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Kindle, Amazon et l'avènement du livre électronique


Rincevent

Messages recommandés

Un peu de math.

2 objets de moins (ou plus), un objet de plus.

-2 + 1 = ?

Secundo, si tu veux voyager avec seulement un bagage cabine, la compacité importe.

[mode pinailleur]

+ le chargeur + le cable + la housse de transport/protection

[/mode pinailleur]

c'est juste mon point de vue, adapté à mon expérience et mes besoins. Par contre, le jour où sort un truc vraiment compact, robuste et compatible, why not ?

De toute façon, nous ne pouvons pas préjuger de l'utilité qu'un tel objet peut avoir pour des individus. Chacun pour soi, en somme :doigt:

:icon_up:

Sinon un autre truc qui me déplait fortement avec ce nouveau gadget sont les dispositifs """anti-piratage""".

+1

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Lire à l'écran me fatigue les yeux.

Je crois que le livre électronique est peut-être intéressant pour un usage professionnel (et encore) mais je ne vois pas ce qu'apporte le format éléctronique à un roman par exemple.

c'est utile pour les ouvrages qui ne sont pas disponible autrement

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En fait, si ce type de machine à de l'avenir, je ne serais tout de même pas surpris que ce Kindle se plante. $400, c'est horriblement cher, d'autant plus qu'avec des best-sellers à 9.99$ (soit moitié moins cher, en moyenne, qu'en livre traditionel), il faut quand même en acheter 40 pour "amortir", ce qui n'est pas rien, vu que le citoyen moyen ne lit guère plus d'un livre par an. Utopique donc d'imaginer un succès type iPod, et pourtant c'est ça l'ambition d'Amazon. Par ailleurs, si j'ai bien compris et contrairement à ce que la photo sur le site amazon laisse entrevoir, il est impossible d'avoir sur l'appareil les photos ou les illustrations qui vont avec les articles du journal ou les livres. C'est toujours en cours de développement. La "tidal wave", c'est pas pour demain.

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400 Dollars c'est beaucoup trop, c'est sûr. Mais ce genre d'appareil on les lance toujours beaucoup trop cher dans l'espoir que ceux qui veulent le dernier cri à tout prix débourse la somme en question, avant de baisser les prix pour conquérir le grand public.

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400 Dollars c'est beaucoup trop, c'est sûr. Mais ce genre d'appareil on les lance toujours beaucoup trop cher dans l'espoir que ceux qui veulent le dernier cri à tout prix débourse la somme en question, avant de baisser les prix pour conquérir le grand public.

C'est évident, mais la question reste: est-ce que ça s'appliquera au livre? J'ai de gros doutes. Suffit de comparer le nombre de lecteurs sérieux à celui des amateurs de musique. Je pense sincèrement que le Kindle va louper ses objectifs.

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Il est clair qu'on ne parle pas d'une évolution à 6 mois ou un an. Je pense que dans 15 à 25 ans, les livres électroniques (ou autres supports) seront en voie de généralisation, pas avant. La réalité évolue bien plus lentement que les aspirations (conviction qui rend les débats sur les manipulations génétiques humaines assez vains, à mon sens).

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C'est évident, mais la question reste: est-ce que ça s'appliquera au livre? J'ai de gros doutes. Suffit de comparer le nombre de lecteurs sérieux à celui des amateurs de musique. Je pense sincèrement que le Kindle va louper ses objectifs.

Ah, mais cette machine-ci va se planter.

Arrivera un jour une machine que même Taïseï et RH voudront utiliser, et là je ne la leur prêterai pas et je leur ressortirai ce fil.

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400 Dollars c'est beaucoup trop, c'est sûr. Mais ce genre d'appareil on les lance toujours beaucoup trop cher dans l'espoir que ceux qui veulent le dernier cri à tout prix débourse la somme en question, avant de baisser les prix pour conquérir le grand public.

Ce genre de public, les early adopters, sont effectivement ceux qui indirectement financent la R&D des sociétés dont on parle.

D'autre part, n'oublions pas que les eBooks dont on parle ici, quelquesoit leur forme, sont d'ores et déjà utilisés par les publics professionnels : visiteurs médicaux, juristes, etc….

C'est évident, mais la question reste: est-ce que ça s'appliquera au livre? J'ai de gros doutes. Suffit de comparer le nombre de lecteurs sérieux à celui des amateurs de musique. Je pense sincèrement que le Kindle va louper ses objectifs.

Une des premières tentatives de téléphonie mobile en France a été celle du Be Bop. Un échec retentissant.

Une des premières tentatives d'assistant personnel électronique (PDA) a été le Newton d'Apple. Un echec retentissant.

Une des premières tentatives de ……. un échec retentissant.

Il n'empêche que si l'on regarde la date de création effetive d'Internet, 1987, et la date ou un techno freak comme moi a utilisé cet outil pour la première fois, en 1995, il s'est écoulé plusieurs années. Et avant que les premières offres commerciales sortent, encore quelques années.

Il est clair qu'on ne parle pas d'une évolution à 6 mois ou un an. Je pense que dans 15 à 25 ans, les livres électroniques (ou autres supports) seront en voie de généralisation, pas avant. La réalité évolue bien plus lentement que les aspirations (conviction qui rend les débats sur les manipulations génétiques humaines assez vains, à mon sens).

Sur la génétique, tout à fait d'accord on est encore loooooooooiiiiiiiiiiiiiiiin de pouvoir réaliser les fantasmes de films comme "A l'aube du sixième jour" avec un acteur célèbre devenu gouverneur d'un Etat américain d'importance.

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On trouve énormément de bouquins d'info sous forme d'ebooks. Perso ça me ferai chier d'avoir plein de bouquins d'informatique qui remplissent ma bibliothèque, surtout que certains peuvent être vite dépassés. L'idéal c'est une documentation sur Internet (ou un eBook qui se met à jour), qui serait toujours actuelle.

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Lire à l'écran me fatigue les yeux.

+1. C'est toujours trop lumineux, et jamais assez contrasté. D'où l'utilité des technologies de type "encre électronique" comme celle du Kindle.

Déjà, je vous propose de supprimer le sous titre du fil, il induit en erreur.

Qu'en pensez-vous ?

Je l'ai modifié. C'est mieux ?

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Avant de mettre ce fil aux archives, juste une petite intervention:

Pour ceux qui cornent, surlignent, annotent, etc… et j'en fais partie, je trouve que ça donne vie aux livres, person je préfère acheter un bouquin d'occasion qui est déjà passé entre plusieurs mains pour arriver jusqu'aux miennes, pure question sentimentale :icon_up: .

Ensuite, un bouquin dans un sac ça prend pas trop trop de place et c'est tout de même agréable à feuilleter, autrement que de cliquer sur "page suivante" sur un pc. Quoi que je n'ai jamais tenté, morne réfractaire à la chute éventuelle du "vrai" livre.

Tant qu'il me reste le choix de parcourir les rayons occasions de chez Gibert, le livre électronique ne me pose pas de soucis.

mais j'ai quelques nostalgie à voir disparaitre le rayon cassette vidéo de la Fnac, oui oui j'ai encore un magnétoscope bouh la honte…

Dernier truc, ça fait mal aux yeux de lire trop longtemps sur un écran :doigt::warez:

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Pour ceux qui cornent, surlignent, annotent, etc… et j'en fais partie, je trouve que ça donne vie aux livres, person je préfère acheter un bouquin d'occasion qui est déjà passé entre plusieurs mains pour arriver jusqu'aux miennes, pure question sentimentale :icon_up: .

Pareil j'aime les livres qui ont "vécu", je suppose que ça vient de mes premiers contacts avec les livres, ceux de la famille ou en bibliothèque. Par contre je hais les surlignements !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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Kindle est trop moche pour réussir dans la vie

Les eBook deviennent plus présentables. Le Kindle d’Amazon a le mérite d’exister et de fonctionner plutôt bien. Alors que certains pensent qu’il serait plus utile aux tecniciens d’EDF travaillant aux sommets des pylônes, d’autres se sont rués sur le nouveau gadget d’Amazon. Analyse et commentaires.

Kindle peut contribuer à faire sortir l’eBook de sa petite niche. Mais il est terriblement moche et lorsque le marketing veut nous faire croire qu’il s’agit de l’ “iPod des lecteurs ebook”, on rejoint le fanboy de base qui viendra défendre son gadget au jus de pomme. Qui aurait pensé qu’une calculette des années 1970 devienne un jour le Messie des ebooks? Comparé au svelte et presque sexy Sony PRS-505, vendu 100$ de moins, Kindle est la bête du label.

L’iPod à sa sortie avait le mérite de redéfinir le look des lecteurs multimédias, et la foule ne s’est pas privée de “Oh!”, “Ah!”, “Uhh!”. Puis il s’est vendu comme des petits pains. Lorsque Amazon a lâché Kindle cette semaine, les réactions étaient plutôt “Hé?”, “Ga?”, “Hm”, ce qui veut tout dire. Un peu comme chez un homme relativement peu gâté par la nature, il faut lui trouver d’autres qualités. Mais il a un un nom gentil. Mais il se connecte super vite. Mais, mais. Mais un gadget relativement cher, avec lequel on vous verra en public dans le métro, attention.

Kindle a de meilleures chances de s’imposer que tout autre ebook populaire du marché, pour la seule raison que le catalogue et les serveurs d’Amazon sont derrière. Certaines de ses caractéristiques le sauveront peut-être aussi. Mais le marché de l’ebook n’est pas non plus un marché de coupe-gorges où la concurrence se presse et joue des coudes. Et Kindle n’empêchera personne de couper quelques arbres pour satisfaire notre envie de lire.

Amazon propose un catalogue de 90′000 titres de librairie, des abonnements à des journaux et à des magazines pour Kindle. Bizarrement il est aussi possible de s’inscrire à des blogs et à des flux RSS qui sont généralement gratuits. L’objet pèse près de 300 grammes, montre un peu trop d’embonpoint, peut stocker 200 bouquins en mémoire interne, extensible par carte SD. Sa batterie tient une semaine et un à deux jours avec le WiFi allumé. Il lui manque le rétro-éclairage afin de préserver un peu de batterie et une lampe externe est prévue.

L’intelligence de Kindle réside dans sa façon d’obtenir les livres. Kindle est complètement autonome. Le réseau EVDO de Sprint est employé pour choisir, sélectionner, commander, payer et recevoir votre livre sur Kindle en moins d’une minute. Le prix de la communication est pour Amazon mais vous avez déjà dépensé 400$ pour le gadget et quelques dollars de plus pour vos abonnements, mais une fois ces premiers paiements réalisés vous n’avez que vos livres à régler et pas de charges de communications supplémentaires. Amazon table sur son catalogue pour vous faire dépenser, ce qui couvrira largement les frais d’un appel.

Kindle s’adresse aussi à tous ceux que les technologies rebutent, allergiques aux réseaux WiFi, rien qu’au mot, ou aux portables et autres PC. :icon_up:

Kindle mise sur cette autonomie. Mais que Kindle ouvre en grand le marché des ebooks à lui tout seul reste très aléatoire, car nous aimerons toujours avoir notre bon vieux livre en mains et il n’est pas du tout certain que la consommation de livres détruise nos forêts. L’argument du développement durable tient par les ficelles de mon vieux caleçon.

Traduction et adaptation d’un article de Martin Lynch pour INQ.

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Franchement, le jour où l'on me donne un support du même format qu'un livre de poche, avec des caractères clairs, une recherche contextuelle et la possibilité de placer des notes, je saute dessus. Aujourd'hui, il me reste 16 CD, uniquement conservés pour des raisons sentimentales. Il en sera de même pour les livres.

C'est clair.

Et il faut penser à l'économie de papier à l'échelle mondiale. A l'économie de place dans les appartements…

L'écran souple et l'encre liquide seront la solution pour l'e-book. La qualité de lecture sera la même qu'avec un livre papier, il n'y aura pas d'éblouissement.

On tournera la page tactilement avec un doigt.

ecransouple7s.jpg

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Une des premières tentatives de téléphonie mobile en France a été celle du Be Bop. Un échec retentissant.

Une des premières tentatives d'assistant personnel électronique (PDA) a été le Newton d'Apple. Un echec retentissant.

Une des premières tentatives de ……. un échec retentissant.

Je ne dis pas le contraire: depuis le début du fil, je ne fais que souligner que l'angle Kindle = fin du livre est une erreur.

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je ne vois pas ce qu'apporte le format éléctronique à un roman par exemple.

outre les raisons citées (avoir l'essentiel de la littérature toujours avec soi même en voyage) :

à l'échelle mondiale, économie de papier et de déchets (1 milliard de chinois achetant les 7 volumes de la recherche du temps perdu, ça commence à faire un paquet d'arbres et de déchets toxiques (encres, colles… + toute la manutention (transport) nécessaire entre l'arbre et le livre chez soi))

on est proche de la pénurie de cellulose.

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Que veux-tu dire, Taisei ?

Proust est très apprécié en Asie.

Et de fait, l'Asie est la région la plus peuplée du monde, parler de la consommation chinoise ou indienne à venir ce n'est pas faire de l'obsession anti-chinoise à la Céline.

Le développement de la Chine aura d'autres répercussions que celui du Rwanda.

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