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Messages recommandés

tu as raison

http://www.liberation.fr/economie/01015928…s-en-entreprise

Un syndicat propose une taxe sur les suicides en entreprise

Evoquant la série de suicides à France Télécom, la CFE-CGC réclame la mise en place d’une taxation très forte pour les entreprises confrontées à des suicides de salariés reconnus comme accident du travail.

en fRance on n'a pas de petrole mais on a des lubies psychopathes.

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ah mais attendez, c'est pas fini!

http://www.liberation.fr/societe/010159268…ees-par-la-secu

Copé veut fiscaliser les indemnités pour accident du travail

Pour le président du groupe UMP à l'Assemblée, «il n'y a rien de choquant». Les indemnités journalières versées par la Sécurité sociale aux salariés suite à un accident du travail sont, selon lui, «un revenu qu’il s’agit de soumettre à l’impôt».

si, c'est choquant et c'est pour ca que Cope est un enfoire.

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Les aventures de Woerth continuent, s'inspirant sans doute du succès liberticide sans précédent du Patriot Act, voilà sa dernière trouvaille : http://www.google.com/hostednews/afp/artic…eDDrVuPSLh1XrSA

Pour cela, les règles du "secret fiscal" seront "levées pour permettre aux forces de sécurité d'être plus efficaces", a dit le ministre du budget. Au plan législatif", des dispositions du texte sur le code des impôts relatif au train de vie seront également revues.

après le délit de sale gueule, le délit de grosse voiture ?

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Hadopi : NPA Conseil propose de taxer les moteurs de recherche

Oh une taxe, ça faisait longtemps !

Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, a officiellement confié au début du mois une mission à Patrick Zelnik afin non seulement d'améliorer l'offre légale de musiques et de films sur Internet, mais aussi d'accroître la rémunération des auteurs et des créateurs.

Fin de la mission Zelnik dans deux mois

mini-75852-ecran-total-taxer-moteurs-de-recherche.jpg Le magazine Écran Total, dans son édition du 23 au 29 septembre, a cependant publié une information particulièrement intéressante sur le sujet.

En effet, nous apprenons qu'un questionnaire a été envoyé à de nombreuses organisations (dont certaines n'ont quasiment aucun rapport avec le schmilblick), et que les réponses doivent arriver au plus tard le 28 septembre.

Autre information, Patrick Zelnik, Guillaume Cerutti (Sotheby's France) et Jacques Toubon (ancien ministre de la Culture dans les années 90) devraient rendre leurs conclusions fin novembre au plus tard. Nous en saurons donc plus d'ici deux petits mois.

Plus intéressant encore, Écran Total révèle qu'une étude du cabinet NPA Conseil (spécialisé dans les médias) laisser entendre que l'une des solutions pour améliorer le financement de la production audiovisuel serait de taxer indirectement les moteurs de recherche.

Les médias Web exploitent les médias traditionnels

« Baptisée “Captation de valeur”, celle-ci [cette étude, NDLR] s'intéresse de près au rôle que jouent les moteurs de recherche dans la sphère numérique » explique l'hebdomadaire spécialisé. « Car, en France, le constat est accablant. Google, AOL Publicité, Microsoft Advertising et Yahoo ! raflent les premières places des régies publicitaires, sans toutefois que ces portails investissent dans les contenus. Pour le cabinet d'étude, les moteurs de recherche et portails, qui échappent aujourd'hui à toute taxation du fait de leur à positionnement à l'étranger (Irlande, Luxembourg…) pourraient être mis à contribution par une taxation à la source sur leurs annonceurs » résume Écran Total.

Afin d'en savoir plus, nous nous sommes procurés l'étude de NPA Conseil. Cette dernière fait effectivement le lien entre Internet et les autres médias traditionnels. Après avoir comparé les croissances et les résultats financiers de diverses sociétés (de TF1 en passant par France Télécom, Google et Microsoft), NPA Conseil note ainsi que « les médias traditionnels peinent à tirer profit des investissements consentis dans la production de contenus pour le web ».

Pointé du doigt par l'étude, le poids des régies Web des groupes médias comparé à celui des régies Web des groupes Web (Microsoft, etc.). Avec 77 % du marché, les régies Web écrasent les médias traditionnels. Et encore, les chiffres (source Yacast) ne prennent pas en compte Google. En somme, les médias traditionnels n'arrivent pas à capter la manne financière de la toile, et c'est un problème (pour eux).

Ci-dessous, un graphique intégrant Google, et concernant uniquement la France.

mini-75853-revenu-publicitaire-regie-web-yacast.jpg

* estimations. (Source : Yacast)

NPA Conseil explique d'ailleurs que « les dépenses en display sont largement minoritaires au sein du total des investissements publicitaires en ligne par rapport au « search », marché préempté par les moteurs de recherche. Par conséquent, la part de marché des moteurs et portails sur les investissements publicitaires (display + search) en ligne peut être évaluée à 70 % environ en 2008 contre 29 % en 2003. »

Il y a donc un fossé entre ceux qui créent, et ceux qui profitent directement ou indirectement de la création, en l'occurrence, aujourd'hui, les moteurs de recherche principalement. Nous en arrivons donc à notre sujet, c'est-à-dire l'augmentation des revenus des auteurs et des créateurs, ne l'oublions pas.

La conclusion de l'étude est relativement explicite. NPA Conseil rejette certes l'idée d'obliger les portails à participer au financement de la production, « en raison de leur caractère international », ce qui nécessiterait « une action concertée au plan mondial ». En somme, une telle obligation paraît bien complexe, pour ne pas dire impossible aujourd'hui.

Cependant, « les ressources de ces services émanant directement de la publicité, une des solutions pourrait être de taxer les investissements des annonceurs français sur ces portails ». L'idée est donc de taxer les moteurs de recherche de façon indirecte, en s'attaquant aux annonceurs.

« Les annonceurs pourraient être assujettis à une taxe assise sur leurs investissements publicitaires internet. Cette dernière alimenterait le COSIP ou un autre fonds créé à cette occasion et visant à financer les œuvres audiovisuelles et cinématographiques françaises et OEF » explique NPA Conseil.

Attention, cette étude n'a pas été commandée par la Mission Zelnik. Elle tombe cependant à point nommé, alors que cette mission a justement pour but de chercher des moyens de financement. Or « Jacques Toubon a confirmé que cette question rentrait dans le cadre de la mission "Création et internet" » nous apprend Écran Total.

Cela signifie-t-il que le Web, ou plutôt ses annonceurs, doivent s'attendre à être taxés ? Rien ne l'assure. Mais c'est une possibilité… D'autant que l'idée de taxer le Web (les FAI plus précisément, voir les actualités relatives) n'est pas nouvelle.

http://www.pcinpact.com/actu/news/53208-np…s-recherche.htm

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Ce qui est formidable avec la créativité fiscale des brigands en col blanc de l'UMP, c'est qu'elle va de paire avec une créativité linguistique. On se souvient de la bucolique "contribution énergie-climat"; cette fois Coppé fait dans la desintégration de noyau sémantiquement stable puisqu'il explique que taxer les accidents du travail est une " mesure de justice et d'équité ", " la réparation d'un préjudice " :

:icon_up:

A l'UMP, M. Copé évoque "une mesure d'équité car les congés-maternité, les indemnités chômage et les arrêts de travail sont déjà fiscalisés". "L'accident du travail est une niche fiscale."
:doigt:
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Ce qui est formidable avec la créativité fiscale des brigands en col blanc de l'UMP, c'est qu'elle va de paire avec une créativité linguistique. On se souvient de la bucolique "contribution énergie-climat"; cette fois Coppé fait dans la desintégration de noyau sémantiquement stable puisqu'il explique que taxer les accidents du travail est une " mesure de justice et d'équité ", " la réparation d'un préjudice " :

:doigt::mrgreen:

La désintégration sémantique est souvent le prélude au totalitarisme.

:icon_up:

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:icon_up: 1 milliards 400 millions pour Google en Fraônce ? Y'a pas une erreur, là ? :doigt:

CITATION

Ci-dessous, un graphique intégrant Google, et concernant uniquement la France.

* estimations. (Source : Yacast)

Comment isoler la france sur le net? internet ne connait pas de frontières, c'est tout son intérêt…

Petit hors sujet: sur mon blog, Blogger, donc google, j'ai installé des wiggets Barre de recherche vidéo…Youtube, donc Google, je programme pour visionner Ron Paul, ou mon sensei, mais c'est trés instable…les pubs pour une bagnole reviennent en permanence…Si quelqu'un connaît un truc pour se débarrasser de ces pubs intempestives…en tout cas, rien qu'avec un client comme moi, google doit arriver à vendre de la disponibilité de cerveau à ses annonceurs…il serait intéressant d'avoir les chiffres par l'autre bout de la lorgnette….combien un blog, une vidéo ou une simple recherche google rapporte par clic via la pub…je serais curieuse de savoir combien en tant que cliente, je leur rapporte…

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Une nouvelle proposition de taxe sur les échanges de devises.

Une taxe "infime" est-il précisé, au début tout au moins…

http://www.nytimes.com/2009/09/24/opinion/…l?th&emc=th

Op-Ed Contributor

A Tiny Tax Could Do a World of Good

Paul Davis

By PHILIPPE DOUSTE-BLAZY

Published: September 23, 2009

AS leaders of the world’s largest economies gather today in Pittsburgh for the Group of 20 meeting, people in the world’s poorest countries will likely look on with a mix of hope and trepidation, wondering whether their needs will figure in the deliberations at all. The G-20 nations could help both the poor and the global economy by fully financing lagging efforts to fight poverty and disease worldwide, and the best way to do this would be to impose a very small tax on the prosperous foreign exchange industry.

The eight United Nations Millennium Development Goals — which include eradicating extreme poverty and hunger, establishing universal primary education, reducing child mortality, improving maternal health and combating AIDS, malaria and other diseases — are meant to be reached by 2015. Morally and practically, the world must try harder to keep these promises. President Obama has made it clear that the United States has, in his words, “a responsibility to protect the health of our people, while saving lives, reducing suffering and supporting the health and dignity of people everywhere.”

Disease takes an enormous toll on economic growth: it sidelines or kills productive workers and causes tremendous suffering. Take, for instance, tuberculosis, an illness that with the right treatment can usually be cured. In 2007, it killed nearly 1.8 million people, more than 600 times the number who have died from H1N1 swine flu. The World Bank estimates that tuberculosis has caused the gross domestic product in some countries to fall as much as 7 percent.

Or consider maternal health. About 530,000 women worldwide die each year from pregnancy-related causes, most of them preventable, and millions more suffer injuries or develop lifelong disabilities. A serious effort to reduce those numbers would bring real economic gains. Improvements in the health of Asian women and children accounted for a significant share of that continent’s economic growth from 1965 to 1990.

Unfortunately, though, there is an enormous shortfall in the level of outside aid needed to reach the goals the world has set. Donor countries, including the wealthiest of the G-20, are providing only 0.3 percent of their combined income in development aid. Although the donor countries have made commitments to provide more money, they are not giving it fast enough to tackle runaway health problems, including the emergence of drug-resistant pathogens that threaten people across the globe.

The one untapped source that could easily provide the amount of money needed is the foreign currency market, which handles almost $800 trillion in trades annually, all of which is untaxed. A tiny levy of 0.005 percent on transactions involving the world’s most traded currencies — the dollar, the euro, the pound and the yen — would raise more than $33 billion annually for development, while not hurting the market or affecting the average international traveler.

The tax could be collected automatically by the computer system that handles foreign exchange transactions — so it would be easy to put into place, and impossible to evade. And because not all currencies would be taxed, only the countries whose currencies would be affected would need to consent. France already supports the idea, and Chancellor Angela Merkel of Germany has signaled her willingness to consider it.

We have already seen what innovative taxation can do to save lives, with sufficient political will. Since 2005, France and 10 other countries have collected a small tax on airline tickets (in France, it amounts to only $1 to $5 per ticket). And this has, without hurting the airline industry, raised about $700 million — enough to finance three-quarters of the AIDS treatment now being received by the world’s H.I.V.-positive children. Unitaid, the international organization that I lead and that manages the money from the airline tax, has also been able to negotiate 50 percent to 60 percent reductions in the price of pediatric anti-retroviral drugs in low-income countries.

How should the proceeds of a foreign exchange transaction tax be managed? One model is the Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria, which holds medical programs in more than 100 countries to high performance standards, and can withhold financing when money is not used properly.

The banking industry has so far managed to keep currency trading untaxed, but this industry, which has so recently been dependent on government aid, has a duty to give back. President Obama has reminded Wall Street leaders about what he called their “obligation to the goal of wider recovery, a more stable system and a more broadly shared prosperity.” The same principle applies internationally. President Obama and other G-20 leaders should harness the mighty foreign exchange market in the service of better health for all.

Philippe Douste-Blazy, the French foreign minister from 2005 to 2007, is the chairman of Unitaid and a special adviser to the United Nations secretary general on innovative financing.

C'est Douste-Blazy, le "conseiller special au sécrétaire générale des Nations Unies sur l'innovation financière"… et fiscale.

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Cela ne va pas faire plaisir à tous les 'scalpers' exerçant sur le forex, car si c'est bien une taxe appliquée à chaque transaction, ce ne sera au bout du compte pas si 'tiny' pour ceux qui recherchent à capter les mouvements minimes des devises qu'il soit question de 5 ou de 200 transactions par jours.

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Depuis que je suis sur ce forum on annonce la banqueroute chaque année. Cela me fait un peu penser au Peak Oil ou à la disparition de la banquise antarctique.

Demain c'est sûr.

On rase gratis.

L'avantage c'est qu'un jour, on aura eu raison :icon_up: . Et avant tout le monde, en plus :doigt: .

Indépendamment de ça, il n'en reste pas moins que des signes s'accumulent, ne trouvez-vous pas ?

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