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Nouvelles du monde sans intérêt


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Pour revenir au sujet, seuls les fonds de roulement ont été siphonnés. Les économies destinées à de l'investissement restent. L'objectif n'est pas que de trouver du pognon, mais il est aussi de dire : "Oh, les mecs, ça sert à rien de conserver des montagnes de cash si c'est pour ne rien en faire ; les fonds de roulements, c'est tant de semaine, et comme vous n'avez pas l'utilité de plus, vu que vous n'avez pas de plan d'investissement, on reprend l'argent qui dort".

 

Si un établissement supérieur a des fonds de roulements très supérieurs à "ce qui devrait être", ce n'est normalement pas tant une question de bonne gestion que de surestimation des budgets (*). Si l'Etat a subventionné plus que nécessaire, c'est normal qu'il reprenne l'argent en trop, pour le mettre là où il y en a besoin. C'est ce que ferait n'importe quel actionnaire, d'ailleurs ; l'argent qui dort, autant qu'il dorme chez moi.

 

(*) Étant acquis qu'une bonne partie du budget provient à l'origine de l'Etat. C'est une autre question si il s'agit de fonds privés issus du mécénat.

Le problème c'est qu'en siphonnant les réserves des universités, on finit par instaurer/renforcer la règle classique dans le publique qui veut que l'on claque tout le budget sinon les crédits risquent de baisser l'année suivante.

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Le problème c'est qu'en siphonnant les réserves des universités, on finit par instaurer/renforcer la règle classique dans le publique qui veut que l'on claque tout le budget sinon les crédits risquent de baisser l'année suivante.

 

C'est surtout décider qu'une université prudente qui gère ses fonds en étant prudente à long terme doit payer pour les dépensières qui claquent leur fric sans regarder à la dépense... la culture habituelle de punition de la bonne gestion, quoi.

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Le problème c'est qu'en siphonnant les réserves des universités, on finit par instaurer/renforcer la règle classique dans le publique qui veut que l'on claque tout le budget sinon les crédits risquent de baisser l'année suivante.

 

C'est pas une règle limitée au public. C'est très prégnant dans le public, mais ça se voit tout autant dans le privé ("Prends un consultant, sinon, on va nous sucrer le budget l'an prochain"). Je sais pas si une grosse boîte a trouvé l'organisation qui permet de limiter cette gabegie.

 

Après, il eût été plus pertinent de leur laisser l'argent en échange de la construction d'un plan d'investissement solide.

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C'est pas une règle limitée au public. C'est très prégnant dans le public, mais ça se voit tout autant dans le privé ("Prends un consultant, sinon, on va nous sucrer le budget l'an prochain"). Je sais pas si une grosse boîte a trouvé l'organisation qui permet de limiter cette gabegie.

 

Après, il eût été plus pertinent de leur laisser l'argent en échange de la construction d'un plan d'investissement solide.

La source de gabegie n°1 du privé en Franchouillie c'est que les managers sont d'autant plus respectés que le nombre de personnes sous leur responsabilité est nombreuse.

Je vois des orga en mode armée mexicaine chez des clients, c'est terrible...  

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C'est pas une règle limitée au public. C'est très prégnant dans le public, mais ça se voit tout autant dans le privé ("Prends un consultant, sinon, on va nous sucrer le budget l'an prochain"). Je sais pas si une grosse boîte a trouvé l'organisation qui permet de limiter cette gabegie.

 

Après, il eût été plus pertinent de leur laisser l'argent en échange de la construction d'un plan d'investissement solide.

Bien sûr, simplement dans le publique ce qui est gênant c'est que ce n'est jamais les sous de personnes, du coup personne ne prend la responsabilité de contenir les coûts.

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Il semblerait que la Fondation Clinton sert à Bill et Hillary à récolter des fonds de campagne occultes provenant des sympathiques Saoudiens.

 

Ça ressemble à du foutage de gueule en mode no limit.

 

 

La finance est-elle vraiment l'adversaire d'Hillary Clinton ? La candidate à l'investiture du Parti démocrate pour l'élection présidentielle américaine de 2016 profite de son début de campagne pour dénoncer à l'envi les dérives de la finance et les inégalités. Mais Hillary Clinton entretient des relations étroites avec les pontes de Wall Street.  

"Mon véritable adversaire, c'est la finance", clamait François Hollande en 2012, lors d'un meeting au Bourget. Hillary Clinton, qui espère représenter les démocrates à l'élection présidentielle américaine de 2016, semble avoir choisi le même angle d'attaque pour son début de campagne. Ainsi, celle qui souhaite se transformer en "championne" des classes moyennes, dénonce les inégalités salariales, l'optimisation fiscale, la spéculation et les traders qu'elle juge responsables de la crise de 2008.

Offensive contre les grands patrons dans l'Iowa

Lors de son premier meeting de campagne, dans l'Iowa,  elle s'en est notamment pris aux salaires des grands patrons, ainsi qu' aux avantages fiscaux des gérants de portefeuilles financiers:

Elle s'est en outre indignée qu'un patron puisse gagner 300 fois plus que le salaire moyen des ouvriers et a évoqué le coût des études supérieures avec ses interlocuteurs du jour.

"Quelque chose ne tourne pas rond quand les dirigeants de hedge fund payent moins d'impôts que les infirmières ou les routiers que j'ai vus sur la route en venant ici ces deux derniers jours."

Wall Street ne s'en émeut pas

Du côté des grands pontes de la finance, le message d'Hillary Clinton n'est pas pris au sérieux:

"Quand il faudra gouverner, elle sera pragmatique. Elle comprend que ce n'est pas parce qu'il y a un mouton noir que tout le troupeau est malade", explique à l'AFP un grand banquier sous le couvert de l'anonymat.

Interrogé par le site Politico, un financier important de Wall Street, souhaitant également rester anonyme, a expliqué que les déclarations d'Hillary Clinton étaient seulement "politiques".

Tom Nides, haut responsable de Morgan Stanley et proche d'Hillary Clinton, selon Politico, a renchéri:

"On ne peut pas dire 'Oh mon dieu, elle cours vers la gauche !'. Elle est juste fidèle à elle-même. Elle a d'excellentes relations avec les gens. Mais cela ne veut pas toujours dire qu'elle leur donne ce qu'ils veulent."

Proche de responsables de JPMorgan et Morgan Stanley

Hillary Clinton est loin d'être en froid avec Wall Street. La candidate est proche de grands pontes comme Jamie Dimon (patron de JPMorgan Chase) et Greg Fleming (numéro deux de Morgan Stanley et présenté comme le futur grand patron).

Et la finance le lui rend bien. Hillary Clinton a donné des discours rémunérés entre 200.000 et 300.000 dollars (276.000 euros) de l'heure lors d'événements organisés par Wall Street. En juillet 2014, elle aurait ainsi engrangé 12 millions de dollars en 16 mois, selon Bloomberg pour des discours et des apparitions. Le 23 octobre dernier, elle gagnait 273.000 dollars lors d'une nouvelle conférence pour la fondation Clinton.

En outre, Goldman Sachs, Bank of America, Morgan Stanley, JPMorgan ont donné plusieurs millions de dollars à cette fondation.

Très soutenue par les banquiers de Wall Street en 2008

Par ailleurs, les banquiers de Wall Street étaient nombreux à soutenir financièrement la démocrate Hillary Clinton en 2008. Lors des primaires démocrates, les salariés du secteur financier, des assurances et de l'immobilier ont donné plus d'argent à Hillary Clinton que ceux d'aucun autre secteur, selon le Center for Responsive Politics. Par comparaison, pour Barack Obama, les avocats et lobbyistes étaient la première catégorie de donateurs.

http://www.latribune.fr/economie/international/la-finance-est-elle-vraiment-l-adversaire-d-hillary-clinton-471923.html

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Meme sur liborg j'ai pris un kick de 72h une fois parce que je suis un sale con... alors imagine bien que sur jvc mes 30 pseudos ont tous été banni. et j'ai la flemme. 

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Ça coûte combien de passer le permis sur paname ? 1500 € ?

 

C'est même pas 15 jours de sa (leur) conso de taxis. Les praticiens de hontectomie sont vraiment des bourreaux de travail dans ce pays.

Dans ces environs je pense oui, max 2000€ avec beaucoup d'heures en plus je dirais.

 

J'aime bien en plus comment elle glisse le fait que c'est un bourreau de travail:

 

Mais, comme je ne peux pas le faire travailler 12 à 15 heures par jour ni les week-ends, j'ai également un abonnement aux taxi G7, car je n'ai pas de permis de conduire.

12 à 15 heures par jour, et les weekends. Mais ils font quoi à l'INA?

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Quel foutage de gueule ! J'espère qu'elle va se faire démisionner. En plus elle disposait d'un chauffeur, mais ne voulait pas le faire travailler 12-15 heures par jour...

 

Agnès Saal, c'est aussi ça : L-ina-ne-peut-pas-laisser-google-numeriser-le-patrimoine-culturel-francais

 

L'INA ne peut pas laisser à Google le soin de démarcher ces acteurs de la culture pour leur proposer de numériser gratuitement les fonds, comme il l'a déjà fait avec la Bibliothèque de Lyon et la Bnf. Mais avant de mettre en œuvre ce projet, je dois obtenir un mandat politique, ce qui sera fait, je l'espère, dans le contrat d'objectifs et de moyens que nous négocions avec l'État. Ce projet pourrait voir le jour début 2016.

 

Le budget de l'INA se compose de 90 millions d'euros de redevance et de 39 millions de ressources commerciales. Allez-vous augmenter ces dernières?

 

Je précise que le montant de la redevance en 2015 sera de 89 millions. En 2014, l'INA a perdu 20 millions d'euros. Pour 2015, le gouvernement m'a soutenue et a tenu à relever la redevance. Par rapport à l'océan de la redevance, l'INA représente une goutte d'eau modeste. J'espère donc augmenter légèrement sa part dans le contrat d'objectifs et de moyens pour la période 2015-2020.

Concernant les ressources propres, l'INA réalise aujourd'hui 39 millions d'euros. Au cours des années antérieures, ces ressources ont chuté de façon préoccupante. Mon premier objectif est de stopper cette chute avant d'inverser la pente.

 

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149 M€ de budget annuel edhelas2.gifedhelas2.gifedhelas2.gif

 

Mais il part où tout ce pognon ?! L'INA c'est pas juste censé être un site web avec des vidéos ?

 

Sinon, j'adore cet argument : "Par rapport à l'océan de la redevance, l'INA représente une goutte d'eau modeste".

Ah bon, ca va alors, on est rassuré.

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On aime pas bien voter dans nos contrées, hombre.

Déconne pas Snow, c'est pour élire le président de l'internet, on ne rigole pas avec ces choses-là, notre avenir est en jeu !

 

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Le président d'internet... le truc ou c'est 90% de cul et 9.9% de lolcats?

La démocratie va nous planter Norman comme président. Ou Marc Dorcel.

Dans les faits, c'est la NSA et ses consœurs qui piloteront le bateau. Bel effort.

 

 

La présidence d'internet ? Après tout il y a bien eu un mec d'alternative libérale qui se pensait président de facebook.

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A midi, Le Monde se réveille et poste un article sur Agnès Saal :

 

 

A la réception de ce courrier anonyme citant des documents de l'entreprise, l'INA a lancé une enquête interne et envisage de porter plainte, a appris Le Monde.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2015/04/27/les-frais-de-taxis-exorbitants-de-la-presidente-de-l-ina_4623221_3236.html#WQwuJEev6PtGSEYy.99

 

Et c'est là qu'un petit moineau me dit que cette phrase ne veut peut-être pas dire que "l'INA va porter plainte contre son président pour abus de bien social", mais bien plutôt que "la présidence va faire toute la lumière sur ces fuites"...

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D'un autre coté si tu n'es pas capable d'obtenir un bureau tout neuf à 100k comme à la CGT ou à Radio France, c'est que tu n'es pas assez doué dans l'escroquerie.

40k à la CGT ou à Radio France, c'est juste un pourboire.

 

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Mondieucétroporrible, une entreprise qui emploie près de 40% de stagiaires, ça va asphyxier le marché de l'emploi ! Heureusement les milices citoyennes et festives veillent !

http://www.lemonde.fr/stages-premier-emploi/article/2015/04/24/chez-my-little-paris-action-contre-l-abus-de-stages_4622360_4468494.html

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Sinon, j'adore cet argument : "Par rapport à l'océan de la redevance, l'INA représente une goutte d'eau modeste".

Ah bon, ca va alors, on est rassuré.

Les petites gouttes de gaspi font les océans de gabegie. Si tu attaques la taille de l'ensemble on te dit "Ouiiiii mais ça sert à pleiiiiin de trucs y en a des utiles bien cachés dans le lot", et si tu attaques un de ces trucs en particulier on te dit "ouiiiii mais c'est tout petit par rapport au reste". Pile je gagne face tu perds.
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Nazarbaïev réélu président du Kazakhstan avec 97,7 % des voix

Le scrutin présidentiel anticipé organisé dimanche 26 avril au Kazakhstan n'a livré aucune surprise : selon la commission électorale centrale lundi, l'inamovible président Noursoultan Nazarbaïev est réélu avec un score de 97,7 % des voix pour un nouveau mandat de cinq ans à la tête de ce pays d'Asie centrale immense et riche de son sous-sol.

Même ce chiffre exceptionnellement haut était attendu. « Nazarbaïev voudra faire mieux qu'Islam Karimov », son homologue ouzbek réélu fin mars avec 90,39 % des voix, glissait perfidement – et anonymement – un opposant rencontré peu avant le scrutin. La participation a atteint le chiffre record de 95,22 %, selon la commission.

Les deux rivaux désignés par le pouvoir pour donner à l'élection une apparence d'ouverture obtiennent des scores à la hauteur de leur notoriété et de leur exposition médiatique. Le premier, un communiste « antioccidental » obtient 1,87 % ; le second, syndicaliste « écologiste », 0,63 %.

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2015/04/26/nazarbaiev-reelu-president-du-kazakhstan-avec-97-5-des-voix_4622998_3216.html

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