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Copeau

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Je connais quelqu'un qui ne lit rien de postérieur à l'éruption du Vésuve car "après ce n'est plus que de la copie". Je connais quelqu'un d'autre qui ne lit que la littérature française des 17è et 18è car "avant c'est l'enfance de l'art, après la décadence". Les dates de parution importent peu, ce qui compte c'est la qualité. La mauvaise littérature n'est pas née en 1950.

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  • 5 months later...
R.I.P. Joel Rosenberg, fantasy author and gun rights advocate

Charlie Jane Anders

Joel Rosenberg, who died yesterday, was a civil libertarian who wrote about liberty in his fantasy novels. For example, in his first novel The Sleeping Dragon, a group of students travel to a magical world and work to end slavery.

As he told the City Pages in 2003:

Slavery is the big social issue in this world. You can't be immersed in Heinlein for a number of years and not have strong feelings about that. Plus, you've got to remember, I'm Jewish. Every year we sit down to the seder, to remember we were slaves. That's a big deal. My people can hold a grudge longer than anybody. We're still pissed off at the Amalekites, and we killed the last of them off 4,000 years ago.

He was a pioneer of urban fantasy, who who helped innovate in the genre by combining Dungeons & Dragons-style fantasy with modern-day settings. He also created an alternate history of Arthurian Legend, in which Mordered defeats King Arthur and Camelot never happens. In his Metzada novels, he writes about a Jewish settlement on another planet.

A key reason why the college kids in The Sleeping Dragon were able to overthrow slavery on a traditional fantasy world? They know how to make gunpowder. And Rosenberg was an advocate for gun rights and self-proclaimed "skiffy gun nut," especially after he used a handgun to defeat a burglar in his own house. He was arrested late last year for bringing a handgun into a Minneapolis courthouse. He died of a "respiratory depression" yesterday. [Fox Twin Cities, thanks to Diane Duane for the heads up]

http://io9.com/5808377/rip-joel-rosenberg-fantasy-author-and-gun-rights-advocate

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  • 2 weeks later...
  • 3 weeks later...

Faut-il lire le sulfureux Richard Millet?

Depuis quelques semaines, ses deux derniers livres qui traitent de la pureté, de la grâce et de la décadence affolent la presse bien élevée (Libé, Inrocks, Le Monde, Nouvel Obs), qui s'indignent en choeur de son langage nauséabond et abject.

Je ne suis pas très au fait du roman psychologique, mais pour avoir lu 'L'orient désert', l'éditeur des Bienveillantes de Jonathan Littel me semble un des derniers grands écrivains de langue française.

Interview de Millet & Nabe :

http://www.lepoint.f…0-1266825_3.php

Millet sur le désenchantement:

http://www.lanef.net…4346.asp?page=2

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Dans l'interview, Marc-Edouard Nabe dit : " Une jeune écrivaine bla bla bla" … Et après, ça se la joue dernier Mohican défenseur de la langue française !

Concernant Millet, il qualifie Garcia Marquez de "feuilletoniste petit-bourgeois" mais pense que Renaud Camus représente un espoir pour la littérature française. Celui-là même qui nous narre ses problèmes intestinaux sur plusieurs pages dans chacun des volumes de son ennuyeux journal. C'est ce que l'on peut qualifier d'un manque de conséquence.

C'est tout de même un peu triste de voir deux hommes d'un certain âge se complaire dans une forme de rébellion adolescente et pétris de jalousie et d'envie. Alors qu'en fait, leur faible tirage est certainement plus dû à une manque de talent qu'à la conspiration de la "presse socialo-gaucho-petite-bourgeoise".

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C'est tout de même un peu triste de voir deux hommes d'un certain âge se complaire dans une forme de rébellion adolescente et pétris de jalousie et d'envie. Alors qu'en fait, leur faible tirage est certainement plus dû à une manque de talent qu'à la conspiration de la "presse socialo-gaucho-petite-bourgeoise".

Normalement dans la vie d'un écrivain, la publication est une épreuve du feu, une période de remise en question. Si ça ne se vend pas, peu importe les grandes théories littéraires : on a fait fausse route. Nabe a trouvé le moyen idéal de simplement refuser cette épreuve et ne pas avoir à se poser les difficiles questions qui s'imposent aux écrivains : le filon idéologique. On se fout de la gueule de Rand parce que c'était un écrivain à thème, mais elle au moins avait le bon goût de ne pas attribuer ses échecs à un excès d'audace.

Il faut voir Nabe, la bave aux lèvres, une main crispée paume tendue vers le ciel, déclamer une de ses envolées lyriques à base de pipi-caca-prout pour réaliser pleinement la médiocrité et le nombrilisme de l'écrivain.

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  • 1 month later...

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