineuses ou non.

Naaan, que ce soit d'origine humaine ou non, les politiques voudront jouer aux sauveurs de l'humanité avec des règlements, subventions ou TALC, même si de toute façon ça ne sert à rien.

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Naaan, que ce soit d'origine humaine ou non, les politiques voudront jouer aux sauveurs de l'humanité avec des règlements, subventions ou TALC, même si de toute façon ça ne sert à rien.

Pas forcément, prend le cas du Japon, par exemple. Voir post plus haut.

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http://www.guardian.co.uk/science/2009/mar…ge-james-hansen

Leading climate scientist: 'democratic process isn't working'

* David Adam, environment correspondent

* guardian.co.uk, Wednesday 18 March 2009 18.31 GMT

* Article history

Protest and direct action could be the only way to tackle soaring carbon emissions, a leading climate scientist has said.

James Hansen, a climate modeller with Nasa, told the Guardian today that corporate lobbying has undermined democratic attempts to curb carbon pollution. "The democratic process doesn't quite seem to be working," he said.

Speaking on the eve of joining a protest against the headquarters of power firm E.ON in Coventry, Hansen said: "The first action that people should take is to use the democratic process. What is frustrating people, me included, is that democratic action affects elections but what we get then from political leaders is greenwash.

"The democratic process is supposed to be one person one vote, but it turns out that money is talking louder than the votes. So, I'm not surprised that people are getting frustrated. I think that peaceful demonstration is not out of order, because we're running out of time."

Hansen said he was taking part in the Coventry demonstration tomorrow because he wants a worldwide moratorium on new coal power stations. E.ON wants to build such a station at Kingsnorth in Kent, an application that energy and the climate change minister Ed Miliband recently delayed. "I think that peaceful actions that attempt to draw society's attention to the issue are not inappropriate," Hansen said.

He added that a scientific meeting in Copenhagen last week had made clear the "urgency of the science and the inaction taken by governments".

Officials will gather in Bonn later this month to continue talks on a new global climate treaty, which campaigners have called to be signed at a UN meeting in Copenhagen in December. Hansen warned that the new treaty is "guaranteed to fail" to bring down emissions.

Hansen said: "What's being talked about for Copenhagen is a strenghening of Kyoto [protocol] approach, a cap and trade with offsets and escape hatches which will be gauranteed to fail in terms of getting the required rapid reduction in emissions. They talk about goals which sound impressive, but when you see the actions are such that it will be impossible to reach those goals, then I can understand the informed public getting frustrated."

He said he was growing "concerned" over the stance taken by the new US adminstration on global warming. "It's not clear what their intentions are yet, but if they are going to support cap and trade then unfortunately i think that will be another case of greenwash. It's going to take stronger action than that."

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Etonnante constatation. D'un côté, il en vient à souhaiter, finalement, une bonne petite Action Directe, de l'autre, il fustige la démocratie qui, finalement, n'apporte pas ce qu'il veut, lui.

Mais, mon coco, aurais-je envie de dire, tout ceci n'est pas nouveau.

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"The democratic process is supposed to be one person one vote, but it turns out that money is talking louder than the votes. So, I'm not surprised that people are getting frustrated. I think that peaceful demonstration is not out of order, because we're running out of time."

Manque pas d'air, ce con, quand on voit les sommes de pognon que l'Église de Climatologie claque en pub pour vendre sa daube.

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La méthode scientifique post moderne du XXIe siècle

1° Je présente mes résultats. Ils sont décortiqués et on se rend compte qu'ils ne sont pas convaincants

2° Je fous la panique dans l'opinion pour imposer quand même mes conclusions, obtenir beaucoup plus de fonds pour moi même et apauvrir tout le reste de la population. Pas de bol, plus les gens en voient le coût, moins ça marche

3° J'appelle à la violence

(4° mmmh, le climatologue pastèque va-t-il vraiment se retouver au bon bout du fusil si le grabuge qu'il appelle de ses souhaits arrive?)

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C'est vrai qu'il a des leçons à donner, James Hansen, lui qui renvoie ceux qui sont en désaccord avec lui, cf. William Happer.

Ce n'est pas la première fois d'ailleurs qu'il se livre à ce genre de démarches : il a demandé que l'on juge les dirigeants des entreprises pétrolières pour crime contre l'humanité (sic)…

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C'est devenu the running gag, mais c'est toujours aussi fendard :

Polar Explorers Run Short of Food; Weather Stops Supply Flights

March 18 (Bloomberg) -- Three U.K. explorers bound for the North Pole on a scientific expedition to study global warming said they are close to running out of food after “brutal” weather conditions halted three attempts to fly in supplies.

The support team hopes to decide within hours on when it can send an airplane to land on nearby ice with provisions, Tori Taylor, a spokeswoman for the Catlin Arctic Survey in London, said in an interview today.

“We’re hungry, the cold is relentless, our sleeping bags are full of ice,” expedition leader Pen Hadow said in a statement e-mailed yesterday by his team. “Waiting is almost the worst part of an expedition as we’re in the lap of the weather gods.”

The severe weather is jeopardizing a journey aimed at projecting when global warming may melt the entire Arctic Ocean cap, a phenomenon that scientists say might trigger further gains in temperature.

Hadow, Ann Daniels and Martin Hartley are 18 days into their 100-day, 1,300-kilometer (800-mile) journey to the pole, during which they planned to use a custom radar to take as many as 13 million ice-thickness measurements. They aim to help scientists gauge how quickly the Arctic sea ice is thinning.

Previous estimates of melting have been based on less reliable depth soundings made by satellites and submarines, which can’t distinguish ice from snow. Scientists have made few surface measurements that are highly accurate because of difficulties in traveling on the ice cap.

“We’ve located a suitable airstrip,” Taylor said. “We hope the plane will be able to land.”

http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=206…mp;refer=canada

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Le réchauffement climatique : une vaste escroquerie

Avec Obama, les acteurs clés sont maintenant tous en place à Washington et dans les gouvernements des autres pays de toute l’Amérique, du Canada, d’Europe, pour étiqueter officiellement le dioxyde de carbone comme un polluant et promulguer des lois qui nous taxent, nous les citoyens, pour nos moindres émanations de carbone. Seuls deux détails se dressent en travers du chemin, la période économique chancelante et un revirement spectaculaire du temps vers un climat plus froid. Les deux derniers hivers rigoureux ont abouti à un éveil dans la conscience du public au fait que le CO2 n’est pas un polluant et qu’il n’est pas un gaz à effet de serre significatif qui provoque un réchauffement global débridé.

Comment sommes-nous arrivés à ce point où une mauvaise science dicte sa loi ?

Peut-être parce qu’il y a un profit politique et financier à acquérir en déviant l’attention du public de ce qui se passe réellement.

Si vous vouliez masquer les véritables causes (ces influences cosmiques qui sont des cycles naturels répétitifs de réchauffements et refroidissements massifs soudains, tel qu’enregistré à maintes reprises dans l’histoire de la Terre) quel meilleur moyen que de focaliser l’attention du public vers l’intérieur plutôt que vers l’extérieur ?

Il serait naïf de penser que les gouvernements sont inconscients des processus impliqués, la recherche et les preuves sont là pour ceux qui regardent, cette ignorance du public est délibérée.

L’histoire commence avec un océanographe nommé Roger Revelle. Il a servi dans la Navy pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, il est devenu le directeur du Scripps Oceanographic Institute à La Jolla à San Diego en Californie. Revelle vit l’opportunité d’obtenir un financement important de la Navy pour faire des mesures et des recherches en mer dans les atolls du Pacifique où l’armée étasunienne réalisait des tests de bombe atomique. Il étendit grandement les domaines d’intérêt de l’institut et, entre autres, engagea Hans Suess, un chimiste renommé de l’université de Chicago qui était très intéressé par les traces de carbone dans l’environnement par suite de la combustion des carburants fossiles. Revelle se joignit aux études de Suess et co-signa un article avec lui en 1957. L’article émet la possibilité que le dioxyde de carbone puisse créer un effet de serre et provoquer un réchauffement atmosphérique. Cela semble être un prétexte pour financer d’autres études. Le financement, à franchement parler, était la préoccupation principale de Revelle.

Après cela Revelle engagea un géochimiste nommé David Keeling afin de concevoir un moyen pour mesurer le contenu atmosphérique de dioxyde de carbone. En 1960, Keeling a publié son premier article montrant l’augmentation du dioxyde de carbone dans l’atmosphère et associant l’augmentation à la combustion des carburants fossiles.

Ces deux articles de recherche devinrent les fondements de la science du réchauffement global, même s’ils n’apportaient pas la preuve que le dioxyde de carbone était effectivement un gaz à effet de serre. En outre, ils n’expliquaient pas comment ce gaz à l’état de traces - seulement une minuscule fraction de l’atmosphère - pouvait avoir un impact significatif sur les températures.

Revenons dans 1950 quand cela se passait. Nos villes étaient entourées d’un voile de pollution produit par les rudimentaires moteurs à combustion interne qui équipaient les voitures et les camions à cette époque et par les émissions non contrôlées des centrales thermiques et des usines. Les voitures, les usines et les centrales thermiques remplissaient l’air avec toutes sortes de polluants. Il y avait un souci valable et sérieux des conséquences sanitaires de cette pollution et un fort mouvement environnemental se développait pour exiger une action. Le gouvernement accepta ce défi et de nouvelles normes environnementales furent établies. Les scientifiques et les ingénieurs vinrent à la rescousse. De nouveaux carburants reformulés étaient développés pour les voitures comme le furent les nouveaux moteurs contrôlés par ordinateur et les pots catalytiques. Au milieu des années 70, les voitures n’étaient plus de gros pollueurs, libérant seulement un peu de dioxyde de carbone et de vapeur d’eau par le tuyau d’échappement. De la même manière, un nouveau processus de fabrication de carburant et des filtres de cheminée furent ajoutés aux usines et aux centrales thermiques et leurs émissions furent grandement également réduites.

Mais un mouvement environnementaliste avait été créé. Son financement et son existence même dépendaient d’une situation de crise continue. Alors, les articles de Scripps arrivaient au bon moment. Et avec eux, arrivait la naissance d’un sujet ; le réchauffement global par le dioxyde de carbone suite à la combustion des carburants fossiles est créé par l’homme.

Revelle et Keeling ont utilisé ce nouvel alarmisme pour garder l’accroissement de leur financement. D’autres chercheurs aux motivations environnementalistes et avides de financement virent ce développement et s’y joignirent également. Les subventions de recherche commencèrent à couler et l’hypothèse alarmante commença à apparaître partout.

La courbe de Keeling montrait une augmentation constante du CO2 dans l’atmosphère pendant la période commençant à la découverte du pétrole et du charbon et leur utilisation par l’homme. Aujourd’hui, le dioxyde de carbone a augmenté de 215 à 385 parties par million. Mais, malgré les augmentations, ce n’est toujours qu’un gaz à l’état de traces dans l’atmosphère. Bien que l’augmentation soit réelle, le pourcentage de l’atmosphère en CO2 reste minuscule, environ 0,41 centièmes d’un pour cent.

Plusieurs hypothèses apparurent dans les années 70 et 80 à propos de la manière dont ce minuscule composant atmosphérique de CO2 pourrait causer un réchauffement significatif. Mais elles restèrent non prouvées. Les années avaient passé et les scientifiques continuaient à chercher des preuves du réchauffement et de leurs théories. Et, les demandes de financement et revendications écologiques continuaient à s’accumuler.

Dans les années 1960, cette recherche sur le réchauffement global attira l’attention d’un bureaucrate des Nations Unies d’origine canadienne appelé Maurice Strong. Il cherchait des sujets qu’il pourrait utiliser pour satisfaire son rêve d’un gouvernement mondial unique. Strong organisa une journée mondiale de la Terre en 1970 à Stockholm en Suède. De là il développa un comité de scientifiques, écologistes et fonctionnaires politiques des Nations Unies pour continuer une série de rencontres.

Strong développa le concept que les Nations Unies pourraient demander des paiements de la part des nations développées pour le dommage climatique causé par la combustion des carburants fossiles au bénéfice des nations sous-développées, une sorte de taxe sur le CO2 qui serait le financement pour son gouvernement mondial unique. Mais il avait besoin d’autres preuves scientifiques pour soutenir sa thèse principale. Strong oeuvra alors à la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies. Ce n’était pas une pure organisation scientifique sur l’étude du climat, comme nous avons été amenés à le croire. C’était une organisation de bureaucrates des Nations Unies du gouvernement mondial unique, d’activistes écologistes et de scientifiques de l’écologie qui sollicitaient le financement des Nations Unies afin qu’ils puissent produire la science dont ils avaient besoin pour arrêter la combustion des carburants fossiles. Au cours des 25 dernières années, ils ont été très efficaces. Des centaines d’articles scientifiques, quatre rencontres internationales majeures et plus tard des volumes d’histoires d’actualités sur l’Armaggedon climatique, le GIEC des Nations Unies a établi ses arguments à la satisfaction de la plupart des gens et a même partagé un Prix Nobel de la Paix avec Al Gore.

Au même moment que Maurice Strong était occupé aux Nations Unies, les choses commençaient à échapper au contrôle de l’homme qui est maintenant appelé le grand-père du réchauffement global, Roger Revelle. Il avait été politiquement très actif à la fin des années 1950 quand il oeuvrait à ce que l’université de Californie crée un campus à San Diego, contigu à l’institut Scripps à La Jolla. Il remporta cette guerre majeure, mais perdit ensuite une bataille tout aussi importante quand il fut battu dans le choix du premier président du nouveau campus.

Il quitta finalement Scripps en 1963 et alla à l’université d’Harvard pour créer un Centre d’Études Populaires. Ce fut là que Revelle inspira à un de ses étudiants à devenir un activiste majeur du réchauffement global. Cet étudiant dira plus tard, « C’était tout privilège que de pouvoir entendre les valeurs de certaines de ces mesures dans un groupe d’une douzaine d’étudiants maximum. Voilà que ce professeur présentait quelque chose, ne datant pas de quelques années, mais sortant tout frais du labo, avec de profondes implications pour notre avenir ! » L’étudiant le décrivait comme « un professeur visionnaire et merveilleux » qui était « une des premières personnes dans l’académie à tirer le signal d’alarme au sujet du réchauffement global. » Cet étudiant était Al Gore. Il considérait le Dr Revelle comme son mentor et se référait à lui fréquemment, relayant ses expériences en tant qu’étudiant dans son livre « Earth in the balance », publié en 1992.

Donc Roger Revelle était bien le grand-père du réchauffement global. Son œuvre a posé les fondations pour le GIEC des Nations Unies, fourni les munitions anti-carburants fossiles au mouvement écologiste et envoyé Al Gore en route vers ses livres, son film, son Prix Nobel de la Paix et une centaine de millions de dollars de business du crédit carbone.

Ce qui est arrivé ensuite est étonnant. La frénésie du réchauffement global devenait la cause vedette des médias.

Mais le vent tournait pour Roger Revelle. Il fut forcé de quitter Harvard à l’âge de 65 ans et retourna en Californie dans une demi-retraite à l’université de Californie à San Diego. Là il eut le temps de repenser au dioxyde de carbone et à l’effet de serre. L’homme qui avait inspiré Al Gore et donné aux Nations Unies la recherche fondamentale dont elles avaient besoin pour lancer son GIEC avait des doutes. En 1988, il écrivit deux lettres édifiantes aux membres du Congrès. Il écrivit, « Ma croyance personnelle est que nous devrions attendre encore 10 ou 20 ans pour être réellement convaincus que l’effet de serre va être important pour les êtres humains, à la fois de manières positives et négatives. » Il ajouta, « …nous devrions être prudents de ne pas déclencher trop d’alarmes jusqu’à ce que le taux et la quantité de réchauffement deviennent plus clairs. »

Et en 1991, Revelle s’associa à Chauncey Starr, directeur fondateur du Electric Power Research Institute et Fred Singer, le premier directeur du service météo satellite des États-Unis, pour écrire un article dans le magazine Cosmos. Ils demandaient d’autres recherches et suppliaient les scientifiques et les gouvernements de ne pas aller trop vite à réfréner les émissions de CO2 à effet de serre parce que le véritable impact du dioxyde de carbone n’était pas du tout certain et réfréner l’utilisation des carburants fossiles pouvait avoir un impact négatif sur l’économie, les emplois et notre niveau de vie. J’ai discuté de cette collaboration avec le Dr Singer. Il m’assure que Revelle était considérablement plus certain qu’il était à l’époque ou le dioxyde de carbone n’était pas un problème.

Roger Revelle est mort d’une crise cardiaque trois mois après la publication de l’article dans Cosmos. Peut-être que, s’il vivait encore, il aurait été capable d’arrêter cette stupidité scientifique et de mettre fin à l’escroquerie du réchauffement climatique.

Al Gore a rejeté le mea culpa de Roger Revelle comme étant un acte d’un vieil homme sénile. Et l’année suivante, dans la course à la vice-présidence, il a dit que la science derrière le réchauffement global était établie et qu’il n’y aurait plus de débats. À partir de 1992 et jusqu’à aujourd’hui, lui et ses cohortes ont refusé de débattre du réchauffement global et quand on les interroge sur nous les sceptiques, ils insultent et traient leurs contradicteurs de tous les noms.

Ainsi aujourd’hui le dioxyde de carbone est accepté comme coupable du réchauffement global. Il a été convenu que, quand nous brûlons des carburants fossiles, nous libérions une trace ignoble de carbone que nous devions payer à Al Gore ou aux écologistes pour compensation. Nos gouvernements à tous les niveaux envisagent de taxer l’utilisation des carburants fossiles. L’agence fédérale de protection de l’environnement est sur le point de labelliser le CO2 comme étant un polluant et réguler strictement son utilisation pour protéger notre climat. Le nouveau président américain et le Congrès suivent le mouvement. De nombreux gouvernements d’autres pays avancent dans le même sens.

Nous souffrons déjà de cette maladie du CO2 de nombreuses manières. Nos politiques énergétiques sont rigoureusement entravée par manque d’investissements (forages, raffineries …) depuis des décennies. Chaque fois que nous faisons le plein, nous payons pour la pénurie que cela a créée. Au sommet de tout ça, l’illusion du bio-éthanol d’origine végétale nous coûte des millions en impôts, au détriment de la recherche vers d’autres sources d’énergie. Cela a aussi fait grimper les prix de l’alimentation – les subsides à l’industrie du bio-éthanol détournant l’attention des cultivateurs au détriment de l’agriculture alimentaire. Et tout ceci est loin d’être fini.

Le réchauffement global. C’est un canular. C’est de la mauvaise science. C’est un détournement de la politique publique. Ce n’est pas une plaisanterie. C’est la plus grande escroquerie de l’histoire.

(Sources : Futur Quantique)

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