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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

Messages recommandés

Cela ne m'étonnerait pas que le père ait contraint le fils… Normal que le père soit sanctionné, il est responsable de son gosse en plus.

Oui mais quel rapport avec le permis de conduire ?

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Il est pas vraiment maître de son véhicule, quoi.

Au contraire il ne conduit pas quand il a modérément bu (il n'avait que 1,2g soit le seuil de 1973 pour les délits). Il devrait donc avoir une médaille de la sécurité

routière !

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Au contraire il ne conduit pas quand il a modérément bu (il n'avait que 1,2g soit le seuil de 1973 pour les délits). Il devrait donc avoir une médaille de la sécurité

routière !

C'est plus de la liberté mais carrément de l'irresponsabilité de faire conduire son gosse…

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Quimper. Un spectacle au collège fait scandale

Cigarettes lancées aux collégiens, Père Noël et garde du corps buvant de l'alcool, artiste nu déambulant à hauteur de visages de collégiennes accroupies, personnes de couleur stigmatisées, terroriste forcément islamiste… Penhars en fête a connu, hier, dans la cour du collège Max-Jacob, à Quimper, un terrible rendez-vous manqué. Comme il en arrive parfois dans les festivals. Rendez-vous manqué entre une compagnie et un jeune public. Chaos, suivi d'une déprogrammation !

Il faut imaginer un Père Noël assassiné par un terroriste islamiste gisant dans un cercueil en plastique transparent et bois, presque recouvert d'un linceul de bonbons. Et dans l'instant qui suit, une nuée de collégiens, tentés par les sucreries, fondant sur le cercueil qui implose. Il faut enfin lire sur les visages de centaines de collégiens et adultes présents, aussi bien que dans le regard des artistes, des stigmates d'incompréhension. Incompréhension totale, alors que le spectacle «Christmas forever», de la compagnie Tony Clifton Circus, s'interrompt, dans le chaos, dans la cour du collège Max-Jacob, à Quimper. Avec ce spectacle, la compagnie entendait pointer du doigt les travers de la société de consommation, lever des tabous, dénoncer le racisme, tancer la désinformation…

Hors de portée

Mais les messages sont restés lettre morte. Car hors de portée des enfants. Rendez-vous totalement manqué en somme. On se dit que ces collégiens-là n'ont pas été préparés à affronter un spectacle aussi provocateur, aussi déluré. Quand bien même pouvaient-ils l'être parfaitement.

On se dit, en échangeant avec quelques-uns, une fois l'émotion retombée, qu'ils n'y ont rien compris, tout simplement. Quand bien même, compte tenu du nombre de spectateurs massés à l'air libre et du désordre ambiant, ils ont pu y prêter attention. On se dit surtout qu'ils ne pouvaient pas, tout bonnement, digérer un tel flot de saynètes et tirades juchées à d'insondables deuxième et troisième degrés. D'autant qu'ils n'avaient pas de fil auquel s'accrocher. On se dit encore que les artistes, s'ils sont évidemment libres et c'est tant mieux, n'ont pas su adapter leur proposition aux public et lieu d'hier. Un public composé de jeunes filles et garçons d'origines et cultures hétéroclites dans un collège niché au coeur d'un quartier cosmopolite.

À force d'excès

Cigarettes lancées aux collégiens, Père Noël et garde du corps buvant de l'alcool, artiste nu déambulant à hauteur de visages de collégiennes accroupies, personnes de couleur stigmatisées, terroriste forcément islamiste… Certes, collégiens et adultes ne sont pas nés de la dernière pluie, mais à force d'excès répétés, voire inappropriés, la compagnie a chauffé le jeune public tout en diluant son propos. Sans s'apercevoir qu'elle courait à la catastrophe finale.

Le principal du collège prêt à déposer plainte

Par catastrophe, on entend les images et le message reçus par les enfants, transmis aux familles, la détermination du principal du collège à «attaquer la compagnie en justice» et la décision de Penhars en fête, bien légitime dans ces conditions, de déprogrammer les deux autres représentations de «Christmas forever» prévus aujourd'hui et demain. Gageons enfin que ce vrai rendez-vous manqué ne fragilise pas les liens de confiance et d'échanges féconds tissés, au fil des années, entre la MPT et le collège, entre le festival et ses partenaires.

http://quimper.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimper/ville/quimper-un-spectacle-au-college-fait-scandale-10-06-2011-1331545.php

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J'adore ce genre d'inepties :

Avec ce spectacle, la compagnie entendait pointer du doigt les travers de la société de consommation, lever des tabous, dénoncer le racisme, tancer la désinformation…

Je propose aussi de "renverser les préjugés, transgresser les normes établies, secouer les consciences et réveiller les masses bien-pensantes", ce sera encore plus original et inédit. :facepalm:

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Cherche pas, Lancelot, c'est de l'ÂÂÂrt.

Un type quelconque se radine à poil dans un collège, on l'invite au commissariat.

Mais quand c'est un âââârtiste en spectacle, alors il s'agit de pointer du doigt les travers de la société de consommation, lever des tabous, dénoncer le racisme, tancer la désinformation…

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Cherche pas, Lancelot, c'est de l'ÂÂÂrt.

Un type quelconque se radine à poil dans un collège, on l'invite au commissariat.

Mais quand c'est un âââârtiste en spectacle, alors il s'agit de pointer du doigt les travers de la société de consommation, lever des tabous, dénoncer le racisme, tancer la désinformation…

:mrgreen:

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Juste un truc : avec ce que je sais de ce genre de spectacles et manifestations, la situation est absolument hallucinante.

Normalement, la personne qui a signé le chèque pour que la compagnie fasse son spectacle a nécessairement vu le show avant (sinon, c'est de l'amateurisme puissance un million), donc de deux choses l'une : soit cette personne est à côté de ses pompes, mais alors dans des proportions psychiatriques; soit la compagnie a changé son show au dernier moment. Dans les deux cas, un truc bizarre s'est passé!

Le journaliste qui a écrit l'article du Télégramme est un gros tocard, il n'est pas allé au delà de "oh là là, la kermesse de Rignieu le Rotrou a foiré".

Sinon sur le fond : je connais beaucoup de compagnie artistiques, beaucoup sont des gens à l'ouest, mais beaucoup sont absolument attachants, ne faites pas vos gros blaireaux du Figaro qui dénoncent des spectacles qu'ils n'ont pas vus.

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Sinon sur le fond : je connais beaucoup de compagnie artistiques, beaucoup sont des gens à l'ouest, mais beaucoup sont absolument attachants, ne faites pas vos gros blaireaux du Figaro qui dénoncent des spectacles qu'ils n'ont pas vus.

Sans aller jusqu'à s'indigner les aisselles, je m'étonne que personne ne se soit rendu compte que ce n'était peut-être pas une super idée, au final, d'aller s'agiter les parties sous le nez de collégiennes (en partant du principe que l'article est correct sur ce point).

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Sans aller jusqu'à s'indigner les aisselles, je m'étonne que personne ne se soit rendu compte que ce n'était peut-être pas une super idée, au final, d'aller s'agiter les parties sous le nez de collégiennes (en partant du principe que l'article est correct sur ce point).

C'est ce que je me dis, c'est ahurissant, je veux bien supposer que derrière chaque compagnie artistique il y a un projet d'anéantissement de la civilisation, mais là, si l'article est correct, on est dans une situation qui devrait conduire les performers, les organisateurs, et toute personne présente dans la chaîne de décision devant les tribunaux en étant grave dans la merde. Et ça c'est un truc de ouf.

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Le journaliste qui a écrit l'article du Télégramme est un gros tocard, il n'est pas allé au delà de "oh là là, la kermesse de Rignieu le Rotrou a foiré".

J'en ai après le journaleux qui balance des inepties.

Sinon, je confirme.

On ne balance pas l'ultra-contemporain vitriolesque et abscons devant des collégiens débarqués la bouche en coeur ; on réserve ce genre de prestations à une audience d'amateurs avertis qui, en achetant leur billet, se doutent de ce qui les attend.

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J'en ai après le journaleux qui balance des inepties.

Sinon, je confirme.

On ne balance pas l'ultra-contemporain vitriolesque et abscons devant des collégiens débarqués la bouche en coeur ; on réserve ce genre de prestations à une audience d'amateurs avertis qui, en achetant leur billet, se doutent de ce qui les attend.

Les artistes sont sûrement à la masse de ce point de vue là, ce sont les responsables du collège et de la Maison pour Tous qui ont amené ceux-ci devant les collégiens, ils ont deux ou trois explications à donner.

Rien qu'en allant voir le site web de la compagnie, on a quelques warnings : on voit un type en slibard, un autre en train d'essayer de cramer un truc, etc. :online2long:

En fait, j'ai l'impression que c'est le genre d'incidents qui arrive lorsque cela fait des années qu'existe un partenariat, que tout s'est bien passé jusqu'à présent, et un jour, on envoie une compagnie faire le spectacle sans que personne ne regarde de quoi il s'agit puisque la vigilance baisse, et là paf, le clash. :facepalm:

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Je vais me faire l'avocat du diable, mais dans un monde libéral tel que je l'imagine, ce genre de spectacles pourraient très bien avoir lieu, sans que cela me choque.

En effet chaque parent d'élève aura le choix de son école, et chaque chef d'établissement aura le choix de sa programmation artistique.

Là le problème c'est un programmateur des spectacles au sein de l'école qui n'est pas en lien avec les parents d'élèves.

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Je vais me faire l'avocat du diable, mais dans un monde libéral tel que je l'imagine, ce genre de spectacles pourraient très bien avoir lieu, sans que cela me choque.

Je doute fort que ce genre de troupe de spectacle trouve la moindre école privée prête à payer pour les faire venir. Quand ce n'est pas de l'argent "public" qui est dépensé, tout le monde est tout de suite plus regardant sur la qualité de la prestation fournie.

À vue de nez, je dirais que c'est le genre de troupe de spectacle qui n'existe que parceque la culture est subventionnée.

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Je doute fort que ce genre de troupe de spectacle trouve la moindre école privée prête à payer pour les faire venir. Quand ce n'est pas de l'argent "public" qui est dépensé, tout le monde est tout de suite plus regardant sur la qualité de la prestation fournie.

Cf. les différents classement type Top 50 pour la musique, où le médiocre côtoie le consternant, les hit-parade des ventes de bouquins où l'on trouve Marc Lévy, Alain Soral, et Stéphane Hessel, les différents programmes TV plébiscités par le public comme ceux de télé-réalité, etc. etc. etc. etc. Et je ne parle même pas des chaînes de la TNT, un truc de ouf, je savais qu'en matière culturelle le fond du gouffre de la médiocrité était loin, mais là j'en suis même à douter qu'il existe.

Par exemple, l'été dernier, j'ai eu l'occasion de regarder l'émission L'amour est dans le pré; dans le contexte de la TV, on peut dire qu'elle est d'une qualité inouïe. Et je le pense vraiment. C'est dire où on en est.

Alors oui, cette compagnie n'aurait évidemment pas dû se retrouver à présenter son spectacle devant des enfants, mais de là à dire que c'est de la merde, je trouve qu'on va un peu vite en besogne tout de même.

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Je doute fort que ce genre de troupe de spectacle trouve la moindre école privée prête à payer pour les faire venir. Quand ce n'est pas de l'argent "public" qui est dépensé, tout le monde est tout de suite plus regardant sur la qualité de la prestation fournie.

À vue de nez, je dirais que c'est le genre de troupe de spectacle qui n'existe que parceque la culture est subventionnée.

1 point pour vous.

Mais je parlais juste du principe.

Maintenant j'ai suffisament de misanthropie pour me dire qu'il doit boit y avoir des parents qui aimeraient que leurs enfants voient ce genre de spectacle.

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Faisant personellement partie du monde des crétins emperlousés prestataires du spectacle (:mrgreen:) je confirme que de nombreuses programmations sont totalement déconnectées des attentes éventuelles du public, ce que le cas présent illustre à merveille. Les comités culturels ou directeurs de théâtre se disent parfois que de toute manière c'est de la culture donc c'est "bien". Un peu comme bouffer des endives, peu importe comment c'est cuisiné vu que c'est bon pour la santé. Et puis ceux qui n'apprécient pas sont des ignares qui n'ont qu'a se sensibiliser. Bien entendu le paiement est le même quel que soit le succès du spectacle. Seuls les directeurs de théâtre privés obtiennent un intéressement relatif au nombre de places vendues.

Si les acteurs ou metteurs en scène vivent une existence de mercenaires parfois "précaire" (aka, aucune assurance d'avoir du boulot le mois prochain) ceux qui bossent dans les théâtres, festivals et autres organismes culturels régionaux sont en majorité des fonctionnaires qui peuvent se contrefoutre de la qualité/pertinence de la prestation. Les pires exemples de parasites subventionnés que j'ai pu côtoyer étaient des employés de mairie chargés de l'entretient ou de la programmation des théâtres, des branleurs catégorie paquebot à coté desquels Tétatruelle fait figure de bourreau de travail.

Une privatisation de la culture du spectacle causerait plus de soucis à ces gens qu'aux artistes eux mêmes qui sont de toutes manière assez préparés à se retrouver sans travail du jour au lendemain.

Je ne doute pas qu'il resterait des gens prêts à payer des sommes tout à fait honorables pour certaines compagnies. Comme pour les arts plastiques, le public aurait peut être moins de mal à percevoir les travaux de valeur si ces derniers n'étaient pas noyés dans une masse de productions médiocres maintenue par le robinet étatique.

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Faisant personellement partie du monde des crétins emperlousés prestataires du spectacle (:mrgreen:) je confirme que de nombreuses programmations sont totalement déconnectées des attentes éventuelles du public, ce que le cas présent illustre à merveille. Les comités culturels ou directeurs de théâtre se disent parfois que de toute manière c'est de la culture donc c'est "bien". Un peu comme bouffer des endives, peu importe comment c'est cuisiné vu que c'est bon pour la santé. Et puis ceux qui n'apprécient pas sont des ignares qui n'ont qu'a se sensibiliser. Bien entendu le paiement est le même quel que soit le succès du spectacle. Seuls les directeurs de théâtre privés obtiennent un intéressement relatif aux places vendues.

Si les acteurs ou metteurs en scène vivent une existence de mercenaires parfois "précaire" (aka, aucune assurance d'avoir du boulot le mois prochain) ceux qui bossent dans les théâtres, festivals et autres organismes culturels régionaux sont en majorité des fonctionnaires qui peuvent se contrefoutre de la qualité/pertinence de la prestation. Les pires exemples de parasites subventionnés que j'ai pu côtoyer étaient les employés de mairie charger de l'entretient ou de la programmation des théâtres, des branleurs catégorie paquebot à coté desquels Tétatruelle fait figure de bourreau de travail.

Une privatisation de la culture du spectacle causerait plus de soucis à ces gens qu'aux artistes eux mêmes qui sont de toutes manière assez préparés à se retrouver sans travail du jour au lendemain.

Je ne doute pas qu'il resterait des gens prêts à payer des sommes tout à fait honorables pour certaines compagnies cependant. Comme pour les arts plastiques, le public aurait peut être moins de mal à percevoir les travaux de valeur si ces derniers n'étaient pas noyés dans une masse de production médiocre maintenue par le robinet étatique.

+1000

J'ai eu l'occasion de côtoyer ce milieu, et effectivement ce que tu dis est la stricte réalité. C'est la même chose pour d'autres subsides comme le RSA : les premiers (et probables principaux) perdants lors de sa suppression seront ceux qui le distribuent, ceux qui gravitent autour, bien plus que ceux qui le reçoivent.

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Par exemple, l'été dernier, j'ai eu l'occasion de regarder l'émission L'amour est dans le pré;

Tu avais perdu un pari ? :mrgreen:

Bah sinon c'est sûr qu'il y a des productions merdiques un peu partout, mais bon, on va dire qu'il en faut pour tous les goûts. Si une chaîne de TV privée veut financer ce genre de choses c'est eux que ça regarde. Peut-être aussi qu'on trouverait des parents suffisamment sadiques et motivés pour infliger ce genre de spectacle à leur progéniture et à leurs frais, la nature humaine est surprenante parfois.

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Un Japonais arrêté pour avoir collecté la salive de centaines de fillettes

Un Japonais de 55 ans récoltait depuis des années des échantillons de salive auprès de fillettes accostées dans la rue, qu'il filmait avec moult détails. Sa collection pour le moins insolite risque de le mener tout droit en prison.

Toshihiko Mizuno, sans emploi, a été interpellé à Tokyo pour "conduite indécente", un délit passible de un an de prison ou d'une amende de un million de yens (9 000 euros), a indiqué mardi la police. Ses dernières victimes, trois fillettes âgées de 9 et 10 ans, ont été approchées séparément entre octobre et décembre 2010, ont précisé les enquêteurs.

Le scénario était apparemment toujours le même : l'homme se faisait passer pour un scientifique et demandait aux fillettes de donner un échantillon de leur salive "à des fins de recherches". "Il les a filmées en train de cracher et leur a aussi demandé d'ouvrir la bouche afin de prendre des images de leur cavité buccale et de leur langue", a indiqué un porte-parole de la police. "Il avait l'habitude de faire ça pour assouvir ses penchants sexuels."

Selon les médias, citant des sources policières, l'homme aurait abordé environ 4 000 jeunes filles et aurait réussi à obtenir de la salive de 500 d'entre elles au cours des 17 dernières années, à Tokyo et dans sa banlieue. Les policiers ont retrouvé chez lui 26 bandes vidéo montrant plus de 200 fillettes, ont rapporté les agences de presse Jiji et Kyodo.

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/06/14/un-japonais-arrete-pour-avoir-collecte-la-salive-de-centaines-de-fillettes_1536089_3216.html

Le Japon…

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