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En fait, j'essaie de comprendre qui paie la taxe sur la valeur ajouté, le consommateur ou le producteur.

En farfouillant, j'étais tombé sur cet extrait de Power & Market de Rothbard :

http://books.google.fr/books/about/Power_and_Market.html?hl=fr&id=VS5gIb1S8ewC (p111)

A general sales tax is the classic example of a tax on producers that is believed to be shifted forward. The government, let us say, imposes a 20-percent tax on all sales at retail. We shall assume that the tax can be equally well enforced in all branches of sales.To most people, it seems obvious that the business will simply add 20 percent to their selling prices and merely serve as unpaid collection agencies for the government. The problem is hardly that simple, however. In fact, as we have seen, there is no reason whatever to believe that prices can be raised at all. Prices are already at the point of maximum net revenue, the stock has not been decreased, and demand schedules have not changed. Therefore, prices cannot be increased. Further- more, if we look at the general array of prices, these are determined by the supply of and the demand for money. For the array of prices to rise, there must be an increase in the supply of money, a decrease in the schedule of the demand for money, or both. Yet neither of these alternatives has occurred. The demand for money to hold has not decreased, the supply of goods available for money has not declined, and the supply of money has remained constant. There is no possible way that a général price increase can be obtained.

It should be quite evident that if businesses were able to pass tax increases along to the consumer in the form of higher prices, they would have raised these prices already without waiting for the spur of a tax increase. Businesses do not deliberately peg along at the lowest selling prices they can find. If the state of demand had permitted higher prices, firms would have taken advantage of this fact long before. It might be objected that a sales tax increase is general and therefore that all the firms together can shift the tax. Each firm, however, follows the state of the demand curve for its own product, and none of these demand curves has changed. A tax increase does nothing to make higher prices more profitable.

The myth that a sales tax can be shifted forward is compara­ble to the myth that a general union-imposed wage increase can be shifted forward to higher prices, thereby "causing inflation." There is no way that the general array of prices can rise, and the only resuit of such a wage increase will be mass unemployment.

Many people are misled by the fact that the price the con­sumer pays must necessarily include the tax. When someone goes to a movie and sees prominently posted the information that the $1.00 admission covers a "price" of 85cents and a tax of 15 cents, he tends to conclude that the tax has simply been added on to the "price." But $1.00 is the price, not 85cents, the latter sum being the income accruing to the firm after taxes. This income might well have been reduced to allow for payment of taxes.

In fact, this is precisely the effect of a general sales tax. Its immediate impact lowers the gross revenue of firms by the amount of the tax. In the long run, of course, firms cannot pay the tax, for their loss in gross revenue is imputed back to inter- est income by capitalists and to wages and rents earned by orig­inal factors—labor and ground land. A decrease in the gross revenue of retail firms is reflected back to a decreased demand for the products of ail the higher-order firms. All the firms, however, earn, in the long run, a pure uniform interest return.

En partant de ton exemple Arturus, je n'arrive pas à prouver que le brasseur n'augmentera pas le prix de la bière, comme le montre Rothbard, et cela fait 2h que je tourne le truc dans tous les sens…en vain.

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En fait, j'essaie de comprendre qui paie la taxe sur la valeur ajouté, le consommateur ou le producteur.

Cette question est réthorique car tout consomateur est aussi un producteur (peut être pas des mêmes produits) et inversement. Tout dépend du moment de la journée où on se place.

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Une taxe sur, tenez vous bien :

http://www.pcinpact.com/news/74687-tst-aurelie-filippetti-veut-taxer-densite-audiovisuelle-net.htm

La densité audiovisuelle du net! :icon_ptdr:

Ce n'est pas la densité neuronale de son cortex mais bien le cerveau reptilien qui a pris le pouvoir et il entend le faire savoir.

Hier soir j'ai vu un reportage de Thalassa sur la sicile, il y avait un volet sur la mafia. Quand un type ouvre un hôtel ou un restau on vient lui demander une taxe sur son choffre d'affaire et s'il est gentil il a un abattement sinon il est abattu. On notera que le discours de la minustre est tout en tout point identique : je veux dire les impôts existent déjà mais il y a une nouvelle activité, qui comme le nouveau restau, génère de la richesse il n'en faut pas plus pour exciter l'instinct parasitaire du socialiste qui n'est jamais bien loin.

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En fait, j'essaie de comprendre qui paie la taxe sur la valeur ajouté, le consommateur ou le producteur.

Le consommateur, et si celui-ci ne peut plus la payer c'est le producteur qui va le sentir passer.

Une augmentation de taxe n'est pas neutre sur la consommation, c'est evident.

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Cette question est réthorique car tout consomateur est aussi un producteur (peut-être pas des mêmes produits) et inversement.

Peut-être, pour être franc je ne suis pas à l'aise avec ces mécanismes. Mon éducation économique se limite à un master en finance de marché (la seule compréhension de la composante mathématique me permettait d'avoir la moyenne: j'ai arbitré en conséquence et je tente maintenant de rattraper mes lacunes).

Quoiqu'il en soit, j'ai avancé mon propos dans un nouveau post pour ne pas envahir ce fil de discussion : http://www.liberaux.org/topic/50759-lanalyse-autrichienne-de-limpot-sur-les-ventes-de-detail/

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Et que dire des médecins qui ne font pas payer la prise de rendez-vous chez un spécialiste ou font payer moins de 7€ pour la lecture d'un bilan sanguin ?

Il faut les obliger à faire payer 23€ toutes leurs consultations ?

Marrant, j'ai justement été chez un doc' (un truc social ou tu te pointes sans rdv et dont les gens dans la salle d'attente font peurs) y a deux jours pour une visite médicale sportive.

Ça a pris 5 minutes (tension, respiration, coeur) et deux tampons, et je suis sorti sans payer.

Après 10 mètres dans la rue, je m'en suis rendu compte et j'ai voulu faire demi-tour pour payer mes 23€ puis je me suis dit que je n'allais pas aggraver le trou de la SECU, alors, en bon amitié avec la France, je n'y suis pas retourné :dentier:

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Elle s'en fout elle vie entre New York et Marrakech. La gauche bobo c'est faites ce que je dis mais pas ce que je fais.

oh j'ai laissé passer ça, s'cuse-moi, je ne suis pas revenu sur ce fil depuis un moment. Anne Sinclair, qui est l'héritière d'un des plus gros marchands de tableaux de l'entre-deux guerres, est imposée en France. Il lui arrive de temps en temps de lâcher une des pièces de sa collection justement pour payer ses impôts. C'est donc le genre de mesure qui doit vraiment la pousser vers son riad à Marrakech ou son appart sur park avenue.

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Tu veux dire que c'est une pratique courante ?

j'ai été 4x en un an en France, pour les même raisons, ça ne m'est arrivé qu'une seule fois, c'est pour ça que je pense que c'était un oubli.

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Anne Sinclair, qui est l'héritière d'un des plus gros marchands de tableaux de l'entre-deux guerres, est imposée en France. Il lui arrive de temps en temps de lâcher une des pièces de sa collection justement pour payer ses impôts. C'est donc le genre de mesure qui doit vraiment la pousser vers son riad à Marrakech ou son appart sur park avenue.

Au temps pour moi alors. Ce qui est certain c'est que ce genre de mesures la pousse chaque fois plus vers l'étranger oui.

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(un truc social ou tu te pointes sans rdv et dont les gens dans la salle d'attente font peurs) y a deux jours pour une visite médicale sportive.

Ça a pris 5 minutes (tension, respiration, coeur) et deux tampons, et je suis sorti sans payer.

T'inquiètes pas .Je connais ce genre de centre. Il y en a un à Paris près du métro Réaumur Sebastopol .

Tu peux partir tranquillement sans payer….. car eux se font payer directement par la securité sociale. :dentier:

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Un terrain propice à des taxes, des lois inutiles…:

Le gouvernement va mettre en place un plan d'action afin de diviser par deux le volume de déchets alimentaires d'ici à 2025. Chaque année, un Français jette entre 20 et 30 kilos de nourriture à la poubelle.

La lutte contre le gaspillage alimentaire, nouveau cheval de bataille du gouvernement. Profitant de l'ouverture ce dimanche du Salon international de l'agroalimentaire (Sial), Guillaume Garot, ministre délégué chargé du secteur, annonce la mise en place d'un plan d'action visant à réduire de moitié le gaspillage alimentaire d'ici à 2025.

Légumes abîmés, yaourts périmés, assiette entamée des cantines ou pain des restaurants: «Chaque Français jette de 20 à 30 kilos de nourriture par an», déplore le ministre dans un entretien au Journal du dimanche . «Ce gaspillage représente environ 400 euros pour une famille de quatre personnes, autant d'argent jeté par la fenêtre ou à la poubelle», ajoute-t-il. Consommateurs et industriels, «tout le monde» est concerné, selon le gouvernement.

Pour lutter contre ce qu'il nomme «les dérives de la société de surconsommation», Guillaume Garot prévoit cinq actions qui associeront des commerçants («je pense à Casino, Monoprix ou Système U»), des associations, des industriels, des marchés comme Rungis et les cantines. Le ministre discute actuellement avec les industriels de la possibilité de réduire les volumes des produits en proposant, par exemple, la vente de yaourt à l'unité plutôt que par lot de quatre ou six. «Les packs de produit incitent à trop acheter», explique-t-il. Du côté des grandes surfaces, l'idée serait de différer les promotions: «Aujourd'hui, si vous achetez deux produits dans le cadre d'une promo, vous partez avec un troisième gratuit qui risque de se périmer. Demain, le magasin proposera au client d'emporter son lot plus tard», précise le ministre.

Favoriser la récupération

Le plan d'action souhaite également inciter les commerçants, non pas à revoir le système de dates de péremption mais plutôt à «améliorer la gestion des stocks en retirant bien plus tôt les produits des rayons, avant leur date limite, pour mieux les redistribuer vers l'aide alimentaire». Le travail des associations de collecte des invendus sera aussi facilité par l'élargissement des contrats avec les marchés d'intérêt national (MIN) comme Rungis. «Sept grands MIN ont signé des contrats. L'opération sera généralisée aux 22 MIN en 2013», précise Guillaume Garot.

Côté cantine, cinq opérations pilotes de lutte contre le gaspillage seront lancées en janvier dans des collèges en Dordogne et un restaurant d'entreprise en Mayenne. «Il s'agira de mieux ajuster les portions alimentaires.»

Enfin, une campagne de sensibilisation «sur le mode de l'humour» débutera en janvier. Le ministère a aussi lancé un site Internet, www.gaspillagealimentaire.fr, qui sera complété en décembre par une plate-forme intitulée «Le magasin» qui mettra en contact «ceux qui donnent et ceux qui reçoivent». Les résultats de ces actions seront examinés au printemps et en juin, le ministère proposera «un pacte national contre le gaspillage», promet Guillaume Garot.

Question de moyens

La Croix Rouge a salué ce dimanche la volonté du gouvernement de lutter contre le gaspillage alimentaire, même si 2025 semble «un peu lointain», selon le directeur de l'action sociale à la Croix Rouge française, Didier Piard. «Il y a toujours une crainte pour nous, associations, que ce soit une déclaration un peu incantatoire. S'il n'y a pas d'outils d'évaluation réguliers tous les ans, pour moi ça n'a pas de sens», a-t-il ajouté. Il faut selon lui «définir dès l'année prochaine des indicateurs de lutte contre le gaspillage sur ce que l'on est le mieux en capacité d'évaluer: les industriels et la grande distribution».

Par ailleurs, pour faciliter la tâche aux associations de collecte, la Croix Rouge estime que le plan actuel doit également «s'accompagner de moyens pour que les grandes associations puisse conserver les denrées collectées auprès de la grande distribution et se structurer». «Nous ramassons à la Croix Rouge à peu près un tiers de nos approvisionnements pour l'aide alimentaire aux plus démunis. Je souhaiterais arriver à 50%, voire 60%», a-t-il précisé.

Source: Le Figaro.

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Le ministère a aussi lancé un site Internet, www.gaspillagealimentaire.fr, qui sera complété en décembre par une plate-forme intitulée «Le magasin» qui mettra en contact «ceux qui donnent et ceux qui reçoivent».

Alléluia nous sommes presque sauvés. Je dis presque parce qu'il manque tout de même un numéro azur !

Ca pourrait être intéressant d'ailleurs d'avoir une arborescence de tout les sites à la con crées par les agences gouvermentales.

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Un terrain propice à des taxes, des lois inutiles…:

[…]

Source: Le Figaro.

A propos du gaspillage alimentaire (et des "économies" d'eau, c'est en partie lié). Discussion avec une connaissance de la famille, il y a quelques temps, qui était agri, en plusieurs points :

- on a fait la chasse aux "gros" prédateurs de la campagne et proche ville (chiens sauvages, renard, mustelidés ou loups dans certaines régions), par arme à feu et chasse, ou aujourd'hui avec graines empoisonnées (surtout les renards dans ce dernier cas)

- la population de nuisibles a une certaine taille, qui varie peu (rats, mulots & surmulots, souris, lièvres et lapins sauvages etc…), et la chute du nombre de prédateurs n'aide pas à réduire cette population

- avec le bourrage de crane qu'on fait subir au gens (gaspillez moins d'eau, etc…), les égouts se retrouvent parfois en basses eaux, ou à sec, vecteur de puanteurs, et de remontées à sec pour les nuisibles

- les "déchets" alimentaires, le "gaspillage", permet à cette population de nuisibles de se nourrir facilement

- avec le tri, le bourrage de crane, les déchets alimentaires sont moins nombreux, et les nuisibles remontent plus loin en ville

=> on se retrouve avec des bestioles dans des coins où il n'y en avait pas, vecteurs de maladie, et agressives parce qu'il y a moins de nourriture.

Après, il faut pondérer par le facteur du "ralalah, c'était mieux avant", mais la discussion était intéressante…

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Si seulement ces guignols comprenaient qu'une partie du gaspillage était lié à l'interdiction de faire de la revente à perte, on ferait un grand pas en avant.

Exactement. Le gaspillage se fera en amont, au niveau du magasin.

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Si seulement ces guignols comprenaient qu'une partie du gaspillage était lié à l'interdiction de faire de la revente à perte, on ferait un grand pas en avant.

Sans oublier que la restauration, l'hôtellerie et les grandes surfaces sont ceux qui génèrent le plus de déchets alimentaires. Car les normes sanitaires interdisent aux restaurants de refourguer les restes des assiettes aux sans-abris, et interdisent aux grandes surfaces de refourguer des produits soi-disant périmés, même s'ils se sont périmés le jour-même.

Mais bon, tout le monde fait comme si ça n'existait pas et on va encore se plaindre de notre société matérialiste.

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Un cas d'école de mise en place d'une taxe, avec la conception de l'usine à gaz, sa mise en place, Bruxelles qui s'en mêle, etc :

Un nouveau projet de taxe sur les distributeurs de services audiovisuels sera donc présenté à la Commission européenne. La France devra tenir compte de la réglementation de 2002.

Le bras de fer entre la France et la Commission européenne sur la réforme de la TSTD - taxe payée par les distributeurs de télévision, incluant les fournisseurs d'accès à Internet, a tourné en faveur de Bruxelles. Opposant son veto à la proposition de la France faite l'année dernière, qui prévoyait une taxation de l'ensemble du chiffre d'affaires des opérateurs avec un taux plus bas, et non plus les seuls services audiovisuels, le gouvernement a dû rebrousser chemin. Vendredi dernier, Aurélie Filippetti, ministre de la Culture et de la Communication, a donc annoncé le retrait du projet, la Commission menaçant de lancer un examen approfondi. Une nouvelle « taxe » sera présentée d'ici à la fin de l'année, d'abord au Parlement, puis à la Commission. Plutôt que de s'enfermer dans une négociation sans issue avec la Commission, le gouvernement a préféré repartir de zéro.

Free et SFR contournent la taxe

Cette taxe est importante : créée en 2008 pour tenir compte de l'émergence des offres de télévision via Internet, elle a vu son rendement exploser, passant de 94 millions en 2008 à 322 millions l'année dernière. L'émergence des offres de télévision sur Internet explique la forte hausse de son rendement. Mais Free puis SFR ont mis en place des stratégies de contournement de cette taxe : ainsi, Free ne facture la télévision que 2 euros par mois dans le cadre de son offre « triple play ». :lol: De ce fait, le rendement de la taxe est menacé. Le CNC estime à 140 millions d'euros les recettes qu'il peut perdre l'année prochaine si tous les opérateurs mettent en place une telle stratégie de contournement.

Aujourd'hui, tout l'enjeu pour le gouvernement est donc de conserver le caractère « dynamique » de cette taxe, au fur et à mesure de l'explosion des usages de consommation de télévision sur Internet. Mais il doit aussi anticiper les possibilités de contournement par les opérateurs, et être en conformité avec la réglementation européenne. Cette dernière interdit une taxation des offres Internet sans lien avec les usages. « Nous allons proposer une assiette qui puisse être compatible avec les desiderata de Bruxelles et qui n'entravera nullement le développement des réseaux. La taxe restera liée au chiffre d'affaires [des opérateurs, NDLR] par un taux », a indiqué Aurélie Filippetti vendredi dernier, à l'occasion des rencontres de Dijon. En clair, :lol: la taxe sera assise sur le chiffre d'affaires des opérateurs dans leurs offres Internet haut débit, mais des abattements seront mis en place pour tenir compte de « l'intensité audiovisuelle » de ces offres. La quantification de cette intensité audiovisuelle reste à définir. A priori, l'idée de taxer les opérateurs sur la base d'un forfait a été écartée, mais l'arbitrage final n'a pas encore été rendu.

C'est clarifié mais ça reste à être défini. :facepalm:

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Et sinon :

Alors que les éditeurs de presse français demandent à Google de les rémunérer pour l'utilisation de leurs contenus et que le moteur de recherche menace de les déréférencer si une loi l'obligeait à le faire, les journaux brésiliens ont apporté, ce week-end, leur témoignage à l'affaire. L'Association nationale des journaux brésiliens (ANJ), qui représente 154 titres, affirme ne pas regretter d'avoir quitté Google News il y a un an, pour les mêmes raisons. Selon son président, le bilan est positif et Google News ne contribuait pas à l'augmentation des audiences digitales. En moyenne, les journaux auraient perdu 5 % de trafic mais de plus en plus d'internautes se rendraient directement sur leur site.
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Voilà bizarrement en France, ils veulent le service de Google et la taxe, logique ? Non, français !!

En tant que telle on voit bien que cette revendication ne tient pas debout, qu'il s'agit là pour le gouvernement de trouver un prétexte pour tondre Google.

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Google News ne contribuait pas à l'augmentation des audiences digitales. En moyenne, les journaux auraient perdu 5 % de trafic

wat?

Ils sont content d'avoir perdu 5% de trafic ? Je comprends pas le raisonnement là.

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Un cas d'école de mise en place d'une taxe, avec la conception de l'usine à gaz, sa mise en place, Bruxelles qui s'en mêle, etc :

[/size][/font][/color]

C'est clarifié mais ça reste à être défini. facepalm.gif

Excellent. Le gouvernement pensait vraiment que les opérateurs télecoms seraient les perdreau de l'année ? :icon_biggrin:

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ça devient carrément violent suite au vote du malus écologique pour les voitures .

Le texte adopté va faire passer la part des véhicules assujettis à cette taxation écologique de 11,6 % en 2011 à plus de 18 % en 2013. A partir de 2013, le malus se déclenchera à partir d'un taux d'émission de CO2 de 135 gramme par kilomètre (g/km), contre 140 g/km auparavant. Et toutes les tranches voient leur taxation s'alourdir de 50 % à 167 %, les acheteurs des véhicules les plus polluants (plus de 200 g/km) devant s'acquitter d'un malus de 6 000 euros.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/10/23/le-malus-automobile-vote-dans-sa-version-dure_1779655_3244.html#xtor=AL-32280308

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http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/10/23/competitivite-moscovici-veut-un-allegement-des-charges-des-entreprises-mais-pas-de-hausse-de-la-csg_1779563_823448.html

Ya un truc qui m'échappe: comment on peut proner une baisse des charges sociales tout en demandant l'augmentation de la CSG? La CSG c'est bien une charge sociale, non? Pourquoi LG a proposé de baisser les charges en augmentant la CSG?

Ou alors la CSG n'entre en compte que dans l'IR? Auquel cas on va encore assommer un peu plus les classes moyennes? MAIS C'EST GENIAL, CA!

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