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Un homme digne de ce nom se doit de passer derriere les fourneaux de temps a autre. Il n'y a pas plus con que le vieux standard qui voudrait que ce soit les femmes qui gerent tout en cuisine.

Bien sur, ca demande un engagement et une prise de risque que beaucoup preferent ne pas prendre (a juste titre parfois il faut avouer) Moi je prends mon pied a cuisiner de temps a autres, pour moi ou pour les autres.

 

 

D'ailleurs, y en a combien des femmes grandes chefs avec X étoiles dans le guide Michelin ?

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J'ai connu un père de famille musulman récemment arrivé d'Algérie qui refusait totalement que sa femme fasse la vaisselle ou le ménage et qui s'occupait de toutes les corvées parce qu'il trouvait que sa femme ne méritait pas de s'abaisser à ce genre de tâches.

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Un homme digne de ce nom se doit de passer derriere les fourneaux de temps a autre. Il n'y a pas plus con que le vieux standard qui voudrait que ce soit les femmes qui gerent tout en cuisine.

Bien sur, ca demande un engagement et une prise de risque que beaucoup preferent ne pas prendre (a juste titre parfois il faut avouer) Moi je prends mon pied a cuisiner de temps a autres, pour moi ou pour les autres.

 

 

Oui, l'été pour les grillades. 

 

Blague à part, j'aime bien cuisiner. 

 

C'est Ayn Rand.

 

J'ai pas compris ce qu'elle faisait là.

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J'ai connu un père de famille musulman récemment arrivé d'Algérie qui refusait totalement que sa femme fasse la vaisselle ou le ménage et qui s'occupait de toutes les corvées parce qu'il trouvait que sa femme ne méritait pas de s'abaisser à ce genre de tâches.

 

C'est un gentleman, c'est tout. Il n'y a que les muffles pour ne jamais faire de taches menageres et laisser ca aux femmes. A moins d'avoir des serviteurs bien sur.

 

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On peut dire du mal de tout mais pas des Musclés >_<

On ne dit pas de mal d'un groupe qui a signé de grands succès populaires, et dont deux des membres sont passés par Magma.
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On ne dit pas de mal d'un groupe qui a signé de grands succès populaires, et dont deux des membres sont passés par Magma.

Je reve, on ne peut meme pas dire de mal des muscles ici. Ca sent quand meme un peu la couillemolisation les gars.

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Un homme digne de ce nom se doit de passer derriere les fourneaux de temps a autre. Il n'y a pas plus con que le vieux standard qui voudrait que ce soit les femmes qui gerent tout en cuisine.

Bien sur, ca demande un engagement et une prise de risque que beaucoup preferent ne pas prendre (a juste titre parfois il faut avouer) Moi je prends mon pied a cuisiner de temps a autres, pour moi ou pour les autres.

 

 

Il y a beaucoup beaucoup plus con, je t'assure.

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Le conseil donné dans cet article lorsqu'on appel soit même au secour est bon à savoir...

Tu as bien raison. J'en profite pour le mettre ici d'ailleurs :

 

 

 

Par ailleurs, une victime peut lutter contre l'effet du témoin en désignant une personne précise dans la foule et l'appeler franchement à l'aide, plutôt que d'appeler les gens qui se situent aux alentours. Agir de la sorte, place ainsi toute la responsabilité sur cette personne « spécifique » et évite tout sentiment de diffusion de responsabilité. Une chose à retenir donc si l'on veut avoir une chance d'être secouru : désigner une personne et s'adresser directement à elle !
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Un site de comparatif d'associations humanitaires, sur comment elles gerent leurs budgets et financent leurs projets caritatifs.

 

:)

 

Et évidemment:

 

These ten charities have earned the most consecutive 0-star, "extremely poor" ratings meaning they consistently perform far below industry standards and below nearly all similar charities.

 

Au moins la moitié plus ou moins directement liés à des agents de l'Etat (si on compte l'armée).

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Je ne pourrais pas tout expliquer ici mais, pour avoir un master en développement (tu le sens bien mon argument d'autorité là ? :D ), la question n'est pas tellement comptable. Enfin, on peut la prendre, elle est légitime. Mais il y a des problèmes plus grave.

Un exemple fictif mais qui largement documenté dans des cas réels : une association avec un bon bilan comptable, beaucoup d'argent qui part dans de projets, ... bref, une association qui, partant de l'analyse de ce site, serait "parfaite". Et bien, on a des milliers de cas (au point où on décourage les mémoires ou les thèses sur la critiques des ONG tellement on ne sait plus quoi foutre avec et que tout ça est largement connus) où :

 

-l'argent disparait sur place (corruption, perte, non compréhension de l'ONG des systèmes locaux, ...)

-le projet fait plus de dégât que de bien (en CTI -coopération technique internationale-, 1/4 des projets empire la situation, 1/2 est inutile. Ce sont des chiffres tout à fait connus et officiel du début des années 2000 -non je n'ai pas la source sous la main, ce sont des mes vieilles notes à la maison- qui ont amené a de nouveaux paradigmes dont ont ne connait pas encore les résultats ajd. On a aussi de nombreux exemples de villages ruinés après le passages des ONG qui ont voulu lancé un commerce quelconque).

-le projet connait des résistances locales (le coup classique des années 80 : amener de l'eau dans un village paumé, avec l'idée de débarasser la femme de cette corvée, les canalisations sont détruites à chaque fois. On se demande par qui. Les hommes sans doute. Lol. Non, ce sont les femmes parce qu'elles avaient perdus leurs moments d'intimités entre elles autour du puis).

 

...

 

Sujet largement documenté en sciences sociales et économiques, mais pas du tout du grand public. J'ai quand même un de mes profs qui m'a un jour glissé à l'oreille que selon lui, une très grosses ONG française mondialement connues avait largement participé à une famine dans le Niger. Pas pour affamer volontairement les gens, bien sur. Mais leur travail, leurs stratégies de fonctionnement, ... avait aggraver la situation.

 

Donc l'approche comptable pour juger du travail de ces ONG. Pourquoi pas. Mais il faut aller beaucoup plus loin.

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Bien entendu, les associations n'ont pas pour but de faire des profits mais d'ammener des actions positives, donc il faut d'abord les juger sur les résultats. Néammoins, une association aux finances bien tenues c'est quand même mieux.

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Et c'est extrêment difficile à juger. Chacun à ses critères, d'une part. Stiglitz à écrit un super bouquin ou il montre toute les anneries du FMI, dans "la grande désillusion". Bon, il bossait à l'époque pour la BM. Du coup, tu lis un truc anti BM pour remettre l'église au milieu de village.
De l'autre, les résultats mettent souvent des années à se montrer.

 

Funny things : il n'y a rien de mieux pour te dégouter des ONG et du "développement", que de faire un Master sur la question (master qui est sensé formé des pro de la question pour les ONG en question). Tout le monde en sort dégouté, au point que la plupart des profs enrobent le truc d'un peu de caramel. Évidement, faut être de l'autre côté de la barrière pour l'apprendre.

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[...]

Ok, je comprends ou tu veux en venir. Mais je crois pas que ce soit le but de ce lien.

 

C'est pas de voir si quand tu donnes 100, le projet se deroule bien. C'est de savoir combien sur 100 vont reellement dans le projet. La on te fait le detail avec les couts administratifs (et la tu penses a l'ARC et Jacques Crozemarie), les couts des levées de fonds (si c'est des bénévoles ou si ca se fait avec des petits fours, etc.)

 

Moi si je donne a une association type Medecins du Monde, je veux que mes thunes aillent acheter des medocs pour les gosses en Haiti, pas des plateaux de petits fours pour faire une soirée levée de fonds pour financer la prochaine soirée levée de fonds.

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Une initiative intéressante, néanmoins, le fichage des consommateurs ainsi que la régulation des prix et des règles de culture par l'Etat me semble une contrepartie trop importante pour permettre à cette législation d'être vraiment efficace, à voir tout de même comment cela se déroulera.

 

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/12/11/l-uruguay-legalise-le-cannabis_3528963_3222.html

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Ok, je comprends ou tu veux en venir. Mais je crois pas que ce soit le but de ce lien.

 

C'est pas de voir si quand tu donnes 100, le projet se deroule bien. C'est de savoir combien sur 100 vont reellement dans le projet. La on te fait le detail avec les couts administratifs (et la tu penses a l'ARC et Jacques Crozemarie), les couts des levées de fonds (si c'est des bénévoles ou si ca se fait avec des petits fours, etc.)

 

Moi si je donne a une association type Medecins du Monde, je veux que mes thunes aillent acheter des medocs pour les gosses en Haiti, pas des plateaux de petits fours pour faire une soirée levée de fonds pour financer la prochaine soirée levée de fonds.

 

Oui, oui, je comprends mais l'approche est très limitée.

 

@poney: Aurais-tu des references (grand public) sur ce sujet (impact positif/negatif des ONG)?

 

Joseph Stiglitz - La grande désillusion - Les erreurs du FMI et pourquoi la Banque Mondial c'est cool

James Fergusson - The Anti-Politics Machine (non traduit) - Pourquoi la banque mondiale c'est de la merde, prends ça Stiglitz

Alain Verhaagen - Alphabétisation durable, défi au non-développement! Le cas de l'Afrique subsaharienne : http://unesdoc.unesco.org/images/0011/001169/116991fo.pdf (plus généralement, l'Unesco publie beaucoup ce genre de choses, dans laquelle elle se fait souvent démolir. L'Unesco étant une grosse machine un peu folle...

J-P Olivier De Sardan - Anthropologie et développement

Pierre-Joseph Laurent - Une association de développement en pays mossi : le don comme ruse

Serge Latouche - Survivre au dévelopement

 

 

 

Par contre, j'ai bien peur que ça ne soit pas vraiment des livres grands publics. Il y a un roman qui montre bien cependant les liens entre "développeurs" et "développés", même si il date, c'est "L'étrange destin de Wangrain" de Hampate Ba. C'est l'une des plus grandes plumes littéraire d'Afrique, c'est très agréable à lire. La plupart de mes références sont des travaux d'anthropologie, si ça t'interesse, un tour sur Cairn, Jstor, Revues.org ou autre, avec les mots clé "développement" ou "ong" donne beaucoup de résultats. En grand public, on trouve surtout des travaux sur les bailleurs de fond. C'est plus facile de rentrer dans le lard du FMI que de Greenpeace ou la Croix-Rouge (sans doute en partie, bien sur, parce qu'ils font plus de conneries).

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