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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

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Nouvelle preuve de l'échec du marché et de la concurrence : le cartel des yaourts ! Personne n'en a parlé ici ?

 

Nope mais je ne vois pas vraiment ce qu'il y a à en dire...

Dans un marché libre, des cartels peuvent tout-à-fait apparaître. Cependant ceux-ci doivent faire face à deux obstacles potentiels :

1) l'arrivée de concurrents sur le marché concerné (les yaourts ici), concurrents alléchés par la hausse des prix des yaourts et prêts à vendre à un prix moindre pour récupérer des parts de marché ;

2) la trahison d'un des membres du cartel. Dans un marché sans autorité de la concurrence, la compagnie trahissant les autres baisserait ses prix (ici de yaourts) . Là, Yoplait s'est "contenté" de vendre ses camarades d'entente à l’Autorité de la concurrence, les pénalisant au passage.

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J'ai déjà vu une rue Salvador Allende et avenue de l'URSS en France mais jamais de Staline.

 

Oh dans mon bled (enfin celui de mes parents maintenant), la grand place s'appelait S Allende, il y avait aussi une rue Louise Michel, une autre Rosa Luxemburg et ma grand-mère vivait rue Francisco Ferrer. Fun fact : le siège du PC "F" se trouvait impasse du Progrès. Sinon, les lycées et les boulevards Lénine, ça existe encore à la pelle.

 

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Je propose une loi pour débaptiser toutes les rues "politiques" et remplacer par des noms communs, de fruits, de légumes, ou d'objets, choisis et tirés au sort par des enfants dans un grand chapeau de clown.

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On parle d'Hélie de Saint Marc ? C'est aussi un résistant, déporté et écrivain, hein.

 

 

Je propose une loi pour débaptiser toutes les rues "politiques" et remplacer par des noms communs, de fruits, de légumes, ou d'objets, choisis et tirés au sort par des enfants dans un grand chapeau de clown.

En plus des changements administratifs pour les élus qui habitent dans la rue Hélie de Saint-Marc et dont se fout éperdument Robert Ménard, c'est quand même pas très malin je trouve de donner ce nom de rue. La guerre d'Alégie, le putsch des généraux, c'est quand même pas des moments glorieux. Il est vrai aussi que le nom de cette rue avant n'était pas non plus fantastique.

Au-delà de ça il y en a marre des politiciens qui donnent des noms de rue. Avant la Révolution (ça avait commencé un petit peu sous le règne d'Henri IV ceci dit), c'était la société civile sur place qui donnait son nom aux rues ou aux places en fonction de l'endroit et des bâtiments à proximité (rue de l'Eglise, place du marché etc..). Depuis qu'il revient à la puissance publique de les baptiser on a une sacrée brochette de noms à la con, des personnages historiques discutables, des évènements exploités à des fins idéologiques et j'en passe.

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Ménard a le don de la petite action symbolique qui n'a aucun intérêt à part lancer la polémique et faire parler de lui.

Là débaptiser la rue du 19 Mars 62 et remplacé par le nom d'un oficcier putschiste, c'est tout à fait ça :)

 

Il s'adresse peut-être aussi à une partie de sa clientèle électorale. D'autres le font aussi:

 

 

 

“La France était une bonne chose en Algérie”

La Provence du 8 juin 2013

 

Elle a participé hier, avec d’autres élus, à l’inauguration d’une stèle à la Maison des rapatriés aixoise, érigée en l’honneur des « martyrs » qui ont défendu l’Algérie française. Si le mot OAS n’a pas été prononcé, il était dans tous les esprits.

 

Le 7 juin 1962, Albert Dovecar et Claude Piegts, membres de l’Organisation armée secrète (OAS), accusés d’avoir participé à l’assassinat du commissaire Roger Gavoury, à Alger, sont exécutés. Le 7 juin 2013, à Aix, une plaque est dévoilée devant les représentants d’associations de rapatriés et d’élus, à la Maison Maréchal Juin : à proximité d’une stèle rendant hommage « aux martyrs, aux résistants, aux harkis, aux patriotes et aux disparus », une plaque de bronze qui représente un militaire fauché par un peloton d’exécution. Plus bas est martelé le message suivant : « Aux fusillés, aux combattants pour que vive l’Algérie française ». Pas de hasard dans la date : René Andrès, président du Collectif aixois des rapatriés, qui dirige la Maison Maréchal Juin qui accueille plusieurs associations, le reconnaît sans ambages : il faut honorer la mémoire de ceux « qui ont payé pour s’être opposés à l’abandon de l’Algérie, terre française ». D’O.A.S. on ne parlera pas durant les discours, et le sigle ne figure pas sur le monument – comme ce fut le cas de celui de Marignane : une stèle aux nombreuses tribulations politico-judiciaires...

 

« Ceux qui veulent falsifier l’histoire »

 

Reste que le maire de cette ville, Eric le Dissès, était présent, hier a Aix. Parmi d’autres élus UMP, comme le député Christian Kert, les conseillers généraux Bruno Genzana et Jean-Pierre Bouvet ou encore Jean Chorro. Des élus remerciés par René Andrès durant son allocution, à commencer par Jean-François Picheral, ancien maire PS d’Aix qui avait soutenu la création de la Maison Maréchal Juin. René Andrès qui insistait : « Soyons courageux et patients. La vérité remportera sur le mensonge que nos détracteurs ont toujours entretenu. Viendra le jour où l’on reconnaîtra la légitimité de nos revendications. Toujours avec la même haine, le ton méprisant, on nous taxe de nostalgiques de l’Algérie française. Est-ce que la Shoah ou le wagon des Milles sont de la nostalgie ? Est-ce que le génocide d’un million et demi de nos amis Arméniens, c’est de la nostalgie ? »

 

Gérard Bramoullé, adjoint et délégué aux rapatriés. reprenait le flambeau, évoquant « une barbarie franco-française », rendant hommage à ce « monument (qui) nous rappelle qu’il y a une vérité historique, malgré ceux qui veulent falsifier l’histoire » et remerciant « le maire de Marignane qui a fait partie de ceux qui ont ouvert la voie pour que les monuments de ce type puissent se diffuser partout en France ». Gérard Bramoullé saluait au passage l’Adimad (Amicale pour la défense des intérêts moraux et matériels des anciens détenus et exilés politiques de l’Algérie française) dont le représentant Jean-François Collin, ancien du FN à Hyères et promoteur de la stèle pro-OAS de Marignane, était présent. Un homme, selon l’élu aixois, « injustement traité au niveau national ». Le mot de la fin revenait à Maryse Joissains. La maire UMP d’Aix a de nouveau prononcé un vibrant plaidoyer en hommage à l’Algérie française. « Ils étaient français, d’origine espagnole, italienne, arabe. Ils s’étaient retrouvés dans cette nationalité formidable, exaltante, que l’on essaie de nous forcer à renier, à composer, à faire de la repentance [sic] alors que nous sommes le seul pays au monde qui a été dans d’autres pays et qui n’a pas été dans une colonisation dure. Nous avons construit, nous avons apporté nos valeurs, nous avons laissé des choses extraordinaire à un peuple qui lui-même est extraordinaire, parce que ces Arabes-là sont des gens formidables, et, aujourd’hui, de quoi se rend-on compte ? Alors qu’ils ont voulu, pourquoi pas, pourquoi oui, leur indépendance, aujourd’hui ils se trouvent revenus à un peuple qui n’a même pas su profiter de ses ressources naturelles. Oui, je continue à le dire, la France était une bonne chose en Algérie, et la France et l’Algérie auraient dû continuer à être ensemble pour la grandeur du peuple français et pour la grandeur, aussi, de ce peuple arabe aujourd’hui malmené. »

 

Julien Danielidès

 

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Sinon il y a aussi quelques rues Frédéric Bastiat, dont une à Limoges dans une zone commerciale - ça ne s’invente pas :mrgreen:

A Mugron, la rue Bastiat est celle où il y a le centre des impôts.

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En plus des changements administratifs pour les élus qui habitent dans la rue Hélie de Saint-Marc et dont se fout éperdument Robert Ménard, c'est quand même pas très malin je trouve de donner ce nom de rue. La guerre d'Alégie, le putsch des généraux, c'est quand même pas des moments glorieux. Il est vrai aussi que le nom de cette rue avant n'était pas non plus fantastique.

Au-delà de ça il y en a marre des politiciens qui donnent des noms de rue. Avant la Révolution (ça avait commencé un petit peu sous le règne d'Henri IV ceci dit), c'était la société civile sur place qui donnait son nom aux rues ou aux places en fonction de l'endroit et des bâtiments à proximité (rue de l'Eglise, place du marché etc..). Depuis qu'il revient à la puissance publique de les baptiser on a une sacrée brochette de noms à la con, des personnages historiques discutables, des évènements exploités à des fins idéologiques et j'en passe.

Sinon, on peut faire comme à Tokyo (quasiment pas de nom de rue) mais c'est tellement compliqué de s'y retrouver que même les chauffeurs de taxi demandent leur chemin.

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C'est la journée du troll aujourd'hui ?

 

 

A Chalon-sur-Saône, les cantines ne serviront plus de menu sans porc A compter de la rentrée 2015, les cantines scolaires de la ville de Chalon-sur-Saône, en Saône-et-Loire, ne proposeront plus qu'un menu unique. Raison invoquée: le respect du "principe de laïcité".

http://www.bfmtv.com/societe/chalon-sur-saone-les-cantines-scolaires-ne-serviront-plus-de-menu-de-substitution-869551.html

 

 

"Le bloc de droite est en danger, les électeurs arabes se rendent massivement aux urnes" (Netanyahou)

http://www.i24news.tv/fr/fil-info/17-03-2015/92969-le-bloc-de-droite-est-en-danger-les-electeurs-arabes-se-rendent-massivement-aux-urnes-netanyahou#info-92969

 

 

Le premier ministre turc déclare aujourd'hui son hostilité à toute négociation avec le président syrien Bachar al-Assad, évoquée par le secrétaire d'Etat américain John Kerry, en affirmant que "serrer la main d'Assad revient à serrer la main d'Hitler".

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/03/17/97001-20150317FILWWW00182-le-premier-ministre-turc-compare-assad-a-hitler.php

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J'ai jamais compris ces histoires de porc à la cantine. Quand la pièce de viande/poisson proposé ne me plaisait pas je prenait une grande assiette de garniture.

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C'est surtout complètement con : même s'ils ne mettent plus de porc, la simple présence de viande non-hallal ne rend pas le plat accessible pour les minorités. L'effort est donc nul.

Je me souviens que dans mon collège, les blancs n'avaient pas le droit au poisson qui était réservé aux musulmans et aux juifs.

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