Aller au contenu

HHH sur l'immigration


John Loque

Messages recommandés

Invité jabial
Je n'ai pas dit qu'il fallait interdire.

Alors j'ai effectivement mal compris ton propos ; néanmoins je ne partage pas ton jugement de valeur sur les copropriétés fermées, et ce, d'autant plus qu'elles sont petites.

Lien vers le commentaire
Non car ce serait une obstruction à la libre-circulation des biens et des personnes. Les chemins sont là car ils nous sont antérieurs, ils n'appartiennent à personne mais on connaît leur fonction, ce sont des chemins. Il n'y a pas de règles strictes sur la notion de voie/obstruction, mais tout est découvrable par les lois naturelles. Je sais que même si le bout de passage devant la porte de mon voisin ne lui appartient je n'ai pas le droit de mettre une barrière électrique pour l'empêcher de sortir de sa maison pour autant. Mais lorsque je découvre une île déserte et que j'ai les moyens d'y construire une petite cabane de vacances, je sais que je peux le faire car je ne vais obstruer personne.
A priori rien ne permet de dire cela, tout dépend du contrat d'exploitation de la propriété commune.

Les routes ne sont pas des propriétés communes des citoyens de l'État.

J'avais répondu oui à cette question, j'avais tort: ceux qui utilisent la route ont acquis une servitude de passage, installer un squat serait la violer.

Une servitude de passage est une propriété privée. C'est un droit d'exclure toute activité qui interfèrerait avec mon passage dans un espace. La route n'est donc pas un un bien qui n'appartient à personne et se retrouve miraculeusement goudronné. En tant que propriété privé, elle peut être vendue et fermée.

Peu importe la légitimité de ce fait, la route est la propriété de l'état. C'est l'état qui maintient le droit d'exclure les activités nuisibles à son fonctionnement, telle la hiérarchie des voies de circulation par classes de véhicules, les feux, la signalisation. C'est donc l'état qui interdit à d'autre propriétaires potentiels de contrôler l'accès aux parties communes d'une communauté.

Toute demande pour une politique d'immigration à l'échelle nationale, que ce soit l'immigration porte-ouverte ou quoi que ce soit d'autre, est nécessairement une politique d'état. Pour légitimement établir une immigration porte-ouverte, il faut acheter ce droit et en subir pleinement les couts, pas seulement utiliser l'état pour les externaliser à la communauté. Il faut demander l'autonomie des communautés et en devenir propriétaire. Seulement après ce droit acquis peut-on inviter des étrangers dans sa communauté.

Lien vers le commentaire

Bref, au nom d'un contrat social que tu viens d'inventer, tu réclames l'application du communisme afin d'éviter de devoir poser les yeux sur un quelconque basané.

C'est très intéressant, mais ce n'est pas libéral.

Lien vers le commentaire
Toute demande pour une politique d'immigration à l'échelle nationale, que ce soit l'immigration porte-ouverte ou quoi que ce soit d'autre, est nécessairement une politique d'état. Pour légitimement établir une immigration porte-ouverte, il faut acheter ce droit et en subir pleinement les couts, pas seulement utiliser l'état pour les externaliser à la communauté. Il faut demander l'autonomie des communautés et en devenir propriétaire. Seulement après ce droit acquis peut-on inviter des étrangers dans sa communauté.

Tu es donc favorable au passeport intérieur sous une forme hoppéenne.

Lien vers le commentaire
Tu es donc favorable au passeport intérieur sous une forme hoppéenne.

Les propriétaires d'une communauté ont le droit d'admettre et d'exclure qui que ce soit, peut importe le système qu'ils adoptent pour faire appliquer leur choix.

Lien vers le commentaire
Les propriétaires d'une communauté ont le droit d'admettre et d'exclure qui que ce soit, peut importe le système qu'ils adoptent pour faire appliquer leur choix.

Dans une copropriété actuelle, je ne sache pas qu'il existe un octroi entre chaque étage ni que des douaniers sont postés à l'entrée de chaque appartement pour contrôler si les invités sont conformes aux idées des copropriétaires.

Lien vers le commentaire
Dans une copropriété actuelle, je ne sache pas qu'il existe un octroi entre chaque étage ni que des douaniers sont postés à l'entrée de chaque appartement pour contrôler si les invités sont conformes aux idées des copropriétaires.

Quel est le rapport entre les douaniers et la résidence?

Lien vers le commentaire
Quel est le rapport entre les douaniers et la résidence?

Instituer une interdiction liée à un territoire suppose que tu la fais "respecter". D'où les douaniers (mais tu peux les appeler autrement, milices, agents fédéraux, contrôleurs du travail, etc.).

Bien sur les copropriétaires de la communauté peuvent eux-mêmes se transformer en surveillants à plein temps et ainsi donner une nouvelle raison de ne jamais aller chez eux.

Lien vers le commentaire

De toute façon, pour revenir au texte de Hoppe, sa xénophobie est on ne peut plus claire - et j'espère que chacun en est désormais convaincu. En effet, il ne s'agit pas pour lui de dire qu'il faut une immigration de travail, sans allocations sociales (il écrit noir sur blanc qu'il trouve de telles mesures largement insuffisantes), mais bien plutôt de bâtir une théorie ad hoc servant à justifier ses préjugés. Sinon, pourquoi vouloir accroître le contrôle des flux migratoires ?

Lien vers le commentaire
De toute façon, pour revenir au texte de Hoppe, sa xénophobie est on ne peut plus claire - et j'espère que chacun en est désormais convaincu. En effet, il ne s'agit pas pour lui de dire qu'il faut une immigration de travail, sans allocations sociales (il écrit noir sur blanc qu'il trouve de telles mesures largement insuffisantes), mais bien plutôt de bâtir une théorie ad hoc servant à justifier ses préjugés. Sinon, pourquoi vouloir accroître le contrôle des flux migratoires ?

Parce que le marché le demande.

Lien vers le commentaire

Le marché ne demande rien de tel. Le marché n'existe d'ailleurs tout simplement pas en cette matière puisqu'il y a monopole étatique.

La réponse exacte est : "Stranger prétend que le marché le demande, et le croit sans doute".

Lien vers le commentaire
Une servitude de passage est une propriété privée. C'est un droit d'exclure toute activité qui interfèrerait avec mon passage dans un espace. La route n'est donc pas un un bien qui n'appartient à personne et se retrouve miraculeusement goudronné. En tant que propriété privé, elle peut être vendue et fermée.

Peu importe la légitimité de ce fait, la route est la propriété de l'état. C'est l'état qui maintient le droit d'exclure les activités nuisibles à son fonctionnement, telle la hiérarchie des voies de circulation par classes de véhicules, les feux, la signalisation. C'est donc l'état qui interdit à d'autre propriétaires potentiels de contrôler l'accès aux parties communes d'une communauté.

Non, justement ce que j'ai essayé de te faire comprendre dans mes posts précédents c'est que les chemins ne sont pas appropriables. Les espaces qui séparent les propriétés privées sont des espaces naturels qui permettent justement de ne pas obstruer les propriétés privées et je pense que si nous avons souvent un problème avec l'espace public dans le forum c'est parce que l'espace public est antérieur à l'Etat.

Je crois qu'on ne peut pas appliquer des formules toutes faites sur les routes et autres voies de passage parce qu'elles émanent de ce que nous sommes, ce que je veux dire c'est qu'il y a peut-être quelque part dans le cerveau de tous les individus de la Terre quelque chose qui nous commande de laisser un espace public entre les propriétés privées pour que tous les propriétaires puissent sortir et circuler librement. Si par exemple je prenais 10 individus tous différents (de religion, de langue et de culture différente) et que je les envoie sur la lune pour qu'ils construisent leur maison, je suis persuadé qu'ils construiront les maisons de sorte qu'aucun ne soit obstrué en laissant des espaces entre eux, j'ai du mal à concevoir qu'un mec va construire sa maison de sorte qu'un autre proprio ne puisse plus sortir de chez lui.

En gros, dans la hiérarchie des institutions hayékiennes, entre les institutions naturelles, spontanées et construites, je crois que les espaces publics sont une institution naturelle et non spontanée.

L'Etat ne fait que goudronner et entretenir les voies pour faciliter le déplacement des véhicules, entre autres, mais le chemin en lui-même n'appartient pas à personne. Par conséquent ni l'Etat ni les individus d'aucune sorte n'ont le droit d'empêcher une personne de circuler librement dans les espaces publics.

Je crois que le conflit majeur réside dans l'opposition entre l'usage des chemins entretenus et la liberté de circulation. Une personne a certes le droit de circuler librement mais il utilise quand même un chemin entretenu au frais d'autres personnes. Peut-être pourquoi pas mettre des collecteurs d'argent un peu partout dans les rues pour que les passants, si ils le souhaitent, donne un peu d'argent aux locaux qui financent l'entretien des voies…

Lien vers le commentaire
Le marché ne demande rien de tel. Le marché n'existe d'ailleurs tout simplement pas en cette matière puisqu'il y a monopole étatique.

La réponse exacte est : "Stranger prétend que le marché le demande, et le croit sans doute".

On pourrait très bien proposer que l'électricité soit gratuite pour tous puisque le marché ne demande pas l'économie de l'électricité, étant donné que celle-ci est un monopole étatique hors marché. De quel droit l'état peut-il limiter l'accès à l'électricité?

Lien vers le commentaire
L'Etat ne fait que goudronner et entretenir les voies pour faciliter le déplacement des véhicules, entre autres, mais le chemin en lui-même n'appartient pas à personne. Par conséquent ni l'Etat ni les individus d'aucune sorte n'ont le droit d'empêcher une personne de circuler librement dans les espaces publics.

Cela équivaut à dire que les chemins sont des zones inappropriables, qu'elles sont éternellement définies et ne peuvent être transformées lorsque leur utilité ne vaut plus le cout de leur existence. Comme il n'y a aucun propriétaire des chemins, si je considère que le goudron n'est pas la surface la plus adapté à mes besoins, il encourage la vitesse excessive, je peux l'enlever et personne n'a le droit de m'arrêter tant et aussi longtemps que je laisse le passage libre, même s'il se trouve à être boueux et truffé de speed-bumps.

Si par exemple je prenais 10 individus tous différents (de religion, de langue et de culture différente) et que je les envoie sur la lune pour qu'ils construisent leur maison, je suis persuadé qu'ils construiront les maisons de sorte qu'aucun ne soit obstrué en laissant des espaces entre eux, j'ai du mal à concevoir qu'un mec va construire sa maison de sorte qu'un autre proprio ne puisse plus sortir de chez lui.

Peu importe. A-t-il le droit de le faire? C'est ce qui va déterminer la résolution du conflit et l'action futur des colons lunaires.

Lien vers le commentaire
Cela équivaut à dire que les chemins sont des zones inappropriables, qu'elles sont éternellement définies et ne peuvent être transformées lorsque leur utilité ne vaut plus le cout de leur existence.

Les chemins ne sont pas appropriables parce que ce sont des espaces qui permettent la libre circulation des biens et des personnes entre les différentes propriétés, c'est la circonstance qui donne le caractère inappropriable. Si à terme les propriétés disparaissent les chemins n'ont plus de raison d'être. L'idée principale est qu'une personne doit pouvoir atteindre une propriété sans obstruction lorsqu'elle le souhaite, en gros tu n'as pas le droit d'empêcher une personne de venir chez moi en installant une barrière devant chez moi, de même que tu n'as pas le droit de m'empêcher de sortir de chez moi en construisant une maison qui colle à la porte de ma façade. La notion d'obstruction est relativement vague mais elle est tout à fait découvrable, ne fait pas l'innocent. Par exemple dans la rue si un petit con s'amuse à t'empêcher de passer en étirant ses bras, même si il ne te touche pas et ne te menace pas, il commet quand même un acte anti-libéral car il y a obstruction, l'écarter par la force pour pouvoir continuer à avancer serait une réaction légitime. Autre exemple les "opérations escargot" sur les autoroutes par les camioneurs en grève qui ralentissent la circulation pour faire pression sur le gouvernement sont aussi des actes anti-libéraux car il y a volonté délibérée de gêner les automobilistes, même si les voitures continuent quand même à avancer on peut considérer que l'acte est un acte criminel, pas besoin de loi ou de convention pour le savoir.

Comme il n'y a aucun propriétaire des chemins, si je considère que le goudron n'est pas la surface la plus adapté à mes besoins, il encourage la vitesse excessive, je peux l'enlever et personne n'a le droit de m'arrêter tant et aussi longtemps que je laisse le passage libre, même s'il se trouve à être boueux et truffé de speed-bumps.

Tu veux dire que tu ne souhaites pas qu'on roule trop vite devant chez toi car tu as peur qu'il y ait un jour un accident, d'où l'installation par tes soins de speed-bumps? C'est un problème qui existe malheureusement dans la vraie vie, j'avais vu un reportage d'un exemple un peu près similaire de locaux qui en avaientt marre que la route nationale devant chez eux était dangereuse. Après tout pourquoi pas une installation de speed-bumps… Je n'aime pas trop l'idée hyper générale de "principe de non-nuisance" du libéralisme, mais là je pense qu'on peut dire que le principe est bon. Il faut juste trouver le bon compromis pour que les autres puissent passer quand même mais sans trop te gêner, pourquoi pas la construction d'une autre voie si ces automobiles ont si besoin de rouler vite?

Peu importe. A-t-il le droit de le faire? C'est ce qui va déterminer la résolution du conflit et l'action futur des colons lunaires.
Le droit de faire quoi? De construire une maison de manière à empêcher un voisin de circuler? Bien sûr que non!
Lien vers le commentaire
"Le marché" demande le contrôle des flux migratoires ? Il te l'a dit en personne ? Tu ne confonds pas plutôt "le marché" avec une clientèle politique désireuse de ne pas voir arriver de la main-d'oeuvre concurrente, par hasard ?

Le "marché" demande beaucoup de choses…si effectivement il demande un "contrôle" des flux migratoires…bon ben dans ce cas le marché peut aller se faire foutre :icon_up:

Lien vers le commentaire
Invité Arn0

Moi j'ai surtout l'impression que "le marché" réclame à fond de la main d'oeuvre étrangère. Il n'y a guère que sur le marché politique que l'on réclame des mesures anti-immigration, exactement au même titre que l'on y réclame des mesures protectionnistes.

Lien vers le commentaire
Les chemins ne sont pas appropriables parce que ce sont des espaces qui permettent la libre circulation des biens et des personnes entre les différentes propriétés, c'est la circonstance qui donne le caractère inappropriable. Si à terme les propriétés disparaissent les chemins n'ont plus de raison d'être. L'idée principale est qu'une personne doit pouvoir atteindre une propriété sans obstruction lorsqu'elle le souhaite, en gros tu n'as pas le droit d'empêcher une personne de venir chez moi en installant une barrière devant chez moi, de même que tu n'as pas le droit de m'empêcher de sortir de chez moi en construisant une maison qui colle à la porte de ma façade. La notion d'obstruction est relativement vague mais elle est tout à fait découvrable, ne fait pas l'innocent. Par exemple dans la rue si un petit con s'amuse à t'empêcher de passer en étirant ses bras, même si il ne te touche pas et ne te menace pas, il commet quand même un acte anti-libéral car il y a obstruction, l'écarter par la force pour pouvoir continuer à avancer serait une réaction légitime. Autre exemple les "opérations escargot" sur les autoroutes par les camioneurs en grève qui ralentissent la circulation pour faire pression sur le gouvernement sont aussi des actes anti-libéraux car il y a volonté délibérée de gêner les automobilistes, même si les voitures continuent quand même à avancer on peut considérer que l'acte est un acte criminel, pas besoin de loi ou de convention pour le savoir.

Tu veux dire que tu ne souhaites pas qu'on roule trop vite devant chez toi car tu as peur qu'il y ait un jour un accident, d'où l'installation par tes soins de speed-bumps? C'est un problème qui existe malheureusement dans la vraie vie, j'avais vu un reportage d'un exemple un peu près similaire de locaux qui en avaientt marre que la route nationale devant chez eux était dangereuse. Après tout pourquoi pas une installation de speed-bumps… Je n'aime pas trop l'idée hyper générale de "principe de non-nuisance" du libéralisme, mais là je pense qu'on peut dire que le principe est bon. Il faut juste trouver le bon compromis pour que les autres puissent passer quand même mais sans trop te gêner, pourquoi pas la construction d'une autre voie si ces automobiles ont si besoin de rouler vite?

Le droit de faire quoi? De construire une maison de manière à empêcher un voisin de circuler? Bien sûr que non!

Pourquoi le voisin aurait-il le droit de circuler s'il n'est pas propriétaire de la voie? Qu'allez-vous m'offrir pour me faire accepter le compromis d'une vois alternative? Comment est-il possible pour vous de nier que je suis propriétaire de la route si je peux forcer l'adoption d'une voie alternative?

S'il se trouve deux voies alternatives pour permettre à mon voisin d'accéder à sa propriété, une qui prend 10 minutes et l'autre 1 heure, ai-je le droit de bloquer la route de 10 minutes comme il est toujours très possible pour mon voisin de se rendre chez lui et que la route ne lui appartient pas?

Il devrait être évident que votre théorie des routes inappropriable défie les principes d'économies. De plus vous éviter de répondre aux problèmes inévitables de la route sans propriété en faisant appel à la bonne volonté des gens qui devrait être capable de résoudre leur problèmes ensemble, sans mentionner que c'est effectivement l'appropriation qui résout ces conflits.

Le "marché" demande beaucoup de choses…si effectivement il demande un "contrôle" des flux migratoires…bon ben dans ce cas le marché peut aller se faire foutre :icon_up:

Évidemment, comme je l'ai toujours dit, l'immigration porte ouverte n'est qu'une politique étatiste sans justice.

Lien vers le commentaire
Invité jabial
Bref, au nom d'un contrat social que tu viens d'inventer, tu réclames l'application du communisme afin d'éviter de devoir poser les yeux sur un quelconque basané.

C'est très intéressant, mais ce n'est pas libéral.

Tout est dit.

Lien vers le commentaire
L'autorité des copropriétaires est censée être limitée aux parties communes et la portée de cette autorité, dans chaque copropriété, est elle-même restreinte, mais ces limitations n'ont de sens que dans un paradigme qui distingue la propriété de la souveraineté (ou, ce à quoi on se réfère ici par cette expression, si tu préfères), ce qui n'est pas le cas de Hoppe.

Je ne pense pas qu'il s'agisse de souveraineté stricto sensu. Je verrais plutôt chez Hoppe la mentalité NIMBY .

Comme le précise l'article de wikipedia :

désigne de façon péjorative le combat d'associations de riverains créées pour défendre leur environnement local, sans tenir compte de l'intérêt général.

Désolé mais j'y vois effectivement une aggrégation volontaire d'intérêts particuliers, souvent contrecarrée par le soit-disant intérêt général. Rien que de très libéral en somme.

Je précise que je considère que la maîtrise de son environnement immédiat est une extension légitime du droit de propriété et qu'elle donne le droit à des recours qui sont légitimes par nature. C'est forcément, au moins en partie, un raisonnement de nature utilitariste, mais j'assume.

Par exemple, il est hors de question que mon voisin installe chez lui une usine de production de sarin. De la même façon, je refuse de voisiner avec des pedophiles avérés ou des fanatiques religieux.

Lien vers le commentaire
On pourrait très bien proposer que l'électricité soit gratuite pour tous puisque le marché ne demande pas l'économie de l'électricité, étant donné que celle-ci est un monopole étatique hors marché. De quel droit l'état peut-il limiter l'accès à l'électricité?

Fausse analogie. Je ne prends même pas la peine de détailler ca n'a aucun rapport.

Pourquoi le voisin aurait-il le droit de circuler s'il n'est pas propriétaire de la voie?

Parce que personne n'est propriétaire de la voie et ne peut donc légitimement lui interdire.

Il devrait être évident que votre théorie des routes inappropriable défie les principes d'économies.

Les routes sont appropriables, mais elles sont inappropriées car l'État empêche qu'elles le soient.

Lien vers le commentaire
  • 2 years later...
De toute façon, pour revenir au texte de Hoppe, sa xénophobie est on ne peut plus claire - et j'espère que chacun en est désormais convaincu.

Bonjours.

Vous m’excuserais de ne pas en être convaincu. Mais le texte ne m’en n’offre pas l’opportunité. Vous le voyiez comme un texte raciste, mais je vous fait signaler qu’il ne parle que de principes généraux. Il dit entre autre : ‘‘que l'on ne veuille pas s'associer ou vivre avec des Mexicains, des Haïtiens, des Chinois, des Coréens, des Allemands’’, il est lui même allemand.

Son écrit à pour bute à mon sens de relever le fait qu’un sentimentalisme malsain règne sur ce sujet. Le cliché conventionnelle du pauvre immigré forcement légitime qui représente le bien (je caricature malheureusement bien peu) cruellement opprimé par d’atroces propriétaires aigris par le racisme et l’égoïsme purifie pour bien des gens les pires atteinte au droit de propriété et la souveraineté des localités.

Cordialement.

Lien vers le commentaire
Invité Arn0
Bonjours.

Vous m’excuserais de ne pas en être convaincu. Mais le texte ne m’en n’offre pas l’opportunité. Vous le voyiez comme un texte raciste, mais je vous fait signaler qu’il ne parle que de principes généraux. Il dit entre autre : ‘‘que l'on ne veuille pas s'associer ou vivre avec des Mexicains, des Haïtiens, des Chinois, des Coréens, des Allemands’’, il est lui même allemand.

Son écrit à pour bute à mon sens de relever le fait qu’un sentimentalisme malsain règne sur ce sujet. Le cliché conventionnelle du pauvre immigré forcement légitime qui représente le bien (je caricature malheureusement bien peu) cruellement opprimé par d’atroces propriétaires aigris par le racisme et l’égoïsme purifie pour bien des gens les pires atteinte au droit de propriété et la souveraineté des localités.

Cordialement.

1) Le souverainisme des localités c'est de la merde.

2) Ce ne sont pas les propriétaires qui oppriment cruellement les pauvres immigrants, c'est l'État. Et ce n'est pas seulement un cliché, c'est une triste réalité.

3) Utiliser une autre police de caractère que celle par défaut est une faute de goût.

4) C'est un forum ici, pas une messagerie privée. Les messages que l'on poste dans un forum ne s'adresse pas uniquement à celui à qui l'on répond, la convention veut donc qu'ils ne se terminent pas par une formule de politesse (comme un article de journal ou un billet de blog). Dans ce contexte votre "cordialement" marque plutôt une distance très peu cordiale.

5) Répondre après plus d'un an à un interlocuteur qui n'est plus présent sur le forum est aussi déplacé.

6) Je suis pas du genre à donner des leçons d'orthographe, mon niveau ne me le permets d'ailleurs pas, mais là franchement faudrait se relire.

Bienvenue sinon (cette formule de politesse vous étant spécifiquement adressée elle n'est pas déplacée :icon_up: ).

Lien vers le commentaire
Son écrit à pour bute à mon sens de relever le fait qu’un sentimentalisme malsain règne sur ce sujet. Le cliché conventionnelle du pauvre immigré forcement légitime qui représente le bien (je caricature malheureusement bien peu) cruellement opprimé par d’atroces propriétaires aigris par le racisme et l’égoïsme purifie pour bien des gens les pires atteinte au droit de propriété et la souveraineté des localités.

Ce sont les gardes frontieres et leurs defenseurs qui oppriment les immigants, pas des proprietaires aigris par le racisme. La question du sentimentalisme ne se pose meme pas, l'Etat n'a aucun droit d'etablir des barrages avec des gardes armes sur la zone arbitraire qu'il definit comme sa frontiere.

Lien vers le commentaire
1) Le souverainisme des localités c'est de la merde.

2) Ce ne sont pas les propriétaires qui oppriment cruellement les pauvres immigrants, c'est l'État. Et ce n'est pas seulement un cliché, c'est une triste réalité.

3) Utiliser une autre police de caractère que celle par défaut est une faute de goût.

4) C'est un forum ici, pas une messagerie privée. Les messages que l'on poste dans un forum ne s'adresse pas uniquement à celui à qui l'on répond, la convention veut donc qu'ils ne se terminent pas par une formule de politesse (comme un article de journal ou un billet de blog). Dans ce contexte votre "cordialement" marque plutôt une distance très peu cordiale.

5) Répondre après plus d'un an à un interlocuteur qui n'est plus présent sur le forum est aussi déplacé.

6) Je suis pas du genre à donner des leçons d'orthographe, mon niveau ne me le permets d'ailleurs pas, mais là franchement faudrait se relire.

Bienvenue sinon (cette formule de politesse vous étant spécifiquement adressée elle n'est pas déplacée :icon_up: ).

Bonjours.

Le souverainisme des localités c'est de la merde.

Dans bien des endroits les gens réclame pourtant cette souveraineté c’est peu être rien à vos yeux mais cela découle naturellement de la liberté.

Ce ne sont pas les propriétaires qui oppriment cruellement les pauvres immigrants, c'est l'État. Et ce n'est pas seulement un cliché, c'est une triste réalité.

Pourtant c’est bien l’état qui punis de pauvres gens pour discrimination et qui leurs font bénéficier (aux immigrés) de sociale injuste sur la sueur et le sangs de ceux qui paille leurs impôts. J’habite au Liechtenstein ou l’état est quasi minimal et croyez-moi les propriétaires quand il ne sont pas content d’une situation il réagissent vite. Et il réellement morale que j’aille chez les autres et exige des droits.

Ce qui ne veut pas dire qu’il faillent interdirent l’immigration au Liechtenstein 50% des gens ne sont pas issues parents liechtenstinois, mais les immigrés sont rentrés en accord avec les gens de l’endroit, voilà la liberté.

Pour mes fautes j’ais déjà signalé que le français n’est pas ma langue maternelle.

Cordialement. (je m’adresse à vous, comme je m’adressais à mon interlocuteur dans la lettre ci-dessus)

Lien vers le commentaire

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×
×
  • Créer...