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État et surveillance


Messages recommandés

Évidemment que la technologie est moralement neutre, mais ça ne signifie pas que sa valeur ajoutée est la même dans pour tous les acteurs, quel est l'intérêt pour un état de contrôler Facebook, dans le fond, ça fait bander les services de renseignement, mais ça ne fait pas bander les tyrans du tout pour autant, le tyran, il préférerai que ça n'existe pas du tout, la preuve, quand ça chie dans le ventilo, il essaye de couper, probablement contre l'avis de ses services de renseignement d'ailleurs, mais avec les applaudissement des bouchers de masse.

Oui, on trouve toujours des gens pour être prêts a mourir pour des broutilles, ça s'appelle des adolescents, mais pour le coup, si deux camps s'affrontent avec tous deux un grand multiplicateur de force, entre la petite portion de la majorité qui est prête à mourir pour des broutilles et la grosse portion de la minorité qui n'a pas grand chose a perdre à se défendre, le rapport de force n'est plus si trivialement en faveur de la majorité molle.

Dans la pratique, les élites ont une peur bleue des minorités armées, il y a une raison, ce sont les minorités armées qui gagnent les révolutions, pas la majorité molle.

Pour les TIC, il ne faut pas oublier une chose, la minorité armée, c'est nous, pas léviathan (non, je n'ai pas peur d'une grosse bouse comme EAGLE, lol EAGLE)

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Accessoirement, il y a une différence entre contrôler le câble et contrôler l'information, tu est bien place pour le savoir, le contrôle étatique existe, mais il est brutal et sans avantage pour lui, il peut couper le flux, il ne peut pas le contrôler, il a l'arme nucléaire, mais rien d'autre, et l'arme nucléaire ne marche pas contre un ennemi sans chaîne de commandement, tu peux dissuader un gouvernement, un général, pas un ensemble d'individus sans tête.

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Évidemment que la technologie est moralement neutre, mais ça ne signifie pas que sa valeur ajoutée est la même dans pour tous les acteurs, quel est l'intérêt pour un état de contrôler Facebook, dans le fond, ça fait bander les services de renseignement, mais ça ne fait pas bander les tyrans du tout pour autant, le tyran, il préférerai que ça n'existe pas du tout, la preuve, quand ça chie dans le ventilo, il essaye de couper, probablement contre l'avis de ses services de renseignement d'ailleurs

Tu n'as donc pas lu l'article que je pointais. C'est très exactement ce qu'Assad a fait : début 2011 il a ouvert grand les vannes de tweeter, Facebook and co.

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Accessoirement, il y a une différence entre contrôler le câble et contrôler l'information, tu est bien place pour le savoir, le contrôle étatique existe, mais il est brutal et sans avantage pour lui, il peut couper le flux, il ne peut pas le contrôler, il a l'arme nucléaire, mais rien d'autre, et l'arme nucléaire ne marche pas contre un ennemi sans chaîne de commandement, tu peux dissuader un gouvernement, un général, pas un ensemble d'individus sans tête.

Ah oui ? Et comment s'est terminée l'expérience Iranienne de 2009 ? La fameuse insurection "tweeter" verte...

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Ah bah quand tu a une minorité qui s'en fout face à une majorité qui s'en fout, le status-quo est la solution évidente.

Les iraniens ne sont pas moins libres de twitter qu'avant, c'est juste inoffensif.

Mon point n'est pas que les technologies de l'information renversent les gouvernements, pour renverser un gouvernement il faut des malades prêt a tout ou des désespérés qui n'ont rien a perdre.

Mon point est que l'information, comme tout multiplicateur de force, limite l'oppression ouverte des minorités.

On peut encore faire des corees du nord et des lybies, on ne peut plus faire d'Allemagne de l'est, la (relative) prospérité technologique est au prix d'une perte de contrôle répressif.

Si demain l'état fédéral américain utilise Google pour faire un état policier, il se retrouvera tout simplement dans la situation normale d'un état policier sans Google (ce n'est pas comme si quand l'alternative est entre utiliser Google et aller en camp, les gens allaient utiliser Google...), par contre, il aura toujours des millions de citoyens avec des caméras personnelles et un réseau pour diffuser les photos des abus policiers.

Ça ne signifie pas que l'état ne va pas chercher et trouver d'autres formes de contrôle, faire du soft-power, ça ne signifie pas qu'il ne va pas exploiter les rezosocio et le claude pour des activités de renseignement, mais le renseignement a pour principale caractéristique de n'être utile que si l'on s'en sers frugalement, ce n'est pas un outil totalitaire.

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C'est là où on n'est pas d'accord. Les plus petites des minorités, les personnes particulières, comme Kim Dotcom ou Julian Assange ont un ressenti différent de la situation (même s'il s'agit d'exemples extrêmes le fait que le boss de megaupload encourt une peine de prison supérieure à celle de Breivik n'a pas fini de me choquer). 

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Hu hu, en meme temps, c'est des drama queen (surtout assange), ça ne les empeche pas d'etre interessents, et emblematiques, mais par définition, les drama queens font des bons martyrs.

 

Tout comme l'ouverture de fessebouque et touittair en syrie, l’existence des réseaux permet a l'état de chopper les paranoïaques narcissiques (qui ne font pas des bons 'criminels') a un moindre cout que les methodes traditionnelles, mais au final, le réseau sers bien plus tous ceux qui sont paranoiaques sans être narcissiques que son absence.

 

On voit bien le coût du réseau, bien entendu que tout n'est pas positif, mais prenons l'exemple à la fois futile et terriblement important pour certaines élites de la violation de copyright, oui la peine encourue théoriquement pour Kim DotCom est horrifiante en rapport à ce qu'il a fait (mais ça n'a rien de nouveau, c'est pareil pour le trafic de drogue depuis des décennies...), mais c'est justement parce que l'état est complètement désarmé face au phénomène (comme face au trafic de drogue, tiens :D) qu'il a des réactions ridiculement abusives.

 

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  • 2 weeks later...

Sûrement parce qu'ils ont perdu des secrets dans les transports en commun : ajout de la prise du son dans les bus. La surveillance progresse.... http://www.wired.com/threatlevel/2012/12/public-bus-audio-surveillance/

Public Buses Across Country Quietly Adding Microphones to Record Passenger Conversations

The systems are being installed in San Francisco, Baltimore, and other cities with funding from the Department of Homeland Security in some cases, according to the Daily, which obtained copies of contracts, procurement requests, specs and other documents.

The use of the equipment raises serious questions about eavesdropping without a warrant, particularly since recordings of passengers could be obtained and used by law enforcement agencies.

It also raises questions about security, since the IP audio-video systems can be accessed remotely via a built-in web server (.pdf), and can be combined with GPS data to track the movement of buses and passengers throughout the city.

RoadRecorder7000-VideoAudio-Surveillance

The RoadRecorder 7000 surveillance system being marketed for use on public buses consists of a high-definition IP camera and audio recording system that can be configured remotely via built-in web server.

According to the product pamphlet for the RoadRecorder 7000 system made by SafetyVision (.pdf), “Remote connectivity to the RoadRecorder 7000 NVR can be established via the Gigabit Ethernet port or the built-in 3G modem. A robust software ecosystem including LiveTrax vehicle tracking and video streaming service combined with SafetyNet central management system allows authorized users to check health status, create custom alerts, track vehicles, automate event downloads and much more.”

The systems use cables or WiFi to pair audio conversations with camera images in order to produce synchronous recordings. Audio and video can be monitored in real-time, but are also stored onboard in blackbox-like devices, generally for 30 days, for later retrieval. Four to six cameras with mics are generally installed throughout a bus, including one near the driver and one on the exterior of the bus.

Cities that have installed the systems or have taken steps to procure them include San Francisco, California; Eugene, Oregon; Traverse City, Michigan; Columbus, Ohio; Baltimore Maryland; Hartford, Connecticut; and Athens, Georgia.

San Francisco transit authorities recently approved a $5.9 million contract to install an audio surveillance system on 357 buses and vintage trolley cars, paid for in full with a grant from DHS. The contract includes the option to expand the equipment to an additional 600 vehicles.

Concord, New Hampshire also used part of a $1.2 million economic stimulus grant to install its new video/audio surveillance system on buses, according to the Daily.

Transit officials say the systems will help improve the safety of passengers and drivers and resolve complaints from riders. But privacy and security expert Ashkan Soltani told the Daily that the audio could easily be coupled with facial recognition systems or audio recognition technology to identify passengers caught on the recordings.

In Eugene, Oregon, the Daily found, transit officials requested microphones that would be capable of “distilling clear conversations from the background noise of other voices, wind, traffic, windshields wipers and engines” and also wanted at least five audio channels spread across each bus that would be “paired with one or more camera images and recorded synchronously with the video for simultaneous playback.”

In 2009, transit officials in Baltimore, Maryland, backed down briefly from plans to install microphones in buses in that city after civil liberties groups complained that the systems would violate wiretapping laws and constitutional protections against illegal search and seizure. Transit authorities then asked the state’s attorney general to weigh-in on whether the systems violated wiretapping laws. After the attorney general indicated that signs warning passengers of the surveillance would help combat any legal challenges, transit officials pressed forward with their plans last month and announced the installation of an audio recording system on 10 public buses. The city plans to roll out the system on at least 340 additional buses.

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Je sais détecter une caméra, je sais l'aveugler, je sais faire en sorte qu'elle ne voit pas mes lèvres bouger, je sais niquer la reconnaissance de visage, mais un mic-array, ça ne coûte rien, et en collant un micro par mètre avec des horloges synchrones, je ne vois aucun moyen de les brouiller...

 

We are pretty much fucked, j'espérais sincèrement qu'ils resteraient coincés dans les délires panoptiques et 1984, la vidéo c'est du pipi de chat à côté de l'audio si ils sortent l’interferometrie...

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Plus que la technique ce qui fait flipper est que la surveillance est devenu l'état normal de notre société. Par défaut nous sommes surveillés. Ça participe de cette tendance lourde d'inversion de la charge de la preuve : le principe de précaution à pris le pouvoir.

On n'en est plus à "la pente glissante" mais en plein dans une société policière oú tout est enregistré "au cas oú".

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La technique fait flipper, si si, la volonté affichée de police omnisciente est d'actualité depuis le 11 septembre au moins, donc ce n'est pas une surprise.

 

http://groups.csail.mit.edu/cag/mic-array/papers/weinstein-TM642.pdf

 

Ce genre de trucs, permettant la surveillance universelle, est totalement hors de portée pour de la vidéo dans l'état actuel de la technologie.

 

Jusqu'ici, les armes étaient à l’avantage des "criminels", et chaque avancée dans l'analyse et la baisse de coût du matos avait un net effet positif car pour chaque caméra dans la rue assez peu utile et coûteuse, on gagnait un gros bout d'internet non surveillable.

 

Juste-ici, j'était resté observateur, mais la, j’achète un masque de Guy Fawkes.

 

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Plus que la technique ce qui fait flipper est que la surveillance est devenu l'état normal de notre société. Par défaut nous sommes surveillés. Ça participe de cette tendance lourde d'inversion de la charge de la preuve : le principe de précaution à pris le pouvoir.

On n'en est plus à "la pente glissante" mais en plein dans une société policière oú tout est enregistré "au cas oú".

 

:chine:

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Projet SAPIR  : http://ercim-news.ercim.eu/the-sapir-project-executing-av-complex-queries-in-peer-to-peer-systems

 

Vision d'avenir : on enregistre les chants dans les manifs, on fait quelque manipulations fourier-style et on retrouve les individus qui étaient présents et scandaient des slogans, le tout avec vos propres ordinateurs...

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Plus que la technique ce qui fait flipper est que la surveillance est devenu l'état normal de notre société. Par défaut nous sommes surveillés. Ça participe de cette tendance lourde d'inversion de la charge de la preuve : le principe de précaution à pris le pouvoir.

On n'en est plus à "la pente glissante" mais en plein dans une société policière oú tout est enregistré "au cas oú".

 

Excellentissime remarque.

 

Je l'ai remise en forme pour un billet qui paraitra dans les prochains jours.

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  • 3 weeks later...

Doucement mais sûrement la société de surveillance permanente s'installe. Dernier épisode en date, le secret bancaire est "gone with the wind" : http://www.washingtonpost.com/world/national-security/banks-seek-nsa-help-amid-attacks-on-their-computer-systems/2013/01/10/4aebc1e2-5b31-11e2-beee-6e38f5215402_story.html?Post+generic=%3Ftid%3Dsm_twitter_washingtonpost

 

 

 

 

The cooperation between the NSA and banks, industry officials say, underscores the government’s fears about the unprecedented assault against the financial sector and is part of a broader effort by the government to work with U.S. firms on cybersecurity. Nonetheless, the assistance is likely to dismay privacy advocates, who say that the NSA has no business peering inside private companies’ systems, even if for the strict purpose of improving computer security.

 

U.S. intelligence officials said last year they believe the attacks against the banks and other companies have been carried out by Iran, although some experts have cautioned that it is difficult to accurately determine who is behind them.

 

  On a même droit à une jolie combo terrorisme/Iran/hackers/blanchiment en guise de justification. Vraiment ils n'en ont plus rien à foutre de justifier n'importe comment le recul des libertés individuelles. La coopération avec la NSA non mais LOL quoi ! 

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BitCoin n'est pas vraiment anonyme. Ensuite il y a plein de soucis pour faire ce lien entre virtuel et réel, quand je parle de soucis c'est y compris au niveau conceptuel. 

 

Et puis ça empêcherait de faire des films avec suspense pour la remise des rançons si on avait une solution largement utilisée d'argent anonyme électronique : pas la peine de se creuser la tête pour se faire remettre la valise de billets en petites coupures. Ca sera toujours un argument fort pour que ça n'arrive pas je pense. Ca permet le crime (enlèvement) parfait. 

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  • 2 months later...

FBI Secretly Spying on Cloud Computer Users

Both Google and Microsoft have admitted it. Presumably every other major cloud service provider is getting these National Security Letters as well.

If you've been following along, you know that a U.S. District Court recently ruled National Security Letters unconstitutional. Not that this changes anything yet.

https://www.schneier.com/blog/archives/2013/03/fbi_secretly_sp.html

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  • 3 weeks later...
  • 2 weeks later...

La neutralité de Google jugée dangereuse pour la santé

 

cancert-google.png

 

Un rapport de la Commission sénatoriale d'enquête sur les Mouvements à caractère sectaire pointe du doigt le rôle de Google dans la visibilité des "méthodes thérapeutiques non traditionnelles", sur lesquelles les sectes s'appuieraient pour recruter des victimes. Il regrette que les résultats officiels des services de l'Etat ne soient pas systématiquement mis en avant par le moteur de recherche.

 

Officiellement, Google n'intervient jamais manuellement pour favoriser un résultat par rapport à un autre, et ne déréférence des sites que s'il en reçoit l'ordre judiciaire, s'il s'agit de contenus ostensiblement illégaux (pépornographiques, incitant à la haine raciale...), ou si un ayant droit le lui demande en vertu des droits d'auteur. Mais cette "neutralité" du moteur de recherche pose une difficulté aux pouvoirs publics, qui aimeraient que Google aient un rôle plus actif dans la diffusion de l'information officielle.

C'est ainsi ce qui apparaît clairement dans un riche rapport (.pdf) publié ce mois-ci, rédigé par le sénateurJacques Mézard (Parti Radical), sur "l'influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé". Il y est longuement question du rôle qu'aurait internet, et en particulier Google, dans la visibilité de méthodes thérapeutiques dites "naturelles" ou "alternatives", qui ne sont pas celles de la médecine traditionnelle validées par l'Etat. Selon les travaux de la Commission d'enquête sur les Mouvements à caractère sectaire, de nombreuses sectes utilisent la recherche par les malades d'une forme de "médecine alternative" pour recruter des fidèles, qui n'ont pas foi dans les voies officielles. 

"Le réflexe consistant à effectuer une recherche médicale sur Internet répond tant au simple désir de compléter une connaissance qu’au souhait de découvrir des méthodes de soins nouvelles, notamment dans un contexte de méfiance à l’égard de la médecine traditionnelle, que des scandales tels que celui du Mediator a renforcée", regrette ainsi le rapport. "Aujourd’hui la démarche de recherche la plus courante pour trouver une information sur Internet consiste à taper des mots clés dans un moteur de recherche comme Google (...) L’information disponible sur la « toile » peut inciter les internautes à s’orienter vers les pratiques non conventionnelles. A tout le moins, ces informations véhiculent un message généralement favorable à ces pratiques, dont l’efficacité est vantée par rapport à la médecine traditionnelle".

A titre d'exemple, les sénateurs constatent qu'en recherchant l'expression "biologie totale" dans Google, qui est l'un des noms donnés aux méthodes anti-cancer très contestées (voire carrément dangereuses) du Dr Ryke Hamer, "la fiche du ministère de la santé n’apparaît qu’en milieu de deuxième page, soit en quinzième position, après d’autres sites ou vidéos faisant la promotion de cette pratique, dont le témoignage de la   chanteuse Lara Fabian".

Place le SEO au coeur de la stratégie des autorités officielles

"Il est regrettable que la faible quantité d’information objective proposée par les pouvoirs publics ne soit pas mieux indexée, et ne soit pas accessible en priorité sur l’écran", ajoute le rapport du Sénat. 

Aussi, dans ses propositions formulées au Gouvernement, la Commission anti-sectes demande de "renforcer la sécurité de l’information des internautes en garantissant que toute recherche ayant un lien avec les pratiques thérapeutiques non conventionnelles débouche en premier lieu sur les messages officiels provenant d’autorités telles que le ministère de la santé, la Haute Autorité de santé ou la Miviludes". Néanmoins, même si la formulation le laisse penser, à aucun moment le rapport ne propose que Google soit contraint de modifier ses méthodes pour proposer systématiquement un site officiel à la place d'un site promouvant une méthode alternative.

Le rapport demande plutôt que les pouvoirs publics s'adaptent et intègrent le SEO dans leurs objectifs de travail. "L’indexation efficace des informations officielles doit désormais devenir une priorité", indique M. Mézard, grâce à "la définition d’une stratégie de référencement des informations en provenance des pouvoirs publics sur Internet, notamment au regard des critères utilisés aujourd’hui par les moteurs de recherche tel que Google". Il souhaite en outre que la cyberpatrouille de la Gendarmerie et de la Police nationale fassent remonter les "changements de nom des pratiques dangereuses", pour permettre aux sites officiels de se positionner très vite sur les nouveaux termes recherchés.

 

http://www.numerama.com/magazine/25758-la-neutralite-de-google-jugee-dangereuse-pour-la-sante.html

 

Ca mériterait presque un billet d'h16...

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  • 4 weeks later...

Surveillance and the Internet of Things

https://www.schneier.com/blog/archives/2013/05/the_eyes_and_ea.html

The Internet has turned into a massive surveillance tool. We're constantly monitored on the Internet by hundreds of companies -- both familiar and unfamiliar. Everything we do there is recorded, collected, and collated -- sometimes by corporations wanting to sell us stuff and sometimes by governments wanting to keep an eye on us.

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