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Images fun et leurs interminables commentaires


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En ecole de commerce, t'as énormément de P as A vantle Mariage.

C'est un fantasme ça. Y'en à de moins en moins (tant mieux) et c'est très souvent une façade pour envoyer chier les coups d'un soir.

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C'est un fantasme ça. Y'en à de moins en moins (tant mieux) et c'est très souvent une façade pour envoyer chier les coups d'un soir.

 

Quel fantasme ? Ils représentaient une part non-négligeable de la promo de mon pote qui était en école de commerce. Et l'autre part n'était pas vraiment ce que l'on peut qualifier de débauchée.

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C'est un fantasme ça. Y'en à de moins en moins (tant mieux) et c'est très souvent une façade pour envoyer chier les coups d'un soir.

 

Tu as fait toutes les écoles de commerce de France sur les 10 dernieres années pour pouvoir affirmer que c'est un fantasme? Ils sont facile a débusquer. Ils sont souvent entre eux, ont des noms a particules, des prenoms du genre Sixtine, Jean-Patrice, Victoire, Madeline, Jean-Eudes, font les memes assoces, viennent de milieu plutot friqué (genre Versailles), font les JMJ, et se retrouvent a l'aumonerie... Ils seront pas 50% d'une promo, mais ils seront quand-meme la.

 

Et je dis ca, je m'en fous, si leur vie leur plait comme ca, grand bien leur fasse, j'ai rien a leur reprocher.

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Ils sont facile a débusquer. Ils sont souvent entre eux, ont des noms a particules, des prenoms du genre Sixtine, Jean-Patrice, Victoire, Madeline, Jean-Eudes, font les memes assoces, viennent de milieu plutot friqué (genre Versailles), font les JMJ, et se retrouvent a l'aumonerie...

 

Oui, mais là, c'est sont les mecs qui veulent pas coucher avec Amélie-Sophie avant le mariage.

Cépapareille.

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Mais mais mais cela ne corrobore pas les documentaires à la télé ils disent que les jeunes sont de plus en plus debauchés !

Je perds tous mes repères, si même la télé me ment, où va le monde !

Plus sérieusement, ces gens-là ne se reproduisent qu'entre-eux. C'est amené à disparaître. Je fais le pari.

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Ah mais justement, c'est la conclusion de Reason : ça devient impossible d'avoir ne serait ce qu'une copine ou de flirter parce que le danger de se faire accuser est tout le temps là. C'est un campus, mais comme il y a trois tonnes d'alcool et de fêtes, il y aura toujours des flirts et des rapprochements :rolleyes: Et ces accusations commencent à rendre n'importe quelle fête dangereuse.

 

Sans même parler de flirter, j'ai le père d'un ami, chercheur en info au cnrs, qui bossait pas mal aux US, qui m'a donné mon premier conseil en matière de pays étrangers "aux états unis, ne monte jamais dans un ascenseur seul avec une femme, jamais." ^^

 

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Reason a fait un dossier là dessus il y a quelques mois : sur les campus des grandes facs américaines ça devient automatique de virer et condamner (au moins par la "police du campus") les étudiants accusés de viol. Sauf qu'il y a de nombreux abus et ça devient une épée de Damoclès pour quiconque va en soirée. :-(

Voilou :

http://reason.com/archives/2013/12/17/guilty-until-proven-innocent

Ils ont une définition très élargie du viol.

But what do these numbers mean? The Pentagon poll defined sexual assault broadly enough to include a slap on the behind-and half of its self-reported victims were men. The CDC study treats all sex under the influence of alcohol or drugs as rape, with no distinction between unconsciousness and impaired judgment. Even the CDC's definition of rape by force could include such transgressions as unwanted penetration with a finger (no matter how brief) during an otherwise consensual make-out session. The respondents were never asked if they thought they were assaulted; in a comparable survey, the federally sponsored 2007 Campus Sexual Assault study, two-thirds of the women classified as victims of drug- or alcohol-induced rape and 37 percent of those counted as forcibly raped did not consider the event to be a crime. (And these were college women in the age of mandatory campus date-rape awareness programs.) Notably, when CDC survey respondents were asked about victimization during the previous 12 months, men reported being "forced to penetrate someone"-an act classified as sexual violence other than rape-at the same rate that women reported forced penetration. Either "rape culture" goes both ways, and women also sexually assault their male partners with alarming frequency, or the CDC definition of sexual violence needs rethinking.

When schools try to mitigate absurdly broad redefinitions of sexual assault with a nuanced approach to crime and punishment, they are liable to find themselves accused of coddling rapists. At Yale, for instance, a student may be sanctioned if he (or she, theoretically) fails to obtain "clear and unambiguous consent to each activity at every stage of a sexual encounter."

 

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The CDC study treats all sex under the influence of alcohol or drugs as rape, with no distinction between unconsciousness and impaired judgment.

 

Ça c'est un problème parce que dans 99% des autres actions que tu fais, être saoul ne sera pas considéré comme éludant ta responsabilité.

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Ne pas reconnaitre son tort et accuser autrui pour ses propres erreurs. Hum comment on appelle ça ?

 

Hmm... je suis trop fatigué (satellisé même) pour argumenter et développer, mais si tu te fais agresser alors que tu es ivre en rentrant chez toi, reconnaîtras-tu tes torts ?

« Ben oui, je me suis fait dépouiller mais c'est bien fait pour moi. J'avais qu'à pas être bourré. »

 

Et je te laisse imaginer la suite... bonne nuit.

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En l'occurence, si on tient compte du texte, la fille s'est laissé aller et n'a opposé aucune résistance aux propositions du type et à sa consommation d'alcool, bien qu'elle soit par ailleurs avec un autre homme. Comparaison n'est pas raison, cela n'a rien à voir avec une agression.

Et accuser par la suite le type avec qui elle a eu une aventure de violeur parce qu'elle n'est pas capable de se remettre en cause et cherche à se disculper de ses responsabilité, franchement c'est très limite... Après c'est un témoignage, donc on ne peut que se fier sur la bonne foi du gars.

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pour être un peu plus précis, (et je pense que le fil pourrait être splité), malgré l'évolution de la justice (être rébou n'est plus considéré comme une circonstance atténuante, au contraire), l'alcool (ou n'importe quelle autre drogue selon votre milieu) reste utilisé comme excuse dans une grande partie des comportements pour dire "wai j'ai fait de la merde mais je suis désolé je m'en souvient pas donc je ne suis pas vraiment coupable non ? C'était un autre moi"

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