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Vu Rush, le film sur la rivalité Lauda/Hunt. J'ai passé un bon moment, les scènes de course – en particulier par temps pluvieux– sont assez impressionnantes et globalement l'histoire est bien montée.

 

Ça vaut le coup si on n'y connait rien à la F1 ?

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J'ai beaucoup aimé alors que la F1 et moi...On parle course bien sûr mais c'est surtout la rivalité et le contraste entre les deux pilotes qui sont mis en avant. Il y a des scènes de course auto mais elle sont bien amenées et bien tournées du coup même pour quelqu'un qui n'est pas fan de sports mécaniques ca passe très bien.

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Kechiche: le financement "paternaliste" du cinéma en France entrave la liberté de création

De Anca TEODORESCU (AFP) – Il y a 3 heures  

Bucarest — Le financement "paternaliste" du cinéma français entrave la liberté de création, a regretté dans un entretien à l'AFP Abdellatif Kechiche, Palme d'Or à Cannes pour "La Vie d'Adèle", souhaitant que la France s'inspire du modèle américain.

"Aux Etats-Unis, on considère le cinéma comme une industrie. Il est indépendant de l'Etat et les producteurs savent qu'ils ont besoin du cinéma d'auteur, de sa créativité, de sa nouveauté. Ils le financent et prennent des risques en le finançant parce qu'ils savent (...) qu'il y a peut-être une grande oeuvre qui va naître de ce cinéma-là", a estimé M. Kechiche qui présentait "La Vie d'Adèle" au festival "Les films de Cannes à Bucarest".

Ce long métrage qui raconte la rencontre et la passion de deux jeunes femmes (Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux), vient de sortir aux Etats-Unis et dans plusieurs pays européens.

"En France, pour le financement des petits films, on nous donne l'impression que c'est de la mendicité (...) On finance les petits films en les cadrant et, finalement, ils ne sont pas de véritables films d'auteur, on les oblige à entrer dans un cadre, qu'il s'agisse du minutage ou de l'histoire qu'ils racontent", a déploré le cinéaste franco-tunisien.

"Souvent, le réalisateur (...) ne fait qu'accompagner son pauvre film, en essayant de sauver les meubles", a-t-il encore regretté.

"Je me pose la question de l'implication de l'Etat dans le financement des films" en France, confie-t-il, rappelant que deux de ses long métrages les plus audacieux, "La vie d'Adèle" (2013) et "L'Esquive" (2004), oeuvre subtile qui met à mal les clichés sur les cités, ont été réalisés sans financement d'Etat.

Se considérant comme "le poisson qui est passé à travers les mailles d'un filet" parce qu'il a eu la chance de rencontrer au bon moment des gens qui ont cru en lui et à ses projets, il estime que "les hommes politiques ne savent pas de quoi ils parlent quand ils parlent de cinéma".

La solution idéale serait selon lui de nommer "des gens qui ont une véritable expérience de producteurs" à la tête des institutions cinématographiques.

"Le système de financement public fait que le véritable producteur n'existe pratiquement plus en France", ce qui "nuit à la liberté de création", regrette M. Kechiche.

"Il y en a encore quelques-uns qui sont prêts à se ruiner pour faire des films mais la réalité c'est que souvent ce sont des banquiers qui deviennent producteurs et qui ne savent pas comment se fabrique un film, qui ne savent pas ce que c'est qu'un acteur", a-t-il lancé.

De son côté, le réalisateur connu pour son approche humaniste et couvert de trophées --de la Palme d'Or à Cannes en 2013 au Prix du Jury au Festival de Venise en 2007 pour "La Graine et le mulet"-- confie avoir eu la chance de trouver les producteurs de la maison Wild Bunch "qui aiment le cinéma et qui prennent des risques pour faire des films".

Il leur "fait confiance" pour décider avec lui de son prochain film parmi les nombreux projets qu'il a en tête: "comme je suis tellement plongé dans chaque projet, c'est bien qu'ils soient là avec leur distance et leur réflexion".

Aux réalisateurs débutants, il conseille "de se débrouiller à faire des films sans rien en attendant que les choses changent".

Mais il garde son "optimisme": "beaucoup de gens sont conscients qu'il faut changer les choses" dans le financement du cinéma français.

 

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ivTpBn71evJvpU3axEOCxCYTFHiw?docId=c53b62dc-5053-4d20-9c80-200b86c5409b

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J'ai beaucoup aimé alors que la F1 et moi...On parle course bien sûr mais c'est surtout la rivalité et le contraste entre les deux pilotes qui sont mis en avant. Il y a des scènes de course auto mais elle sont bien amenées et bien tournées du coup même pour quelqu'un qui n'est pas fan de sports mécaniques ca passe très bien.

Rush est le meilleur film que j'ai vu cette année.

 

Ok, merci pour les conseils. Cela dit, je m'y prends un peu tard, il n'y a quasiment plus aucune séance.

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Il y a prisoners qui est pas mal aussi parait-il.

Houaip. Je l'ai vu sans connaître l'histoire. C'est très bon.

La Stategie Hender est réussi. Il y a pas mal d'enseignement en stratégie même si l'idée de sélectionner des enfants pour conduire une armée est absurde.

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Houaip. Je l'ai vu sans connaître l'histoire. C'est très bon.

La Stategie Hender est réussi. Il y a pas mal d'enseignement en stratégie même si l'idée de sélectionner des enfants pour conduire une armée est absurde.

Les enfants en question ont été conçus sur commande, par sélection drastiques de leurs parents. C'est pour ça qu'Ender est un Troisième, avec dérogation exceptionnelle délivrée à ses parents: parce que les deux premiers "essais" se sont avérés non-concluants - Peter est un sociopathe, Valentine trop empathique. C'est une simple "option" prise sur l'avenir lors de la conception du plan d'expédition punitive, des décennies plus tôt, parce qu'ils avaient le temps pour mettre en place le bazar et que ça ne coûte pas tellement plus au final. S'ils n'évaient pas été à la hauteur des attentes, les militaires auraient simplement fait commander l'attaque par des officiers "normaux".

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J'ai été super déçu par Ender's game, et pas seulement parce que j'ai adoré le bouquin. Les amateurs de science fiction que j'avais amené avec moi qui ne l'avaient pas lu ont aussi trouvé le film très mauvais. Une grande partie des points importants sont très mal amenés

en gros toute la fin est foutue n'importe comment, particulièrement si on a pas lu le livre, impossible de savoir qu'il se doute que ce n'est pas une simulation et qu'il essaye de se le cacher, toute la partie geo-po est mise de coté pour transformer son exil en acte volontaire etc...
Et serieux, Bonzo madrid ? ils ont essayé de transcrire la scène comme dans le bouquin sans parler du risque qu'il encourait et du fait que c'était un test et un risque de la part de graff

En gros, tout ce qui est patiemment amené dans le bouquin est montré puis expliqué après coup, c'est vraiment mauvais comme technique cinématographique. On dirait de l'art contemporain pour laquelle l'artiste est obligé de mettre un panneau explicatif a coté de son "oeuvre" pour que les gens comprennent ce qu'il a voulu dire.

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Je n'ai pas vu Ender's Game (et ne compte pas le voir sauf accident) mais je me demande quelle voie ils vont emprunter en cas de suite. Garder Ender comme protagoniste serait un choix risqué vu ce qu'il devient dans les bouquins.

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Ils ne peuvent pas non plus prendre le cycle de l'ombre pour faire les suites puisqu'ils ont décidé d'écarter complètement Bean pour refiler toutes ses actions à Ender. Du moins, ils ne peuvent pas refaire de film cohérent avec celui là.

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  • 3 weeks later...

J'ai vu deux film hier:
 
- Don Jon, de et avec Jospeh Gordon Levitt, que je recommande vivement a  tous les consommateurs régulier de porno (mais également aux filles amatrices de comedies romantiques)  D'abord pour les charmes de Scarlett Johansson en action, mais surtout par ce qu'il aborde un problème auquel de nombreux amateurs de prono sont confrontes.
Et puis rien que pour l'excellente Juliaan Moore ce film vaut le detour.
 
_ Le second volet de Hunger Games, qui m'a plus, mais putain qu'est ce qu'on a envie de voir le trois a la fin !
Plus rythmé et plus sombre, plus spectaculaire que le premier volet, quelques reflexions légères mais intéressantes sur la politique, je l'a aussi trouve mieux filme que le premier et aussi moins "a faire pleurer dans les chaumieres"

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A propos de Hunger Game (j'ai découvert ce truc récemment), il y a peu on m'a proposé une "soirée Hunger Game" : Hunger Games 1 (que je n'avais jamais vu) et Hunger Games 2 (dans la même soirée) en avant première, sans rien payer, tout gratos.

Après avoir vu le premier, j'ai pas voulu voir le deuxième :lol: (Un ticket gratos de gâché, eh oui.)

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Hunger Games c'est aussi une intrigue politique, une description rapide des relations de pouvoir et d'une société futuriste. L'aspect "jeu pour survivre" est moins prioritaire dans le second que dans le premier.

...

Et puis il y a Jennifer Lawrence quand même.

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