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Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Tu peux être PHD et qualifié mais faut pas croire qu'un certain nombre d'années après le bac fait de toi quelqu'un d'apte au marché du travail.

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La majeure partie des Français ont un taf, ça veut dire qu'ils sont qualifiés pour. C'est un peu de la sélection naturel : on sait a posteriori qui est apte.

 

De peu, seulement 56.5% des français en âge de bosser le font.

 

Mais à part ça, vous devriez sortir de votre bulle les gars. Si ta définition de personne qualifié, c'est: A un travail, cela correspond pas à la réalité du terrain...

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De peu, seulement 56.5% des français en âge de bosser le font.

 

Mais à part ça, vous devriez sortir de votre bulle les gars. Si ta définition de personne qualifié, c'est: A un travail, cela correspond pas à la réalité du terrain...

 

Je crois que ta critique est inutile. Soit tu as un job, et donc tu es qualifié pour, que ce soit enfileur de perle, ou souleveur de lac, soit tu n'as pas de job, et tu as peut être une qualification, faut voir au cas par cas.

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La réalité du terrain c'est qu'un ouvrier d'usine est ultraqualifié mais comme il n'a pas un diplôme du supérieur vous le considérez comme un analphabète.

La réalité du terrain c'est que quand une usine ferme, les ouvriers de l'usine en question ont beaucoup de mal à retrouver du travail...

Donc ultraqualifié si tu veux, mais soumis au chômage si il perd son emploi et absolument pas en position de force avec son employeur, sûrement.

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Je crois que ta critique est inutile. Soit tu as un job, et donc tu es qualifié pour, que ce soit enfileur de perle, ou souleveur de lac, soit tu n'as pas de job, et tu as peut être une qualification, faut voir au cas par cas.

Avoir un job comme équipier à MC donald ne fait pas de toi quelqu'un de qualifié qui peut se dire: "Le chômage n'est pas pour moi. Ma qualification que j'ai en ayant ce job, me prouve que je suis au-dessus des chômeurs et je suis en position de force vis à vis de mon employeur qui a intérêt à m'augmenter si il veut me garder".

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Ah d'accord. Donc tu es qualifié quand tu ne trouves pas du tout de job mais par contre quand tu en as un que tu risques de perdre tu ne l'es pas...

Ridicule.

 

On parle des gens qui ne craignent pas le chômage.

Je dis qu'à part une petite élite de surdiplômé (et des bonnes écoles) et de surdoués, en socialie française cela existe peu.

 

 

 

Toi tu me dis que la majorité des français ne craint pas le chômage car ils sont qualifié pour.

 

 

Et je continue à te dire que tu vis dans une tour d'ivoire pour penser ça.

 

 

Je m'en fous de la définition de qualifiés, sauf pour savoir ce que tu entends par là pour dire que le chômage n'existe pas pour les gens qualifiés..

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Y a personne qui ne craint pas le chômage à part les fonctionnaires.

Je ne dis pas qu'ils ne craignent pas le chômage, je dis qu'ils sont qualifiés et que la trappe à chômage (celui dont on ne sort que difficilement) se trouve au niveau du smic.

Et effectivement, les gens qualifiés retrouvent des emplois. C'est pas parce qu'ils manifestent et crament des pneus pendant 6 mois pour extorquer du pognon que ce n'est pas vrai.

Des qu'on sort des emplois au smic, le chômage c'est 5%. Oui c'est plus dur quand tu ne sais faire qu'un truc et que ce truc disparaît mais la formation c'est pas pour les chiens.

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Je ne dis pas qu'ils ne craignent pas le chômage, je dis qu'ils sont qualifiés et que la trappe à chômage (celui dont on ne sort que difficilement) se trouve au niveau du smic.

Et effectivement, les gens qualifiés retrouvent des emplois. C'est pas parce qu'ils manifestent et crament des pneus pendant 6 mois pour extorquer du pognon que ce n'est pas vrai.

Des qu'on sort des emplois au smic, le chômage c'est 5%. Oui c'est plus dur quand tu ne sais faire qu'un truc et que ce truc disparaît mais la formation c'est pas pour les chiens.

Je le redis, sort de ta tour d'ivoire :)

 

Les moulinex, après 8ans, seul 1/3 avaient retrouvé un emploi.

Juste comme ça.

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La réalité du terrain c'est qu'un ouvrier d'usine est ultraqualifié mais comme il n'a pas un diplôme du supérieur vous le considérez comme un analphabète.

Regardez un peu qui considère en bloc tous ses interlocuteurs comme méprisants ! Si c'est pas l'hôpital qui se fout de la charité, ça...
  • Yea 1
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La réalité du terrain c'est qu'un ouvrier d'usine est ultraqualifié mais comme il n'a pas un diplôme du supérieur vous le considérez comme un analphabète.

 

Tu as déjà bossé en usine ? En quelques jours, tu es capable de faire la plupart des métiers d'ouvriers dans l'usine, en dehors des métiers d'ouvriers spécialisés - par exemple là où il faut gérer des processus chimiques un peu complexes.

 

Y a personne qui ne craint pas le chômage à part les fonctionnaires.

Je ne dis pas qu'ils ne craignent pas le chômage, je dis qu'ils sont qualifiés et que la trappe à chômage (celui dont on ne sort que difficilement) se trouve au niveau du smic.

Et effectivement, les gens qualifiés retrouvent des emplois. C'est pas parce qu'ils manifestent et crament des pneus pendant 6 mois pour extorquer du pognon que ce n'est pas vrai.

Des qu'on sort des emplois au smic, le chômage c'est 5%. Oui c'est plus dur quand tu ne sais faire qu'un truc et que ce truc disparaît mais la formation c'est pas pour les chiens.

 

Et pourtant, on trouve des anciens cadres seniors au chômage ;).

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On trouve même des anciens CEO de grands groupes, ils sont sûrement pas qualifiés.

Je le redis, sort de ta tour d'ivoire

Les moulinex, après 8ans, seul 1/3 avaient retrouvé un emploi.

Juste comme ça.

1 cas. Juste comme ça.

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Regardez un peu qui considère en bloc tous ses interlocuteurs comme méprisants ! Si c'est pas l'hôpital qui se fout de la charité, ça...

Si des gens se sentent inclus, c'est leur problème.

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Vous confondez qualifié et diplômé les gars... Être qualifié c'est avoir les qualités pour exercer, donc un ouvrier maçon est qualifié pour exercer son job, la preuve, c'est qu'il l'exerce....

Un ouvrier maçon diplômé qui ne bosse pas, c'est peut-être parce qu'il n'est pas qualifié, malgré son diplôme :)

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Ouais, enfin y a qualifié et "qualifié". Pour moi, quelqu'un de qualifié fait son travail avec qualité. Il y a beaucoup de gens qui travaillent et seraient donc "qualifiés" selon vos critères, mais pas forcément qualifiés selon les miens, parce qu'ils bâclent systématiquement ce qu'ils font (par paresse, par non qualification, etc.).

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Bon revenons aux définition de base:

 

"

Pour les ouvriers, la distinction sur le niveau de qualification existe dans la nomenclature des professions et des catégories sociales (PCS). Les ouvriers non qualifiés regroupent donc ici les ouvriers non qualifiés de type industriel (67), les ouvriers non qualifiés de type artisanal (68) et les ouvriers agricoles (69).

Pour les employés non qualifiés, on reprend ici la nomenclature proposée en 2002 par Olivier Chardon. Il s’agit ainsi : des agents de service (525a, 525b, 525c, 525d), des agents de surveillance et de sécurité (533c, 534a), des standardistes, opérateurs de saisie (541d, 542b), caissiers ou vendeurs non qualifiés (551a, 552a, 553a, 554a, 554h, 554j, 555a), serveurs et employés non qualifiés de la restauration et du tourisme (561a, 561d, 561e, 561f), assistants maternels (563a), aides à domicile, aides ménagères (563b), employés de maison et personnels de ménage (563c), concierges et gardiens d’immeubles (564a), employés des services divers (564a). Cette nomenclature a été établie de la façon suivante : les professions exercées en grande proportion par des employés possédant un diplôme de la même spécialité que leur profession sont considérées comme des professions qualifiées, et les autres comme des professions non qualifiées. D’autres définitions ont été utilisées pour définir la catégorie des employés non qualifiés, en se basant plutôt sur des critères de conditions de travail et de salaire.

Le terme « non qualifié » ne signifie en aucun cas que le salarié en question ne dispose d’aucun diplôme ni d’aucune compétence pour exercer son emploi. Les employés et les ouvriers non qualifiés sont d’ailleurs de plus en plus rarement sans diplôme. En 2007, près des trois quarts d’entre eux ont au moins un diplôme (contre 55 % en 1982) et 21 % ont au moins le baccalauréat (contre 2 %)."

 

http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1250&page=sdb

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Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Tu peux être PHD et qualifié mais faut pas croire qu'un certain nombre d'années après le bac fait de toi quelqu'un d'apte au marché du travail.

 

Quelqu'un de non qualifié c'est quelqu'un qui n'a pas les qualité requise pour un travail particulier : je ne suis pas qualifié pour être maçon. Un maçon n'est pas qualifié pour être analyste bancaire.

Pourquoi penses-tu que j'ai eu la délicatesse de corriger par "mal qualifié" ? Pour le plaisir d'écrire 3 lettres en plus ?

 

La réalité du terrain c'est qu'un ouvrier d'usine est ultraqualifié mais comme il n'a pas un diplôme du supérieur vous le considérez comme un analphabète.

 

Joli Strawman.

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Un jour ils comprendront.

 

La taxe Google votée en Espagne a détruit les médias espagnols.

Une étude commanditée par les médias espagnols montre que la loi sur la propriété intellectuelle de l’année dernière pour taxer des agrégateurs tels que Google a provoqué des dommages catastrophiques chez tous les éditeurs. Sur le court terme, les pertes s’élèvent à 10 millions d’euros et la majorité a frappé les petits éditeurs. Cette loi, surnommée Taxe Google, a réduit considérablement le contenu disponible et cette loi empêche également de nouveaux acteurs d’entrer sur le marché de la presse et du contenu.

L’étude conclut qu’il n’y a aucune justification empirique ou théorique sur cette taxe Google. Le rapport est disponible en PDF en espagnol même si le résumé est disponible en anglais. Cette taxe Google, qui impose une amende allant jusqu’à 758 000 dollars, a été votée en octobre 2014. Contrairement aux lois de taxes Google votées en Allemagne et en Belgique, les médias espagnols étaient obligés d’appliquer cette loi. En réponse, Google a simplement fermé Google News Espagne.

La perte de trafic a été considérable et les utilisateurs ont été les plus pénalisés parce qu’ils accédaient uniquement aux extraits d’article. En d’autres termes, des agrégateurs comme Google News incitent les internautes à lire plus d’articles d’actualité. On estime que les gros éditeurs ont perdu 6 % de leur trafic et que les petits éditeurs ont perdu 14 % de leur trafic à cause de la fermeture de Google News Espagne. Même si la baisse de trafic semble moins grave que prévu, les impacts secondaires ont été catastrophiques. Des agrégateurs espagnols comme Planeta Ludico, NiagaRank, InfoAliment et Multifriki ont fermé leurs portes. Reste à voir si les médias espagnols resteront bornés malgré cette étude qui prouve la dangerosité et l’inutilité de la taxe Google et s’ils seront entendus par le gouvernement.

http://actualite.housseniawriting.com/technologie/2015/07/31/la-taxe-google-a-ruine-les-medias-espagnols/6608/

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Si ça arrive en France, les gens seraient encore capables de dire "ah, mais Google à fermé Google News France", c'est donc de la faute à Google ! Vite, une loi pour l'obliger à ouvrir son service.

 

 

 

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Impôt : les départs à l’étranger des plus aisés s’accélèrent Les expatriations ont bondi de 40% en 2013 chez les hauts revenus. La courbe décolle à partir de 2011 avec l’adoption des politiques d’austérité.

Petit à petit, des indicateurs deviennent disponibles pour mesurer les départs à l’étranger des contribuables aisés. « Les Echos » se sont ainsi procuré les premières données concernant l’année 2013, au cours de laquelle les avocats fiscalistes tenaient des propos alarmistes. S’il n’y a pas d’exode massif, ces chiffres montrent que les départs s’accélèrent chez les hauts revenus.

Parmi les contribuables dont le revenu fiscal de référence est supérieur à 100.000 euros, il y a eu 3.744 départs à l’étranger en 2013, soit 40% de plus qu’en 2012. Ces ménages gagnent en moyenne 265.832 euros par an, ce qui donne une idée du manque à gagner pour l’Etat. Concernant les revenus annuels supérieurs à 300.000 euros, la tendance est encore plus marquée : le fisc a constaté 659 expatriations en 2013, un chiffre en hausse de 46 % par rapport à 2012. Enfin, on a décompté 714 départs sur les redevables de l’ISF, soit 15 % de plus que l’année précédente. Des rythmes de hausse bien plus rapides que pour le nombre global de Français qui s’expatrient (+6 % par an en moyenne).

Prudence sur les chiffres

Les chiffres de l’exil fiscal sont à interpréter avec prudence. La droite et la gauche s’affrontent régulièrement sur le sujet, les uns dénonçant « l’exil des forces vives », les autres évoquant un « rattrapage dans le cadre de la mondialisation ». On manque de données fiables sur le sujet, car le registre des Français inscrits dans les consulats à l’étranger n’est pas exhaustif (la démarche n’est pas obligatoire). Quant aux données du fisc, elles ne donnent pas d’indications sur les destinations ni sur les motivations du départ. Le dernier rapport parlementaire, publié à l’automne 2014, indique que les raisons premières d’une expatriation sont généralement professionnelles.

 

Toujours est-il que les départs à l’étranger de contribuables fortunés se sont accélérés ces dernières années. La courbe commence à décoller en 2011, avant même que la gauche n’arrive au pouvoir. Cette année-là, plusieurs mesures ont frappé les hauts revenus : le bouclier fiscal a été supprimé et la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus (3% au-delà de 250.000 euros) a été mise en place. Des mesures suivies en 2012 par la création d’une tranche d’impôt à 45% et d’un alourdissement de la fiscalité sur les revenus du capital. La polémique sur la taxe à 75% a exacerbé les tensions.

Pas d’exode de masse

La courbe des départs ISF est plus délicate à analyser. Une première hausse s’est produite entre 2003 et 2006, suivie d’un palier. Le bouclier fiscal puis le relèvement du seuil d’entrée dans l’ISF (de 800.000 à 1,3 million d’euros) ont fait ensuite chuter les départs. Mais ceux-ci sont repartis à la hausse depuis 2011. L’échantillon statistique est néanmoins bien plus limité que pour l’impôt sur le revenu.

Si la tendance à l’expatriation est à la hausse, on ne peut pas parler d’exode de masse. Les départs chez les redevables de l’ISF représentent moins de 0,3 % des contribuables assujettis à cet impôt. De même, la tranche de revenus supérieurs à 100.000 euros représente une population de plusieurs centaines de milliers de foyers. Néanmoins, au vu de la concentration de l’impôt (1 % des foyers paient 70 % de l’IR), ces départs érodent la base fiscale et peuvent expliquer en partie les moins-values observées ces dernières années.

 

http://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/021249167643-impot-les-departs-a-letranger-des-plus-aises-saccelerent-1142714.php

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