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Je raconte Ma Life Sur Internet


h16

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On écrit Luberon, et non Lubéron.

Eux ils écrivent bien les noms de patelin en langue locale. Ca donne des trucs comme ça

Lengoun.jpg

Alors moi je pousse le régionalisme dans sa phase utlime et j'utilise ma langue locale pour écrire Lubéron :icon_up:

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Eux ils écrivent bien les noms de patelin en langue locale. Ca donne des trucs comme ça […]

Alors moi je pousse le régionalisme dans sa phase utlime et j'utilise ma langue locale pour écrire Lubéron :icon_up:

Sauf que les locaux en ont marre que les parigots de passage ajoutent un accent. :doigt:

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Sauf que les locaux en ont marre que les parigots de passage ajoutent un accent. :warez:

Waaa l'insulte majeure : il me traite de parisien :icon_up::doigt:

Bon il y en avait deux dans le tas (dont un en provenance de Sarragossa), le reste c'était du rhône-alpin bon teint.

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Je suis en train de tapper des règles de logique en LaTeX pour un article, et ca donne des trucs comme ça :

\judge{C}{M}{u}{C'}

et j'ai l'impression d'être cerné par la social-démocratie jusque dans mon boulot (le CMU). Je (re)deviens fou :icon_up:

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Je suis en train de tapper des règles de logique en LaTeX pour un article, et ca donne des trucs comme ça :

et j'ai l'impression d'être cerné par la social-démocratie jusque dans mon boulot (le CMU). Je (re)deviens fou :icon_up:

Pour des problèmes avec LaTex, appelle BondageMan/h16 à ton secours !

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J'ai revu Un Flic, le dernier film de Melville.

Très décrié à l'époque, mais injustement à mon avis. Sans doute est-ce à cause d'un malentendu : Melville n'est pas un cinéaste réaliste; chez lui, tout est stylisé, recréé. D'où une atmosphère onirique singulière. En l'occurrence, dans plusieurs scènes, il ne cache même pas que le fond du décor est constitué d'une toile peinte - que ce soit à l'intérieur d'un musée ou dans une rue mal famée. La scène du casse (lequel paraît lui-même invraisemblable) dans le train est, à cet égard, emblématique : impossible de ne pas voir qu'il s'agit d'une maquette. Melville a vraiment retrouvé la magie du cinéma des origines, à mon sens.

La dernière scène, tournée en extérieurs réels dans une grande avenue de Paris, m'a toujours envoûté. Aussi vide qu'une ville de western lorsqu'un duel se prépare. Magistral.

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J'ai revu Un Flic, le dernier film de Melville.

Très décrié à l'époque, mais injustement à mon avis. Sans doute est-ce à cause d'un malentendu : Melville n'est pas un cinéaste réaliste; chez lui, tout est stylisé, recréé. D'où une atmosphère onirique singulière. En l'occurrence, dans plusieurs scènes, il ne cache même pas que le fond du décor est constitué d'une toile peinte - que ce soit à l'intérieur d'un musée ou dans une rue mal famée. La scène du casse (lequel paraît lui-même invraisemblable) dans le train est, à cet égard, emblématique : impossible de ne pas voir qu'il s'agit d'une maquette. Melville a vraiment retrouvé la magie du cinéma des origines, à mon sens.

La dernière scène, tournée en extérieurs réels dans une grande avenue de Paris, m'a toujours envoûté. Aussi vide qu'une ville de western lorsqu'un duel se prépare. Magistral.

Excellent analyse.

Et vers la fin Melville se montrait de plus en plus radical dans son approche. (Un Flic est son dernier film)

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