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Topic du cinoche d'avant


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Un des plus remarquables et originaux films de guerre jamais réalisés. Des nazis cherchent à quitter le territoire canadien pour gagner les E-U alors pays neutre : ceux que l'on traque sont donc les ennemis, alors que d'ordinaire le spectateur s'identifie au traqué, celui qui cherche à s'échapper.

La distribution est sompteuse avec des vedettes jouant des petits rôles comme Laurence Olivier (en canadien français !) ou Leslie Howard.

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Un des plus remarquables et originaux films de guerre jamais réalisés. Des nazis cherchent à quitter le territoire canadien pour gagner les E-U alors pays neutre : ceux que l'on traque sont donc les ennemis, alors que d'ordinaire le spectateur s'identifie au traqué, celui qui cherche à s'échapper.

Uuuh ? Vu la densité du Canada, le plus grand danger qu'ils doivent rencontrer pour passer la frontière ca doit être les ours.

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Uuuh ? Vu la densité du Canada, le plus grand danger qu'ils doivent rencontrer pour passer la frontière ca doit être les ours.

Comme ce sont des nazis et donc pas malins, ils sont dans la partie est du pays et non dans l'ouest. Il recontre donc un canadien français puis tout un tas d'anglophones. Et finalement un Américain (neutre mais…).

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Car les deux aristos savent qu'ils doivent accomplir leur devoir, et que cela va NECESSAIREMENT à l'encontre des intérêts de l'autre. L'un doit s'échapper et désorganiser l'ennemi, l'autre doit l'en empêcher par tous les moyens. Ils savent qu'ils sont condamnés à s'opposer, mais ça ne les empêche absolument pas de sympathiser. Ce sont donc des hommes pour qui le devoir passe avant toute autre chose. D'où le sacrifice du Français, en gants blancs, et le tir de l'Allemand, que celui-ci effectue à contre-coeur.

Donc, même si ce n'est pas une ode à la guerre, c'est clairement un film sur le devoir, sur la nécessité de l'accomplir quelquesoient les conditions, et de servir la patrie. En gros, Renoir reprend le classique dilemme cornélien entre le devoir et les sentiments. A noter également qu'au fond, on pourrait avoir une vision très nationaliste de ce film, la patrie étant la seule source du devoir.

Cette notion du devoir anime aussi l'aristocrate joué par Aimé Clariond dans La Marseillaise, autre film de Renoir. Et les nobles chantant agenouillés O Richard ô mon roi avant de se battre pour défendre le château des Tuileries le Dix Août sont filmés sans antipathie. Le mot de Renoir était : chacun a ses raisons. Il montre donc toujours tous les aspects d'une question. Ce qui fait de ce film sur la révolution financée par la CGT non une oeuvre de propagande maus un film très nuancé où l'on verse une larme sur la famille royale fuyant les Tuileries.

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Je crois que dans la liste, on a oublié Psychose, qui est également un monument…

Cité par Lucilio.

Autre grand film français :

Les Misérables de Raymond Bernard avec Harry Baur qui surclasse sans peine toutes les autres adaptations mais qui ne doit pas exister en DVD..

Entièrement d'accord.

Une version plutôt amusante est celle de Riccardo Freda (1948), sortie en France sous le titre L'Evadé du bagne. La version américaine de Milestone (1952), avec l'impavide Michael Rennie ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable. Sinon, on fait aussi grand cas de l'adaptation muette par Henri Fescourt (et Arthur Bernède) (1925), mais je ne l'ai malheureusement jamais vue.

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Une version plutôt amusante est celle de Ricardo Freda (1948), sortie en France sous le titre L'Evadé du bagne. La version américaine de Milestone (1952), avec l'impavide Michael Rennie ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable. Sinon, on fait aussi grand cas de l'adaptation muette par Henri Fescourt (et Arthur Bernède) (1925), mais je ne l'ai malheureusement jamais vue.
Y'avait aussi une version avec Gabin (et Bourvil dans le rôle de Thénardier), je l'ai vu il y a super longtemps à la télé et je m'en souviens encore. Personne n'aime cette version?
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j'ai récemment loué un coffret dvd avec tous les Frankensteins de l'époque, si je suis pas paresseux je ripperai les trailers qui sont en bonus.

J'ai trouvé tous les trailers réunis en un: http://www.dailymotion.com/relevance/searc…in-trailers_fun

… Y compris le parodique Abbott & Costello meets Frankenstein ! :icon_up:

Certaines de ces parodies ont été rééditées d'ailleurs:

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Y'avait aussi une version avec Gabin (et Bourvil dans le rôle de Thénardier), je l'ai vu il y a super longtemps à la télé et je m'en souviens encore. Personne n'aime cette version?

Si. Mais je crois que je préfère encore plus celle de Robert Hossein avec le grand Lino Ventura.

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Y'avait aussi une version avec Gabin (et Bourvil dans le rôle de Thénardier), je l'ai vu il y a super longtemps à la télé et je m'en souviens encore. Personne n'aime cette version?

C'est celle qui repasse à peu près tous les Noëls ! :icon_up:

Blier était excellent en inspecteur Javert, ceci dit (comme Bouquet dans la version de Hossein). Personnage difficile à jouer, à mon avis.

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C'est celle qui repasse à peu près tous les Noëls ! :icon_up:

Ouais bizarrement cette version est difficile à râter :doigt: J'ai bien aimé, on ne pouvait qu'avoir de l'affection pour Marius, ce que j'ai le plus retenu dans le film bizarrement c'est sa timidité parce qu'il lui manquait un bouton sur sa veste, j'aime bien ces histoires d'amour avec des barrières sociales en général.

La version américaine toute récente était pas mal aussi!

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… Y compris le parodique Abbott & Costello meets Frankenstein ! :icon_up:

Ne pas oublier le génialissime "Young Frankenstein" de Mel Brooks.

On peut ouvrir un fil, Victor Frankenstein : héro prométhéen ou sale progressiste.

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Entièrement d'accord.

Une version plutôt amusante est celle de Riccardo Freda (1948), sortie en France sous le titre L'Evadé du bagne. La version américaine de Milestone (1952), avec l'impavide Michael Rennie ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable. Sinon, on fait aussi grand cas de l'adaptation muette par Henri Fescourt (et Arthur Bernède) (1925), mais je ne l'ai malheureusement jamais vue.

La version avec Rennie était plutôt ridicule. La version Freda n'était pas trop mauvaise dans sa première moitié. J'ai vu des extraits du film muet qui a semble-t-il souffert de la faillite du producteur : la fin du tournage a eu lieu dans des décors de carton pate alors que les meilleures séquences ont été tournées dans des décors naturels très beaux semble-t-il.

C'est celle qui repasse à peu près tous les Noëls ! :icon_up:

Blier était excellent en inspecteur Javert, ceci dit (comme Bouquet dans la version de Hossein). Personnage difficile à jouer, à mon avis.

Personnage impossible à jouer à mon avis : aucun Javert ne m'a convaincu sur écran (et pourtant d'excellents acteurs s'y sont collés : on peut ajouter Vanel et Laughton).

La version Gabin est gentillette mais manque singulièrement du souffle hugolien (le réalisateur n'ayant jamais fait des étincelles).

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Je regardais Le Corbeau pendant ce temps là et je viens juste de le finir. […]C'était juste un petit thriller sympatoche, rien de plus.

Ah là là là, que de choses n'aurais-je pas lues dans ma pauvre existence…

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Je regardais Le Corbeau pendant ce temps là et je viens juste de le finir. Drôle d'histoire, je comprends maintenant d'où vient l'expression "le corbeau" dans certaines affaires judiciaires :icon_up: Pierre Fresnay incarne cette fois-ci un personnage un peu raid et sévère, ça change des autres films que j'ai vu de lui pour l'instant.

Pierre Fresnay a incarné après guerre divers personnages historiques

notamment Saint Vincent de Paul dans Monsieur Vincent

C'est un film assez réussi dans le genre hagiographique

Il a été aussi Offenbach (avec lorgnon,favoris et accent tudesque ce qui lui était plus facile que de causer avé l'assent de Marseille) aux côtés de sa moitié Yvonne Printemps qui roucoulait dans l'opérette dans un film de Marcel Achard

valse-de-paris.jpg

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Ah là là là, que de choses n'aurais-je pas lues dans ma pauvre existence…

Le sepctateur actuel est habitué à des films construit uniquement sur des surprises c'est à dire des retournements aussi spectaculaires qu'abracadabrants qui doivent créer des sensations fortes (et éphémères). Les films anciens reposent sur d'autres bases : peu importe qui est le Corbeau dans Le Corbeau. L'important c'est : et maintenant où est l'ombre où est la lumière.

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Il a été aussi Offenbach (avec lorgnon,favoris et accent tudesque ce qui lui était plus facile que de causer avé l'assent de Marseille) a

:icon_up: Il n'était clairement pas à sa place dans la Trilogie marseillaise. Belle erreur de casting, selon moi !

Sinon, comme Taranne, je suis surpris que phantom n'ait vu dans Le Corbeau qu'un "petit thriller sympatoche"… ce n'est pas vraiment comme cela que je qualifierais l'ambiance qui se dégage des films de Clouzot.

À propos, quelques Clouzot que je conseille à phantom:

Son chef-d'oeuvre: Les Diaboliques, avec un Paul Meurisse infect à souhait.

Le Salaire de la peur, un suspense très noir. Mention spéciale à Charles Vanel, pour sa composition de faux dur:

Le film qui a remis Clouzot en piste, sa sortie du purgatoire: Quai des Orfèvres. Jouvet y est, comme souvent, remarquable (il y campe un inspecteur de la PJ désabusé). Avec également Blier, Suzy Delair, Pierre Larquey en chauffeur de taxi, et la charmante Simone Renant (qui joue une photographe lesbienne, à laquelle le personnage de Jouvet sort la réplique culte: "Vous m'êtes très sympathique. Dans le fond, nous nous ressemblons un peu: nous n'aurons jamais de chance avec les femmes").

Son docu sur Picasso:

Il faut aussi regarder Les Espions et La Vérité.

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Sinon, comme Taranne, je suis surpris que phantom n'ait vu dans Le Corbeau qu'un "petit thriller sympatoche"… ce n'est pas vraiment comme cela que je qualifierais l'ambiance qui se dégage des films de Clouzot.

Moi non plus. Sa seule incursion dans la comédie, Miquette et ses frères est d'ailleurs sinistre.

Je ne désespère pas de voir un jour The Thirteenth Letter remake américain du Corbeau réalisé par Otto Preminger avec Charles Boyer, Michael Rennie, Linda Darnell (miam miam) et Françoise Rosay. Preminger ayant beaucoup d'affinités avec Clouzot, et les acteurs n'étant pas précisément des manchots, le film doit valoir le détour.

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Moi non plus. Sa seule incursion dans la comédie, Miquette et ses frères est d'ailleurs sinistre.

Je ne désespère pas de voir un jour The Thirteenth Letter remake américain du Corbeau réalisé par Otto Preminger avec Charles Boyer, Michael Rennie, Linda Darnell (miam miam) et Françoise Rosay. Preminger ayant beaucoup d'affinités avec Clouzot, et les acteurs n'étant pas précisément des manchots, le film doit valoir le détour.

Ce n'est pas pas plutôt Miquette et sa mère ?

Sinon, j'aimerais aussi découvrir ce film de Preminger (je ne sais pas pourquoi Lourcelles écrit dans son Guide des films que c'est l'un des moins bons du vieil Otto). Aaah, Linda Darnell !

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Ça va être dur de trouver des films que RH n'a pas encore cité. :icon_up:

J'ai bien aimé:

Tiens RH l'avait oublié celui-là:

Un bon Hitchcock, mais il vaut mieux lire la nouvelle de Boileau-Narcejac, "D'entre les morts", qui est bien meilleure que le film. Déjà que le film est considéré comme un des bons Hitchcock….

J'ai pas vu passer le grand classique:

J'ajouterais également:

Sans oublier les excellents:

Il y en aurait beaucoup d'autres à rajouter….

Vertigo est sans doute mon film préféré: il m'avait bouleversé lorsque je l'ai vu pour la première fois, à l'âge de treize ans.

Dire qu'il est juste bon, ça me parait vraiment sous estimer ce qui est aux yeux de beaucoup le chef d'oeuvre absolu d'Hitch …

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Vertigo est sans doute mon film préféré: il m'avait bouleversé lorsque je l'ai vu pour la première fois, à l'âge de treize ans.

Dire qu'il est juste bon, ça me parait vraiment sous estimer ce qui est aux yeux de beaucoup le chef d'oeuvre absolu d'Hitch …

Mais je vous garantis que ce n'est rien par rapport à la nouvelle de Boileau Narcejac, dont le dénouement intervient dans les trois dernières pages, quand vous découvrez qu'ils vous ont balladé dans tout le bouquin.

Dans Vertigo, on comprend tout à la moitié du film. Ce n'est pas anormal vu que le mode de narration est différent de celui de la littérature, mais l'effet de surprise final n'est pas conservé.

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Mais je vous garantis que ce n'est rien par rapport à la nouvelle de Boileau Narcejac, dont le dénouement intervient dans les trois dernières pages, quand vous découvrez qu'ils vous ont balladé dans tout le bouquin…

Dans Vertigo, on comprend tout à la moitié du film. Ce n'est pas anormal vu que le mode de narration est différent de celui de la littérature, mais l'effet de surprise final n'est pas conservé.

Mais justement, dans Vertigo, l'intérêt n'est pas tant l'énigme qui est éventée au milieu du film que l'histoire d'amour qui se noue entre Scottie (frôlant la perversion - un rôle particulièrement inattendu pour Jimmy Stewart *) et Madeleine/Judy, et bien entendu la tension dramatique du film qui fait que le spectateur devine sans trop de difficultés que toute cette histoire se terminera très mal. Le décalage entre le spectateur qui est informé de la machination et le "héros" qui tombe amoureux d'une "inconnue" parce qu'elle ressemble à la "morte" qu'il aime reflète assez bien le côté manipulateur de sir Alfred (décalage également entre le décor californien ensoleillé et l'aspect étouffant et sinistre de l'intrigue). Cela participe, évidemment, aussi de l'aspect jeux de miroir du scénario.

_____

* Hitch a ainsi déclaré: "Ce qui m'intéressait était les efforts de James Stewart pour recréer une femme à partir de l'image d'une morte". Difficile d'être plus clair.

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Mais justement, dans Vertigo, l'intérêt n'est pas tant l'énigme qui est éventée au milieu du film que l'histoire d'amour qui se noue entre Scottie (frôlant la perversion - un rôle particulièrement inattendu pour Jimmy Stewart) et Madeleine/Judy, et bien entendu la tension dramatique du film qui fait que le spectateur devine sans trop de difficultés que toute cette histoire se terminera très mal.

Tout à fait, mais ce ne sont pas ces aspects là que j'attendais en priorité en tant que lecteur de la nouvelle. Je m'attendais à me faire surprendre comme je l'avais été par le bouquin ce qui n'a pas été le cas. Ça n'enlève rien aux mérites d'Hitchcock…

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J'ai noté tous les films de Clouzot à regarder :doigt:

Houla pour le corbeau vous en faîtes tout un fromage! (huhu) J'ai quand même aimé le film, un peu étrange, mais bien. Comme l'a dit Dardanus, ce genre de film est un petit jeu pour moi, c'est amusant de chercher le coupable et en tant que thriller on peut dire qu'il nous a retenu jusqu'à la fin. Je ne me suis pas trop pris la tête sur d'autres considérations, le mystère du passé du docteur incarné par Fresnay ne m'a pas tant retenu, Denise la boîteuse qui prendrais une revanche sur la vie m'a paru sincère mais presqu'anecdotique dans le film, si y'a un truc spécial que j'ai retenu c'est peut-être la dictée imposée aux 18 personnes pour découvrir le coupable, une méthode qu'on avait l'air de prendre très au sérieux alors qu'elle ne me paraissait pas du tout pertinente (mais j'aimais bien ce côté "naïf"). Non, j'ai beau réfléchir je n'ai pas grand chose à dire sur le film, si ce n'est que c'est un bon film. Mais peut-être que vous avez vu des trucs que je n'ai pas vu, un message caché ou quelque chose comme ça :icon_up:

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J'ai noté tous les films de Clouzot à regarder :doigt:

Houla pour le corbeau vous en faîtes tout un fromage! (huhu) J'ai quand même aimé le film, un peu étrange, mais bien. Comme l'a dit Dardanus, ce genre de film est un petit jeu pour moi, c'est amusant de chercher le coupable et en tant que thriller on peut dire qu'il nous a retenu jusqu'à la fin. Je ne me suis pas trop pris la tête sur d'autres considérations, le mystère du passé du docteur incarné par Fresnay ne m'a pas tant retenu, Denise la boîteuse qui prendrais une revanche sur la vie m'a paru sincère mais presqu'anecdotique dans le film, si y'a un truc spécial que j'ai retenu c'est peut-être la dictée imposée aux 18 personnes pour découvrir le coupable, une méthode qu'on avait l'air de prendre très au sérieux alors qu'elle ne me paraissait pas du tout pertinente (mais j'aimais bien ce côté "naïf"). Non, j'ai beau réfléchir je n'ai pas grand chose à dire sur le film, si ce n'est que c'est un bon film. Mais peut-être que vous avez vu des trucs que je n'ai pas vu, un message caché ou quelque chose comme ça :icon_up:

Non, mais c'est ta manière de caractériser le film qui était assez originale.

La peinture que fait Clouzot de ses frères humains est particulièrement impitoyable: il n'y en a pas un pour racheter l'autre.

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Ce n'est pas le sujet du topic, mais je recommande en passant ces deux variations hitchcockiennes, signées De Palma:

Obsession:

Avec le trop sous-estimé Cliff Robertson (notamment excellent dans The Best Man, face à Henry Fonda - film datant de 1964 - et plus connu depuis comme l'Oncle Ben dans Spiderman :icon_up: ).

Obsession : un pur chef d'oeuvre avec ce lent travelling final… Epoque où De Palma pouvait en effet être considéré comme le fils spirituel du maître, d'autant plus que dans ce film on retrouve le même compositeur, ce qui n'enlève rien.

Et Cliff Robertson a eu le mérite (et l'Oscar) de se démener pour re-adapter Des Fleurs pour Algernon de Daniel Keyes, et incarner Charlie Gordon.

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