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Nouvelles du monde sans intérêt


Rincevent

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Une interrogation demeure enfin : comment le jeune homme a-t-il pu ainsi être propulsé professeur de franÇais ? Car à l’époque, l’étudiant fraîchement diplômé d’un master 2 avait subi deux entretiens, dont un avec le principal de l’établissement, mais n’avait jamais reÇu la moindre formation

Et?

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Perso je pense que le journaliste met en exergue le fait que le gars a seulement 23 ans, un M2 en poche mais pas de formation de prof en collège. Je ne connais pas vraiment les diplômes qu'il faut avoir mais ça me parait un peu léger. Surtout si le Master 2 n'était pas lié au Français.

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Perso je pense que le journaliste met en exergue le fait que le gars a seulement 23 ans, un M2 en poche mais pas de formation de prof en collège. Je ne connais pas vraiment les diplômes qu'il faut avoir mais ça me parait un peu léger. Surtout si le Master 2 n'était pas lié au Français.

Je comprends bien le propos journalistique qui pense que pour faire un métier il faut un diplôme dûment délivré par l'état et que le fait qu'il convienne à son employeur n'est pas une raison suffisante pour l'embaucher.

C'est un discours anti-libéral, que l'on ressort suite à un fait divers pour enfoncer cette vérité dans le crâne des gens.

Alors que le fait divers et cet état de fait n'ont aucun rapport.

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Oui et non.

Sans vraiment défendre le pisse copie, il ne critique non pas l'existence ou non d'un diplôme mais bien le manque de formation du mec. Alors après oui, on peut mettre en avant ce que tu dis (le fait de convenir à l'employeur) mais pas de bol, les conséquences s'avèrent peu fructueuses pour l'établissement.

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Alors que le fait divers et cet état de fait n'ont aucun rapport.

Vrai. N'empêche que ce type est inexcusable (et affreusement bête par dessus le marché).

Je me méfie toujours par principe des gens pour qui la distinction n'est pas très claire entre un prof et un copain.

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Vrai. N'empêche que ce type est inexcusable (et affreusement bête par dessus le marché).

Tout à fait d'accord.

Perso suis pour que les gens puissent se tuer eux même en se droguant, mais le type qui approche mes enfants avec, il va comprendre qu'il y a des choses qui ne se font pas.

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Vrai. N'empêche que ce type est inexcusable (et affreusement bête par dessus le marché).

Je me méfie toujours par principe des gens pour qui la distinction n'est pas très claire entre un prof et un copain.

Idem, j'ai toujours détesté les profs qui voulaient qu'on les tutoies et avec qui t'allais boire un verre, ça m'a toujours fait frissonné. C'est courant dans les écoles d'art et compagnie. Ma copine à eut le cas et un de ses potes en a eu pour ses frais. Vas-y que je tutoies mon prof et qu'on boit des coup ensemble. Vas-y que je rigole moins quand il me descend durant une présentation.

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Drame ! Les gueux ne s'écartent même plus du parcours des seigneurs:

Les faits, révélés en bas de la page 4 du Canard enchaîné daté mercredi 25 janvier, ont eu lieu vendredi dans les rues du 14e arrondissement de Paris. Alors qu'il roulait à contre-sens, un motard de la préfecture de police escortant le convoi de la ministre de l'apprentissage, Nadine Morano, a renversé un jeune homme de 25 ans, toujours à l'hôpital.

Le piéton, qui a souffert d'un "traumatisme crânien", selon Le Parisien, a été évacué "dans le coma" et admis "dans un état sérieux" à l'hôpital de La Pitié-Salpêtrière. "Mais il semble bien que sa vie ne soit plus en danger. Son état s'est amélioré", a expliqué, lundi, une source citée par Le Parisien.

http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/01/24/un-motard-escortant-nadine-morano-a-violemment-percute-un-pieton_1634001_823448.html

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La Pologne interdit la vente de chiens et chats sans pedigree

Jeudi 26 Janvier 2012 | Actualité | Cause animale

Coup de chapeau à la Pologne, coorganisatrice de l’Euro 2012 et qui fait figure d’élève exemplaire en matière de cause animale, tout l’inverse de l’Ukraine qui s’attire les foudres de la communauté européenne pour le massacre des chiens errants.

Depuis le 1er janvier 2012, la Pologne interdit la vente de chiens et de chats sans pedigree, rapporte le site Courrier International.

Cette mesure vise à lutter efficacement contre les élevages industriels de chiens ou chats prétendus de race ou 'usines à chiots', mais qui évoluent dans des conditions sanitaires déplorables. Cages trop petites, pas de sorties, malnutrition, propagation des maladies… Tel est le quotidien d’un animal élevé dans une usine à chiots.

Des éleveurs contournent déjà la loi

En théorie, avec cette nouvelle loi, cette pratique d'élevage industriel disparaîtra. En théorie seulement car des éleveurs peu scrupuleux ont déjà trouvé la parade à cette loi.

En lieu et place de vendre un chien, les éleveurs se mettent à vendre des laisses pour chien à prix exorbitant… et donnent le chien qui va avec. [Véridique :P]

Choquant, malhonnête… Les adjectifs ne manquent pas pour qualifier la stratégie mise au point par ces éleveurs. En effet, s’il est désormais interdit de vendre un chien sans pedigree, rien n’empêche de le donner puis de faire payer un accessoire à un prix équivalent à celui du chien.

Des voix s’élèvent d’ores et déjà pour dénoncer cette pratique odieuse, et les défenseurs de la cause animale souhaitent alerter les futurs acquéreurs d’animaux à ne pas tolérer cette pratique.

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Twitter to restrict user content in some countries

By Gerry Shih

SAN FRANCISCO | Thu Jan 26, 2012 5:54pm EST

(Reuters) - Twitter announced Thursday that it would begin restricting Tweets in certain countries, marking a policy shift for the social media platform that helped propel the popular uprisings recently sweeping across the Middle East.

"As we continue to grow internationally, we will enter countries that have different ideas about the contours of freedom of expression," Twitter wrote in a blog post published Thursday.

It said even with the possibility of such restrictions, Twitter would not be able to coexist with some countries. "Some differ so much from our ideas that we will not be able to exist there," it said.

Twitter gave as examples of restrictions it might cooperate with "certain types of content, such as France or Germany, which ban pro-Nazi content."

A Twitter spokeswoman declined to elaborate on the blog.

"Starting today, we give ourselves the ability to reactively withhold content from users in a specific country while keeping it available in the rest of the world," the Twitter blog said.

Twitter's decision to begin censoring content represents a significant departure from its policy just one year ago, when anti-government protesters in Tunisia, Egypt and other Arab countries coordinated mass demonstrations through on the social network and, in the process, thrust Twitter's disruptive potential into the global spotlight.

As the revolutions brewed last January, Twitter signaled that it would take a hands-off approach to censoring content in a blog post entitled "The Tweets Must Flow."

"We do not remove Tweets on the basis of their content," the blog post read. "Our position on freedom of expression carries with it a mandate to protect our users' right to speak freely and preserve their ability to contest having their private information revealed."

And last year, Twitter General Counsel Alex Macgillivray declared that the company was "from the free speech wing of the free speech party."

In the interest of transparency, Twitter said Thursday, it has built a mechanism to inform users in the event that a Tweet is being blocked.

Twitter's move comes at a time when Internet companies such as Google and Facebook have wrestled with foreign governments over freedom of speech and privacy issues as they expand rapidly overseas.

In 2010 Google relocated its Web search engine to Hong Kong, following a very public spat with the Chinese government over its refusal to bow to Beijing's Web censorship requirements and a hacking episode that Google said it had traced to China.

http://www.reuters.com/article/2012/01/26/us-twitter-idUSTRE80P28920120126

Les martyrs des révolutions arabes apprécieront. Et puis, "we will enter countries that have different ideas about the contours of freedom of expression,", ça mérite bien un point Orwell.

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