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Le 21/07/2021 à 21:50, Bézoukhov a dit :

Les costumes burgonde c'est fou. Le truc passe parfaitement à l'écran. J'étais scotché :D

Comme quoi, être habillé en Arlequin, c'est sortable. :D

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Le 05/09/2020 à 17:13, h16 a dit :


En gros, Tenet est monté comme un trailer de 2h. 

Il faut le voir plusieurs fois, en connaissant tout, pour l'apprécier. 

 

A la limite, c'est un nouveau type de cinéma, où la compréhension n'est pas possible de but en blanc.

 

Le 28/08/2020 à 13:41, Prouic a dit :

Vu Tenet hier soir.

 

Comme tout Nolan, c'est pas facile de décrire si c’était bien, intéressant ou si j'ai aimé. Il y a du volume, le script est évidemment  ciselé, le trip sous acides de Nolan est plus là que jamais.

Le film reste bordélique et est construit pour une lecture multiple, puisqu'il n'est pas possible de se rappeler du nombre de détails qui sont là pour assoir le scénario. Pire, comme dans Memento ( mais moins réussi car plus frénétique) la pause salutaire pour essayer de mettre son cerveau en ordre n'est pas permis. Il s'agit donc d'entrer dans le flux avec les connexions neuronales au rupteur. La première partie est encore maitrisable, on voit venir la feinte, (puisqu'en bon nolan tout élément incompris est là pour être revu une fois le twist activé). Arrivé en seconde partie de film, il me semble que c est fouilli et un peu trop long. La scène spectaculaire de fin  est absolument illisible. ON dirait une film construit comme un cours de maths. "Voilà les bases,  voila ce que vous pouvez faire avec, voilà comment il fallait le faire quand on est le prof, et maintenant voilà l'examen ou on met tout ensemble d'un coup".

Bref, comme beaucoup de Nolan post The Prestige, des films qu'on aura pas forcement envie de revoir avant un bon moment, bien qu'il soit dessiné pour être revu après connaissance de la fin.
Ca plaira certainement aux jeunes NT :D

Petite mention pour la fin qui etait parti pour êtr ele plus gros cliché qu'on puisse mettre en place en 2020, mais qui in fine sans sort avec les honneurs, et qui m'amène à une question ( en masqué car spoils):

  Révéler le contenu masqué

Donc c'est évidemment la faute au futurs écolos qui font la gueule car on leur a laissé un monde tout pourri, comme dans Interstellar avant lui. Cependant , et comme pour Infinity War, les écolos servent le narratif hollywoodien et societal du moment,  mais cette proposition reste dans le camp des méchants du film, est ce que le cinéma essaie d'aller a contre sens de la série Netflix qui a pignon sur rue sur le sujet de l'écolo bobo, en amenant une proposition de rejet du narratif actuel, sans froisser trop de monde (seuls ceux assez realistes pour remarquer que la fin du monde est l'apanage des méchants peuvent le lire)

 


J'ai une question:

 

Révélation

quand Kat (Elizabeth Debicki) tue Sator (Kenneth Branagh) est "l'avant film", non? Donc, ne devrait pas exister le reste du film, parce qu'il (Sator) est mort. Il est mort avant faire les choses.

 

Non?

 

Ou est tout un grand paradoxe inutile? 

 

 

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  • 2 weeks later...

C'est l'anniv de Wes Craven (oui je sais il est mort mais Imdb le fête) et je me disais que je bingerais bien sa filmo. Notamment j'ai jamais vu The People Under the Stairs. Mais je m'étais promis de revoir Scream 4 dont j'ai absolument aucun souvenir (cas assez rare). Donc je le cherche sur Netflix, me semblait bien l'y avoir vu. Alors il n'y est plus, par contre ils m'affichent Scream la série (!), Scream Girl, un truc qui sort dans dix jours, Scary Movie 2, les remakes de Freddy, de Vendredi 13 et (le pire de tous) de Carrie ainsi que American Nightmare 4 (déjà qu'il devrait même pas y en avoir eu un!). Ils ont vraiment un choix pourri. Et du coup pas un seul film de Craven. Deg. Après vérification il n'y a rien non plus sur Amazon Prime. Ouin.

 

Récemment j'ai vu La Ballade de Buster Scruggs, le dernier Coen. Un mélange de l'humour pas drôle de leurs comédies ratées (The Hudsucker Proxy, certaines scènes de Burn After Reading, tout Arizona Junior) et de scènes de la vie quotidienne dans le Far West (et si déjà vous trouviez vous aussi que True Grit c'était pas dingue (même si j'avais trouvé ça plutôt mieux que la plupart des critiques, et la scène où Jeff Bridges arrache à moitié la langue de Matt Damon m'avait fait rire pour le coup), vous allez souffrir). La plupart des sketchs sont prévisibles à 2 km, le case in point étant le sketch avec Tom Waits. La multiplication des sketchs à peu près tous aussi nuls et absurdes les uns que les autres rend tout ça extrêmement long donc j'ai arrêté à la moitié.

 

Je me rends compte que Netflix me fait faire ça: je ne suis jamais sorti d'un cinéma en cours de projection je crois (j'avais failli pour Hacksaw Ridge je me souviens), j'arrête rarement un dvd. Mais sur Netflix, la tentation est trop forte. Il m'arrive même d'arrêter un truc au bout de 15 minutes (The Neon Demon, Premier Contact). C'est mal, je reconnais.

 

Bon maintenant I'm craving for some Craven films.

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il y a 10 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

Je me rends compte que Netflix me fait faire ça: je ne suis jamais sorti d'un cinéma en cours de projection je crois (j'avais failli pour Hacksaw Ridge je me souviens), j'arrête rarement un dvd.

J'étais sorti au milieu d'Amélie Poulain.

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il y a 15 minutes, PABerryer a dit :

Et j'ai bien aimé Hacksaw Ridge pour le coup.

Il y a cette scène de romance dans les bois qui m'avait semblé d'une niaiserie sans nom où ils poursuivent un papillon... et les scènes de guerre (quand on y arrive parce que c'est pas tout de suite hein) ont passé pour impressionnantes auprès de tout le monde alors qu'elles sont juste violentes, recouvertes de ce vernis religieux moralisateur qui explose dans la longue séquence où il sauve genre 365 types d'une colline en répétant "God lemme save one more". Je sais bien depuis La Passion du Christ que Mel Gibson n'est ni une référence sur le plan de l'écriture ("alors pour commencer j'imaginais que le Christ pourrait se faire torturer, ensuite il se fait torturer, mais après il se fait torturer et comme il se fait torturer et s'est fait torturer bah à la fin il se fait torturer et twist final, se fait torturer en plus") ni du raffinement donc j'y allais pas pour ça, mais plutôt pour le spectacle, en espérant un truc qui ressemblerait un peu à la deuxième partie d'Apocalypto. Mais non. En y réfléchissant je crois qu'en fait j'avais raté Mademoiselle (de Park-Chan Wook) et que c'était complet et que du coup comme c'était un date j'avais voulu voir un truc quand même. Ce n'était donc pas Andrew Garfield qui m'avait fait rester.

 

Tu as raison sur l'allocation du temps mais par exemple Benedetta c'était à se taper la tête contre les murs de nullité et je suis resté. Bizarre.

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Il y a 9 heures, Vilfredo Pareto a dit :

Il y a cette scène de romance dans les bois qui m'avait semblé d'une niaiserie sans nom où ils poursuivent un papillon... et les scènes de guerre (quand on y arrive parce que c'est pas tout de suite hein) ont passé pour impressionnantes auprès de tout le monde alors qu'elles sont juste violentes, recouvertes de ce vernis religieux moralisateur qui explose dans la longue séquence où il sauve genre 365 types d'une colline en répétant "God lemme save one more". Je sais bien depuis La Passion du Christ que Mel Gibson n'est ni une référence sur le plan de l'écriture ("alors pour commencer j'imaginais que le Christ pourrait se faire torturer, ensuite il se fait torturer, mais après il se fait torturer et comme il se fait torturer et s'est fait torturer bah à la fin il se fait torturer et twist final, se fait torturer en plus") ni du raffinement donc j'y allais pas pour ça, mais plutôt pour le spectacle, en espérant un truc qui ressemblerait un peu à la deuxième partie d'Apocalypto. Mais non. En y réfléchissant je crois qu'en fait j'avais raté Mademoiselle (de Park-Chan Wook) et que c'était complet et que du coup comme c'était un date j'avais voulu voir un truc quand même. Ce n'était donc pa

s Andrew Garfield qui m'avait fait rester.

 

Je ne suis pas d'accord sur ta vision de Gibson

Sur la passion du Christ : le but est d'être réaliste (suivi du texte biblique, connaissance historique sur la période)et une crucifixion romaine, quand tu regardes les textes antiques, cela pouvait donner cela. Bon, le défaut est que Pilates et le Christ échangent en latin plutôt qu'en grec mais pasdons. Ensuite tu aimes où tu n'aimes pas (perso je reste choqué à chaque fois qu'il m'arrive de le revoir) mais s'attendre à un truc édulcoré....

 

Concernant Hacksaw Ridge, Gibson a une dimension chrétienne donc le sujet n'est pas surprenant. Je ne vois pas en quoi cela était moralisateur. C'est plutôt un motif d'espoir que de retrouver un peu d'humanité dans cette boucherie qu'est la guerre.

 

Il y a 9 heures, Vilfredo Pareto a dit :

Tu as raison sur l'allocation du temps mais par exemple Benedetta c'était à se taper la tête contre les murs de nullité et je suis resté. Bizarre.

 

La fascination devant l'horreur.

  • Yea 1
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Il y a 15 heures, PABerryer a dit :

Partir d'un film nul est la bonne décision du point de vue de l'allocation de ton temps.

 

Et j'ai bien aimé Hacksaw Ridge pour le coup.

 

Je préfère toujours donner sa chance au film car ce n'est pas chronophage et, en général, on va au cinéma à des horaires et lors de moments où l'on n'a pas mieux à faire. Parfois, ça vaut le coup. Il m'est même arrivé de changer d'avis après un deuxième visionnage. 

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@PABerryer oui je crois que je vois le différend: je ne suis pas ému par les flots de sang tout seul. Je suis ému si l'image me donne une idée qui me trouble. Ça demande un peu d'imagination artistique. Un exemple:

 

Dans The Girl With the Dragon Tattoo de Fincher par exemple j'ai été plus remué par la scène où Noomie Rapace prend sa revanche sur le violeur des services sociaux que par la scène du viol lui-même. Je ne sais pas très bien pourquoi, mais je pense que c'est voulu: la scène du viol, aussi horrible soit-elle, est banale: le mec en question est un pervers "normal", on sait à peu près ce qu'il va lui faire, il le fait. C'est désagréable, mais ça ne me pousse pas hors de mon fauteuil. L'autre scène (d'ailleurs plus longue) en revanche, on n'en a aucune idée, et c'est justement comme ça que Fincher introduit son personnage dans le film, son intelligence machiavélique et son rapport traumatique à la violence. Après coup, je me suis demandé comment il se faisait que la scène où un coupable est puni m'avait plus choqué que la scène où une innocente est violée. Comme c'est un film sur le viol, je pense que l'une des choses que Fincher voulait que j'aie en tête en sortant de la salle est quelque chose comme ça. C'est donc une très bonne scène. (Par contraste, la scène de torture de Daniel Craig à la fin est bof, mais elle est sauvée par le script époustouflant de Zaillian et Skarsgard bae.)

 

Le film de Gibson n'a rien de tout ça. Les personnages sont aussi caricaturaux que dans un jeu vidéo, le sang et la violence, pour graphique qu'elle soit, est moche (ce sang quasiment noir). Du coup j'ai davantage l'impression de regarder un torture porn qu'une adaptation des Evangiles. Ce n'est même pas même pas seulement que l'image ne me donne aucune idée particulière au-delà de ce qui est littéralement montré ( = mauvaise cinématographie), c'est pire parce que ce à quoi ça me fait penser est complètement hors registre ( = mauvaise direction artistique). Je sais que certains regardent des films ou lisent des romans pour apprendre des trucs sur la crucifixion ou sur comment on vivait à l'époque de Charles II mais moi non (pas plus que Fincher ne m'a appris comment se passait un viol).

 

C'est d'ailleurs le même truc avec Hacksaw Ridge: contrairement à un film comme Save Private Ryan où en plus, certes, d'apprendre des trucs sur le débarquement, pourquoi pas, chaque plan + l'organisation de l'espace sur la plage reste gravée dans ma mémoire, parce que Spielberg ne montre pas juste des gens qui saignent mais des soldats qui ont peur, qui vomissent dans la barque avant de débarquer et des officiers qui essaient de résoudre un problème (le nid de mitraillettes dans le bunker) au milieu du bordel. Pour moi le meilleur film de guerre c'est Full Metal Jacket parce que tu as toute l'horreur du truc, l'inhumanité, tout ce que tu veux, avant même qu'on soit arrivé sur le champ de bataille. Boom. Gibson, lui, a besoin de montrer pour frapper mais ça ne marche pas avec moi.

 

Ce que je trouvais moralisateur c'était l'orientation hagiographique du film. Voilà un héros, quand vous serez grand, vous devrez être comme lui.

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Bon suis allé voir le dernier OSS.

 

Il est pas à la hauteur des 2 premiers pour moi, mais reste un divertissement agréable.

 

2 choses que je retiens pour expliquer cette baisse:

 

-Des répliques qui font rire sur le moment mais que l'on oublie vite. Il y en a qu'une que j'ai retrouvé spontanément une fois sorti.

 

-OSS 1001. Je ne remet pas en cause le jeu d'acteur de Pierre Niney mais vraiment le rôle tel qu'il est écrit. Outre qu'il n'est présent qu'une moitié du film, c'est une tête à claque. Or un bon OSS, faut un side qui tienne la route. Que ce soit Larmina dans le 1er ou Dolorès dans le second, cela allait.

Là OSS 1001, c'est comme Henrich dans Rio, pas enthousiasmant.

 

 

 

 

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2 minutes ago, Bézoukhov said:

 

Une jolie fille quoi :D

Cela aide. :D

 

Et effectivement, quand tu parodies les James bond, tu n'oublies pas une des 2 James Bond girl (la gentille et la méchante).

 

Et à y réfléchir, effectivement une femme "racisée" est parfait pour "contrer" OSS comme dans les 2 premiers.

Là, elle existe mais on ne la voit quasiment pas de tout le film

Fatou NDiaye est bien là, mais pas assez pour jouer ce rôle. Ils ont remplacé par OSS1001 qui permet de faire une des meilleures punch line du film (imo) mais c'est à peu près tout.

 

 

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J’ai regardé (sur Prime) « Capitaine Alatriste »

Un (très) bref résumé: En Espagne, au XVIIe siècle, l’histoire d’un soldat, une sorte de mousquetaire espagnol qui navigue et se perd entre guerres et intrigues de cour.

Tout de suite le gros défaut du film: la chronologie va trop vite, on ne comprend pas grand chose aux complots et intrigues (historique), on passe trop rapidement d’un évènement à un autre et ceux-ci sont traités trop rapidement.

 

les atouts: une image extraordinaire, quasiment tous les plans sont des tableaux de Velasquez. Si vous connaissez et appréciez ce peintre vous serez aux anges!

L’acteur principal qui joue donc le fameux capitaine est également extraordinaire.

Les combats, guerre et surtout les duels sont excellents, le réalisme est saisissant. Les costumes sont parfait, le doublage français est bon (chose rare sur Prime).

? 

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C’est vraiment une purge infâme le dernier OSS. Brûler les copies de ce film est un impératif de santé publique bien plus que les masques et les vaccins. @Marlenus a raison mais je vais plus loin sur les répliques: ce n’est pas écrit. C’est une phrase et une autre phrase juxtaposées. Comme dans des rédactions de collégiens. Je n’ai pas ri une seule fois j’ai vaguement souri quand il parle allemand au lion. Le film recycle poussivement les blagues des précédents. Et OSS est profondément antipathique.

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1 minute ago, Vilfredo Pareto said:

 Je n’ai pas ri une seule fois j’ai vaguement souri quand il parle allemand au lion. 

Alors que moi j'ai vraiment rit à

Spoiler

"J'ai dormi comme un bébé" "Moi comme un homme"

Mais bon, suis bon public :D

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Bah oui mais dans ma tête je comparais à “j’ai pris du svp et j’ai dormi comme un bébé” et c’est tellement moins drôle. À la limite la blague avec le serpent (“c’est excessif”) m’a amusé mais comme tu dis il n’y a absolument pas le potentiel culte des autres. C’est un peu comme regarder Friends sans la laugh track. Tous les personnages ont l’air de psychopathes.

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il y a 3 minutes, Vilfredo Pareto a dit :

regarder Friends sans la laugh track. Tous les personnages ont l’air de psychopathes.

Quoted for truth.

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4 minutes ago, Vilfredo Pareto said:

Bah oui mais dans ma tête je comparais à “j’ai pris du svp et j’ai dormi comme un bébé” et c’est tellement moins drôle. À la limite la blague avec le serpent (“c’est excessif”) m’a amusé mais comme tu dis il n’y a absolument pas le potentiel culte des autres. C’est un peu comme regarder Friends sans la laugh track. Tous les personnages ont l’air de psychopathes.

Le pire, c'est how i met your mother pour ça je trouve.

 

Il y en a pas un que j'aimerais pour pote.

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Le 21/07/2021 à 20:12, poney a dit :

Les Inrocks pensent que le film de Astier est de la merde, par exemple, ça m'indique donc que c'est une grande réussite et que je vais aimer.

Citation

Si Justine Breton note un recul net des blagues reposant sur l’homophobie, d’autres séquences comiques ne se privent pas de surfer sur la misogynie (déjà présente dans la série), utilisant par exemple le mot "pute" comme une insulte, dans un but humoristique. "Ce type de blague marche encore, mais est-ce une bonne chose ? Personnellement, je ne pense pas", note la médiévaliste.

Comment Kaamelott représente le Moyen Âge et la légende arthurienne

 

  

Le 11/08/2021 à 21:35, Rincevent a dit :

J'ai vu Black Widow. C'est moi, ou ils ont délibérément fait au méchant la gueule de Weinstein ?

J'en suis à la moitié, au bout de trois tentatives. Quel est le secret pour aller au bout de cette mièvrerie ?

 

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il y a 4 minutes, RaHaN a dit :

Si Justine Breton note un recul net des blagues reposant sur l’homophobie, d’autres séquences comiques ne se privent pas de surfer sur la misogynie (déjà présente dans la série), utilisant par exemple le mot "pute" comme une insulte, dans un but humoristique. "Ce type de blague marche encore, mais est-ce une bonne chose ? Personnellement, je ne pense pas", note la médiévaliste.

 

Comme si une spécialiste de la représentation du Moyen-Âge dans la culture (ce qu'est une médiévaliste, à ne pas confondre avec une médiéviste, qui, elle, serait spécialiste du Moyen-Âge lui-même) avait un avis sur l'humour de Kaamelott qui soit fondamentalement plus intéressant que celui de mon boucher...

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