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Le respect de la démocratie selon Chávez...


Cochon

Messages recommandés

très sérieusement…un ancien formateur militaire américain à fait une étude très approfondie sur l'évolution des techniques d'entraînement dans son pays

…très documenté, l'évolution des chances de survie d'un "GI" sur le terrain face à un adversaire armé et entrainé à tirer….en fonction de sa propre formation…

Les appelés, sans entrainement, lors de la dernière guerre mondiale: tx impressionnant de ceux qui se sont fait descendre bêtement, millième de seconde " c'est un être humain, j'peux pas tirer…."

les pro d'alors, entrainés sur cible géométrique…

l'entrainement sur cible fixes"silhouettes"noires, l'évolution vers des cibles de plus en plus réalistes…

…pour passer aux simulateurs de combat.actuels….les résultats, toujours évalués en "temps moyen de survie"ont "progréssé"de façon spectaculaire…

je ne sais où

retrouver le documentaire, mais c'est sur, après avoir vu cela, t'es contente de voir tes p'tits gars combattre des dragons avec des bâtons…

(note: j'ai un fils qui a"fait" l'Afghanistan…)

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La Playstation est un "venin" pour le président socialiste du Venezuela Hugo Chavez, qui accuse la console de jeux fabriquée par le japonais Sony d'apprendre aux enfants à "tuer".

"Ces jeux qu'on appelle +Playstation+ sont un venin. Il y a des jeux qui t'apprennent à tuer. Une fois, ils en ont fait un avec mon visage, il faut chercher Chavez pour le tuer", a-t-il lancé dimanche dans son allocution hebdomadaire radiotélévisée, "Alo Presidente" (Allo Président).

Paranoïa classique du dictateur mégalo et instrumentalisation télécratique.

Pour le chef de file de la gauche radicale latino-américaine, ces jeux vidéos dans lesquels "on bombarde des villes" font partie d'une stratégie du "capitalisme" pour semer la "violence" et "ensuite vendre des armes".

"Le capitalisme crée le besoin de tabac, de drogue et d'alcool pour ensuite les vendre. C'est un chemin vers l'enfer", a tonné le président vénézuélien, qui a appelé à la création de "jouets didactiques".

Vieille antienne de l'aliénation capitaliste, selon laquelle nous sommes drogués par la publicité, brainwashés par les multinationales et intoxiqués par la marchandise, qui "crée" nos besoins puis nous rend dépendant de leur consommation. Chavez y ajoute une touche de manichéisme pour faire mousser sa nouvelle religion socialiste d'Etat.

Il a notamment proposé de fabriquer des "poupées avec des visages d'indiens" pour remplacer "la Barbie, qui n'a rien à voir avec notre culture"

Des Barbies oui, mais ethniquement conformes, des poupées desouche.

Chavez serait-il un apôtre de l'ethnodifférencialisme?

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Bon, s'il y a des coupures d'électricités, la première chose à bannir c'est tout de même ces satanées consoles.

Pour bientôt en France ?

Pour éviter la panne électrique, n'offrez pas de jeux vidéo

Le Père Noël aura été prévenu ! Le développement massif des consoles de jeu vidéo représente une menace pour le système électrique. Selon une étude du cabinet de conseil Sia, la consommation annuelle d'électricité due à l'utilisation des Xbox, Wii et autres PlayStation en France pourrait représenter 700 gigawattheures (gWh) d'ici à 2020, soit l'équivalent de celle d'une ville comme Nice. Et comme cette consommation intervient aux heures de pointe, en même temps que l'usage du chauffage électrique, cela risque de poser des tensions sur le réseau. Bref, les Bretons et les Provençaux, dont les systèmes électriques sont déjà fragiles comme vient de le rappeler la vague de froid, feraient bien d'offrir plutôt des livres ou des bougies…

[…]

http://www.lesechos.fr/info/comm/020283399…-jeux-video.htm

En octobre, le parlement vénézuélien, largement dominé par les pro-chavistes, a adopté une loi prévoyant des peines pouvant aller jusqu'à cinq ans d'emprisonnement à l'encontre de ceux qui commercialisent des jeux traditionnels ou vidéo considérés comme "belliqueux" par les autorités.

Ils n'ont pas encore penser à légiférer sur les moyens alternatifs de se procurer les jeux ? :icon_up:

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  • 3 weeks later...
  • 1 month later...

Notre grand ami fait encore parler de lui.

Chavez nationalise et exproprie à tour de bras… en se promenant dans la rue !

AFP : Mis à jour 10-02-2010 11:26

Venezuela: colère et impuissance des commerçants expropriés du centre de Caracas :

"Dimanche, j'avais une petite entreprise, mais en deux secondes je n'en avais plus", lance, inconsolable, Freddy Chacon, propriétaire d'une bijouterie située dans un immeuble nationalisé par le président vénézuélien Hugo Chavez, dans le centre historique de Caracas.

A l'intérieur de l'immeuble "La France" l'ambiance est désespérée. Dans ce bâtiment situé sur la place Bolivar, les propriétaires des 90 magasins d'orfèvrerie les ont vidés mardi et placé en lieu sûr bijoux et coffres-forts, dans l'attente d'un ordre officiel de fermeture.

"Nous obéissons à l'ordre du président et nous prenons la précaution de sortir les choses de valeur parce que nous savons que quand il dit quelque chose, il le fait. Mais nous ne sommes pas d'accord avec cette mesure", affirme Maria Antonieta de Perez, propriétaire d'une bijouterie depuis 23 ans.

Dimanche, le président socialiste a ordonné la nationalisation de quatre immeubles situés autour de la place Bolivar, occupés depuis des décennies par des commerces.

Se promenant dans le centre historique de la capitale dans le cadre de son émission hebdomadaire radiotélévisée "Alo Presidente", il a interpellé son gouvernement. "Qu'est-ce que c'est que cet immeuble?". "Un édifice privé d'une bijouterie", lui a-t-on répondu.

"Qu'on le nationalise!", a-t-il vociféré.

"Et celui-ci c'est quoi ? (…) On m'a dit que (le héros de l'indépendance vénézuélienne Simon) Bolivar y avait vécu après son mariage. Qu'on le nationalise!", a-t-il poursuivi, ajoutant: "Nous devons faire de cet endroit un grand centre historique".

Chavez, qui depuis 2007 mène une intense campagne de nationalisations dans les secteurs stratégiques de l'économie comme le pétrole, a proposé d'installer d'un "musée national bolivarien" dans un des immeubles.

"Je ne sais pas dans quelle genre de démocratie on vit. Chavez est un communiste et un dictateur", tempête Manuel Garrido, orfèvre depuis plus de quarante ans.

Moises Levy, un autre doyen des lieux, avec trente ans de métier, s'inquiète notamment pour le sort des "jeunes qui travaillent ici". "Au Venezuela, il n'y a pas de travail. Où va-t-on aller? Comment un président peut-il connaître si peu son pays?", se demande-t-il.

Cette nationalisation symbolique a déclenché les foudres de l'opposition.

"C'est un accès d'improvisation. Il se met à nationaliser des immeubles comme un fou (…) pour transformer le centre de Caracas en un ghetto où seul ses partisans pourraient vivre", a regretté Alejandro Vivas, sous-secrétaire du parti Copei (démocrate-chrétien).

Pour le président du syndicat patronal Fedecamaras, Noel Alvarez, Chavez a porté un nouveau coup à la propriété privée.

"Il devrait consacrer son temps à trouver des solutions et ne pas continuer à prendre à droite à gauche, commerces, entreprises et terres, ce qui ne donne aucun résultat une fois dans les mains de l'Etat", a-t-il dénoncé.

Mais sur la place Bolivar, un groupe de partisans "chavistes" approuve son leader. "Je soutiens cette décision (..) ce n'est pas possible que dans le centre historique de Caracas il y ait un négoce d'or et non un musée ou une bibliothèque", déclare l'un d'eux, Ruben Dario Gamboa, un étudiant.

Et la tension monte entre "chavistes" et propriétaires de magasins. "Maintenant, c'est le peuple qui récupère tout ça", lance un homme. "Et éjecte les mafias", complète une femme. "C'est faux, nous sommes tous vénézuéliens, nous sommes tous égaux", se défend une propriétaire.

Hugo Chavez envahit les ondes :

"De repente con Chavez («Tout à coup avec Chavez»). C’est le nom de la nouvelle émission de radio lancée la semaine dernière par le président vénézuélien,

Hugo Chavez. Le concept : s’adresser par surprise aux auditeurs, quelle que soit l’heure, pour les informer de décisions ou «jouer un air de guitare»… Depuis 2000, Hugo Chavez s’adresse déjà de manière directe aux Vénézuéliens dans son émission Alo Presidente, pour des allocutions pouvant parfois durer plus de six heures d’affilée. L’infatigable président prononce par ailleurs chaque semaine de nombreux discours que toutes les chaînes de télévision nationales doivent parfois diffuser en direct, conformément à une nouvelle réglementation sur les médias."

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  • 3 months later...
  • 2 months later...

Chavez nous offre ce mois-ci un show spectaculaire. Ça fait froid dans le dos.

J’en déduis que le Vénézuela, dirigé par le tonitruant président Hugo Chavez, est une dictature comme en ont tant connues les pays sud-américains.

Comment définir autrement un pays où le chef de l’exécutif peut faire en toute impunité embastiller un juge qui a remis en liberté un opposant notoire au régime ? C’est en effet la triste mésaventure qui est arrivée à la juge Maria Lourdes Afiuni, qui a ordonné la libération sous surveillance d’un prévenu qui attendait son jugement depuis trois ans en détention provisoire (en conformité avec la loi, est-il besoin de le préciser). La magistrate était interpellée le 10 décembre 2009, quelques heures après sa décision, en lien semble-t-il avec les déclarations présidentielles, dans sa propre émission télévisée, où le conducator de la chaîne orientale des Andes avait insulté la juge et demandé qu’elle soit condamnée à 30 ans de prison pour corruption, semblant regretter au passage le bon temps où les pelotons d’exécution réglaient les problèmes de manière bien plus rapide.

Et qu’attendre d’un procès quelconque où le juge en charge du dossier a d’ores et déjà indiqué qu’il donnerait sa vie pour la révolution et qu’il ne serait jamais déloyal au président Chavez ? A part une condamnation à 30 ans de réclusion, bien sûr.

http://www.maitre-eolas.fr/post/2010/08/17…ce-en-dictature

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On notera l'apparition rapide de plusieurs chavezolâtres. Ridicule.

Ce qui arrive aussi sur contrepoints quand il y a un article sur Chavez. Y a-t-il une quelconque surveillance de leurs parts ? :icon_up:

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Des nouvelles d'Ugo et de sa justice qui préfère poursuivre les critiques que les meurtriers, et exercer la critique plutôt que d'assurer la paix civile. Les chiffres sont là, ils sont sans équivoque : il est plus dangereux de vivre à Caracas qu'à Bagdad.

source : http://www.nytimes.com/2010/08/23/world/am…uela&st=cse

Some here joke that they might be safer if they lived in Baghdad. The numbers bear them out.

In Iraq, a country with about the same population as Venezuela, there were 4,644 civilian deaths from violence in 2009, according to Iraq Body Count; in Venezuela that year, the number of murders climbed above 16,000.

Even Mexico’s infamous drug war has claimed fewer lives.

Venezuelans have absorbed such grim statistics for years. Those with means have hidden their homes behind walls and hired foreign security experts to advise them on how to avoid kidnappings and killings. And rich and poor alike have resigned themselves to living with a murder rate that the opposition says remains low on the list of the government’s priorities.

Then a front-page photograph in a leading independent newspaper — and the government’s reaction — shocked the nation, and rekindled public debate over violent crime.

The photo in the paper, El Nacional, is unquestionably gory. It shows a dozen homicide victims strewn about the city’s largest morgue, just a sample of an unusually anarchic two-day stretch in this already perilous place.

While many Venezuelans saw the picture as a sober reminder of their vulnerability and a chance to effect change, the government took a different stand.

A court ordered the paper to stop publishing images of violence, as if that would quiet growing questions about why the government — despite proclaiming a revolution that heralds socialist values — has been unable to close the dangerous gap between rich and poor and make the country’s streets safer.

“Forget the hundreds of children who die from stray bullets, or the kids who go through the horror of seeing their parents or older siblings killed before their eyes,” said Teodoro Petkoff, the editor of another newspaper here, mocking the court’s decision in a front-page editorial. “Their problem is the photograph.”

Venezuela is struggling with a decade-long surge in homicides, with about 118,541 since President Hugo Chávez took office in 1999, according to the Venezuelan Violence Observatory, a group that compiles figures based on police files. (The government has stopped publicly releasing its own detailed homicide statistics, but has not disputed the group’s numbers, and news reports citing unreleased government figures suggest human rights groups may actually be undercounting murders).

There have been 43,792 homicides in Venezuela since 2007, according to the violence observatory, compared with about 28,000 deaths from drug-related violence in Mexico since that country’s assault on cartels began in late 2006.

Caracas itself is almost unrivaled among large cities in the Americas for its homicide rate, which currently stands at around 200 per 100,000 inhabitants, according to Roberto Briceño-León, the sociologist at the Central University of Venezuela who directs the violence observatory.

That compares with recent measures of 22.7 per 100,000 people in Bogotá, Colombia’s capital, and 14 per 100,000 in São Paulo, Brazil’s largest city. As Mr. Chávez’s government often points out, Venezuela’s crime problem did not emerge overnight, and the concern over murders preceded his rise to power.

But scholars here describe the climb in homicides in the past decade as unprecedented in Venezuelan history; the number of homicides last year was more than three times higher than when Mr. Chávez was elected in 1998.

Reasons for the surge are complex and varied, experts say. While many Latin American economies are growing fast, Venezuela’s has continued to shrink. The gap between rich and poor remains wide, despite spending on anti-poverty programs, fueling resentment. Adding to that, the nation is awash in millions of illegal firearms.

Police salaries remain low, sapping motivation. And in a country with the highest inflation rate in the hemisphere, more than 30 percent a year, some officers have turned to supplementing their incomes with crimes like kidnappings.

But some crime specialists say another factor has to be considered: Mr. Chávez’s government itself. The judicial system has grown increasingly politicized, losing independent judges and aligning itself more closely with Mr. Chávez’s political movement. Many experienced state employees have had to leave public service, or even the country.

More than 90 percent of murders go unsolved, without a single arrest, Mr. Briceño-León said. But cases against Mr. Chavez’s critics — including judges, dissident generals and media executives — are increasingly common.

Henrique Capriles, the governor of Miranda, a state encompassing parts of Caracas, told reporters last week that Mr. Chávez had worsened the homicide problem by cutting money for state and city governments led by political opponents and then removing thousands of guns from their police forces after losing regional elections.

But the government says it is trying to address the problem. It recently created a security force, the Bolivarian National Police, and a new Experimental Security University where police recruits get training from advisers from Cuba and Nicaragua, two allies that have historically maintained murder rates among Latin America’s lowest.

The national police’s overriding priority, said Víctor Díaz, a senior official on the force and an administrator at the new university, is “unrestricted respect for human rights.”

“I’m not saying we’ll be weak,” he said, “but the idea is to use dialogue and dissuasion as methods of verbal control when approaching problems.”

Senior officials in Mr. Chávez’s government say the deployment of the national police, whose ranks number fewer than 2,500, has succeeded in reducing homicides in at least one violent area of Caracas where they began patrolling this year.

Still, human rights groups suggest the new policing efforts have been far too timid. Incosec, a research group here that focuses on security issues, counted 5,962 homicides in just 10 of Venezuela’s 23 states in the first half of this year.

Meanwhile, the debate over the morgue photograph published by El Nacional is intensifying, evolving into a broader discussion over the government’s efforts to clamp down on the news outlets it does not control.

The government says the photograph was meant to undermine it, not to inform the public. The authorities are also threatening an inquiry into “Rotten Town,” a video by a Venezuelan reggae singer that shows an innocent child struck down by a stray bullet. For all the government’s protests, the video has spread rapidly across the Internet since its release here this month.

Given the government’s stance in these cases, many here worry it is focusing on the messenger, not the underlying message.

Hector Olivares, 47, waited outside the morgue early one morning this month to recover the body of his son, also named Hector, 21. He said his son was at a party in the slum of El Cercado, on the outskirts of Caracas, when a gunman opened fire.

Mr. Olivares said Hector was the second son he had lost in a senseless murder, after another son was killed four years ago at the age of 22. He said he did not blame Mr. Chávez for the killings, but he pleaded with the president to make combating crime a higher priority.

“We elected him to crack down on the problems we face,” he said. “But there’s no control of criminals on the street, no control of anything.”

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  • 1 month later...

Venezuela: le compte Twitter de Chavez piraté

Le compte Twitter du président vénézuélien Hugo Chavez a été probablement piraté et utilisé pour envoyer des messages qui n'ont pas été rédigés par lui, a indiqué samedi le ministre de l'Intérieur, Tareck El Aissami, à la veille d'élections législatives.

Selon le ministre, des «irrégularités» ont été repérées depuis le 22 septembre, et au moins trois messages publiés n'ont été ni écrits ni envoyés par Chavez qui gère «en personne» son compte sur le réseau social sur internet, @chavezcandanga.

http://www.20minutes.fr/ledirect/601432/mo…r-chavez-pirate

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  • 2 months later...
Le Parlement vénézuélien a voté vendredi une loi accordant au président Hugo Chavez le pouvoir de gouverner par décrets pendant une période de 18 mois, à compter du 1er janvier.

Le président Chavez pourra ainsi promulguer des lois en matière de sécurité, de défense nationale, de finances, de coopération internationale, de transports, de services publics et d'utilisation de la terre.

M. Chavez a d'ailleurs déclaré jeudi soir qu'une vingtaine de lois étaient « quasiment prêtes ». L'une d'entre elles sur les télécommunications, et une autre sur la « responsabilité sociale en radio et télévision », ce qui concerne également Internet.

Vendredi, l'Assemblée nationale sortante, où les chavistes sont largement majoritaires, a aussi voté pour un contrôle public accru des banques, déjà détenu à 25 % par l'État vénézuélien. L'opposition craint une nationalisation de ce secteur.

« C'est un plan du gouvernement pour essayer de retirer tout pouvoir au Parlement et de gouverner de manière absolument autocratique à partir du 1er janvier, sans aucune forme de contrôle », a déclaré le député d'opposition Ismael Garcia. « Cet ordre du jour n'a rien à voir avec les problèmes du pays. Il vise à résoudre ceux du président Chavez en termes de leadership », a ajouté la députée Pastora Medina, en mentionnant des problèmes d'insécurité et d'approvisionnement en électricité.

Pour les sinistrés

En annonçant sa démarche, mardi, le président Chavez a expliqué qu'elle avait pour objectif d'améliorer la réponse des autorités aux inondations qui ont fait plus d'une trentaine de morts et 130 000 sans-abri au cours des dernières semaines. Il a parlé d'une « situation d'urgence ».

Le 5 janvier prochain, la nouvelle Assemblée nationale, élue en septembre, sera composée de 40 % de députés de l'opposition (67 des 165 sièges). Les partisans de M. Chavez représentent toutefois 60 %, ce qui empêchera toute abrogation de la loi autorisant les décrets.

Le président Chavez a déjà gouverné par décrets à trois reprises : pendant six mois en 1999, pendant un an en 2000 et pendant 18 mois à partir de 2007. Il a fait passer par décrets présidentiels une centaine de lois, comme la nationalisation partielle du secteur pétrolier, la réforme agraire ou l'augmentation du nombre de juges siégeant à la Cour suprême.

Le porte-parole du département d'État américain, Philip Crowley, a déclaré que le président Chavez semblait « trouver des moyens créatifs de justifier ses pouvoirs autocratiques ».

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Inter…r-decrets.shtml

Cela juste avant que le parti de Chavez perdent 69 sièges ( et donc la majorité qualifié des 3/5 qui permet de gouverner sans opposition) …

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Cela juste avant que le parti de Chavez perdent 69 sièges ( et donc la majorité qualifié des 3/5 qui permet de gouverner sans opposition) …

Et avec ceci en prime:

Le pays caribéen est en passe de devenir l’un des rares pays du monde où un fournisseur d’accès à Internet peut être sanctionné pour pour permettre l’accès à des sites web où l’on trouve des messages anonymes, chose qui n’arrive qu’en Chine et dans deux ou trois autres pays.

http://www.contrepoints.org/2010/12/15/914…llon-bolivarien

C'est très à la mode le contrôle d'internet.

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  • 2 months later...

On va pouvoir se payer la fiole des altermondialeux.

Hugo Chavez se porte à la défense de Kadhafi

Publié le 25 février 2011

Agence France-Presse

Caracas

Le président du Venezuela Hugo Chavez, principal allié latino-américain de Tripoli, est sorti du silence qu'il observait depuis le début des manifestations en Libye pour apporter son soutien au colonel Mouammar Kadhafi, confronté selon lui à «une guerre civile».

«Vive la Libye et son indépendance! Kadhafi est confronté à une guerre civile», a déclaré jeudi soir Chavez sur son compte twitter, alors que la vague de violences en Libye a déjà fait plusieurs centaines de morts, de 300 à un millier selon les sources.

Le Venezuela et la Libye se sont fortement rapprochés ces dernières années, au point que Chavez avait déclaré lors d'une visite de Kadhafi dans son pays en 2009, qu'ils étaient «unis dans un même destin, dans la même bataille contre un ennemi commun», l'impérialisme américain.

Ces derniers jours, plusieurs rumeurs ont aussi couru sur une possible fuite du dirigeant libyen à Caracas, avant d'être démenties.

«Nous rejetons la violence, mais il faut analyser le conflit libyen avec objectivité. On est en train de créer les conditions pour justifier une invasion de la Libye dont l'objectif principal (…) est de s'emparer du pétrole libyen», a déclaré au parlement le chef de la diplomatie vénézuélienne, Nicolas Maduro.

«Des gouvernements occidentaux ont demandé des explications et des sanctions. Pourquoi n'exigent-ils pas aussi des sanctions pour ceux qui bombardent des innocents tous les jours en Irak et en Afghanistan? (…) Ce sont aussi des assassins», a-t-il ajouté.

En Amérique latine, le président du Nicaragua Daniel Ortega, allié de Chavez au sein du bloc régional de gauche radicale, avait aussi exprimé sa solidarité avec Kadhafi et le dirigeant cubain Fidel Castro avait affirmé que les États-Unis étaient prêts à donner l'ordre à l'Otan d'envahir la Libye.

http://www.cyberpresse.ca/international/am…-de-kadhafi.php

Rappel de l'épisode de 2007

Hugo Chavez : le socialisme à visage inhumain L’icône des alter mondialistes s’en prend violemment aux étudiants

Les étudiants s’opposent à la réforme constitutionnelle voulue par Hugo Chavez.

Cette réforme vise à mettre en place « le socialisme du XXIème siècle » selon l’expression d’Hugo Chavez lui-même, à restreindre les libertés au Vénézuela en particulier pour les étudiants. De plus la révision de la constitution permettra à l’icône des alter mondialistes de se maintenir à vie à la tête du Vénézuela ainsi que d’instaurer un état d’exception où arrestation arbitraire et contrôle des médias deviendront la norme.

Face à cette situation, les étudiants désireux de défendre la démocratie et la liberté sont descendus dans les rues de Caracas. Les forces de l’ordre s’en sont pris violemment aux quelques 20 000 étudiants venus protester contre la mise en place d’une dictature à la cubaine ou à la biélorusse.

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Merci Freejazz pour cette info.

N'hésitez pas à partager mon billet :

http://h16free.com/2011/02/27/7183-quand-l…-mignon-kadhafi

et à voter pour lui dans wikio, ainsi qu'à retwitter son existence !

Il ne faut pas laisser de latitude à ce trou du cul de Chavez et ceux qui l'encensent encore.

Perso j'aurais poussé le vice à rappeler que la Libye de Kadhafi a aussi présidé la Commission des droits de l'homme des Nations Unies :icon_up:

La Libye présidera la Commission des droits de l'homme de l'ONU

Tripoli a qualifié le vote de "victoire éclatante qui a rendu leurs droits aux peuples opprimés". Les ONG réclament un débat de fond pour sauver cette institution du discrédit total.

Le Monde - 20.01.03

La crédibilité de la Commission des droits de l'homme (CDH) de l'ONU risque de prendre un nouveau coup avec l'élection, lundi 20 janvier, de l'ambassadrice libyenne auprès des Nations unies, Najat Al-Hajjaj, à sa présidence. Le groupe des Etats africains, auquel revient cette année la présidence tournante de la CDH, a en effet choisi, lors du dernier sommet de l'Union africaine, à Durban, de présenter la Libye à ce poste.

La désignation à cette présidence, qui a pour fonction essentielle d'organiser les travaux de la session annuelle (du 17 mars au 25 avril), se fait traditionnellement par acclamation. Outrés par la candidature libyenne, les Américains ont cette fois réclamé un vote, tout en étant certains de le perdre : "Nous savons que le scrutin a peu de chance de réussir, mais laisser le régime du colonel Kadhafi s'emparer de la présidence de la CDH par "acclamation" nous était insupportable", a déclaré un diplomate américain à la veille de la réunion de lundi.

Selon le porte-parole lybien des affaires étrangères, Hassouna Al-Chaouh, l'élection de la Lybie à la majorité des voix représente une "reconnaissance mondiale historique du dossier vierge de la Lybie dans le domaine des droits de l'homme." Mme Al-Hajjaji a été élue à 33 voix pour présider la 59e session de la Commission qui compte 53 membres. Trois Etats ont voté contre cette candidature et 17 se sont abstenus. M. Al-Chaouch a remercié les "pays amis qui ont soutenu le droit et refusé les pressions, surtout les pays arabes, islamiques et européens, notamment la France et la Grande-Bretagne".

Le geste symbolique des Américains risquait d'être considéré comme un "affront aux chefs d'Etat africains". La prochaine session de la CDH menace, comme le note un membre du secrétariat, "de se transformer en une bataille sanglante entre le Nord et le Sud". Même les ONG, qui déplorent que la CDH soit devenue "le club des pays violeurs des droits de l'homme", estimaient que la décision d'exiger un vote était "une bataille perdue d'avance" et ne pouvait "qu'empoisonner encore plus" l'atmosphère.

Une candidature de l'Arabie saoudite, guère plus vertueuse en matière de droits de l'homme, aurait-elle fait l'objet de la même contestation de la part de Washington, se demandaient par ailleurs certains. "Nous n'avons pas de réponse", avouent, gênés, des Américains, en admettant ne s'être penchés sur la question de la présidence de la CDH que depuis une semaine, alors qu'on savait depuis plus de cinq mois qu'elle allait se poser. A la veille de la réunion de lundi à Genève, seuls les Etats-Unis et le Canada avaient annoncé leur intention de voter contre la Libye. Les Européens devaient s'abstenir en bloc, les Africains, ainsi que la grande majorité des pays asiatiques et d'Amérique du Sud, voter pour Tripoli.

C'est la première fois qu'un pays qui fait l'objet de sanctions des Nations unies est appelé à prendre la présidence d'un organe censé surveiller le respect des droits de l'homme dans le monde. Le régime du colonel Kadhafi est accusé d'avoir commandité l'attentat perpétré en 1988 contre le vol 103 de la PanAm au-dessus de Lockerbie. La droite américaine ne manquera pas de réclamer la suppression de tout subside à un organe "dirigé par les régimes terroristes".

http://www.fsa.ulaval.ca/personnel/vernag/…ibye_DH_ONU.htm

Curieusement, la page wikipédia dédiée à cette Commission de l'ONU est quasiment vide. :doigt:

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