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Nouvelles du monde sans intérêt


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… toutes les femmes veulent faire des gosses.

Je crois que ta phrase a été tronquée. Ce devait être, je suppose :

… toutes les femmes veulent faire des gosses avec Brad Pitt pour lui extorquer une pension alimentaire.
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Toutes les femmes ont envie de faire des gosses pour elles-mêmes. Il faut vraiment ne pas savoir à quel point il est galère d'élever un enfant quand on a pas de thunes pour croire que le fait de faire des gosses pour l'argent n'est pas quelque chose de marginal en France.

Ensuite, les congés maternités, ça coûte combien à l'Etat ? S'il s'agit de faire de la politique, alors il faut toujours prendre les coûts et les bénéfices d'une mesure. Proposer d'abroger les congés maternités ne rapporterait pas tant que ça et surtout serait très impopulaire. Pour l'instant, il y a des choses plus importantes à régler, à mon avis.

Je n'ai jamais dit le contraire. J'ai même montré du doigt le fait que les allocations familiales sont une incitation à faire des enfants. Si tu n'as pas les moyens de faire un enfant, tu n'en fais tout simplement pas. Ce n'est pas aux autres de financer tes comportements et/ou ton mode de vie. Les congés maternité coûtent surtout aux entreprises. Que le coût soit minime ou pas, c'est une question de principe. Si on commence à exclure toutes les réformes, sous prétexte que leur coût est minime (ce que je ne crois pas en l'occurrence, mais je suis ouvert à la démonstration), on ne fera jamais rien.

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Ah bon ? C'est quoi encore le taux de natalité dans les les pays welfare statisés ?

Ben c'était le but, mais comme toutes les aides sociales elles échouent. Les aides aux pauvres par exemple échouent à extirper les gens de la pauvreté et les y laissent avec la dépendance en plus.

Ensuite, les congés maternités, ça coûte combien à l'Etat ? S'il s'agit de faire de la politique, alors il faut toujours prendre les coûts et les bénéfices d'une mesure. Proposer d'abroger les congés maternités ne rapporterait pas tant que ça et surtout serait très impopulaire. Pour l'instant, il y a des choses plus importantes à régler, à mon avis.

Le coût des congés maternité pendant 16 semaines est pris en charge par la sécurité sociale puis au-delà par l'entreprise, je ne veux pas dire de bêtises, je ne sais pas si cela se passe comme ça. Pour autant, cela a un coût pour l'entreprise en terme d'organisation mais aussi financièrement, puisque souvent elle doit embaucher quelqu'un en CDD pour compenser.

Je pense qu'une première mesure serait de réduire le délai à 12 semaines légales pour réduire les nuisances pour tout le monde, je suis d'accord avec toi que supprimer le congé maternité serait extrêmement impopulaire. Evidemment le mieux c'est un arrangement intégral entre l'employeur et l'employé comme d'habitude, mais les employeurs l'accepteraient-ils ? Ils l'accepteraient pour les femmes compétentes et qui apportent une forte valeur ajoutée, mais pour les autres? On peut répondre que de toute façon sur un marché de l'emploi libre et flexible la femme retrouverait facilement un emploi après la maternité, elle pourrait souscrire aussi une assurance lui versant des revenus durant son congé, son assurance-maladie pourrait s'en charger par exemple.

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Ah bon ? C'est quoi encore le taux de natalité dans les les pays welfare statisés ?

Pourquoi ? Le taux de fécondité varie beaucoup selon les pays étatisés : 1,40 en Italie et en Allemagne, contre plus de 2 en France et aux Etats-Unis. C'est pas forcément corrélé et il y a plein d'autres facteurs aussi. Les allocations familiales, c'est encore largement une anomalie française.

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Pourquoi ? Le taux de fécondité varie beaucoup selon les pays étatisés : 1,40 en Italie et en Allemagne, contre plus de 2 en France et aux Etats-Unis. C'est pas forcément corrélé et il y a plein d'autres facteurs aussi. Les allocations familiales, c'est encore largement une anomalie française.

Compare aux pays du tiers-monde où les allocs n'existent pas. Les Etats-Unis et la France accueillent beaucoup d'immigrés tous les ans, ou en tout cas ceux-ci représentent une part substantielle de la population, ce qui permet de remonter les taux, et ces immigrés ne touchent pas forcément les allocs en plus, en particulier aux states!

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Compare aux pays du tiers-monde où les allocs n'existent pas. Les Etats-Unis et la France accueillent beaucoup d'immigrés tous les ans, ou en tout cas ceux-ci représentent une part substantielle de la population, ce qui permet de remonter les taux, et ces immigrés ne touchent pas forcément les allocs en plus, en particulier aux states!

L'Islande a des taux de natalité plus élevés, pourtant elle n'est pas vraiment connue pour accueillir beaucoup d'immigrants. Le débat n'est en tout cas pas l'effet des allocations, mais le fait qu'elles subventionnent des comportements et des modes de vie avec l'argent de tiers.

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Pourquoi ? Le taux de fécondité varie beaucoup selon les pays étatisés : 1,40 en Italie et en Allemagne, contre plus de 2 en France et aux Etats-Unis. C'est pas forcément corrélé et il y a plein d'autres facteurs aussi.

Oui, il y a plein d'autres facteurs. À commencer par la famille classique et la culture traditionnelle : en France, les mouflets, ces sont les "non souchiens" qui les font car liés au modèle traditionnel, aux States, imprégnation religieuse forte + immigration latino + mentalité je-m'en-foutiste d'une partie de la population black, ça donne aussi des mômes.

Par contre, les allocs familiales, non, ça n'incite personne À pondre du gniard (surtout vu les montants ridicules).

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Oui, il y a plein d'autres facteurs. À commencer par la famille classique et la culture traditionnelle : en France, les mouflets, ces sont les "non souchiens" qui les font car liés au modèle traditionnel, aux States, imprégnation religieuse forte + immigration latino + mentalité je-m'en-foutiste d'une partie de la population black, ça donne aussi des mômes.

Par contre, les allocs familiales, non, ça n'incite personne À pondre du gniard (surtout vu les montants ridicules).

Certes. J'entends bien que les allocations sont surtout un effet d'aubaine, mais ce n'était pas l'objet du débat, j'ai surtout été trop peu précautionneux en formulant.

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J'ai souvent entendu parler des bébés RMI. En gros, des jeunes couples qui ne travaillent pas et qui font un enfant pour toucher les allocs. Les allocs qui poussent à faire des enfants cela me semble plausible pour des glandeurs qui n'ont aucune intention de trouver un boulot un jour. Soit une petite minorité de la population.

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Par contre, les allocs familiales, non, ça n'incite personne À pondre du gniard (surtout vu les montants ridicules).

Un enfant coûte plus cher que les subventions liées, mais le raisonnement marginal s'applique également en cette matière. Les subventions, quel que soit leur montant, s'ajoutent aux bénéfices non financiers, et font, le cas échéant, les bénéfices de la procréation surpasser les coûts, rendant ainsi plus fréquente la décision d'enfanter. Elles jouent un rôle dans le taux de natalité, À moins de renier le marginalisme.

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Alors pourquoi tous les pays occidentaux pour ainsi dire voient leur taux de natalité s'effondrer, malgré toutes les allocs ?

Ben je parie qu'il s'effondrerait encore plus sans ces allocs, tout comme il s'effondrerait davantage sans l'immigration.

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Ben je parie qu'il s'effondrerait encore plus sans ces allocs, tout comme il s'effondrerait davantage sans l'immigration.

Comme les prix qui baissent moins vite que ce qu'ils augmenteraient plus lentement s'il n'y avait pas d'innovation ?

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Comme les prix qui baissent moins vite que ce qu'ils augmenteraient plus lentement s'il n'y avait pas d'innovation ?

T'essayes de me brocarder en te servant d'une phrase où je dis que l'innovation est la principale source de baisse des prix. Ce qui économiquement est rigoureusement exacte. Et sur le plan de la logique, ce n'est pas contradictoire avec le fait que ce soit également une source de hausse des prix. Le clef de ce qui à l'air d'être un paradoxe insondable pour toi, se situe au niveau de la qualité du produit : l'innovation fait baisser les prix lorsque la qualité du produit est identique, ce qui n'est pas forcément le cas lorsque l'innovation augmente la qualité du produit.

En croyant qu'il y a matière à me railler, je pense que tu n'obtiendras pas l'effet escompté. Cela met seulement en exergue ton défaut de logique.

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T'essayes de me brocarder en te servant d'une phrase où je dis que l'innovation est la principale source de baisse des prix. Ce qui économiquement est rigoureusement exacte. Et sur le plan de la logique, ce n'est pas contradictoire avec le fait que ce soit également une source de hausse des prix. Le clef de ce qui à l'air d'être un paradoxe insondable pour toi, se situe au niveau de la qualité du produit : l'innovation fait baisser les prix lorsque la qualité du produit est identique, ce qui n'est pas forcément le cas lorsque l'innovation augmente la qualité du produit.

En croyant qu'il y a matière à me railler, je pense que tu n'obtiendras pas l'effet escompté. Cela met seulement en exergue ton défaut de logique.

Si tu as un sens de la logique plus développé que le mien, ça ne se voit certes pas dans tes articles. Car tu oublies que, s'il est vrai que l'innovation fait baisser certains prix, typiquement ceux de l'électronique grand-public, l'innovation a aussi un coût: innover nécessite des investissements, des achats, etc. Donc, d'un autre côté, elle a également tendance à faire augmenter d'autres prix, par exemple les salaires des travailleurs qualifiés nécessaires. Ton raisonnement serait donc nettement plus intéressant si tu essayais d'appréhender l'importance relative de ces deux aspects: gain et coût.

S'agissant des allocations familiales, la même remarque s'applique: tu oublies que les allocations familiales ne sont pas une manne céleste mais sont en fait payées par les contribuables. Donc d'un côté, ça favorise peut-être la natalité mais de l'autre ça augmente les impôts. Et donc, avant d'être si péremptoire, il te faut évaluer l'impact négatif de cette augmentation des impôts.

Pour ma part, j'ai une approche un peu bébête car je pense que la baisse de la natalité dans les pays développés démontre que l'écosystème de ces pays n'est pas favorable à l'espèce humaine, précisément à cause du manque de liberté et des impôts.

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S'enrichir en spéculant sur la mort, ça existe

Cela peu paraître incroyable et pourtant c'est parfaitement légal. Aux Etats-Unis, il est même courant de lancer des paris sur l’imminence de la mort d’individus.

Le principe : une entreprise propose à une personne de lui racheter son contrat d'assurance décès. L'entreprise lui verse tout de suite une somme d'argent, paie ses primes à sa place et récupère ainsi le contrat. En contrepartie, c'est elle qui percevra la police d'assurance au moment du décès de l'assuré. Le pari, aussi cynique que cela puisse paraître, c'est que cette personne meurt le plus rapidement possible…

Sont ciblés des gens pauvres à la santé fragile

On peut être tenté de comparer un tel dispositif à un viager. Sauf que, dans ce cas, on parle d'un système institutionnalisé qui s'appuie sur des techniques marketing bien rodées. Ces entreprises qui parient sur la vie des gens, ciblent volontairement des personnes démunies à la santé fragile. Ce sont ces profils de pauvreté et de fragilité qui sont censés générer de gros profits.

Parfois, ces portefeuilles sont mêmes titrisés. Autrement dit, des investisseurs parient sur la mort de certaines personnes qu'elles ne connaissent pas au-delà des critères définis pour cette spéculation. Life Partners, cotée à New York, a même fondé tout son business sur ce concept.

Source : http://www.bfmbusiness.com/toute-linfo-eco/bourse/senrichir-en-sp%C3%A9culant-sur-la-mort-%C3%A7-existe-135353

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Je récapitule, des gens pauvres, en fin de vie, qui possèdent un produit financier qui n’a aucune valeur pour eux (on se demande bien ce qu’ils foutent avec une assurance décès, mais bon), trouvent des acheteurs, ils choisissent de leur vendre ce produit en échange de cash immédiat, du coup, ils sont moins pauvres, et leur fin de vie est plus confortable, il est même probable que leur espérance de vie augmente de façon significative.

C’est quoi le souci ?

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On reparle d'un certain mécanisme de l'Etat qui veut que quand tu clabotes, tu lui doives immédiatement de l'argent ?

Et lui, c'est pas seulement les deux ou trois péquins qui signent la vente d'un contrat, c'est 100% des individus sur son territoire, hein. Et sans leur demander leur avis.

Bref : paille / poutre, 2P2M, foutage de gueule.

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C’est quoi le souci ?

Manque d'information des clients sur les produits, dérivés opaques et pression de l'opinion allemande.

http://fr.myeurop.info/2012/02/06/a-la-deutsche-bank-parier-sur-la-mort-ne-rapporte-pas-assez-4504

Certains petits porteurs ont fini par se plaindre. Remords? Pas du tout. Le fonds, avec un rendement de 3% par an entre 2009 et 2011, ne leur rapporte pas assez… Comme la contestation montait également dans l'opinion publique allemande, la Deutsche Bank a annoncé, le 22 février, qu'elle acceptait de rembourser à 100% les investisseurs souhaitant se retirer.

Probable interdiction

Le produit avait pourtant attiré quelque 10.000 particuliers ayant un petit pécule à placer. Plus de 700 millions d’euros d’argent privé ont ainsi déjà été investis dans Kompass Life 3, selon l’hebdomadaire Spiegel, qui avait révélé son existence.

En réponse à un investisseur qui se plaignait d’avoir souscrit à cette police sans vraiment en connaître le fonctionnement, le médiateur de l’Association de banques allemandes a reconnu que ce type de produit financier pouvait difficilement "se concilier avec nos valeurs en particulier dans le domaine de l’inviolabilité de la dignité humaine".

Un tribunal devrait ainsi pouvoir déterminer si le fait de parier sur la durée de vie d’un panel de personnes ne viole pas notre code moral.

Un avis positif des juges pourrait alors conduire à "une interdiction" de tels produits de placement. La Deutsche Bank a préféré anticper cette décision

Cadavres dans le placard

Cette affaire n’est pas le seul cadavre caché dans les placards de la Deutsche Bank. Afin d’afficher une rentabilité des fonds propres de 25% avant impôts, le plus grand établissement francfortois a, en effet, cherché à vendre tout, et surtout n’importe quoi, aux investisseurs.

Mais ses excès, qui lui ont rapporté gros dans le passé, risquent aujourd’hui de lui coûter très cher. Le groupe a déjà dû verser 145 millions de dollars aux autorités américaines de régulation boursière pour avoir vendu à ses clients des produits financiers sans les avoir correctement informés des risques qu’ils prenaient. Et d’autres procès en cours pourraient se conclure par le versement d’amendes encore bien plus élevées.

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Invité à la librairie Décitre [à Lyon], pour une rencontre autour de son dernier livre "Je marcherai toujours à l'affectif", Jean-Pierre Raffarin s'est fait entarter au moment où il s'apprêtait à entrer dans la librairie. "C'est la première fois en 40 ans de carrière que cela m'arrive" a confié l'ancien Premier Ministre. Nora Berra s'est dévouée pour aller lui acheter une nouvelle cravate, pour remplacer celle, maculée de crème, que Raffarin avait dû retirer.
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Invité à la librairie Décitre [à Lyon], pour une rencontre autour de son dernier livre "Je marcherai toujours à l'affectif", Jean-Pierre Raffarin s'est fait entarter au moment où il s'apprêtait à entrer dans la librairie. "C'est la première fois en 40 ans de carrière que cela m'arrive" a confié l'ancien Premier Ministre. Nora Berra s'est dévouée pour aller lui acheter une nouvelle cravate, pour remplacer celle, maculée de crème, que Raffarin avait dû retirer.

"La tarte est plate mais la crème est blanche" se serait exclamé l'ancien premier ministre.

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Si les politiciens s'en prennent plein la poire, les inspecteurs des impôts aussi :

http://lci.tf1.fr/filnews/france/un-homme-tue-devant-son-domicile-pres-de-marseille-7017655.html

Un homme de 51 ans a été tué de plusieurs décharges de fusil de chasse vendredi soir devant son domicile à Saint-Savournin (Bouches-du-Rhône), a-t-on appris samedi de source judiciaire. Ce père de deux enfants, inspecteur des finances publiques, a été pris pour cible par un ou plusieurs tireurs alors qu'il venait de rentrer chez lui en voiture, sans témoin selon les premiers éléments. Les faits se sont produits vers 19H30. Aucune piste n'était privilégiée pour l'instant entre un différend d'ordre privé ou touchant à l'activité professionnelle de la victime, le meurtre semblant prémédité au vu des circonstances, selon la même source. Les enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie de Marseille sont chargés de l'enquête.
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The alleged ‘honour killing’ that took the lives of three sisters

Women had reached out for help in the weeks leading up to their murder

by Martin Patriquin on Monday, October 31, 2011 8:40am - 8 Comments

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Sean Kilpatrick/CP

Mohammad Shafia, his wife, Tooba Yahya, and son, Hamed, allegedly committed unspeakable horrors. According to the police, the couple, along with their son, murdered their three daughters and Shafia’s first wife, Rona Mohammad, by forcing their car into the locks at Kingston Mills, drowning the four of them in three metres of water—an apparent bid to restore the family’s honour. The daughters dishonoured the family, it would appear, for having the gall to dress up, wear makeup and flirt with boys. “May the devil s–t on their graves,” Mohammad Shafia later told his wife in a conversation secretly taped by police.

All the more disturbing, perhaps, is the fact that the three daughters had themselves reached out for help from Quebec’s children’s services, yet suffered the terrible fate nonetheless. Prosecutor Laurie Lacelle told the Kingston, Ont., courtroom recently that child protection workers had visited 17-year-old Sahar in the month before she and her sisters, Zainab, 19, and Geeti, 13, drowned along with the woman they called “auntie.”

The social worker determined that Sahar’s case was genuine, yet was forced to close the file after Sahar clammed up, Lacelle said. The reason for the teenager’s sudden silence: child welfare authorities are required by law to report anything the child says to the parents. “We can’t keep that from them,” says Gerald Savoie, a staff consultant at Montreal’s Batshaw Youth and Family Services. “We have to validate, and confront them with the information.”

Coaxing the full story from a child can amount to a Catch-22: social workers try their best to get the unvarnished truth from children, yet in order to talk to the child alone they must first get the consent of the parents—who may have a vested interest in keeping the child quiet.

Savoie, who did not consult the Shafia family directly, is nonetheless unequivocal. “It’s a failure,” he says. “These situations can be very complex, and the people in the field are just that: people. There will be cases where you missed something, or you see something but you can’t go further. You can’t go to court on a gut feeling.”

The Shafias might also have fooled social workers with their acting chops, which could very well have been on full display in the weeks following the drowning. During this time, the despondent couple and their son invited the news media into their Laval home. Teary-eyed, they showed the cameras pictures of their daughters. How, they asked, could such a terrible thing have happened to them? “You can be struck by the stories people tell,” says Savoie. “Sometimes they can sound quite logical, even brilliant.”

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Tags: honour killing, Kingston, mohammad shafia, Quebec

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Nathalie Artaud sur l'Oscar de Jean Dujardin :

«C'est une réalisation avant tout collective. Ce film est en fait franco-américain. Il a été tourné aux Etats-Unis avec des techniciens américains. On n'est pas tout seuls dans notre petit village gaulois et ce film a jailli, comme ça, du génie gaulois. C'est pas vrai. C'est le résultat d'échanges».
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