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Vos méchants préférés


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En fait, il faudrait lancer un fil dans la Taverne: "Vos méchants préférés". :icon_up:

Je prends Ronnie au mot et ouvre donc un topic sur les méchants que vous préférez :warez:

Je commence par les miens :

Palpatine dans Star Wars (la classe quand même)

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Je me souviens aussi que lorsque j'étais tout petit, j'adorais le méchant dans les Bisounours (le nom m'a complètement échappé :doigt:)

Rastapopoulos par contre je ne l'ai jamais aimé.

Hmmm j'éditerai ce post lorsque d'autres noms me viendront.

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Fantômas (ici Helmut Berger, dans la série de 1980):

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Olrik:

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Axel Borg:

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Dr Doom:

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Dr Mabuse:

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Oncle Charlie/Joseph Cotten dans Shadow of a Doubt

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Harry Lime/Orson Welles dans The Third Man

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Blofeld (ici Donald Pleasance):

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L'abominable Dr Phibes/Vincent Price:

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Et… et…

Tony Windice/Ray Milland dans Dial M for Murder:

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Invité jabial

En tout premier lieu je tiens à rappeler que s'identifier aux méchants des histoires est une caractéristique des sociopathes, qui se reconnaissent dans le personnage rejeté et honni de la société. Le danger commence à partir du moment où l'on va jusqu'à s'identifier avec un désir de vengance qui touche celle-ci dans son ensemble, sans épargner les innocents. Attention aux raisonnements sectaires : non, ce n'est pas les libéraux vs le reste du monde.

Après ce préambule qui en laissera plus d'un songeur :icon_up:, l'honnêteté m'oblige à révéler que oui, la plupart des méchants libéralement justifiables (trafiquants de drogue, patrons "voyous", briseurs de grèves) m'inspirent de la sympathie dans la limite de leur respect du libéralisme (par exemple, un trafiquant qui flingue les concurrents n'est plus sympa du tout).

Les héros de type policiers m'inspirent parfois la plus grande sympathie, surtout quand ils violent la loi pour appliquer la justice (torturer un criminel qui se vante d'avoir enlevé un 33ème enfant mais refuse de dire où il se trouve), et parfis la plus grande antipathie, lorsqu'ils revêtent l'aspect du Garde du Peuple moralisateur.

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En tout premier lieu je tiens à rappeler que s'identifier aux méchants des histoires est une caractéristique des sociopathes, qui se reconnaissent dans le personnage rejeté et honni de la société. Le danger commence à partir du moment où l'on va jusqu'à s'identifier avec un désir de vengance qui touche celle-ci dans son ensemble, sans épargner les innocents. Attention aux raisonnements sectaires : non, ce n'est pas les libéraux vs le reste du monde.

Après ce préambule qui en laissera plus d'un songeur :doigt:, l'honnêteté m'oblige à révéler que oui, la plupart des méchants libéralement justifiables (trafiquants de drogue, patrons "voyous", briseurs de grèves) m'inspirent de la sympathie dans la limite de leur respect du libéralisme (par exemple, un trafiquant qui flingue les concurrents n'est plus sympa du tout).

Les héros de type policiers m'inspirent parfois la plus grande sympathie, surtout quand ils violent la loi pour appliquer la justice (torturer un criminel qui se vante d'avoir enlevé un 33ème enfant mais refuse de dire où il se trouve), et parfis la plus grande antipathie, lorsqu'ils revêtent l'aspect du Garde du Peuple moralisateur.

:icon_up:

Je comprends à présent pourquoi tu es insensible à la fiction: tu la regardes avec trop peu de distance.

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En tout premier lieu je tiens à rappeler que s'identifier aux méchants des histoires est une caractéristique des sociopathes, qui se reconnaissent dans le personnage rejeté et honni de la société. Le danger commence à partir du moment où l'on va jusqu'à s'identifier avec un désir de vengance qui touche celle-ci dans son ensemble, sans épargner les innocents. Attention aux raisonnements sectaires : non, ce n'est pas les libéraux vs le reste du monde.

Après ce préambule qui en laissera plus d'un songeur :icon_up:, l'honnêteté m'oblige à révéler que oui, la plupart des méchants libéralement justifiables (trafiquants de drogue, patrons "voyous", briseurs de grèves) m'inspirent de la sympathie dans la limite de leur respect du libéralisme (par exemple, un trafiquant qui flingue les concurrents n'est plus sympa du tout).

Les héros de type policiers m'inspirent parfois la plus grande sympathie, surtout quand ils violent la loi pour appliquer la justice (torturer un criminel qui se vante d'avoir enlevé un 33ème enfant mais refuse de dire où il se trouve), et parfis la plus grande antipathie, lorsqu'ils revêtent l'aspect du Garde du Peuple moralisateur.

Tu penses quoi de Jack Bauer dans 24 ?
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Le Joker pour moi aussi.

Dans le même style et en manga : Hisoka, de HxH

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Niveau film, je citerai volontier la psychopathe Asami dans Audition

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Niveau série TV, ils sont trop nombreux, mais T-Bag dans Prison Break joue bien son rôle !

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Et pour finir Stringer, dans la série The Wire.

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J'en oublie beaucoup, mais à vrai dire ce que j'aime surtout ce ne sont pas les héros, ni les méchants mais les anti-héros (Vic Mackey is the best). Un troisième fil ?

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Je n'ai pas vu tous les épisodes, donc si tu veux connaître mon opinion sur une situation particulière, il faudra me la décrire.
Il hésite pas à torturer des terroristes pour obtenir des renseignements vitaux mais dès fois il se trompe et torture des innocents, il n'hésite pas à se sacrifier mais aussi à sacrifier des innocents (voir des amis) pour sauver un plus grand nombre d'individus. Tout cela il le fait à contre cœur, l'un des intérêt de la série étant de montrer que certaines situations peuvent conduire à faire des choses parfaitement détestables même aux plus grands héros.

Je crois savoir ce que tu penses de la plupart des situations mais l'intérêt de la chose c'est justement le personnage dans son ensemble, qui est tout sauf blanc ou noir.

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Mes quatre préférés (mais sont-ils vraiment méchants?):

Michael Corleone:

michael-corleone.jpg

Gordon Gekko:

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Hannibal Lecter

hannibal.jpg

Keyser Soze

KeysSoze.jpg

Ensuite de nombreux méchants dans James Bond:

Auric Goldfinger

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Blofeld

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Karl Stromberg

200px-Stromberg.jpg

Hugo Drax

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Max Zorin

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