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Oui, je suis d'accord. D'ailleurs, je remarque mes amis bien à gauche sont tous, même jeunes, des marxistes à l'ancienne.

On est pas d'accord, mais ils détestent le PS, Terra Nova, les Ecolos, le wtf qu'est devenu les gender studies (appel de phare à FJ), ils détestent les donneurs de leçon et la gauche moraline.

 

Ils sont souvent cultivés, ce qui n'est pas toujours le cas des néo-bobo.

 

On est pas d'accord, mais on passe de bons moments.

 

/this

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  • 1 month later...

Je fais quelques recherches concernant les OGM et je tombe sur ce site.

Il affiche le genre conspirationniste décomplexé où l'on se demande quand est ce que le type ne va pas s’emmêler les pinceaux entre ses différents scénarios.

 

Pour revenir sur les OGM, nous avons :

 

 

Derrière la volonté d'imposer les OGM se cache un véritable complot des multinationales pour s'approprier l'ensemble du vivant et prendre le contrôle intégral des ressources alimentaires...

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Le but ultime des multinationales est d'obtenir le contrôle total de tous les secteurs vitaux: énergie, santé, et alimentation. Ces secteurs seront une fantastique source de profit pour les multinationales, dès lors qu'elles auront obtenu une situations de monopole pour pouvoir imposer leurs conditions, après avoir éliminé toute concurrence intempestive de la part des états, des petites entreprises, et producteurs indépendants. La récente augmentation des produits alimentaires est déjà le résultat des concentrations monopolistiques dans la distribution et le secteur agro-alimentaire.

Dans le domaine des semences agricole, une part du marché échappe aux multinationales tant que la nature fournit encore une grande partie des semences, et la totalité des gènes.

L'objectif est qu'à l'avenir, les semences et les gènes soient la propriété brevetée des multinationales, et qu'elles puissent imposer leurs conditions de prix.

Lorsque les multinationales contrôleront totalement le secteur de l'alimentation, cela entrainera une fantastique hausse des prix pour le consommateur, et des coûts pour l'agriculteur. Dès lors, seule l'agriculture industrielle pourra survivre. La fin des exploitations agricoles indépendantes permettra de parachever la prise de contrôle des terres cultivables par les multinationales.
 

Le piège des brevets sur les OGM

La loi américaine permet de breveter les gènes qui constituent un OGM, ce qui semble à première vue normal pour permettre aux entreprises de biotechnologies de bénéficier du résultat de leurs recherches. Le piège est que chaque gène de l'OGM étant breveté, il suffit qu'une autre plante commercialisée contienne l'un de ces gènes pour que le producteur de la plante puisse être attaqué en justice.

Or la dissémination d'OGM vers les espèces naturelles fait que bientôt, les espèces naturelles contiendront des gènes modifiés et tomberont sous le coup du brevet.

C'est pourquoi la dissémination d'OGM est voulue, afin de permettre aux multinationales d'étendre leur propriété industrielle aux espèces naturelles.
 

Apprentis sorciers

ADN.jpgOn modifie le code génétique des espèces vivantes sans avoir compris l'ADN dans sa globalité, et sans rien savoir de certaines de ses fonctions essentielles. Ainsi, on ne sait rien de la fonction des 90% de l'ADN qui ne semblent jouer aucun rôle biologique et que les scientifiquent nomment "l'ADN non-codant".

La nature n'a pas l'habitude de créer des choses inutiles. Dans un organisme, tout a une fonction bien précise. L'ADN non-codant joue un rôle que nous ignorons, et ce rôle est peut-être crucial pour la viabilité d'un organisme. D'où sans doute les problèmes inexpliqués déjà constatés avec certains organismes modifiés: vieillissement ou mort prématurée d'animaux aux gènes clonés ou manipulés, et plantes modifiées provoquant la mort d'animaux qui les ont consommé.

L'homme joue également aux apprentis-sorcier tant qu'il ne maîtrise pas le problème de la dissémination. L'expérience montre que les gênes des plantes modifiées se transmettent rapidement aux plantes naturelles environnantes. Utilisés à grande échelle, les OGM représentent un danger de dégradation de l'information génétique de la biosphère. Pour respecter le "principe de précaution", les OGM devraient être cultivés uniquement en milieu clos. Mais parce que le coût de production est alors plus élevé, les OGM sont le plus souvent cultivés en plein champ.

 

Agriculture_RecolteMais.jpg

Les mensonges du lobby pro-OGM

"Les OGM vont permettre de mieux nourrir les millions de personnes dans le monde qui souffrent de malnutrition"

FAUX: la famine et la malnutrition dans le tiers-monde ne sont pas causés par une production agricole insuffisante, mais par la misère et la mauvaise répartition des richesses.
 

"Les OGM sont plus écologiques car ils permettent de réduire l'utilisation des pesticides"

FAUX: le but de la plupart des OGM déjà commercialisés est de rendre la plante plus résistante aux herbicides et pesticides, afin de pouvoir en utiliser davantage. De plus, les semences OGM et les produits chimiques sont commercialisés par les mêmes multinationales, qui ont donc tout intérêt à utiliser les OGM pour faire augmenter leurs ventes de produits chimiques, et non pour les diminuer.
 

"Les OGM vont permettre d'offrir des produits moins chers au consommateur, grâce à une augmentation des rendements qui permet de réduire les coûts de production de l'agriculteur"

FAUX: dans le meilleur des cas, la baisse des coût ne serait que de 20% pour l'agriculteur, et à condition que cette baisse des coûts de production ne soit pas annulée par la hausse du prix des semences et l'obligation contractuelle d'acheter des doses supérieures de produits chimiques.

Or cette baisse de 20% serait dilluée dans les autres coûts qui déterminent le prix de vente pour le consommateur final (emballage, transport, distribution, etc). Au final, la baisse des prix pour le consommateur a été évaluée à mois de 4%. Une baisse peu perceptible et qui serait en fait immédiatement empochée par les distributeurs.

En réalité, les OGM ne représentent aucun avantage pour le consommateur, mais seulement des profits supplémentaires pour une poignée de personnes, un risque inconsidéré pour la santé humaine, et une pollution irréversible de l'environnement.

 

 

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  • 2 weeks later...

 

Les principaux organismes de recherche publics de France (CNRS, ANR, INSERM, CEA, Ifremer, etc.) ont exprimé lundi leur vive inquiétude après la relaxe par la Cour d’appel de Colmar de 54 «faucheurs volontaires» qui avaient détruit en 2010 une parcelle de vigne OGM expérimentale.

La secrétaire d’Etat à la Recherche, Geneviève Fioraso, a indiqué à l’AFP souscrire «complètement au texte» signé par les responsables de ces organismes.

«Une injustice faite à un seul est une menace faite à tous », écrivent dans une déclaration transmise à l’AFP les douze signataires en citant Montesquieu.

«Au nom de la communauté scientifique, nous ne pouvons aujourd’hui qu’exprimer notre total soutien à l’Institut national de la recherche agronomique, l’INRA, et notre inquiétude forte face aux conséquences d’une décision de justice intervenue à son encontre le 14 mai dernier», déclarent-ils.

Selon la Cour d’appel de Colmar, l’Etat n’aurait en effet jamais dû autoriser cet essai de vigne transgénique au milieu du vignoble alsacien, car il y a eu «une erreur manifeste des risques inhérents» à cette expérience.

L’essai étant illégal, la Cour a jugé que les 54 «faucheurs» n’étaient pas coupables du «délit de destruction d’une parcelle de culture OGM autorisée» créé en 2008. Les prévenus ont certes été reconnus coupables de «violation de domicile» pour leur intrusion sur la parcelle de l’INRA mais la Cour les a dispensés de peine.

Cet essai de recherche OGM, «dont l’objectif était d’étudier les mécanismes de résistance à une maladie virale largement répandue dans notre vignoble (le court-noué, ndlr) et les impacts potentiels de cette modification génétique sur l’environnement», n’avait pourtant «aucune vocation commerciale», insistent les organismes de recherche dans leur tribune.

Selon Mme Fioraso, «la loi sur les OGM autorise de façon encadrée les recherches en plein champ, après autorisation. Les recherches menées par l’INRA à Colmar sur les OGM appliqués aux pieds de vigne avaient reçu une autorisation en 2010», quelques mois avant leur destruction par les faucheurs.

Depuis l’arrêt de la Cour d’appel de Colmar, «la protection juridique des installations de recherche dédiées à l’expérimentation dans des conditions encadrées n’est plus assurée», déplorent les signataires de la tribune.

«Des essais tels que celui de l’INRA à Colmar sont pourtant la seule façon de recueillir des preuves scientifiques, documentées et indiscutables, sur la réalité des effets que les OGM peuvent avoir sur les êtres humains, les animaux et l’environnement. Leur destruction par des individus ne respectant pas les règles démocratiques empêche concrètement les chercheurs d’exercer leur mission au service de l’intérêt général», estiment-ils.

«Faut-il que, sous la menace, ils renoncent collectivement à conduire désormais des expérimentations sur des sujets sociétaux à forts enjeux parce qu’ils font l’objet de controverse?»

Les organismes de recherche demandent «une clarification de l’interprétation du cadre législatif et réglementaire encadrant l’expérimentation».

http://www.liberation.fr/societe/2014/05/19/relaxe-des-faucheurs-d-ogm-a-colmar-vive-inquietude-des-chercheurs_1021072

 

Affligeant...

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La dissémination est un problème, non ? Parceque si il y a un champs bio pas loin d'un champ OGM, ça risque de poser problème non ? Et les plantes OGM issus de la dissémination reste la propriété de l'entreprise ?

 

Après, je m'en fou de manger OGM ou pas. Rien à faire, c'est comme vivre à coté d'une centrale nucléaire, ça ne me fait ni chaud, ni froid

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La dissémination est un problème, non ? Parceque si il y a un champs bio pas loin d'un champ OGM, ça risque de poser problème non ? Et les plantes OGM issus de la dissémination reste la propriété de l'entreprise ?

 

Après, je m'en fou de manger OGM ou pas. Rien à faire, c'est comme vivre à coté d'une centrale nucléaire, ça ne me fait ni chaud, ni froid

 

 

Si tu veux l'agrément Bio c'est à toi de prendre des mesures pour protéger tes cultures en plantant par exemple une zone tampon entre tes cultures et les cultures OGM, sur ton terrain bien-sûr. Charge à toi de répercuter la perte de rentabilité sur le prix de tes produits. 

A la limite, on peut imaginer que le code rural impose des mesures similaires à l'exploitant OGM, mais je suis déjà limite nonosse, là... 

 

Par contre évidement, si l'agriculteur Bio peut prouver que ses cultures on été contaminées suite à une malversation/mauvaise manipulation de l'agriculteur OGM il peut obtenir dédomagement. H16 a fait un papier là dessus y'a quelques temps je crois. 

 

Enfin je pense que le fond du problème c'est l'irrationalité hygiéniste totale de beauoup de biovores qui exigent des critères de "non contamination" virtuellement impossible à atteindre. D'ailleurs si on avait les mêmes exigences dans d'autres domaines (agro alimentaire classique, industrie chimique etc), rien ne serait commercialisable. 

 

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Par contre évidement, si l'agriculteur Bio peut prouver que ses cultures on été contaminées suite à une malversation/mauvaise manipulation de l'agriculteur OGM il peut obtenir dédomagement. H16 a fait un papier là dessus y'a quelques temps je crois.

L'inverse serait troll mais possible : "mon champ OGM a été cross-fertilisé par vos trucs bios caca, je vous attaque !"

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[...]

 

Et sinon, les mesures de protections aux frais du dernier installé ?

 

J'ai un champ OGM, tu colles un champ bio à côté -> tu payes la note

Tu as un champ bio, je colle un champ OGM à côté -> je paye la note.

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  • 4 weeks later...

http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/06/12/ogm-tout-comprendre-a-la-nouvelle-legislation-europeenne_4436881_3244.html

 

 

Dans le détail, les Etats qui souhaitent bannir des OGM devront négocier avec les semenciers, sous la houlette de la Commission, pour leur demander d'être retirés du périmètre de culture proposé par les entreprises. 

En cas d'opposition de ces dernières, les gouvernements pourront interdire les plantes sur leur sol en invoquant des motifs « sérieux » et « distincts » du champ d'évaluation des risques conduit par l'EFSA. Ils devront transmettre à la Commission les motivations de leur décision, parmi une liste non exhaustive : considérations économiques, aménagement du territoire ou encore politique environnementale et agricole. Par contre, les Etats membres réfractaires ne pourront pas interdire le transit sur leur territoire des OGM autorisés.

 

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Ouaip mes contacts ecolos syr FB sont déjà en pleine crise. On va tous mourir y paraît. Les megahyperliberaux ont finalement eu l'autorisation de détruire la planète, y paraît.

(C'est vrai que depuis que je suis libéral, la destruction de planète est mon hobby préféré)

Bref, c'est une excellente nouvelle :)

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Ouaip mes contacts ecolos syr FB sont déjà en pleine crise. On va tous mourir y paraît. Les megahyperliberaux ont finalement eu l'autorisation de détruire la planète, y paraît.

(C'est vrai que depuis que je suis libéral, la destruction de planète est mon hobby préféré)

Bref, c'est une excellente nouvelle :)

Oui, ça va encore plus enfermé la France dans une bulle de non recherche sur le sujet.

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  • 2 weeks later...

Il republie son étude, cette fois dans une 'revue' écolo. Mais est-ce qu'il a enfin fait les calculs de stats (variance, significativité, etc) qui manquaient la dernière fois ?

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Ouais mais les cons ça ose tout tu vois. C'est même à ça qu'on les reconnait.

 

Et quand comme lui, on à la chance d'être un authentique cuistre opéré de la honte à la naissance, ça amène souvent à devenir très très con.

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Ah tiens oui, il a republié verbatim, donc l'analyse statistique est toujours absente, et la conclusion mensongère car non-supportée par les résultats expérimentaux.

Quelle tache ce mec.

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En fait les grosses taches pour le coup c'est surtout la revue qui a accepté son torchon.

Comment un travail pas sérieux ? Rejeté par toute la profession ? Publié par un escroc ? Qu'on lui donne la première page et que ça saute.

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