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Nouvelles du monde sans intérêt


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Les auto-écoles vont-elles accueillir de nouveaux pensionnaires? Les forces de l'ordre ne maîtrisent pas bien le Code de la route, révèle une enquête du magazine Auto Plus . Interrogés par l'hebdomadaire, seuls 38% des policiers et 44% des gendarmes ont répondu correctement aux questions posées. Une révision collective s'impose donc.

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/08/28/01016-20130828ARTFIG00303-policiers-et-gendarmes-connaissent-mal-le-code-de-la-route.php

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J'espère être un jour réincarné en élan.

Je suis déjà un élan, partiellement.

 

 

Les gens font ce qu'ils veulent. Mais qu'on ne nous demande pas de les considérer comme des européens s'ils ne veulent pas s'intégrer aux moeurs européennes. C'est aussi simple que ça.

 

Les juifs ne sont pas nuls en tout. Entre autres ils connaissent l'importance des noms dans la transmission d'une culture et dans l'image symbolique qu'ils véhiculent.

Qui est ce "on" ? Tu es la première personne que je rencontre à me dire que je ne suis pas, a priori, européen à cause de mon prénom. Tu te rends compte que tu es quasiment tout seul dans ce délire ?

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Qui est ce "on" ? Tu es la première personne que je rencontre à me dire que je ne suis pas, a priori, européen à cause de mon prénom. Tu te rends compte que tu es quasiment tout seul dans ce délire ?

Je sais que c'est complètement bidon comme opinion, je l'ai déjà dit. Cependant, je le répète : tu n'arriveras pas à le convaincre parce que ça vient des tripes, c'est pas bien méchant, et surtout c'est une manière pas trop hardcore de parler du problème sous-jacent, la simple présence de populations d'origine africaine ou moyen-orientale en Europe. C'est un sujet irrationnel donc veillons à ne pas en rajouter sur le sujet.

 

Pour le coup je me fais à mon corps défendant avocat de free jazz. Il n'a pas raison de penser ce qu'il pense de mon point de vue, mais bon, ce sont ses valeurs qu'est-ce que tu veux qu'on y fasse? Lui et Zemmour ça leur ferait tellement plaisir que Mohammed et Djamila, nés en France, appellent leur gamin Robert ou Francine. Genre un signal "on est comme toi". C'est pas bien méchant, je le répète.

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Je sais que c'est complètement bidon comme opinion, je l'ai déjà dit. Cependant, je le répète : tu n'arriveras pas à le convaincre parce que ça vient des tripes, c'est pas bien méchant, et surtout c'est une manière pas trop hardcore de parler du problème sous-jacent, la simple présence de populations d'origine africaine ou moyen-orientale en Europe. C'est un sujet irrationnel donc veillons à ne pas en rajouter sur le sujet.

Ce que je dis est parfaitement objectif et partagé par le sens commun : à Rome, fais comme les romains.

L'obsession identitaire est bien plutôt du côté des communautés vivant en circuit fermé, parlant un sabir approximatif et qui continuent de donner des prénoms africains à leurs gamins après plusieurs générations. Ce n'est pas leur rendre service. Bref tout ça pour dire une évidence, le prénom compte, le prénom a un sens : c'est un marqueur social, culturel, ethnique.

Refuser d'admettre cette évidence est irrationnel.

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parfaitement objectif et partagé par le sens commun : à Rome, fais comme les romains. [..] une évidence,[..]

Ceci illustre que cela vient des tripes. Tu dis que c'est objectif. Tu n'es pas parvenu à l'objectiver. Johnnieboy et moi ne jouons pas un jeu pour une fois, nous sommes incrédules face à ce que tu dis. Cela ne tiendrait donc qu'au prénom la volonté d'appartenance à tel ou tel corps? Tu n'as pas réussi à nous convaincre, et je peux te garantir que ce n'est pas du trolling pour t'embêter. Tu n'as pas réussi. Pourtant tu as à affaire à deux gars, tu en connais un (moi) et moi je peux répondre de l'autre comme quoi il est très proche de moi en terme de profil (en tout cas sur ce sujet).

 

Une modestie élémentaire d'appréhension de la question t'obligerait à détailler un peu ton point de vue.

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Ce que je dis est parfaitement objectif et partagé par le sens commun : à Rome, fais comme les romains.

L'obsession identitaire est bien plutôt du côté des communautés vivant en circuit fermé, parlant un sabir approximatif et qui continuent de donner des prénoms africains à leurs gamins après plusieurs générations. Ce n'est pas leur rendre service. Bref tout ça pour dire une évidence, le prénom compte, le prénom a un sens : c'est un marqueur social, culturel, ethnique.

Refuser d'admettre cette évidence est irrationnel.

 

Tu veux quoi d'autre aussi? Qu'il se convertissent au christianisme et mangent des travers de porc(sel-poivre)?

"A Rome fait comme les romains" concerne le respect des formalités pas une espèce de soumission à la culture locale.

Là tu es dans un délire qui confine à un caprice d'enfant mal élevé.

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Une modestie élémentaire d'appréhension de la question t'obligerait à détailler un peu ton point de vue.

Mais ce que je dis est modeste : j'applique moi-même la maxime à Rome fais comme les romains lorsque je suis à l'étranger et que j'estime devoir respecter les lois de l'hospitalité locale.

D'autre part j'ai précisé dès le début que le prénom constitue une corellation, certes assez forte, et pas une causalité. Ce rapport ne renvoit pas à une identité subjective, mais à une perception objective commune. Evidemment il y a toujours des exceptions, mais dans l'ensemble ça marche. D'ailleurs les recruteurs utilisent ces marqueurs en première approche.

Bref que reprochent nos indignés à mes propos : d'être trop évidents et de trop bien fonctionner.

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Tu veux quoi d'autre aussi? Qu'il se convertissent au christianisme et mangent des travers de porc(sel-poivre)?

"A Rome fait comme les romains" concerne le respect des formalités pas une espèce de soumission à la culture locale.

ça n'a rien à voir, je parler des moeurs, pas de la liberté religieuse. Pour ce qui est d'être bien élevé, je pense qu'il te manque la définition la plus élémentaire de cette expression.

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On ne peut pas nier que conserver des prénoms arabes à la troisième génération est le signe que l'attachement à ses racines, sa communauté culturelle est plus important que l'intégration à un autre ensemble.

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Quid des gens portant des noms arabes ou africain à l'armée française ou dans la police ? Ils seraient pas assez intégrés pour porter un prénom français mais ils seraient quand même suffisamment français pour être prêt à se battre voire à mourir au nom de ce pays ?

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Quid des gens portant des noms arabes ou africain à l'armée française ou dans la police ? Ils seraient pas assez intégrés pour porter un prénom français mais ils seraient quand même suffisamment français pour être prêt à se battre voire à mourir au nom de ce pays ?

 

Il suffit seulement d'être de nationalité française pour intégrer l'armée ou la police. Qui vous dit qu'"être prêt à se battre voire à mourir au nom de ce pays" est le carburant pour mobiliser quelque individu ?

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N'importe quel arabe de nationalité française peut prendre n'importe quel métier, alors pourquoi prendre ces deux métiers là qui ont une dimension patriotique et qui peuvent amener à se battre pour ledit pays si eux-même se foutent de ce pays là ?

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Leurs motifs d'adhésion, ça m'intéresse pas. Simplement j'ai du mal à croire que le fait de s'appeler Rachid à la troisième génération est incompatible avec le fait de se sentir européen.

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Il y a une dimension symbolique et patriotique dans le fait d'intégrer la police ou l'armée d'un pays. J'imagine mal un soldat s'intégrer dans l'armée d'un pays dont il n'a rien à cirer.

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Je ne m'attendais pas à ce que ce soit toi qui dise cela. :online2long:

Surtout venant d'un type dont aucun des trois prénoms n'est spécialement ethnocentré. ;)

 

Donc, au revoir les Ezra, Aaron, Ariel ? Je trouve ça, bizarre.

Ezra, ça se tient, c'est vraiment original. Aaron, je trouve ça bof, mais Ariel passe encore (Arielle aussi), à la fois pour l'originalité et pour la petite sirène. Mais ce que je ne supporte plus, ce sont les Sarah, les Yoni, les Michaël, ce genre de trucs. Mince, dans la génération précédente, on avait le bon goût de prénommer ses filles "Sandra" ou "Sandrine", par pudeur. Le passage à "Sarah" (par exemple) dénote une anti-intégration de pas mal de Juifs de France.

Les juifs ne sont pas nuls en tout. Entre autres ils connaissent l'importance des noms dans la transmission d'une culture et dans l'image symbolique qu'ils véhiculent.

Et surtout, on a le bon goût (enfin, on avait...) de donner un prénom pour l'état civil, et un autre prénom (souvent consonant, ou à la signification proche) pour les choses religieuses (comme les montées à la Torah).

Lui et Zemmour ça leur ferait tellement plaisir que Mohammed et Djamila, nés en France, appellent leur gamin Robert ou Francine. Genre un signal "on est comme toi". C'est pas bien méchant, je le répète.

Personnellement, ça ne me dérangerait pas que Mohammed et Djamila se prénomment Sohan/Edem/Nor ou Inès/Imen/Sonia. Mais donner un prénom étranger très commun, ça montre qu'on n'a pas compris que, tant qu'à ne pas passer inaperçu, on peut au moins en prendre son parti, et donner un prénom soit qui fasse exotique-mais-pas-trop (Inès, Sonia), soit qui joue délibérément la carte de l'originalité (Edem, Imen). Mais c'est sans doute une affaire de goût.

On ne peut pas nier que conserver des prénoms arabes à la troisième génération est le signe que l'attachement à ses racines, sa communauté culturelle est plus important que l'intégration à un autre ensemble.

On ne peut pas nier que les Juifs se sentent un grand attachement à leurs racines, depuis plus de vingt siècles qu'il y en a en France. Et pourtant, des Alexandre (Adler), des Alfred (Dreyfus), des Alain (Afflelou, Finkielkraut), ce ne sont vraiment pas des prénoms juifs (je me limite volontairement à la seule lettre "A").
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'Tain, je devrais arrêter de suivre les liens que les gens postent sur facebook :
 

«Chaque homme devrait se faire pénétrer au moins une fois dans sa vie.»
Felix Ruckert, son créateur, explique le concept du festival Xplore, qui fait escale pour la première fois à Paris avec ses ateliers sur la sexualité comme «acte créatif, expression d’identité, rituel et performance».

http://next.liberation.fr/sexe/2013/08/28/chaque-homme-devrait-se-faire-penetrer-au-moins-une-fois-dans-sa-vie_927641

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Surtout venant d'un type dont aucun des trois prénoms n'est spécialement ethnocentré. ;)

 

Ezra, ça se tient, c'est vraiment original. Aaron, je trouve ça bof, mais Ariel passe encore (Arielle aussi), à la fois pour l'originalité et pour la petite sirène. Mais ce que je ne supporte plus, ce sont les Sarah, les Yoni, les Michaël, ce genre de trucs. Mince, dans la génération précédente, on avait le bon goût de prénommer ses filles "Sandra" ou "Sandrine", par pudeur. Le passage à "Sarah" (par exemple) dénote une anti-intégration de pas mal de Juifs de France.

Et surtout, on a le bon goût (enfin, on avait...) de donner un prénom pour l'état civil, et un autre prénom (souvent consonant, ou à la signification proche) pour les choses religieuses (comme les montées à la Torah).

Personnellement, ça ne me dérangerait pas que Mohammed et Djamila se prénomment Sohan/Edem/Nor ou Inès/Imen/Sonia. Mais donner un prénom étranger très commun, ça montre qu'on n'a pas compris que, tant qu'à ne pas passer inaperçu, on peut au moins en prendre son parti, et donner un prénom soit qui fasse exotique-mais-pas-trop (Inès, Sonia), soit qui joue délibérément la carte de l'originalité (Edem, Imen). Mais c'est sans doute une affaire de goût.

On ne peut pas nier que les Juifs se sentent un grand attachement à leurs racines, depuis plus de vingt siècles qu'il y en a en France. Et pourtant, des Alexandre (Adler), des Alfred (Dreyfus), des Alain (Afflelou, Finkielkraut), ce ne sont vraiment pas des prénoms juifs (je me limite volontairement à la seule lettre "A").

 

Mais les Arabes font tout de même un effort. Ce que je remarque autour de moi, c'est quand même une envie de donner comme prénom à ses enfants, un truc prononçable par la plupart des Français (Noham, Rayan, Mehdi et d'autres prénoms). D'ailleurs, j'ai lu que mon prénom était de plus en plus donné car il est facile à retenir et ne contient aucune consonne "agressive".

On n'entendra plus, d'ici une vingtaine d'années, de filles ayant pour prénom Kaoutar.

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Il y a une dimension symbolique et patriotique dans le fait d'intégrer la police ou l'armée d'un pays. J'imagine mal un soldat s'intégrer dans l'armée d'un pays dont il n'a rien à cirer.

Pour avoir connu cette machine de l'intérieur, je serai très prudent sur la démonstration d'un lien entre se sentir français et s'engager.

Il y a de cela mais parfois. Parfois seulement.

Le plus clair du temps, c'est une occasion d'avoir un job dans un milieu qui le demande aucune formation initiale.

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Comment Isaac Asimov voyait 2014 en 1964
 


Même ainsi l’humanité souffrira sévèrement d’ennui, un mal se propageant chaque année davantage et gagnant en intensité. Cela aura de sérieuses conséquences aux niveaux mental, émotionnel et social. La psychiatrie sera de loin la spécialité médicale la plus importante en 2014. Les rares chanceux qui auront un travail créatif seront la vraie élite de l’humanité, car eux seuls feront plus que servir une machine.
 
L’hypothèse la plus sombre que je puisse faire pour 2014 est que dans une société de loisirs forcés, le mot travail sera le plus valorisé du vocabulaire !

 
Intéressant
 
 

Et Clitorine? Vous en pensez quoi, de Clitorine? Je demande, parce qu'un collègue est tombé sur quelqu'un qui avait donné ce nom à sa fille :lol:

 
:facepalm:

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