Aller au contenu

Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

Messages recommandés

L'absence de formation pour le permis de chasse me choque un petit peu, il faut le dire (on peut observer des comportements totalement hallucinants de la part de certains chasseurs avec une arme à la main), mais il y a une distance considérable entre exiger une formation pour porter une arme, et interdire le port d'armes…

Quand au médias, heureusement, leur crédibilité est de plus en plus faible…

je suis personnellement contre toute réglementation mais pour une responsabilité totale par rapport aux éventuelles victimes.

Lien vers le commentaire
je suis personnellement contre toute réglementation mais pour une responsabilité totale par rapport aux éventuelles victimes.

En l'occurrence, je ne pense pas que le type aurai pris plus de précautions pour ne pas tuer son propre fils sous prétexte que la loi serait plus dure, il s’agit d’un problème de formation et de conscience du risque, pas de réglementation en l’occurrence.

Je ne dis pas que la meilleure solution est un ‘permis’ comme pour les automobiles, mais que la liberté de porter une arme ne signifie pas qu’il ne faut pas se poser la question de comment limiter au maximum ces accidents tragiques.

Lien vers le commentaire
:doigt: Le darwinisme en action.

Ca fait toujours drôle de s'imaginer un internaute lambda tombant presque par hasard sur liborg et regardant un peu au pif dans les topics.

Pas étonnant qu'on soit pris pour des fous :icon_up:

Lien vers le commentaire
En l'occurrence, je ne pense pas que le type aurai pris plus de précautions pour ne pas tuer son propre fils sous prétexte que la loi serait plus dure, il s’agit d’un problème de formation et de conscience du risque, pas de réglementation en l’occurrence.

Je ne dis pas que la meilleure solution est un ‘permis’ comme pour les automobiles, mais que la liberté de porter une arme ne signifie pas qu’il ne faut pas se poser la question de comment limiter au maximum ces accidents tragiques.

dans mon experience, obliger les permis moto ca apprend a une grande partie des futurs motards des choses essentielles, pareil avec les armes a feu.

reglementation je ne sais pas mais il ya des imperatifs de formation ca c'est sur.D'ailleurs meme couper les legumes ca s'apprend.

Quand on n'a pas de parents motards ou tireurs, souvent ca tient a pas grand-chose d'apprendre les reflexes qui sauvent avant qu'il ne soit trop tard.

Et pourtant un coup de harpon est si vite parti.

ah oui, la chasse a la truie de mer, exaltant.

Lien vers le commentaire
dans mon experience, obliger les permis moto ca apprend a une grande partie des futurs motards des choses essentielles, pareil avec les armes a feu.

reglementation je ne sais pas mais il ya des imperatifs de formation ca c'est sur.D'ailleurs meme couper les legumes ca s'apprend.

Quand on n'a pas de parents motards ou tireurs, souvent ca tient a pas grand-chose d'apprendre les reflexes qui sauvent avant qu'il ne soit trop tard.

Voila, et pour les légumes, n'oublie pas la cotte de mailles.

Lien vers le commentaire
Voila, et pour les légumes, n'oublie pas la cotte de mailles.

j'ai une tenue specifique pour les poivrons

Full_Leather_Body_Armourt1.jpg

Vous allez dans sens donc, à moin que vous vouliez imposer un permis pour couper des legumes.

bien sur! categorie 3, juste apres le permis de pilotage de chaise, et avant le permis d'ouvre boite.

Encore un qui à cru que c'était une galinette! :icon_up:

il venaient tout juste de le lacher mais ont reussi a planquer la cage avant l'arrive de la police

Lien vers le commentaire
Bouteldja affûte les arguments du féminisme islamique

Le « féminisme islamique » : l’expression fait l’effet d’une bombe, tant les deux termes semblent incompatibles dans l’imaginaire occidental. « Je ne réponds plus à cette question de la compatibilité entre féminisme et islam », s’exaspère Houria Bouteldja à la tribune du 4e congrès du féminisme islamique, qui se tenait du 21 au 24 octobre à Madrid, à l’initiative des associations musulmanes espagnoles (1).

dff.jpg

Cette « fille d’immigrés algériens », comme elle se définit elle-même, y représentait les musulmanes de France. Et, visiblement, son dépit est partagé par l’assistance, 550 participants, essentiellement des femmes, venus d’une vingtaine de pays, qui entendent bien désamorcer cette « bombe ».

« Aux yeux des féministes européennes très eurocentrées et qui se sentent porteuses de valeurs universelles, le féminisme est par essence laïque et donc fondamentalement incompatible avec l’islam », argumente Laure Rodriguez Quiroga, présidente de l’Union des femmes musulmanes d’Espagne qui co-organisait le congrès.

«Féminisme islamique» : difficile à porter

Et cet islam a, faut-il le préciser, fort mauvaise réputation. Laure Rodriguez Quiroga a dépouillé pendant un an deux quotidiens espagnols, El País et ABC, l’un progressiste, l’autre conservateur. « Ils se rejoignent par leur vision 100% négative de l’islam, par leur capacité à véhiculer des stéréotypes et par leur obsession de l’allure vestimentaire. Sur 88 articles, 83 parlaient du voile et du niqab », détaille-t-elle.

« Il n’y a pourtant qu’une trentaine de femmes qui portent le niqab en Espagne, parmi une communauté de 1,5 million de musulmans », poursuit-elle. « Nous avons toujours besoin de montrer que nous sommes une partie acceptable de la société, mais nous sommes des personnes normales », s’émeut Arzu Merali, écrivain féministe anglaise qui coordonne la Commission islamique des droits de l’homme.

Pour autant, le terme de « féminisme islamique » est « difficile à porter », comme le reconnaît Ziba Mir Hosseini, anthropologue iranienne, l’une des féministes intellectuelles et engagées, auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet, qui vit aujourd’hui en Grande-Bretagne. Certaines préfèrent le terme jugé plus neutre de « féminisme musulman ».

Le féminisme est associé à l'Occident

« Car il y a une confusion permanente entre “islamique” et “islamisme”, qui réduit l’islam à son interprétation politique. Et en prônant un retour à la charia, les islamistes imposent en fait des interprétations anciennes et patriarcales de la jurisprudence musulmane (fiqh, en arabe) pour justifier des mesures discriminatoires à l’encontre des femmes », explique l’universitaire.

Cette confusion vire à l’incompréhension mutuelle entre Occident et monde musulman : « La charia, synonyme de “patriarcat” en Occident, est considérée par les musulmans comme l’essence de la justice. Le voile, perçu par les Occidentaux comme un instrument de soumission et d’oppression, est en fait vécu par les femmes musulmanes comme un signe de libération, une façon de défendre leur rôle de femme dans la religion, de participer à la société et aussi de refuser la domination de l’Ouest. »

Car, pour la grande majorité des femmes musulmanes, il est inconcevable de se penser hors de la religion, sauf à se renier. De son côté, le terme de « féminisme », associé à une occidentalisation, voire une seconde colonisation, a fort mauvaise presse parmi les musulmans.

Des intellectuelles se sont saisies des textes

Bref, le féminisme islamique a tous les défauts de la terre, sauf la nécessité d’exister. « C’est en quelque sorte l’enfant non désiré de l’islamisme : la question de la différence des sexes et du droit des femmes a été tellement politisée que cela a provoqué une réaction », ajoute Ziba Mir Hosseini.

Le féminisme islamique est né au cours des années 1990 dans l’Iran qui vivait sa révolution. Mais aussi en Malaisie, où apparut en 1991 le mouvement Sisters in Islam qui, l’an dernier, a donné naissance au réseau international Musawah (« égalité », en arabe) impliquant des ONG féminines de près d’une cinquantaine de pays.

Partout la question a été la même : est-il possible que les écrits, à commencer par le Coran, soient la source de tant de maux pour les femmes ? Partout la réponse a été la même : des intellectuelles se sont saisies des textes pour en faire une lecture critique, une nouvelle interprétation et en découvrir le caractère intrinsèquement ambivalent.

L’interprétation patriarcale des textes est le principal frein à l’émancipation

« Par définition, tout texte est interprétable. Dans la charia l’on trouve aussi bien matière à défendre l’égalité que la discrimination », reconnaît le sociologue marocain Abdessamad Dialmy, professeur à l’université marocaine de Rabat et l’un des rares hommes de l’assistance présent en qualité de spécialiste du féminisme marocain.

Cette appropriation du savoir vise non seulement à pouvoir donner le change dans des joutes oratoires, mais aussi et surtout à faire évoluer les mœurs et les lois. C’est parce que son mari lui refusait le divorce dans les difficiles années 1980 que vivait l’Iran que Ziba Mir Hosseini, fort démunie, se mit à étudier ardemment la loi islamique, au point d’en devenir une des meilleures spécialistes. Ce qui lui permit de trouver les arguments juridiques pour sortir de l’impasse dans laquelle elle se trouvait, puis de refaire sa vie en Angleterre, où elle poursuit aujourd’hui, à 58 ans, son combat pour la cause des femmes musulmanes.

Dans tous les pays, la réinterprétation des textes religieux est l’arme clé des féministes. Les femmes qui participent au réseau musulman Wise lancé par l’Américaine Daisy Kahn (lire ci-contre) considèrent ainsi, pour 74% d’entre elles, que l’interprétation patriarcale des textes religieux est le principal frein à l’émancipation des femmes. Et elles jugent, à 93%, qu’il revient aux femmes de jouer un rôle de leadership pour une nouvelle interprétation.

Le féminisme n’est pas une création hors sol

« Le féminisme islamique, c’est une réforme faite de l’intérieur, au nom de l’islam et de la modernité, analyse Abdessamad Dialmy. C’est une étape nécessaire et incontournable, la forme la plus acceptable politiquement de s’approprier le féminisme, même s’il s’agit dans un premier temps de conquêtes pour l’équité plus que pour une véritable égalité des sexes. » Et d’ajouter : « Même si individuellement certaines femmes sont laïques, il ne viendrait à l’idée d’aucune association au Maroc de revendiquer la laïcité, au risque de perdre toute légitimité. »

Le féminisme n’est en effet pas une création hors sol. « Le féminisme islamique, c’est comme l’art islamique ; l’art est art, mais il est aussi le produit de son milieu », justifie Ziba Mir Hosseini. « Il y a un besoin de s’engager en religion dans les pays musulmans, poursuit-elle. Nous réagissons à nos propres contextes ».

Et ces contextes sont très différents selon les pays et les continents, ce qui explique la grande diversité des mouvements de femmes. D’où l’idée de réunir les activistes de tous les pays lors de ce congrès. « Nous voulons valider le “féminisme islamique” comme un discours émergent et le renforcer dans les pays musulmans et dans les minorités musulmanes des pays occidentaux, ajoute Abdelnour Prado, président du Conseil islamique catalan. C’est important pour notre intégration. »

http://www.surlering.com/article/article.p…nisme-islamique

Lien vers le commentaire
Souchiens. Comme la souche.
Invitée régulière de l'émission de télévision Ce soir (ou jamais !) diffusée sur France 3, elle fait usage dans une émission de juin 2007 du néologisme « souchien » pour désigner les « Français de souche », les « blancs » :

« On met toujours la focale sur les quartiers populaires […] en déficit de connaissance, de conscience politique, il faut les éduquer, etc. et on occulte complètement le reste de la société et ses privilèges […] et moi, j'ai envie de dire : c'est le reste de la société qu'il faut éduquer, […] c'est le reste de la société occidentale… enfin de ce qu'on appelle, nous, les "souchiens" — parce qu'il faut bien leur donner un nom —, les "blancs", à qui il faut inculquer l'histoire de l'esclavage, de la colonisation… […] la question de l'identité nationale, elle doit être partagée par tout le monde et c'est là qu'il y a un déficit de connaissances. »

L'hebdomadaire Marianne réagit à cette déclaration dans un article intitulé « Une petite leçon de racisme ». L'hebdomadaire français Marianne du 28 juin 2007 l'écrit « sous-chiens ». Houria Bouteldja réfute ces accusations estimant désigner « de façon humoristique d’hypothétiques Français de souche ».

Quand, près d'un an plus tard, le ministre Brice Hortefeux revient sur l'idée qu'elle « traite les Français de sous-chiens », assurant qu'il ne laisserait pas prononcer de tels mots sans réagir, un communiqué des Indigènes de la République réaffirme qu'il s'agit d'accusations mensongères.

Le 10 mai 2010, sur plainte de l’AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Houria Bouteldja est mise en examen pour « injure raciale» suite à son emploi du terme « souchiens ».

Cette femme rapporte tous les problèmes à l'impérialisme français et à la colonisation, étrangement, les allemands n'ont jamais colonisé la Turquie mais rencontre les même problèmes avec les immigrés turcs que les français avec les immigrés des anciennes colonies, du coup sa démonstration tombe un peu à l'eau.

Pour "souchien"/"sous-chien"… de toute façon elle a énoncé une généralité sur une ethnie, et prononcé le mot "blanc" en direct à la télé. C'est suffisant pour être raciste selon les critères de l'AGRIF.

Lien vers le commentaire

Cette Bouteldja, c'est une "bonne cliente" de la télé, c'est tout, c'est pour ça qu'elle est invitée : une bonne tête avec un discours hardcore, comme Besancenot. Mais derrière, la brise souffle, que du pipeau.

A part ça, une news dans intérêt : match OL-PSG pour la coupe de la Ligue.

Lien vers le commentaire

La fac de Reims est bloquée. Blocage voté par une AG de 500 personnes, une cinquantaine de bloqueurs ont immédiatement bloqué tous les amphis, les bâtiments, ont viré les gens de cours, sorti toutes les tables et chaises.

Une amie moldave était très choquée… la France est certainement vu comme un pays d'attardés mentaux par les étrangers. Le drame, c'est que je trouve ça "normal", y'en a déjà eu 1 il y a 2 ans >.<

Lien vers le commentaire

Parlons de Houria Bouteldja, que j'ai vu hier soir dans l'émission de Taddeï. Face à Guy Millière sur la question de l'Irak, je l'ai entendu se lancer dans une diatribe sur l'état catastophique dans lequel les américains avaient laissé l'Irak, détruisant sur leur passage l'embryon de régime laïc du temps de Saddam Hussein et grâce auquel les femmes pouvaient circuler librement, avaient plus de droits, c'était plus sûr etc. Ca m'a un peu interloqué car cette même Houria est quand même connu pour souhaiter que la France abandonne son modèle laïc rance pour un modèle communautaire respectueux de toutes les composantes diverses et variées de la société française riche de sa diversité etc. etc.

En fait, j'ai trouvé sa ficelle un peu grosse :icon_up:

Lien vers le commentaire
Parlons de Houria Bouteldja, que j'ai vu hier soir dans l'émission de Taddeï. Face à Guy Millière sur la question de l'Irak, je l'ai entendu se lancer dans une diatribe sur l'état catastophique dans lequel les américains avaient laissé l'Irak, détruisant sur leur passage l'embryon de régime laïc du temps de Saddam Hussein et grâce auquel les femmes pouvaient circuler librement, avaient plus de droits, c'était plus sûr etc. Ca m'a un peu interloqué car cette même Houria est quand même connu pour souhaiter que la France abandonne son modèle laïc rance pour un modèle communautaire respectueux de toutes les composantes diverses et variées de la société française riche de sa diversité etc. etc.

En fait, j'ai trouvé sa ficelle un peu grosse :icon_up:

Elle est plutôt mignonne d'ailleurs, dommage que le reste ne suit pas.

Une amie moldave était très choquée… la France est certainement vu comme un pays d'attardés mentaux par les étrangers.

Je retrouve la même réaction chez des tas d'amis étrangers.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...