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il y a 26 minutes, Johnnieboy a dit :

Non, ce n'est pas forcément ce que je voulais dire. Simplement, la résolution de l'intrigue retire l'intérêt des plans avec l'actrice jouant Sharon Tate. Esthétiquement, cela perd de sa valeur.

 

Si c'était le cas ce serait seulement rétrospectivement. De mon point de vue le problème des scènes avec Sharon Tate est ailleurs. J'ai aimé le film, même s'il ne me semble pas atteindre le niveau de mes Tarantino favoris. Je suis d'accord sur les points positifs relevés par @fryer. J'ajoute une certaine espièglerie relativement aux hippies à travers lesquels Tarantino règle quelques comptes à mon avis. Beaucoup l'ont déjà dit mais à mon avis c'est un peu un manifeste dans lequel il se positionne (de manière un peu réac d'ailleurs) par rapport aux générations de réalisateurs et de critiques qui le précèdent et le suivent.

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il y a 1 minute, Anton_K a dit :

 

Si c'était le cas ce serait seulement rétrospectivement. De mon point de vue le problème des scènes avec Sharon Tate est ailleurs. 

 

Ben, un peu, oui. A la fin, tu te demandes quand même pourquoi on a passé autant de temps en sa compagnie. Mais vu l'histoire et vu la fin choisie par Tarantino, j'imagine que c'était un pied de nez au fusil de Tchekov. C'est un peu téléphoné quand on connaît Tarantino et j'ai dû mal à en voir l'intérêt esthétique (à moins que l'intérêt esthétique consiste à faire des gros plans de Margot Robbie mais, ça, tout le monde peut le faire).

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il y a 1 minute, Anton_K a dit :

 

Si c'était le cas ce serait seulement rétrospectivement. De mon point de vue le problème des scènes avec Sharon Tate est ailleurs. J'ai aimé le film, même s'il ne me semble pas atteindre le niveau de mes Tarantino favoris. Je suis d'accord sur les points positifs relevés par @fryer. J'ajoute une certaine espièglerie relativement aux hippies à travers lesquels Tarantino règle quelques comptes à mon avis. Beaucoup l'ont déjà dit mais à mon avis c'est un peu un manifeste dans lequel il se positionne par rapport aux générations de réalisateurs et de critiques qui le précèdent et le suivent.

 

Ah oui je l'ai également trouvé très critique envers les hippies et toute la contre culture de l'époque. Enfin je n'ai jamais trouvé Tarantino très à gauche...

 

il y a 18 minutes, fryer a dit :

 

Peut être son film le plus abouti - donc mégalomane.

 

 

Je précise quand même que ce n'est pas mon préféré ^_^ 

 
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il y a 16 minutes, fryer a dit :

 

Ah oui je l'ai également trouvé très critique envers les hippies et toute la contre culture de l'époque. Enfin je n'ai jamais trouvé Tarantino très à gauche...

 

Hmm, je suis pas entièrement d'accord. Tu pourrais développer ? Parce que les insultes de DiCaprio envers les hippies sont les insultes de son personnage (un acteur de westerns un peu has been), pas celle de Tarantino.

Par exemple, je trouve la nostalgie de Tarantino assez saine. Il n'essaie pas de nous faire croire que c'était le paradis avant. De la même manière que l'on peut être nostalgique d'une période de sa vie qui 'nétait pas forcément la plus heureuse. On est nostalgique parce que c'est passé et que ça ne reviendra pas. 

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Il y a 1 heure, fryer a dit :

Ah oui je l'ai également trouvé très critique envers les hippies et toute la contre culture de l'époque.

Exact, il y a ça et il y a aussi le pied de nez à la critique concernant la violence dans ses films (cf. la tirade des hippies dans la voiture à la fin). Ensuite je sais pas si c'est intentionnel, peut-être que je surinterprète, mais le fait de retrouver Lena Dunham (la wannabe-woke gaffeuse que les SJW adorent détester et qui a, comme Tarantino, essuyé des critiques pour usage léger du N-word) dans le groupe de hippies était assez cocasse.

 

Citation

Hmm, je suis pas entièrement d'accord. Tu pourrais développer ? Parce que les insultes de DiCaprio envers les hippies sont les insultes de son personnage (un acteur de westerns un peu has been), pas celle de Tarantino.

 

A mon avis il y a ambivalence de ce point de vue, Tarantino n'embrasse pas vraiment le point de vue de DiCaprio qui est montré comme plus superficiel et caricatural. Par contre j'ai l'impression qu'il fait totalement corps avec celui de Brad Pitt. Brad Pitt est montré comme une sorte de beatnik : chemise hawaïenne qui ne trompe pas, esprit de cow-boy rebelle, attiré par les hippies mais finalement c'est pas son truc. C'est un personnage d'outsider "trop cool pour la nouvelle génération" dans lequel il se voit probablement lui même.

 

Ensuite, la révérence de Tarantino pour le western est sincère. A mon avis il en fait clairement l'éloge, notamment comme genre assez "technique", avec costumes, décors, animaux et cascades. Depuis Boulevard de la Mort les hommages au cinéma technique et aux techniciens sont récurrents. C'est un reproche qu'il adresse à la génération hippie que de disqualifier le genre péremptoirement comme "facho" par ignorance.

 

Citation

Par exemple, je trouve la nostalgie de Tarantino assez saine. Il n'essaie pas de nous faire croire que c'était le paradis avant.

 

Citation

De la même manière que l'on peut être nostalgique d'une période de sa vie qui 'nétait pas forcément la plus heureuse. On est nostalgique parce que c'est passé et que ça ne reviendra pas. 

 

Tarantino a d'ailleurs précisé qu'il n'idéalise pas du tout la période summer of love mais qu'il aurait plutôt voulu vivre sa carrière au début années 60, donc je suis pas sûr qu'il s'agisse de nostalgie.

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Il y a 2 heures, fryer a dit :

Enfin je n'ai jamais trouvé Tarantino très à gauche...

Ou bien il veut seulement prendre le contre-pied de certaines idées.

 

Il y a 2 heures, fryer a dit :

- le jeu de Di Carpaccio et encore plus Brad Pitt (plus ça va, plus il a air de Redford)

Y a pas photo, ils sont impressionnants. Et d'accord sur la ressemblance.

 

Il y a 2 heures, fryer a dit :

succession de scènes sans rapport,

C'est ça qui m'a posé "problème" pour ce film. La plupart des scènes sont vraiment plaisantes, tout comme les multiples références, mais l'enrobage n'a pas pris.

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Il y a 1 heure, Anton_K a dit :

 

Exact, il y a ça et il y a aussi le pied de nez à la critique concernant la violence dans ses films (cf. la tirade des hippies dans la voiture à la fin). Ensuite je sais pas si c'est intentionnel, peut-être que je surinterprète, mais le fait de retrouver Lena Dunham (la wannabe-woke gaffeuse que les SJW adorent détester et qui a, comme Tarantino, essuyé des critiques pour usage léger du N-word) dans le groupe de hippies était assez cocasse.

 

 

 

 


Haha, c'est vrai, bien vu ! C'était évident pourtant !

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Je sors du Tarantino et mon mauvais goût légendaire a manifestement frappé parce que j'ai adoré de bout en bout. J'étais mentalement préparé à m'envoyer 2h30 de tarantino donc je m'attendais à des grosses longueurs mais la réalité c'est que le film est passé comme une lettre à la poste. Si les scènes ont l'air de ne pas se suivre je trouve qu'elles ont cependant une forme de cohérence générale assez bonne, reliées plus par les thèmes que par la narration si on veut. 

 

Évidemment le couple Pitt-Di Caprio est tout simplement excellent mais Pitt est quand même au-dessus. Incroyable à quel point il est cool, viril et musclé.

 

Je parle pas des sous textes parce que c'est pas mon truc mais je pense que les critiques contre les hippies sont assez évidentes, et le blabla sur la violence aussi, il y a qu'à voir le dialogue de la première scène. 

 

D'ailleurs

Le 22/08/2019 à 15:41, Anton_K a dit :

Par contre j'ai l'impression qu'il fait totalement corps avec celui de Brad Pitt. Brad Pitt est montré comme une sorte de beatnik : chemise hawaïenne qui ne trompe pas, esprit de cow-boy rebelle, attiré par les hippies mais finalement c'est pas son truc. C'est un personnage d'outsider "trop cool pour la nouvelle génération" dans lequel il se voit probablement lui même.

 

Ça me fair penser que c'est à peu prêt le genre d'attitude qu'avait Hunter Thompson envers les hippies, lui qui était un pur représentant des Beatniks, et il y a beaucoup de similitudes avec le personnage de Brad Pitt: grosses lunettes-chemises hawaïennes, attitude de cowboy intoxiqué de liberté, mec qui aime la castagne, amateur de bagnole et de motos. La, j'ai la sensation de voir un Brad Pitt qui nous fait la synthèse entre magnum et Hunter Thompson, je suis sur que c'est ce à quoi ressemble (ou aimerait ressembler) @Brock en vrai 

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Le 22/08/2019 à 15:10, Johnnieboy a dit :


Par exemple, je trouve la nostalgie de Tarantino assez saine. Il n'essaie pas de nous faire croire que c'était le paradis avant. De la même manière que l'on peut être nostalgique d'une période de sa vie qui 'nétait pas forcément la plus heureuse. On est nostalgique parce que c'est passé et que ça ne reviendra pas. 

 

 Le propos en fait est assez intimiste, l'Hollywood des années 60 dépeint dans le film est sa vision fantasmée (né en 63 il la connait donc surtout via ses références filmiques) . Il y a un élément, ou plus précisément un événement, de son film qui indique qu'une partie de ce fantasme est que cette période ne se termine pas.

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Le 21/08/2019 à 09:40, Johnnieboy a dit :


Des nanas aussi fortes que des hommes, une surreprésentation de "minorités visibles" parmi les gentils dont la société semble égalitariste, multi-culturelle et probablement anti-capitaliste, la religion vue comme outil de domination et d'asservissement des masses, etc. Je sais pas ce que tu as vu et ce dont tu te rappelles mais connaissant les Wachowskis, je vois pas quel autre type de film ils auraient pu faire.

 

 

J'avais vu le premier et j'ai gardé le souvenir que la société de la Matrice était littéralement la vision qu'ont les anarchistes de ce qu'ils appellent la société "néolibérale". Ca m'avais frappé.

Après il est vrai qu'ironiquement l'alt-right a réutilisé des concept des films dans son language (le redpill).

 

Pour le Tarantino, j'avais trouvé qu'il avait des longueurs mais il est globalement sympa avec de bonnes scènes

Révélation

Pour le personnage de Sharon Tate, je l'analyse comme étant une fausse piste crée par Tarantino pour te faire croire que l'on va avoir son assassinat.

La scène de fin est vraiment marrante.

 

 

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Je n'ai pas totalement accroché non plus, pourtant il y a des choses que j'ai bien apprécié (lorsque Brad Pitt se rend chez les hippies pour rendre visite à Georges, passage qui n'a pas encore été cité je crois).

 

Le 22/08/2019 à 14:24, fryer a dit :

Ce que j'ai préféré :

- le jeu de Di Carpaccio et encore plus Brad Pitt (plus ça va, plus il a air de Redford)

- la scène avec Bruce Lee, facile mais efficace (comme quoi...)

- les trouvailles d'acteurs ressemblant aux persos réels

- la scène dans la Famille, qui pue le film d'horreur type La colline à des yeux / Delivrance

- l'atmosphère du zeitgeist

 

Je plussoie pour les profils de Brad Pitt et Redford (surement la coupe de cheveux).

 

Je n'avais encore rien lu ici (ni les critiques ailleurs) pour me préserver, j'ai bien fait car j'ai vraiment douté sur la fin du film :

Révélation

J'ai fini Mindhunter saison 2 récemment donc j'avais encore l'histoire de Manson dans la tête. Et lorsqu'on voit un inconnu se planter chez Sharon Tate, sa tête m'a tout de suite fait penser à lui ! Résultat, à la fin du film, avec Sharon Tate enceinte et la Famille, je me suis dit bingo, c'est elle, toutes ses scènes étaient aussi là pour step up ce final... Même si Cliff Booth + son chien + Riff Dalton + alcool & drogue, semblait aussi assez évident.

 

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Oui alors des fois, il arrive qu'on passe juste 100% entierement à côté d'une tranche de pop culture... ce qui vient de m'arriver avec ce film.

Révélation

Donc moi, manson, polanski, et tate, ben je découvre en sortant du ciné dans la voiture. J'ai presque honte, j'ai juste l'impression d'être le seul blaireau du coin à pas connaitre l'histoire perso de Polanski... C'est si étendu que ça dans le monde, ou il y a une bonne aprtie des gens qui comme moi risquent de ne pas comprenre le film ? Après tout , on y va surtout parce que'il y a QT à la réal, pas parce qu'on a réussi son exam en pop culture US ? (je sens que je me gourre, plus dur sera la chute...)

J'ai bizarrement réussi à me laisser porter de bout en bout et ne pas voir passer le temps, sauf que tout le long je me suis dit "mais atta ça sert A QUOI le suivi de la blondasse là ???!" pour en arriver à l'instant fatidique "what le titre du film ?? mais c'est fini?"  Car in fine l'histoire ne porte pas sur bolton, malgré qu'on suive son developpement pendant 2 heures.

Donc maintenant ben 1 partout balle au centre, c'est comme un what...if qui ne finit logiquement pas comme prévu, et tout le monde se retrouvera lors du second visionnage dans la même situation que moi "oui ben on sait qu'elle crève pas, alors avance !"

 

Ca m'a cependant permis de considérer une autre lecture, celle ou on suit des acteurs médiocres mis sur piedestal dans les années 60 et qui finissent seul à apprendre leur texte dans la piscine en donnant le change une fois par mois en soirée pour les paparazzi...

Le fond du film me laisse pantois sur la durée de vie de cet opus dans l'oeuvre Tarantino. J'ai pu lancer Reservoir Dogs il y a 2 jours alors que je l'ai vu 5 fois, je pense pas qu'on regardera ce film plus de 2 fois dans sa vie, même si tous les ingrédients sont là.

 

 

 

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Il y a 9 heures, Prouic a dit :

Oui alors des fois, il arrive qu'on passe juste 100% entierement à côté d'une tranche de pop culture... ce qui vient de m'arriver avec ce film.

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Donc moi, manson, polanski, et tate, ben je découvre en sortant du ciné dans la voiture. J'ai presque honte, j'ai juste l'impression d'être le seul blaireau du coin à pas connaitre l'histoire perso de Polanski... C'est si étendu que ça dans le monde, ou il y a une bonne aprtie des gens qui comme moi risquent de ne pas comprenre le film ? Après tout , on y va surtout parce que'il y a QT à la réal, pas parce qu'on a réussi son exam en pop culture US ? (je sens que je me gourre, plus dur sera la chute...)

J'ai bizarrement réussi à me laisser porter de bout en bout et ne pas voir passer le temps, sauf que tout le long je me suis dit "mais atta ça sert A QUOI le suivi de la blondasse là ???!" pour en arriver à l'instant fatidique "what le titre du film ?? mais c'est fini?"  Car in fine l'histoire ne porte pas sur bolton, malgré qu'on suive son developpement pendant 2 heures.

Donc maintenant ben 1 partout balle au centre, c'est comme un what...if qui ne finit logiquement pas comme prévu, et tout le monde se retrouvera lors du second visionnage dans la même situation que moi "oui ben on sait qu'elle crève pas, alors avance !"

 

Ca m'a cependant permis de considérer une autre lecture, celle ou on suit des acteurs médiocres mis sur piedestal dans les années 60 et qui finissent seul à apprendre leur texte dans la piscine en donnant le change une fois par mois en soirée pour les paparazzi...

Le fond du film me laisse pantois sur la durée de vie de cet opus dans l'oeuvre Tarantino. J'ai pu lancer Reservoir Dogs il y a 2 jours alors que je l'ai vu 5 fois, je pense pas qu'on regardera ce film plus de 2 fois dans sa vie, même si tous les ingrédients sont là.

 

 

Révélation

a l'international je sais pas mais visiblement aux USA c'est un traumatisme collectif assez puissant, Charles Manson y est une incarnation locale de Satan 

 

Je pense que le titre qui arrive à la fin  explique exactement le film: "Il était une fois...", c'est une formule de contes de fée, pas la description de la réalité, et c'est exactement ce qu'à fait Tarantino

 

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Il y a 10 heures, Prouic a dit :

 

Effectivement, ne pas connaître le contexte historique du film n'aide pas à en profiter pleinement.

Bon (très bon) Tarentino pour ma part, bien meilleur que son précédent (Hateful Hate) qui m'avait bien ennuyé.

NB C'est moi ou Rick Dalton est une sorte de Steve McQueen qui rate toutes les étapes de sa carrière : mêmes débuts à la télé dans une série western (sauf que Rick se plante), casting pour la Grande Evasion (premier gros succès pour Steve).

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Il y a 16 heures, Prouic a dit :

J'ai pu lancer Reservoir Dogs il y a 2 jours alors que je l'ai vu 5 fois,

ahah la même. Enfin, ça doit être plutôt 50 que 5.

Ca m'aura permis d'entendre le cri de wilhelm lorsque Mr Pink se fraye un chemin après le casse, cri que je n'avais jamais entendu jusqu'alors. (Alors que celui de OUAT, il est immanquable :D)

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il y a 8 minutes, Restless a dit :

ahah la même. Enfin, ça doit être plutôt 50 que 5.

Ca m'aura permis d'entendre le cri de wilhelm lorsque Mr Pink se fraye un chemin après le casse, cri que je n'avais jamais entendu jusqu'alors. (Alors que celui de OUAT, il est immanquable :D)

 

Tu l'avais entendu mais pas écouté, un parce qu'il est partout, et 2 car c'est le 1er cri qu'on entend dans once upon a time quand dicaprio bute un type qui tombe du toit du saloon dans breaking law.

Oui 5 c'est vraiment mon estimation basse :) Vu que j'ai vu 3 ou 4 fois kill bill que j'aime guère, j'imagine avoir bien plus vu pulp et reservoir dogs finalement :)

 

Sinon SW9 c'est quand même le premier star wars ou je vais faire acte militant en n'y foutant pas les pieds. Parce qu'abbrams sur W7 j'avais prevenu tout le monde, et excepté les junkies qui avaient pas leur dose, ca se voyait comme le nez au milieu de la figure. Puis on a eu un second crétin qui se cache derrière l'originalité en disant que les fans ne veulent pas ce qu'ils disent attendre, en faisant semblant d'omettre qu'en plus d'original il faut surtout que ca soit bien. Alors on a remis le débile au manettes. Non franchement, des fois il faut expliquer des choses au studio avec son droit de vote ... Ca m'empechera pas de jeter un oeil au mandalorien, ceci dit (pas le même format ni la même démarche, puis ils ont juste pas le droit de chier le truc. Même si rien qu'à l'image ca fait déjà un peu peur.)

 

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à l’instant, Prouic a dit :

Tu l'avais entendu mais pas écouté, un parce qu'il est partout

Je parlais bien de reservoir dogs, j'y avais jamais fait attention (et d'ailleurs dans la version française, il n'y est pas).

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Il y a 2 heures, Adrian a dit :

 

Une bande-annonce composée pour moitié d'images des films précédents* ? Ça sent très mauvais... :crying:

 

*(et je serais curieux d'avoir un compte précis du minutage réservé à chacun des huit, on doit bien pouvoir en dire quelque chose, héhé)

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J'ai perdu 2h de ma vie à regarder Vice (bon j'exagère, j'ai fini par décrocher et faire autre chose pendant la 2e moitié). C'est presque épatant de la part d'Hollywood de faire un film à charge contre un des pires néocons de l'administration Bush et de me le rendre presque sympathique tellement la caricature est grotesque et le film prend les spectateurs pour des débiles pour lesquels il faut mâcher les infos pour en sortir que "républicains méchants, démocrates gentils".

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Le 26/08/2019 à 11:27, Adrian a dit :

 

 

On en parle que la flotte que l'on voit sont des destroyers stellaires impériaux (ceux de la trilogie originale) et pas ceux du premier ordre?

Entre le retour de Palpatine et ça, on a l'impression que Disney réalise qu'ils ont foiré les méchants du la postologie et vont chercher ceux des films de Lucas.

 

Vu que Disney a puisé dans l'univers étendu avec le retour de Maul et Thrawn, je me demande s'il ne s'inspirent pas de "Dark Empire" pour SW 9.

  • Yea 1
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Ca va tellement être décalé quand on regardera les 3 d'affilée, après avoir le dernier scénario en tête... Un peu comme 'once upon a time in hollywood' /o/

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+1. Ecrna large est dithyrambique: ca et ad astra il semble qu'on ait une fin d'année intéréssante. Première fois en 10 ans que mes 2 prochains films en 3 mois n'inclutent pas de marvel, ca fait du bien ...

 

https://www.ecranlarge.com/films/news/1096398-joker-joaquin-phoenix-vers-les-oscars-malgre-un-sujet-tres-sulfureux-pour-les-usa

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Le 04/09/2019 à 20:39, Prouic a dit :

+1. Ecrna large est dithyrambique: ca et ad astra il semble qu'on ait une fin d'année intéréssante. Première fois en 10 ans que mes 2 prochains films en 3 mois n'inclutent pas de marvel, ca fait du bien ...

 

https://www.ecranlarge.com/films/news/1096398-joker-joaquin-phoenix-vers-les-oscars-malgre-un-sujet-tres-sulfureux-pour-les-usa

 

Hop première récompense pour le film et pas des moindres :

 

http://www.lefigaro.fr/cinema/mostra-de-venise-lion-d-or-pour-joker-de-todd-phillips-20190907

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