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Je viens de voir un film qui à lui seul justifie le téléchargement : Doomsday.

Cela doit se compter en années depuis que je n'avais assisté à une telle daube. C'est hallucinant de nullité et on en arrive à se demander comment une telle merde a pu être produite : je veux dire quelqu'un a accepté de mettre du fric dans un film pareil !! En fait on reste hypnotisé devant une ineptie inégalée. Personnellement j'ai été tenu en haleine en me demandant ce qu'ils allaient bien pouvoir me sortir, et je dois dire que je n'ai pas été déçu. On peut dire sans mentir que le film s'enfonce toujours plus dans le n'importe quoi, avec une régularité rappelant la vitesse avec laquelle se creusent la dette nationale.

Les adeptes de la théorie du complot y verront une expérience de sociologie pour voir jusqu'où on peut pousser le bouchon de la connerie dans le grand public : la réponse est bien plus terrifiante que le "scénario" du film.

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  • 2 weeks later...

Du moment, pas vraiment, mais j'ai adoré Rencontre avec le dragon. Ça doit être mon côté romantique. Le fait que la critique l'ait globalement détesté me conforte dans mon idée qu'il s'agit d'un magnifique poème cinématographique.

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Dernièrement, j'ai vu Strange Wilderness (enfin, pas en salle).

Un film très con et très drôle. A voir (en VOST !) pour se taper quelques bons fous-rires.

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  • 2 weeks later...
Je viens de voir un film qui à lui seul justifie le téléchargement : Doomsday.

Cela doit se compter en années depuis que je n'avais assisté à une telle daube. C'est hallucinant de nullité et on en arrive à se demander comment une telle merde a pu être produite : je veux dire quelqu'un a accepté de mettre du fric dans un film pareil !! En fait on reste hypnotisé devant une ineptie inégalée. Personnellement j'ai été tenu en haleine en me demandant ce qu'ils allaient bien pouvoir me sortir, et je dois dire que je n'ai pas été déçu. On peut dire sans mentir que le film s'enfonce toujours plus dans le n'importe quoi, avec une régularité rappelant la vitesse avec laquelle se creusent la dette nationale.

Les adeptes de la théorie du complot y verront une expérience de sociologie pour voir jusqu'où on peut pousser le bouchon de la connerie dans le grand public : la réponse est bien plus terrifiante que le "scénario" du film.

Suite à ce commentaire, je n'ai pas pu résister à la tentation de le voir.  :icon_up:

Je n'ai pas été déçu ! J'ai trouvé là un excellent film de fin de beuverie ! Merci pour la référence !

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Je viens de voir Hancock, pas le signataire de la déclaration d'indépendance mais le film de super héros avec-super-bankable-will-smith-inclus-dans-le-paquet. un film assez inégal avec un faux rythme et qui hésite toujours entre la production super héros formatée où on casse tout et une interprétation plus fine (on notera une merde infâme au milieu du scénario qui gâche la sauce qui commençait à prendre). Une sorte de spiderdam au petit pied (n'est pas Sam Raimi qui veut).

Pourtant ça commence plutôt bien. Bon ok les ficelles sont grosses mais on verra avec plaisir dans le personnage de Hancock une jolie métaphore de l'amérique néo-con qui casse tout ce qu'elle touche, même avec les meilleurs intentions du monde. Les dommages collatéraux sont ici plus amusant que dans la triste réalité. Une idée ici mieux traitée que dans Daredevill (mais bon avec B. Affleck il y a avait un handicap de départ de type PSGien) où elle était tout bonnement massacrée. C'est hollywoodien, donc on répète et on accumule les indices (du nom du héro jusqu'à son bonnet) pour que même le gros niais au QI de 75 au fond la salle comprenne bien le message (quoique je doute finalement), et on termine avec une deuxième partie à faire pleurer la ménagère de moins de 50 ans tellement ça dégouline. Une produciton millimétrée dont on pourra observer que la répartition ethnique, sociale etc. a du être faite calculette en main (maintenant que j'y pense il manque juste des vieux, doivent plus aller au ciné).

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Tu as bien noté le sabotage d'une bonne idée à mi-parcours et la partie Crying Like a Madeleine Back With A Vengeance en fin de film, mais tu oublies quelques trucs comme notamment la musique moyenne, l'humour un peu balourd et surtout la manie du "caméra à l'épaule".

Le "caméra épaulé jeté" est au cinéma ce que le hamburger quickdo un dimanche midi de juillet sur les Champs est à la gastronomie française.

J'ai chopé la migraine à cause de ces cadrages approximatifs, cette image qui gigote tout le temps bordel de merde et ces aller-retour / zooms / panos fébriles de cocaïnomane en plein trip.

Bref, si vous voulez voir une bonne idée pleine de promesses massacrée façon gore, c'est un bon candidat.

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Pourtant ça commence plutôt bien. Bon ok les ficelles sont grosses mais on verra avec plaisir dans le personnage de Hancock une jolie métaphore de l'amérique néo-con qui casse tout ce qu'elle touche, même avec les meilleurs intentions du monde.

Je doute que ce soit mieux que :

00801006.jpg

America…

America…

America, FUCK YEAH!

Coming again, to save the mother fucking day yeah,

America, FUCK YEAH!

Freedom is the only way yeah,

Terrorist your game is through cause now you have to answer too,

America, FUCK YEAH!

So lick my butt, and suck on my balls,

America, FUCK YEAH!

What you going to do when we come for you now,

it’s the dream that we all share; it’s the hope for tomorrow

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Tu as bien noté le sabotage d'une bonne idée à mi-parcours et la partie Crying Like a Madeleine Back With A Vengeance en fin de film

Je préfère y voir une mise en abyme subtile d'un metteur en scène castré par une production qui devait lui tenir les couilles dans un casse noisettes pour que le film soit visible par les pré-adolescents en ce début d'été.

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Je viens de voir Hancock, pas le signataire de la déclaration d'indépendance mais le film de super héros avec-super-bankable-will-smith-inclus-dans-le-paquet.

Zut. Je m'étais imaginé un instant que ça pouvait avoir un rapport avec Herbie Hancock, le super héros de l'électro-jazz surnommé "Mr Funk". En fait non, c'est un banal blockbuster pour ado en rut et ménagère en galère.

Merci de me rappeler pourquoi je ne vais plus au ciné.

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Zut. Je m'étais imaginé un instant que ça pouvait avoir un rapport avec Herbie Hancock, le super héros de l'électro-jazz surnommé "Mr Funk". En fait non, c'est un banal blockbuster pour ado en rut et ménagère en galère.

Merci de me rappeler pourquoi je ne vais plus au ciné.

En voyant les affiches, me suis aussi dit "Tiens, un biopic sur Hancock, je savais pas qu'il était aussi populaire. Il a quand même une drôle de dégaine sur c't' affiche."

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Tu as bien noté le sabotage d'une bonne idée à mi-parcours et la partie Crying Like a Madeleine Back With A Vengeance en fin de film, mais tu oublies quelques trucs comme notamment la musique moyenne, l'humour un peu balourd et surtout la manie du "caméra à l'épaule".

Le "caméra épaulé jeté" est au cinéma ce que le hamburger quickdo un dimanche midi de juillet sur les Champs est à la gastronomie française.

J'ai chopé la migraine à cause de ces cadrages approximatifs, cette image qui gigote tout le temps bordel de merde et ces aller-retour / zooms / panos fébriles de cocaïnomane en plein trip.

Bref, si vous voulez voir une bonne idée pleine de promesses massacrée façon gore, c'est un bon candidat.

Oh mon Ø ! Je ne supporte pas les caméras tremblottantes. Il se trouve que j'ai hérité d'une oreille interne défaillante et que du coup ce genre de films me rendent malade. En gros si je suis incapable de prédire le mouvement de la caméra (i.e. une caméra mouvante n'est pas un problème, il faut juste que ce soit logique et mesuré) je tombe malade et il me faut plusieurs heures pour me rétablir. Un film du Futuroscope (dans une grosse boule) m'a d'ailleurs rendu malade pendant plusieurs jours.

Du coup, un certain nombre de films me sont inaccessibles (merci IMDB qui généralement le précise).

En plus, c'est d'une nullité infinie, ça n'est pas spécialement convaincant côté "réalisme" (tout comme les fausses caméras amateur avec des écritures moches sur les côtés ou une qualité dégradée). C'est de l'effet spécial de petite bite, et les réalisateurs s'aliène une partie importante du public, qui ne peut physiquement pas voir le film, ou trouve simplement que ça fait pitié.

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Ça te laisse François Ozon.

Je doute que ce soit mieux que :



America…

America…

America, FUCK YEAH!

Coming again, to save the mother fucking day yeah,

America, FUCK YEAH!

Freedom is the only way yeah,

Terrorist your game is through cause now you have to answer too,

America, FUCK YEAH!

So lick my butt, and suck on my balls,

America, FUCK YEAH!

What you going to do when we come for you now,

it’s the dream that we all share; it’s the hope for tomorrow

Freedom isn't free!

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Très très bon film, en effet. Mieux que la version originale, c'est dire. De mon point de vue, évidemment. 

Argh. Sabotage. Le principal intérêt de cette adaptation sauce ricaine est en effet son casting. Pour le reste, ce sympathique thriller est à mon sens une pâle copie de l'original, sans l'ambiance fantastique faite de glissements énigmatiques, de vides angoissants infusés de culture zen. L'original est terrifiant, la version US est démonstrative. Réalisation efficace en mode super-tanker, où disparaît l'ambivalence onirique de l'excellent Hideo Nakata : pas de plans larges angoissants, pas de lenteur dans le rythme, ni de montée en puissance.

Du même Hideo Nakata, il faut voir cette superbe histoire de fantômes :

Là encore, éviter le remake americain.

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Un film à voir à tout prix :

[dailymotion]x5b70v[/dailymotion]

Bandant, is'nt it ?

Sortie le 13 août…

Je vais attendre, j'ai détesté Batman Begins.

En plus, c'est d'une nullité infinie, ça n'est pas spécialement convaincant côté "réalisme" (tout comme les fausses caméras amateur avec des écritures moches sur les côtés ou une qualité dégradée). C'est de l'effet spécial de petite bite, et les réalisateurs s'aliène une partie importante du public, qui ne peut physiquement pas voir le film, ou trouve simplement que ça fait pitié.

Les 25 premières minutes de Saving Private Ryan ?

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En plus, c'est d'une nullité infinie, ça n'est pas spécialement convaincant côté "réalisme" (tout comme les fausses caméras amateur avec des écritures moches sur les côtés ou une qualité dégradée). C'est de l'effet spécial de petite bite, et les réalisateurs s'aliène une partie importante du public, qui ne peut physiquement pas voir le film, ou trouve simplement que ça fait pitié.

Haha, à d'autres ça c'est un aquired taste : tu peux pas en profiter donc tu dis que c'est nul :icon_up:

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Je vais attendre, j'ai détesté Batman Begins.

Il n'était pas exceptionnel mais après Batman Forever et Batman & Robin, j'étais prêt à voir n'importe quoi, même une production française de Batman.

Les super vilains étaient pas terribles dans Begins, et surtout très inexploités au contraire de celui-ci. Bref, un film de super-héro où l'on délaisse les méchants, c'est un crime. N'empêche l'ambience du film a d'après moi sauvé la mise.

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Il n'était pas exceptionnel mais après Batman Forever et Batman & Robin, j'étais prêt à voir n'importe quoi, même une production française de Batman.

Les super vilains étaient pas terribles dans Begins, et surtout très inexploités au contraire de celui-ci. Bref, un film de super-héro où l'on délaisse les méchants, c'est un crime. N'empêche l'ambience du film a d'après moi sauvé la mise.

Pour moi, le meilleur reste le Batman Returns de Tim Burton.

Quoique…

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Il n'était pas exceptionnel mais après Batman Forever et Batman & Robin, j'étais prêt à voir n'importe quoi, même une production française de Batman.

Les super vilains étaient pas terribles dans Begins, et surtout très inexploités au contraire de celui-ci. Bref, un film de super-héro où l'on délaisse les méchants, c'est un crime. N'empêche l'ambience du film a d'après moi sauvé la mise.

Batman fut une bonne surprise, le défi reste encore inégalé pour moi, Batman forever est une blague, et si Dark Knight arrive à la moitié de la cheville de la BD ça promet un bon moment. Maintenant que j'y pense Hancock lui doit beaucoup de ses bonnes idées, notamment l'ambiance de la première partie qui emprunte beaucoup à l'approche Millerienne de la chauve-souris.

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