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il y a 18 minutes, Soda a dit :

Jennifer Lawrence aurait été parfaite pour ce rôle.

Lara Croft, c'est Vanessa Demouy, point barre. Toute autre actrice est une pâle imitation.

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il y a 22 minutes, Anton_K a dit :

Ah tiens, bien observé ça.

Tu penses bien que j'ai passé une partie de ma jeunesse à observer attentivement leur ressemblance.

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Le 19/03/2018 à 21:42, Restless a dit :

Y en a qui ont vu Hostiles ?

J'avais pas repéré qu'un western était sorti. Je vais sans doute aller le voir par curiosité pour ce que le genre peut produire de manière contemporaine, même si je ne m'attends pas à un chef-d’œuvre.. et pourtant le dernier western que j'ai vu au ciné il y a environ 5-6 ans -j'ai oublié le titre- était une bouse mièvre sans nom et m'avait quasiment guéri du genre.

Faut dire qu'à part ceux de Leone et quelques autres bons c'est souvent bien mièvre cucul le western. (On est souvent loin au cinéma de ce que la BD européenne a pu en faire).

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Il vaut le coup. Je partage sensiblement l'avis de NoName, j'ai apprécié la lente évolution de la psychologie des personnages. Je me suis déjà plaint ici des films dont on voit à 10Km où ça va nous mener, et c'est le cas de ce film (à quelques morts près), et pourtant je me suis surpris à apprécier la longue ballade, grâce à l’interprétation des personnages et la beauté des décors. Petite aparté, je suis pas un expert western, mais ça fait plaisir que les mecs doivent tirer plusieurs fois avant de toucher leur cible.

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Il y a 10 heures, Alchimi a dit :

J'avais pas repéré qu'un western était sorti. Je vais sans doute aller le voir par curiosité pour ce que le genre peut produire de manière contemporaine, même si je ne m'attends pas à un chef-d’œuvre.. et pourtant le dernier western que j'ai vu au ciné il y a environ 5-6 ans -j'ai oublié le titre- était une bouse mièvre sans nom et m'avait quasiment guéri du genre.

Faut dire qu'à part ceux de Leone et quelques autres bons c'est souvent bien mièvre cucul le western. (On est souvent loin au cinéma de ce que la BD européenne a pu en faire).

Je dirais que ceux qui trouvent bons les films maniéristes de Leone, sont par définition, des gens qui n'aiment pas le western.

Sinon les grands westerns BD (Blueberry, Comanche, Jerry Spring) ont puisé leur inspiration dans les westerns de la grande époque, les vrais (Ford, Mann, Daves etc).

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Il y a 10 heures, Restless a dit :

Il vaut le coup. Je partage sensiblement l'avis de NoName, j'ai apprécié la lente évolution de la psychologie des personnages. Je me suis déjà plaint ici des films dont on voit à 10Km où ça va nous mener, et c'est le cas de ce film (à quelques morts près), et pourtant je me suis surpris à apprécier la longue ballade, grâce à l’interprétation des personnages et la beauté des décors. Petite aparté, je suis pas un expert western, mais ça fait plaisir que les mecs doivent tirer plusieurs fois avant de toucher leur cible.

Il n'y a que dans les westerns spaghettis que l'on trouve des tireurs invincibles qui abattent 15 adversaires avec 3 balles.

Dans le western classique, le héros tire bien par définition mais n'est pas un surhomme.

Il y a une volonté de réalisme (les fusillades confuses et pas toujours efficaces) et en même temps d'irréalisme dans le western contemporain : l'extrême violence de l'action du film qui est censé se dérouler très tardivement, 1892 de mémoire, ne me parait pas très crédible. On tue davantage dans les westerns que dans l'Ouest historique.

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Il y a 7 heures, Dardanus a dit :

Je dirais que ceux qui trouvent bons les films maniéristes de Leone, sont par définition, des gens qui n'aiment pas le western.

Sinon les grands westerns BD (Blueberry, Comanche, Jerry Spring) ont puisé leur inspiration dans les westerns de la grande époque, les vrais (Ford, Mann, Daves etc).

Affirmer "si on aime x, on ne doit pas aimer z" c'est binaire (en plus d'assumer quelque chose d'un inconnu). C'est dommage.

Confondre la flamboyance, la maitrise et la virtuosité de Leone avec du maniérisme me rappelle un certain "too many notes." Mais là comme pour tout le reste, c'est affaire de goût.

Tu as du rater l'influence énorme qu'a eu Leone sur les auteurs de bd européens, Giraud avec Blueberry en tête par contre. Relis le diptyque de la mine de l'allemand perdu et le cycle de l'or confédéré. (Voir même on le sent pointer dans le cycle précédent, celui des guerres indiennes avec le rail et "Général Tête Jaune"). J'ajoute que les premiers Blueberry sont sortis à peu prés en même temps que les premiers westerns de Leone. C'est plutôt du coté de Jerry Spring que tu devrais chercher la primo influence de Giraud (et peut être celle de Charlier).

 

Il y a 7 heures, Dardanus a dit :

Il n'y a que dans les westerns spaghettis que l'on trouve des tireurs invincibles qui abattent 15 adversaires avec 3 balles.

J'ai du rêver le bodycount d'indiens abattus par le héros dans River Of No Return.

Ah mais non suis-je bête, le nombre de balles tiré par le héros est proportionnel au nombre de bons indiens. :ninja:

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Il y a 6 heures, Wayto a dit :

@Alchimi mate Bone Tomahawk, un western un poil différent.

Je n'avais pas du tout repéré ce film! Faut dire qu'en france ça a été sortie DTV d'après wiki. Il est bien? Le synopsis me rappelle carrément le 13èm guerrier, je me trompe?

Woh putain y'a Kurt Russel dedans! Rien que pour ça c'est un argument à la découverte. :D

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il y a 45 minutes, Alchimi a dit :

Je n'avais pas du tout repéré ce film! Faut dire qu'en france ça a été sortie DTV d'après wiki. Il est bien? Le synopsis me rappelle carrément le 13èm guerrier, je me trompe?

Woh putain y'a Kurt Russel dedans! Rien que pour ça c'est un argument à la découverte. :D

J'ai vu la deuxième moitié. C'est bien oppressant et il faut avouer que ça fait plaisir de voir quelque chose de nouveau. 

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Il y a 2 heures, Alchimi a dit :

Je n'avais pas du tout repéré ce film! Faut dire qu'en france ça a été sortie DTV d'après wiki. Il est bien? Le synopsis me rappelle carrément le 13èm guerrier, je me trompe?

Woh putain y'a Kurt Russel dedans! Rien que pour ça c'est un argument à la découverte. :D

 

Il est génial ! Je n'ai pas vu le 13è guerrier mais à la lecture du scénario il y a des similitudes. A mon avis ça s'arrête là. Après je veux pas trop t'en dire pour pas te spoiler, c'est compliqué :mrgreen:
Après comme dit @NoName il est assez oppressant et parfois gore, mais c'est toujours bien fait et bien amené. Hâte d'avoir vos retours une fois que vous les aurez vu en entier ! 

 

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Il y a 3 heures, Alchimi a dit :

Affirmer "si on aime x, on ne doit pas aimer z" c'est binaire (en plus d'assumer quelque chose d'un inconnu). C'est dommage.

Confondre la flamboyance, la maitrise et la virtuosité de Leone avec du maniérisme me rappelle un certain "too many notes." Mais là comme pour tout le reste, c'est affaire de goût.

Tu as du rater l'influence énorme qu'a eu Leone sur les auteurs de bd européens, Giraud avec Blueberry en tête par contre. Relis le diptyque de la mine de l'allemand perdu et le cycle de l'or confédéré. (Voir même on le sent pointer dans le cycle précédent, celui des guerres indiennes avec le rail et "Général Tête Jaune"). J'ajoute que les premiers Blueberry sont sortis à peu prés en même temps que les premiers westerns de Leone. C'est plutôt du coté de Jerry Spring que tu devrais chercher la primo influence de Giraud (et peut être celle de Charlier).

 

J'ai du rêver le bodycount d'indiens abattus par le héros dans River Of No Return.

Ah mais non suis-je bête, le nombre de balles tiré par le héros est proportionnel au nombre de bons indiens. :ninja:

La Rivière sans retour : ce western réalisé par ce grand spécialiste du western : Otto Preminger (!!!) avec cette grande actrice spécialisée dans le western, Maryllin (!!!)

Effectivement une oeuvre typique, hum…

Giraud je suis désolé mais ses premiers albums c'est l'influence de Ford et pas de Leone (je peux te donner les titres).

Et si les films de Leone étaient aussi passionnants que les albums que tu cites ce serait merveilleux.

En dehors du Bon, de la Brute et du Truand qui sort de la moyenne grâce aux numéros de Eastwood et Wallach, mais qui est plus un opéra qu'un western, le style surfait de Leone me laisse froid (longue attente, très gros plans sur les yeux clairs etc.).

Et le comparer à Mozart, Puccini à la rigueur…

 

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Je remarque d'ailleurs que Hostiles s'inscrit dans l'héritage du western classique et pas du tout dans celui du spaghetti dont la vie aura été bien éphémère.

On pourrait en dire autant de The Revenant.

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Oui mais là nous sommes clairement en train de tomber dans le domaine des goûts zet des couleurs..!

Je connais bien les Blueberry, je les ais tous et les lis depuis ma tendre enfance, merci bien. :D (Et je n'ai jamais nié que les ford ait influencé les début de blueb hein).

 

Après j'ai tendance à juger un genre plus par rapport à la moyenne des productions qui s'y inscrivent qu'aux chefs d’œuvre de génie qui y vivent. Il y a des bons films de requins, (bon au moins un, Jaws), n’empêche que le sous-genre du film de requin est en majorité composé de purges.

Note que je ne dis pas que le genre du western est composé de purges. Par contre que de nombreux western vieillissent très mal, ça...

 

The Revenant je ne le qualifierais pas du tout de western spaghetti. D'ailleurs son coté moralisateur putassier m'avait gonflé sur la fin.

Curieux de connaitre ton opinion sur Little Big Man, tant qu'on y est. (Danse avec les Loups ton opinion je pense m'en souvenir! :D )

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Il y a 17 heures, Alchimi a dit :

Okay bon bah on va essayer ça.

Je vais voir où je peux le trouver. Vous l'avez acheté direct quelque part? Netflix? Amazon? tipiak?

Je l'avais vu sur canal :/ 

(Punaise je viens de le chercher pour toi, le truc est à vendre, neuf en physique, pour 7 euros en Blurray, et à acheter sur my TF1 en SD pour 12 euros ! Faut pas s'étonner qu'on télécharge sérieux...)

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Le ‎20‎/‎03‎/‎2018 à 12:24, Slonner a dit :

D'accord sur tout sauf la dernière phrase. Il y a 3 scènes d'action dans tout le film. Le début est violent, mais pour le reste...

J'ai été voir Tomb Raider en 4D (siège qui bouge, eau dans la tronche et air comprimé dans les oreilles). J'en attendait pas grand chose et j'ai apprécié la petite intro qui remet Lara dans le contexte puis après c'est du Indiana Jones pur jus avec références aux jeux vidéos. Les scènes d'action sont comme des cinématiques de JV et les personnages sont plats (y compris Lara sans mauvais jeux de mot).
Après, on va dire que pour les fans cela s'inscrit dans les reboots de JV depuis 2013 avec le prochain qui sort à l'automne.

Le ‎20‎/‎03‎/‎2018 à 13:04, Kassad a dit :

Voila. J'ai été tellement choqué/déçu quand j'ai vu cette nouvelle incarnation de Lara Croft si peu charnelle. A quoi ça sert la 3D ou la 4D avec une planche à pain ?

 

Je vais rarement au ciné. Et la bim je vois tomb raider je me dis allez même si c'est pas l'histoire du siècle au moins je vais me marrer. Et en fait c'était mortel. Ce qui m'a vraiment tué c'est à la fin la scène avec le gouffre, le méchant, et l'échelle. Lara est censée être intelligente. Et au lieu de passer le gouffre et ensuite coincer le méchant, nope, elle se coince toute seule avec lui pour forcer un combat final ***épique*** et la fuite pendant que tout s'effondre. C'est vraiment juste l'épisode Zéro du reboot cinéma de la série. Un préquel précoce.

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Il y a 2 heures, NoName a dit :

c'est bien alors ?

C'est un banal film d'aventure vu et revu. Pour dire, les deux précédents avec Angie Jolie ont bien plus de cachet. 

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18 hours ago, Alchimi said:

Tiens je me demande si j'irais pas voir The Disaster Artist, par curiosité.

 

Je l'ai vu. C'est assez drôle. Après, ça va pas chercher très très loin. Par contre je trouve qu'il y a un parallèle intéressant à tracer entre Wiseau et Trump.

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Ce n'est pas le film du siècle, mais c'est sympa à regarder. Je préfère Ed Wood de Burton dans un style similaire.

 

il y a une heure, Anton_K a dit :

Par contre je trouve qu'il y a un parallèle intéressant à tracer entre Wiseau et Trump.

 

Je n'y avais pas pensé, mais il y a de l'idée :D

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  • 2 weeks later...

J’ai vu deux films récemment :

 

La mort de Staline d’Armando Iannucci

 

Le film raconte ce que dit le titre et la suite de complots qui s’en suivit, jusqu’à l’élimination de Beria (avec quelques simplifications) et la prise pouvoir de Khrouchtchev. Acteurs et texte excellents, mise en scène d’un comique brutal vraiment très réussie, qui rappelle un peu Inglorious Basterds par moment, au sens où on rigole en suivant le crescendo de violence jusqu’au moment où on rigole plus du tout. La foule d’idiomes et de détails bien vus dans les dialogues est admirable (dialogues pourtant servis en anglais americano-britannique sans aucune volonté de cacher les accents marqués des uns et des autres, ce qui surprend mais on s’y fait bien). La folie paranoïaque des derniers temps du stalinisme, où tout est question de vie ou de mort, et donc où tout le monde abuse de tout le monde pour s'éviter le prie, prend la forme d’une tornade extrêmement comique où les gens se parlent avec des circonvolutions idéologiques délirantes pendant que la purge se passe en fond, c’est vraiment très réussi.

 

Pour info, ce film n’a pas été distribué en Russie (et je crois même qu'il a été retiré des salles qui le montraient). Evidemment je le recommande.

 

America de Claus Drexel.

 

Documentaire sur le village de Seligman en Arizona et alentours, c'est-à-dire dans les parages du Grand Canyon et de la Monument Valley, le long de la route 66. Ça se passe quelques jours autour de l'élection de Trump et on demande aux habitants de raconter leurs vies, et ce qu'ils pensent de l'état du pays, de Trump et de la politique en général, et des flingues. Comme on est en Arizona dans un coin assez paumé où vivent encore des cow boys et où beaucoup de gens chassent, tout le monde est armé et certains ont beaucoup, beaucoup d'armes.

 

Les deux seuls reproches que je ferais au film sont son titre : interroger douze personnes du fond de l'Arizona et appeler ça America est forcément une prise de position manifeste, mais elle ni fine ni claire. Ensuite, la superposition de discours de Trump avec certaines actions et réactions des personnages crée parfois des effets de mise en scène qui sont mal venus dans un documentaire à mon avis.

 

Outre le fait que les paysages filmés sont magnifiques et que la culture matérielle américaine même des gens les plus humbles exerce toujours le même attrait, j’ai aimé le film exactement pour les raisons qui font totalement glitcher le public français (il suffit de lire les critiques qui parlent d’un documentaire « génant » sur « des ploucs »). On voit des gens simples mais intelligents, qui parlent de leur vie souvent très difficile avec franchise, et ont du style. Ils ont des armes et ils savent expliquer pourquoi, et il est difficile de défendre qu’ils auraient tort. Ils votent pour Trump, et il est difficile de ne pas comprendre pourquoi. Ils sont ouverts d’esprit et, s’ils sont taquins, disent finalement rarement des choses très outrageuses. Après comme je disais, ce sont dix témoignages probablement choisis dans un petit patelin, donc difficile de généraliser. Bref, je recommande.

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Un documentaire impartial, en général, ça n'existe pas. Pas vu le documentaire en question mais la lecture des critiques que j'en avais vu me donnait la même impression que celle que tu décris. Un truc fait par des français bobo qui ne comprennent pas leur sujet et portent un regard limite de missionnaire sur ces "pauvres américains inculturés".

 

Sinon je sors de me regarder Zodiac, de Fincher (que j'avais totalement loupé à sa sortie). Une tuerie, comme tous les Fincher.

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18 hours ago, Alchimi said:

Un documentaire impartial, en général, ça n'existe pas. Pas vu le documentaire en question mais la lecture des critiques que j'en avais vu me donnait la même impression que celle que tu décris. Un truc fait par des français bobo qui ne comprennent pas leur sujet et portent un regard limite de missionnaire sur ces "pauvres américains inculturés".

 

D'ailleurs c'est pas la faute du réalisateur, et je ne pense pas que le film soit condescendant dans sa mise en scène. C'est vraiment comme si les critiques ne savaient que réitérer leurs préjugés, comme s'ils ne regardaient pas le film. D'ailleurs dans cette interview par exemple, on voit que le réalisateur veut expliquer que son film cherche à aller au delà du préjugé sur les armes et les trumpistes, mais qu'à la fois il ne peut pas ne pas donner plein de cautions quand il essaie de l'expliquer.

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