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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

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On peut dire que ce calembour est l'arme atomique du jeu de mot. L'utiliser est contraire à la convention de Genève. Je ne te félicite pas.

> execute calembour…

> try auto-censure……………..

> auto-censure failed

> display calembour.résultat

Genevois pas pourquoi.

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Ca me rappele une saillie de mon prof d'allemand : on n'arrêtait pas de lui dire "on voit rien" quand il écrivait au tableau, il nous répondait invariablement "mais vous êtes comme les habitants de Cote d'Ivoire ma parole!"

J'ai toujours énormément de mal à ne pas faire cette """blague""".

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J'en ai fait un beau hier soir, lorsque quelqu'un me parlait d'un d'un potager et que j'ai répliqué : "un vieil ami, sans doute". L'un de mes pires calembours, que personne n'eut la cruauté de relever.

Pareil quand j'ai dit que Guerre et paix portait mal son nom.

Règle n°1 : ne jamais expliquer un calembour.

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J'y ai pensé pas plus tard qu'aujourd'hui en regardant une émission de LCP sur Napoléon. :icon_up:

Réagis Etienne, tu peux t'en sortir. Il existe des associations qui peuvent t'aider à arrêter de regarder ce genre de chaîne.

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Réagis Etienne, tu peux t'en sortir. Il existe des associations qui peuvent t'aider à arrêter de regarder ce genre de chaîne.

Effectivement. C'est très grave ce que tu nous décris là, Etienne. Il faut t'en sortir. Tu as des amis, fais appel à eux !

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J'en ai fait un beau hier soir, lorsque quelqu'un me parlait d'un d'un potager et que j'ai répliqué : "un vieil ami, sans doute". L'un de mes pires calembours, que personne n'eut la cruauté de relever.

Un des préférés de mon paternel. Ah, le calembour, cette fiente de l'esprit… :icon_up:

Sinon, je préfère les éditions de Guerre et Paix parues chez Plon. :doigt:

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J'en ai fait un beau hier soir, lorsque quelqu'un me parlait d'un d'un potager et que j'ai répliqué : "un vieil ami, sans doute". L'un de mes pires calembours, que personne n'eut la cruauté de relever.

C'est seulement parce que j'avais les mains occupés à préparer un Bronx que je t'ai pas envoyé une droite bien méritée. Ronnie, tu dois arrêter ça. C'est dangereux ce que tu fais.

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Décès d'Oscar Peterson.

http://www.cyberpresse.ca/article/20071224…88/CPACTUALITES

Oscar Peterson n'est plus

Le pianiste canadien Oscar Peterson, géant du jazz décédé dimanche soir à l'âge de 82 ans, avait enregistré près de 200 albums avec les plus grands noms du genre au cours d'une carrière de plus de 60 ans.

Le virtuose, qui a succombé à des complications rénales, s'est illustré par une maîtrise inégalée du piano et avait imprimé son propre style au jazz dans la période de transition des années 1950, passant librement du boogie-woogie au stride ou au be-bop.

Né à Montréal le 15 août 1925 dans une famille modeste d'origine antillaise, il débute sa carrière en 1943 en devenant le premier musicien noir d'un orchestre de danse populaire de la métropole québécoise.

Ses premiers albums, comme I Got Rythm remportent un franc succès, se vendant à des milliers d'exemplaires et lui valant le surnom de «bombardier brun du boogie-woogie». Mais c'est surtout grâce à son extraordinaire technique au piano qu'il se fait déjà remarquer.

Déjà reconnu comme phénomène du jazz au Canada, sa carrière prend un nouvel élan en 1949 lorsque l'impresario américain Norman Granz le présente aux États-Unis en tant qu'invité surprise au sein de l'orchestre Jazz at the Philharmonic, réunissant les plus grands musiciens américains, lors d'un concert au Carnegie Hall, à New York.

Cette brève apparition, à 24 ans, fait sensation et marque le début de sa carrière internationale.

Il effectue régulièrement des tournées en Europe, souvent en compagnie de la chanteuse Ella Fitzgerald.

Il affectionne particulièrement de se produire au sein de trios, aux côtés notamment du bassiste Ray Brown.

Parmi les nombreux autres artistes avec qui il a travaillé figurent Louis Armstrong, Roy Eldridge, Duke Ellington, Nat King Cole, Stan Getz, Dizzy Gillespie, Charlie Parker, Joe Pass, Ben Webster ou Lester Young.

L'homme au physique si impressionnant qu'il est souvent confondu avec un athlète présente aussi, les rares fois où il chante, une ressemblance frappante avec Nat «King» Cole, un de ses idoles.

En tant que compositeur, il écrit divers thèmes de jazz, dont Hymn to Freedom, l'une de ses plus célèbres pièces qui célèbre le mouvement américain des droits civils dans les années 1960. Son oeuvre la plus importante est Canadiana Suite (1963), un tour d'horizon en huit parties de son pays natal.

Des influences impressionnistes et de la fin du romantisme ont été détectées dans son jeu.

«Oscar est un vrai romantique dans le sens du XIXe siècle, avec en plus la tradition du jazz afroaméricaine du XXe siècle. Il est un virtuose de premier ordre», dit de lui dans les années 1970 le compositeur et pianiste argentin Lalo Schifrin.

Peterson lui-même disait avoir été influencé par «la méthode» du pianiste de jazz américain Art Tatum, célèbre dans les années 1930 à 1950.

Mais Peterson «possède un don pour le swing instantané que Tatum n'a jamais égalé», estimait pour sa part dans les années 1970 le critique canadien Gene Lees.

Le critique soulignait les «passages brillants, clairs et parfaitement équilibrés, comme des jaillissements d'étincelles, grands accords plaqués au parfait endroit alors que la main gauche joue des dixièmes sans effort».

Après cinquante ans de succès, en 1993, Oscar Peterson a un accident cérébrovasculaire au cours d'un spectacle à New York. Malgré cela, il termine le concert, mais doit annuler une tournée prévue en Europe.

Il continue à se produire, mais ralentit son rythme, et est même obligé en 2007 à renoncer au festival de jazz Toronto.

Oscar Peterson est l'un des musiciens canadiens les plus honorés, nommé Officier puis Compagnon de l'Ordre du Canada, et fait Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres en France en 1989.

En 1993, il reçoit le prix Glenn Gould, du nom de son seul rival parmi les pianistes canadiens de renommée internationale, et en 1997 un Grammy pour l'intégralité de son oeuvre.

RIP

En guise d'hommage, ce moment de pure beauté avec Nat King Cole :

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