Aller au contenu

Émeutes Et Insécurité En France


Messages recommandés

Un espoir néanmoins : le tsunami de merde venant des banlieues a franchi la digue du périph' pour désormais toucher les beaux quartiers. Je n'exclue pas que l'insécurité passe du statut de "sentiment" au statut de "sentiment avéré" \o/. Allez encore un effort, la formule de l'eau tiède est désormais à portée de mains !

 

 

 

Lien vers le commentaire

Moi je m'en tiens seulement et uniquement à mon exprérience personnelle là où je vis, là où j'ai vécu, en France, et celle des gens que je connais là où je vis, là où j'ai vécu et en France. Et c'est marrant mais tout concorde, en France c'est crispé sur la place publique et il y a pas mal d'anecdotes très facheuses... ailleurs pas autant...loin de là.

Mais on peut continuer comme ça longtemps...

Anectodes qui seront pour la plupart oubliées dans 10 ans.

Par contre dans 10 ans, des faits semblables feront tout autant la une de liborg avec des Jim32 et des H32 sur fond de « yavait pas de telles choses ya 10 ans, tendance de fond, toussa »

(ça veut pas dire qu’il n’y a pas de tendance de fond, je ne me prononcerai pas sur le sujet, juste que « le vécu », c’est pas non plus l’alpha et l’oméga de l’analyse sociologique)

Lien vers le commentaire

Un espoir néanmoins : le tsunami de merde venant des banlieues a franchi la digue du périph' pour désormais toucher les beaux quartiers. Je n'exclue pas que l'insécurité passe du statut de "sentiment" au statut de "sentiment avéré" \o/. Allez encore un effort, la formule de l'eau tiède est désormais à portée de mains !

 

Oui. Apparemment les journaleux de Canal+ s'en sont pris plein la tronche, quelques uns se sont fait racketter leur matos. Schadenfreude comme on dit.

Lien vers le commentaire

Je pense qu'il serait intéressant de modifier le règlement intérieur pour stipuler que toute "offense" commise sur liborg obligera son auteur à payer une bière à la victime. Comme ça, on aurait moins mauvaise conscience à être parfois un peu dur. 

Mais bon, moi j'dis ça, moi j'dis rien.

 

Comme toutes les règlemetations, ça a un effet pervers. Le jour ou une telle loi liborgienne entre en ces lieux, je m'arrangerai pour être offensé sur tous les sujets.

Lien vers le commentaire

Oui. Apparemment les journaleux de Canal+ s'en sont pris plein la tronche, quelques uns se sont fait racketter leur matos. Schadenfreude comme on dit.

J'ai vu que les journalistes du Petit Journal se sont fait casser leur voiture, rien de plus (un coup de coude d'un type pour ébrécher le pare-brise :o). Quels sont les journalistes qui se sont fait agresser?

Vu le sentiment corporatiste de cette profession, on n'aurait entendu parler que de cela si ça avait eu lieu non?

Lien vers le commentaire

J'étais sur place et je n'ai pas vu de casse à part un mec à terre... percuté par un véhicule. Pas de coup, pas d'insécurité, un ou deux sprints combinés supps/CRS et c'est tout.

 

Incroyable quoi les gens qui ont vu les infos à la télé me parlent des incidents d'hier comme de mai 68 le retour et moi j'ai l'air d'un con parce que j'y étais et je ne me suis rendu compte de rien :jesaispo:

Lien vers le commentaire

J'étais sur place et je n'ai pas vu de casse à part un mec à terre... percuté par un véhicule. Pas de coup, pas d'insécurité, un ou deux sprints combinés supps/CRS et c'est tout.

 

Incroyable quoi les gens qui ont vu les infos à la télé me parlent des incidents d'hier comme de mai 68 le retour et moi j'ai l'air d'un con parce que j'y étais et je ne me suis rendu compte de rien :jesaispo:

Tu aimes bien l'EHESS ou pas?
Lien vers le commentaire

[Freejazz]

 

Pas si c'est par leurs petits protégés à eux et aux sociologues d'Etat

 

[/freejazz]

 

 

Arnold Gehlen disait de l'homme qu'il est un animal de dressage. Il ne me semble pas improbable qu'une partie des canons culturels démocratiques diffusés par les médias, l'enseignement et les diverses officines publiques visent plus à déformer qu'à instruire, à conditionner ses serviteurs pour leur éviter avec certitude de ne jamais se prendre la réalité en pleine poire. Dans le cas de ces émeutes, on a quand même l'impression que la propagande d'Etat tourne à vide et qu'elle devient de moins efficace dans sa mission de service public essentielle : faire disparaître toute négativité pour que ses affidés jouissent définitivement de l'illusion de vivre dans un parc d'attraction (dans le meilleur des cas), dans le grand hospice occidental dans le pire. 

Lien vers le commentaire

J'étais sur place et je n'ai pas vu de casse à part un mec à terre... percuté par un véhicule. Pas de coup, pas d'insécurité, un ou deux sprints combinés supps/CRS et c'est tout.

 

Incroyable quoi les gens qui ont vu les infos à la télé me parlent des incidents d'hier comme de mai 68 le retour et moi j'ai l'air d'un con parce que j'y étais et je ne me suis rendu compte de rien :jesaispo:

Pas compris, tu te fais courser par les CRS et tu dis que tu te rends compte de rien ?

Soit j'ai rien pigé, soit on vit pas dans le même monde, pour moi une fête, ,c'est sans CRS avec peut-être quelque pétard mais pas de fumigène par exemple.

Enfin un truc sympa quoi, comme un fête de village. Il peut y avoir un service d'ordre, mais il n'intervient pas du tout.

Lien vers le commentaire

Arnold Gehlen disait de l'homme qu'il est un animal de dressage. Il ne me semble pas improbable qu'une partie des canons culturels démocratiques diffusés par les médias, l'enseignement et les diverses officines publiques visent plus à déformer qu'à instruire, à conditionner ses serviteurs pour leur éviter avec certitude de ne jamais se prendre la réalité en pleine poire. Dans le cas de ces émeutes, on a quand même l'impression que la propagande d'Etat tourne à vide et qu'elle devient de moins efficace dans sa mission de service public essentielle : faire disparaître toute négativité pour que ses affidés jouissent définitivement de l'illusion de vivre dans un parc d'attraction (dans le meilleur des cas), dans le grand hospice occidental dans le pire. 

 

Tu sais, je trolle, je trolle, mais c'est comme les légendes : il y a un fond de vérité.

 

On lisais encore récemment durant l'affaire du mur des cons cet appel de je ne sais quel membre fondateur du syndicat de la magistrature d'être partial dans son approche avec tout ce que les gauchistes considèrent comme étant des faibles face aux forts. On connait tous plus ou moins ici l'état d'esprit "du monde de gauche" (copyleft

) et ses manies de classer a priori les bons et les mauvais selon un schéma manichéen basée sur une lecture (a mon avis totalement bidon) de Marx. Je reconnais qu'on fait pareil avec d'autres groupes ceci dit.
Lien vers le commentaire

Tu sais, je trolle, je trolle, mais c'est comme les légendes : il y a un fond de vérité.

 

On lisais encore récemment durant l'affaire du mur des cons cet appel de je ne sais quel membre fondateur du syndicat de la magistrature d'être partial dans son approche avec tout ce que les gauchistes considèrent comme étant des faibles face aux forts. On connait tous plus ou moins ici l'état d'esprit "du monde de gauche" (copyleft

) et ses manies de classer a priori les bons et les mauvais selon un schéma manichéen basée sur une lecture (a mon avis totalement bidon) de Marx. Je reconnais qu'on fait pareil avec d'autres groupes ceci dit.

 

Faible avec les "socialement proches"

Lien vers le commentaire

Attendez est ce que quelqu'un mate valls sur tf1 là ? nan mais ?? il est ministre de l'intérieur ???? au secours.

 

(en gros c'est la faute de tout le monde sauf de lui ou du préfet. Les socialos seront jamais responsables de rien. Ils connaissent pas le mot responsabilité je pense.)

Lien vers le commentaire

Pas compris, tu te fais courser par les CRS et tu dis que tu te rends compte de rien ?

Soit j'ai rien pigé, soit on vit pas dans le même monde, pour moi une fête, ,c'est sans CRS avec peut-être quelque pétard mais pas de fumigène par exemple.

Enfin un truc sympa quoi, comme un fête de village. Il peut y avoir un service d'ordre, mais il n'intervient pas du tout.

 

 

Non, je ne me suis pas fait courser (précision importante: je n'avais pas de signe distinctif de supporter - à part une banane comme ça :)), je les ai vu courser des supps (et inoffensifs ceux-là) une ou deux fois sur les champs, et ils l'ont fait plus pour la forme qu'autre chose: pas de projectile, pas de casse quand j'ai quitté les Champs vers 21h.

 

A ce moment-là il y avait juste un bon vieux vacarme de klaxons et quelques rassemblements pas très bruyants. Zéro insécurité là où j'étais = les quidams (vieux, cadres sortant du boulot, touristes étrangers en excursion shopping) ne fuyaient pas le lieu.

 

Le moment le plus tendu de la soirée c'était au Trocadéro quand beaucoup de supps ont investi l'échafaudage (palais de Chaillot en travaux), avec le speaker qui indiquait que c'était dangereux et que ça tremblait, il y avait motif à craindre un Furiani bis. La non-neutralisation de cet échafaudage par les forces de l'ordre est ce qu'on peut leur reprocher de plus sérieux, car une fois investi, les supporters ont refusé de bouger. Le problème de sécurité a conduit à retarder et abréger la cérémonie ---> énervement progressif du public ---> c'est juste après le départ des joueurs que les choses ont commencé à dégénérer au Trocadéro, avec des jets de bouteille pour commencer. Le public dans son ensemble a marqué un net désappointement devant la remise du trophée en 6 minutes chrono.

 

Rien de bien sérieux au final, plus de 10.000 supps au Trocadéro, pas de blessé dans l'assistance malgré le monde, et une énième guerre à distance entre quelques ultras et les CRS. Comme je voulais le faire remarquer, il m'est arrivé de vivre des situations bien plus tendues dans les transports en commun franciliens pendant les périodes de grève, avec des bousculades de malade (j'ai craint pour ma vie une fois à la station Bercy, là ça n'était pas un Furiani mais un Hillsborough qui a été évité de justesse) où des voyageurs excédés qui sont prêts à emplâtrer des agents SNCF ou d'autres voyageurs, des gens qui sortent sur les voies... En période de grosse grève, le banlieusard que je suis part bosser comme il part à la guerre.

Lien vers le commentaire

Merci pour ce témoignage in vivo, je comprend mieux, même si pour moi le petit suisse que je suis n'ayant jamais vécu dans une ville de plus de 150000 habitants, ça me parait déjà le far-west quand je vois les CRS.

 

Lien vers le commentaire

D'ailleurs, en lisant un message de Ventura dans un autre fil, je me suis souvenu du dernier numéro de La revue française de sociologie consacrant un article au sentiment d'insécurité et de victimations en IDF : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFS_541_0111

 

La thèse consiste à dire, en gros, que les Parisiens seraient plus exposés aux actes délictueux que les habitants de la région parisienne (et que les uns auraient un sentiment d'insécurité assez peu élevé, contrairement aux autres). Du moins, il s'agit de ce que je crois avoir compris, les auteurs de cet article étant généreux en tournures floues, portant à confusion et visant à l'euphémisation (introduction d'un nouveau concept : après la peur, on parle de peur concrète).

 

Quoi qu'il en soit, les Parisiens aisés sont bien décrits par nos sociologues comme de bons bourgeois humanitaires :

 

La classe parisienne des aisés est tout particulièrement victime de vols (Tableau 1) ; il faut aussi tenir compte, mais dans une moindre mesure, d’une certaine exposition aux agressions, plutôt à celles de basse intensité, mais cette fois la surexposition n’est nette qu’en début de période. Ces victimations se déroulent, plus souvent qu’en moyenne, dans le quartier où réside l’enquêté. La sous-exposition aux atteintes aux voitures traduit peut-être à la fois un moindre usage et une meilleure mise à l’abri des véhicules. De même, les scores très limités de cambriolages peuvent être l’effet d’un fort recours aux ressources des protections anti-intrusion et à une résidence dans des zones éloignées d’éventuels prédateurs. Il n’en reste pas moins que, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, ce groupe de personnes à statut favorisé est loin d’être à l’abri de toute victimation : c’est peut-être le prix à payer pour vivre à Paris, à côté, il faut le dire, de bien des avantages…

En gras, un bel exemple de discours scientifique dénué de jugement de valeur...

Lorsque l’on se tourne non plus vers la victimation mais vers le sentiment d’insécurité, le tableau n’est plus du tout le même : assez fortement exposés au risque, les membres de cette classe sont pourtant peu insécures. Les invite-t-on, en effet, à désigner le problème de société dont le gouvernement devrait faire sa priorité, les aisés pointent – et de plus en plus énergiquement au fil des enquêtes – l’emploi et la pauvreté… comme tous les Franciliens d’ailleurs ; tout au plus peut-on remarquer que leur souci pour l’emploi ne les distingue guère, alors qu’ils sont toujours plus nombreux que la moyenne à se préoccuper de la pauvreté (Tableau 2). Quant à la délinquance, c’est un problème qui revêt à leurs yeux de moins en moins d’importance au fil du temps ; la tendance est d’ailleurs la même pour l’ensemble des Franciliens, mais les aisés sont toujours moins nombreux à s’en préoccuper.

 

 

D’ailleurs, ils sont également moins nombreux à exprimer des peurs de la délinquance, que ce soit à leur domicile, dans leur quartier, dans les transports en commun.Toutefois, ils sont à peu près dans la moyenne en ce...
suite
, ou encore pour leurs enfants (Tableau 3). Ils sont toujours moins nombreux que la moyenne à répondre qu’ils connaissent des voisins cambriolés ; en revanche, autant que tout le monde, ils en connaissent qui ont été agressés, ce qui pointe une localisation dans un espace qui n’est pas exempt de risque de cette sorte. Comme on l’a vu, leurs peurs personnelles n’en sont pas accrues pour autant.

59 Interrogés sur les causes de la délinquance, ils préfèrent pointer le chômage plutôt que la décadence morale, la présence d’étrangers ou le laxisme de la justice. Au reste, rétablir la peine de mort ou supprimer les prestations sociales des familles de jeunes délinquants recueillent peu leurs suffrages. Favorables au développement de la prévention, ils sont au contraire moins nombreux que la moyenne à souhaiter une amélioration du sort des victimes ou des recrutements supplémentaires de fonctionnaires de police. D’ailleurs, plus que le reste des enquêtés, ils jugent la présence policière suffisante, voire excessive, dans leur quartier. Rappelons qu’ils vivent dans des zones à présence policière dense, ne serait-ce qu’en raison du nombre de bâtiments officiels ou diplomatiques qui y sont situés.

60 Bien que leur exposition à la victimation ne soit pas négligeable, délinquance et insécurité ne sont pas vraiment la préoccupation essentielle des aisés.

 

 

Lien vers le commentaire
Le public dans son ensemble a marqué un net désappointement devant la remise du trophée en 6 minutes chrono.

 

Qu'est-ce qui est la cause ? Qu'est-ce qui est la conséquence ?

 

Est-ce que la remise du trophée s'est faite en 6 minutes parce que le public s'échauffait ?

Est-ce que le public s'échauffait parce que la remise du trophée s'est faite en 6 minutes ?

Lien vers le commentaire

 

Alex avec son drapeau brésilien, Sirigun avec le drapeau italien, etc.

Bon c'est vrai que c'est débile d'arborer le drapeau de son pays pour célébrer le titre de son club. Quand je fais mes objectifs au taf je ne sors pas de drapeau. Mais bon, l'UMP c'est lolesque.

 

Oui. Apparemment les journaleux de Canal+ s'en sont pris plein la tronche, quelques uns se sont fait racketter leur matos. Schadenfreude comme on dit.

Les pauvres, ils découvrent.

 

Le problème de sécurité a conduit à retarder et abréger la cérémonie ---> énervement progressif du public --->

Des jeunes déçus...

c'est juste après le départ des joueurs que les choses ont commencé à dégénérer au Trocadéro, avec des jets de bouteille pour commencer. Le public dans son ensemble a marqué un net désappointement devant la remise du trophée en 6 minutes chrono.

Rien de bien sérieux au final, plus de 10.000 supps au Trocadéro, pas de blessé dans l'assistance malgré le monde, et une énième guerre à distance entre quelques ultras et les CRS.

C'est bien, on s'habitue maintenant, ça ne semble même plus bizarre quand on vit en France.

 

Comme je voulais le faire remarquer, il m'est arrivé de vivre des situations bien plus tendues dans les transports en commun franciliens pendant les périodes de grève, avec des bousculades de malade (j'ai craint pour ma vie une fois à la station Bercy, là ça n'était pas un Furiani mais un Hillsborough qui a été évité de justesse) où des voyageurs excédés qui sont prêts à emplâtrer des agents SNCF ou d'autres voyageurs, des gens qui sortent sur les voies... En période de grosse grève, le banlieusard que je suis part bosser comme il part à la guerre.

Juste des faits divers quotidiens voyons. 
Lien vers le commentaire

 

La thèse consiste à dire, en gros, que les Parisiens seraient plus exposés aux actes délictueux que les habitants de la région parisienne (

Rien que ça je me suis arrêté. C'est du bullshit. Néammoins, les vols augmentent dans Paris c'est un fait, mais ce n'est pas à proprement parlé de l'insécurité, ou une autre sorte d'insécurité.
Lien vers le commentaire

Arnold Gehlen

Toi, je suis certain que tu viens de citer un auteur hyper-subversif. Faudra qu'on en recause autour d'un verre.
Lien vers le commentaire

Rien que ça je me suis arrêté. C'est du bullshit. Néammoins, les vols augmentent dans Paris c'est un fait, mais ce n'est pas à proprement parlé de l'insécurité, ou une autre sorte d'insécurité.

Les actes délictueux ne se limitent pas aux vols dans les enquêtes de victimations. Sont aussi recensés les insultes, les agressions, les cambriolages, etc.
Lien vers le commentaire

 

Les actes délictueux ne se limitent pas aux vols dans les enquêtes de victimations. Sont aussi recensés les insultes, les agressions, les cambriolages, etc.

Encore pire donc, par exemple les agressions sont bien plus nombreuses en Seine-Sant-Denis que dans Paris.

Quant aux insultes, si on compte le métro parisien ou le RER dans les gares aux heures de pointe où s'entre-mêlent parisiens et banlieusards, il est difficile d'établir une nette séparation.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...