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Les Meilleurs Films Du Xxè Selon Le Vatican


Punu

Messages recommandés

Moi expliquer toi plus simple.

Nous dire Kubrick pas mettre émotion dans film, spectateur mettre émotion dans film Kubrick.

Toi dire nous cons, film Kubrick donne émotion spectateur.

Nous dire oui, spectateur mettre émotions dans film Kubrick, mais Kubrick pas mettre émotion dans film, et toi comprendre que quand moi dire Kubrick pas mettre émotion dans film, ça faire place pour spectateur mettre émotions de lui dans film Kubrick, plutot que recevoir émotions Kubrick que Kubrick pas mettre dans film.

Mais toi dire nous cons, film Kubrick donne émotion spectateur.

Conclusion : Toi rien comprendre, alors nous foutre guuele toi et nous dire toi con.

C'est quoi cette pirouette pseudo-comique (n'est pas h16 qui veut :warez:)? Prenez le temps de relire les messages avant de répondre!

alors nous foutre guuele toi et nous dire toi con.

Je ne l'avais pas vue celle-là!!! :icon_up: Je conteste le fait que vous disiez qu'il n'y ait pas d'émotion dans la musique de Bach et dans les films de Kubrick, mais c'est moi le con!? :doigt:

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Il est vrai que j'ai vu les deux manières d'écrire sur diverses pochettes. La mienne porte "genung". Y a-t-il un germaniste dans la salle ?

genug veut dire assez, et genung n'existe pas (ou n'est plus d'actualité?)

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Paths of Glory est un film-baffe. Le seul truc qui m'ennuie, c'est que j'ai du mal à imaginer que la justice militaire française ait employé une procédure aussi anglo-saxonne. Mais bon, c'est un détail.
La légalité des conseils de guerre

La répression disciplinaire aux armées est une constante. L’exemple le plus frappant de cette justice militaire d’une sévérité incroyable, c’est la Wehrmacht. On sait qu’il y a sans doute eu plus de 30 000 exécutions pendant la seconde guerre mondiale. Il faut comprendre que les conseils de guerre sont quelque chose de tout à fait légal, légitime pour le pouvoir civil et le pouvoir militaire. Toutes ces exécutions ont donc souvent une dimension réglementaire très importante. Celles qui ont paru les moins respectueuses des règles de la justice, y compris militaire, ont pu être réparées, parce qu’il y avait eu entorse au droit. Par ailleurs, la discipline aux armées est évidemment fondamentale dans l’esprit du temps et dans l’esprit de tout militaire. En 1914-1918, il était légitime pour un officier d’abattre sans jugement un soldat qui, par ses manquements disciplinaires, risquait de compromettre une opération militaire. Certains sont allés beaucoup plus loin et ont d’ailleurs été poursuivis. Nous avons l’exemple du général Boutegourd qui a organisé une exécution sommaire de plusieurs soldats en 1914, au moment de la bataille de la Marne. À l’époque, cette exécution a paru tellement arbitraire et injuste que, par la suite, la carrière du général a été quelque peu ralentie. À l’inverse, cet arbitraire pouvait jouer dans d’autres cas pour protéger le soldat d’une procédure.

Propos recueillis par Noëlle Corbefin,

dossier de presse de France 3.

Voir également ici.

Les premiers mois du conflit se sont avérés très difficiles pour les soldats français (retraite surprise, adaptation à la guerre de tranchées, période de grignotage…)et la justice des conseils de guerre s‘est exercée avec sévérité. Les conseils de guerre spéciaux sont établis en septembre 1914 pour parer aux problèmes de discipline des débuts de la guerre. Le 10 août 1914, le recours en révision est supprimé pour tous les conseils de guerre aux armées. Ainsi, comme le souligne Vincent Suard , « il y a eu certainement plus de fusillés entre septembre 1914 et juin 1915 que pour l‘ensemble de la durée ultérieure du conflit. » Dès 1915, l‘ordre est donné qu‘il n‘y ait plus

d‘exécution capitale sans examen du dossier par le président de la République. Pour les condamnations à mort, le recours en révision est rétabli en juin 1916.Les mutineries de 1917 en France conduisent à un renforcement de la répression sous l‘égide de Pétain. L‘année 1918 voit un net déclin des exécutions.

Au total, l‘évaluation du nombre de soldats condamnés à mort est de environ 600 dans l‘armée française, autour de 330 pour les Anglais, de 750 pour les Italiens, 48 selon les chiffres officiels en Allemagne mais bien plus en réalité ; seul le gouvernement australien refuse l‘exécution de ses soldats. Outre les soldats, les espions civils sont fusillés.

Enfin et pour finir sur le sujet de la Grande Guerre, je viens d'acheter un roman de François Sureau intitulé "L'obéissance", tiré d'une histoire véridique:

En mars 1918, la "grande guerre" est tout près d'être perdue, sous les coups de l'armée allemande rassemblée pour un dernier assaut. Au même moment, le gouvernement belge demande au gouvernement français de lui prêter la guillotine et le bourreau de Paris, pour exécuter à Furnes, en zone d'occupation allemande, un condamné à mort. Voici plus de cinquante ans que la Belgique n'exécute plus ses criminels, mais le roi des Belges a décidé de faire un exemple. La France accepte. Deibler, 'l'exécuteur des hautes oeuvres' se met en route pour Furnes, avec sa machine démontée et rangée dans des caisses, sous la protection d'une petite escorte. Il leur faudra traverser la ligne de front, munis de sauf-conduits délivrés par tous les belligérants. Les Etats se sont mis d'accord, non pour arrêter la tuerie, mais pour permettre à un bourreau d'exécuter un homme de plus.
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Tout à fait; ma remarque était d'ordre procédural uniquement et donc inspirée par une rare pédanterie ! :icon_up:

Sinon, c'est "genug".

Et enfin, je crois qu'on se fourvoie avec la discussion sur les émotions - ce que je ressens très fortement et apprécie encore plus chez Bach est l'absence de tout sentimentalisme. Itou chez Kubrick. L'émotion par contre se trouve uniquement chez l'auditeur ou chez le spectateur, pas dans l'oeuvre. Donc oui Bach m'émeut, mais notamment parce que là n'est pas son propos.

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…Bach m'émeut, mais notamment parce que là n'est pas son propos.

Chose particulièrement impossible à soutenir quand on étudie les partitions de Bach et lorsqu'on analyse l'emploi qu'il fait de la rhétorique baroque en musique, cherchant volontairement à susicter l'émotion par la forme. À l'instar de tous les compositeurs baroques, d'ailleurs (un lieu commun employé par tous étant, par exemple, la gamme chromatique descendante).

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Chose particulièrement impossible à soutenir quand on étudie les partitions de Bach et lorsqu'on analyse l'emploi qu'il fait de la rhétorique baroque en musique, cherchant volontairement à susicter l'émotion par la forme. À l'instar de tous les compositeurs baroques, d'ailleurs (un lieu commun employé par tous étant, par exemple, la gamme chromatique descendante).

Tu ne trouves pas que ton raisonnement est quelque peu circulaire ?

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Chose particulièrement impossible à soutenir quand on étudie les partitions de Bach et lorsqu'on analyse l'emploi qu'il fait de la rhétorique baroque en musique, cherchant volontairement à susicter l'émotion par la forme. À l'instar de tous les compositeurs baroques, d'ailleurs (un lieu commun employé par tous étant, par exemple, la gamme chromatique descendante).

+1.

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