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Invité rogermila

Nos amis belges connaissent-ils ce film de Félix van Groeningen "La Merditude des Choses" qui aurait déjà fait un tabac en Belgique et arrive en France cette semaine ?

ça à l'air d'être une apologie de la condition "d'assisté social" (chomage, beuveries, glandouille pathétique…) et qui veut faire rire avec ça.

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Suis allé voir (sous l'amicale pression de ma blonde) le drôle de Noël de Scrooge

Je l'ai vu hier aussi en 3D. Très captivant, mais un peu lassant à la fin. C'est le deuxième film que j'ai vu en 3D, mais c'est beaucoup mieux fait. Up était naze comparé à ça.

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Si vous aimez Armond White, je vous recommande également les critiques ciné de Debbie Schlussel (qui intervient sur…

FOX News

) : à l'entendre, la quasi-totalité des bons films sont soit de la propagande libérale (pro-Démocrate) ou homosexuelle, soit antisémites, anti-Israël, ou même carrément pro-islamistes (après la fusillade de Virginia Tech, elle avait soupçonné le tireur d'être Pakistanais). :icon_up: Et elle emploie si souvent un ton sarcastique qu'on dirait une ado de 16 ans.

Son appréciation de Watchmen est hilarante (remarquez la note finale: "Four Marxes Plus" :mrgreen: ) : http://www.debbieschlussel.com/4896/the-wa…uperhero-flick/

Edit : District 9:

The movie, shot in documentary/news report style, wants us to feel sorry for the prawns. But I didn’t. I felt they should have dropped a giant bomb on “District 9″ . . . sent me one of the “No Non-Human Loitering” signs as a souvenir (if you are reading this and are from the studio, please send me one).

Think the Palestinians. That’s what I did throughout the movie.

I viewed the alien prawns as Palestinians because they acted just like them (though Palestinians are far more scary). The aliens came from out of nowhere–the “Palestinian people” was invented out of nowhere (since they were basically Jordanians and other Arabs who wanted to get work and then land-squat). The good people of a Western country were nice to the aliens, and they took advantage. . . just like the Palestinians.

The aliens who were a few hundred had a ton of kids, spawning to a number in the hundreds of thousands . . .just like the Palestinians (who became millions). They were a drain on resources and lived and acted like animals . . . just like our friends from the Religion of Peace of the Palestinian persuasion. They were violent–killing and maiming innocent civilians . . . just like you know who. The Palestinians. Human rights activists and lefties were all over the news as apologists and sympathetic advocates for the violent prawns . . . just like they do for the Palestinians (and every other ilk of violent Muslim).

“District 9″ was entertaining, so long as you don’t buy the message. Aliens aren’t people, too. They must be destroyed. They should have been. But I liked the movie anyway. It’s a great statement on how you lose control of your country, your culture, your safety, when you feel bad for those who want to kill you.

:doigt:

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entre_les_murs_02.jpg

"The Class” (Entre Les Murs): It figures that this movie was a nominee for best foreign language film (along with “Waltz with Bashir“–read my review) at this year’s Academy Awards. It’s one of the most boring movies on earth. Have insomnia? See this. It’s in French, with English subtitles.

On the other hand, it’s an insight to what’s coming to America, if we continue to allow Muslim immigrants and illegal aliens to come to our shores.

A French public school teacher loses control of his classroom, as Muslim troublemakers–both Black and White–from North Africa act up and exalt their ignorance upon the rest of the class. It was written by the real-life teacher and stars his real-life students, based on their real-life experience. We see how most of these students’ parents can’t speak French and are complete unabsorbed into their population. Some of them get deported, and the idiotically liberal teachers feel bad for these aliens and take up collections for them. The insolence of the students is headed up by a troublemaker named Suleman, but we’re suppoed to feel sorry for him because his father might send him back to Mali if he’s expelled. I say, get packing.

Political correctness, thuggery, ignorance, and hip-hoppery run the classroom and its teacher, not the other way around. We already have a lot of this here. Expect more with illegal aliens. Islam and polite western civilization don’t mix.

FOUR MARXES

OSS117.jpg

"OSS 117: Cairo, Nest of Spies“: If you like the old “Get Smart,” from TV in the ’60s, or even just James Bond, you’ll love this French comedy/parody of Bond set in Egypt in 1955. A bumbling French secret agent, OSS 117, comes to Cairo to determine what happened to a missing French agent posing as a chicken and poultry wholesaler.

Funny, with cool ’50s attire and decor (and for the guys, beautiful women whom OSS beds a la Bond), I enjoyed this movie a lot. Best part: When agent OSS 117 is woken up early in the morning by the Islamic call to prayer. First, he shouts something to the effect of, “Shut the F–k Up!” Then, he runs out of his hotel and beats up the man doing the call to prayer. He also repeatedly makes fun of Egypt, Muslims, and Arabs–and accurately calls their society backwards–which surprised me, since there are so many Muslims involved in the production of this film and it’s made in France.

In French with subtitles, and they move quickly, so if you don’t speak French, you must work fast.

Hilarious, cool, old-style comedy. The movie is generally running in arthouse theaters.

THREE-AND-A-HALF REAGANS.

bowdown.gif

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Avatar totalise aujourd'hui 1 022 311 074 $ de recettes mondiales et devient le 4ème plus gros succès après Titanic (du même James Cameron, 1,8 milliard de dollars en 1997), Le Seigneur des Anneaux: Le retour du Roi (Peter Jackson, 1,12 milliard en 2003), et Pirates des Caraïbes : Le secret du coffre maudit (de Gore Verbinski, produit par Jerry Bruckheimer, 1,066 milliard en 2006), et devant Batman, le chevalier noir (The Dark Knight, de Christopher Nolan, 1,002 milliard en 2008).

Edit :

1 milliard de $ pour AVATAR!

LA FOX VIENT D'OFFICIALISER QU'AVATAR A FRANCHIT CE DIMANCHE LE MILLIARD DE DOLLARS DE RECETTES DANS LE MONDE.

Aux Etats-Unis, le film atteint 355 millions de $ avec un 3è week end égal aux deux précedents.

Dans le reste du monde, ce sont 700 millions qui ont été collectés. La France est le second pays ou Avatar marche le mieux, après les USA. Avec plus de 60 millions de $ de recettes dans l'Hexagone, ce sont 7 millions de Français qui ont vu le James Cameron.

Désormais, Avatar est numéro 5 de l'histoire du box office. Avec 1,05 milliard de $ en moins de trois semaines, le film devrait taquiner le numéro un, à savoir Titanic. On n'est jamais mieux combattu que par soi-même…

http://lewesternculturel.blogs.courrierint…our-avatar.html

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+1.

je pense que le but n'était ps d'avoir une histoire très originale, mais plutôt un environnement original, en fait de proposer un truc plus abouti que tout le monde dans le même genre de films. L'histoire est banale mais bien amenée je trouve, il n'y a pas de choses non comprises tout est clair, c'est évolutif dans l'histoire, la trame est équilibrée, bref c'est un film bien fait. Aujourd'hui il y a tellement de films dont l'histoire est bonne au départ mais tellement mal amenée, avec des déséquilibres dans trame du film qui font que certaines longueurs se font sentir. Ce film n'a pas de longueurs, il divertit avec en prime un univers pour servir l'histoire qui est très étudié et travaillé et cela se sent.

C'est un très bon film, exceptionnel sur le travail de l'image et de la création artistique, avec une histoire un peu concon mais qui est très bien servie au spectateur qui ne sent pas largué du film. D'ailleurs Titanic ce fut pareil, une belle réalisation, une histoire cohérente et bien amenée (bien que je déteste ce film pour son côté romantique à deux balles), tout fut bien étudié pour proposer un spectacle de haut niveau, mais l'histoire…

Mon avis à deux balles

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Avatar souffre du même défaut que Titanic, et qui d'ailleurs est sa principale qualité commerciale : un film d'action enrobé midinette pour plaire aussi aux filles. C'est tout ce doux molletonage rose et sucré qui le gâche.

Mais en fait, je lui trouve un mérite historique majeur : il explicite la religion panthéistoanimiste inavouée dans laquelle nous baignons pour notre plus grand malheur.

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Ben, on peut voir Avatar comme une fable écologique et tout et tout…

D’ailleurs l’auteur ne se prive pas de laisser ouverte cette piste d’analyse, surtout avec la petite phrase à la fin ou ils (les méchants) repartent sur leur monde natal détruit. Pourquoi se priver d’une cible marketing ?

Mais il ne faut pas beaucoup d’imagination pour donner une autre interprétation de l’histoire.

Quand le héros, monte sur sa monture aérienne, il ne lui dit pas « nous sommes unis », mais « tu m’appartiens », ce qui ressemble quand un peu à l’appropriation du monde par l’humanité.

Le combat final qui voit s’affronter le méchant dans son robot, avec le héro dans son avatar, c’est aussi l’affrontement de deux technologies différentes : une ancienne, faites de ferraille, une nouvelle faite de l’appropriation d’un corps étranger et qui parle beaucoup d’ADN.

L’image contemporaine qui ressemble le plus à la chute du grand arbre, c’est quand même un peu les tours de NY qui s’effondrent en 2001.

Il y a un truc qui m’a toujours fasciné dans la construction de l’imaginaire américain, c’est leur capacité à être toujours du bon coté de l’histoire. Ainsi, c’est les européens qui ont massacrés les indiens. Les américains – eux - sont les descendants au moins symbolique des indiens. C’est très clair chez Harrisson par exemple.

Voilà, c’était mes deux cents à moi.

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Oui, il y a pas mal d'images qui font des clins d'oeil de trois tonnes pour guiques sentimentaux. La belle affaire.

Les méchants de Little Big Man, Soldier Blue, Jeremiah Johnson, La Flêche Brisée, Dances With Wolves, etc. sont bien présentés comme américains. Je crois que tu te plantes dans les grandes largeurs.

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Les méchants de Little Big Man, Soldier Blue, Jeremiah Johnson, La Flêche Brisée, Dances With Wolves, etc. sont bien présentés comme américains. Je crois que tu te plantes dans les grandes largeurs.

Les gentils aussi sont américains - enfin, je parle pour ceux que j'ai vu (little big men et dances with wolves). Et c'est cela que je parle de l'appropriation de la culture indigènes par les américains contemporains. Tu as la même chose dans Harrisson.

Tout ces films ne sont pas des machines de guerre contre l'amérique intemporelle, mais contre une ancienne amérique pour fabriquer la nouvelle. C'est vrai qu'en Europe ils sont vu comme une dénonciation de l'impérialisme américain. Mais à mon sens, c'est une mauvaise interprétation des européens.

Maintenant, je n'ai aucune volonté messianique (sans ça je serais réalisateur), et si je ne t'ai pas convaincu, ce n'est pas grave.

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Bon, j'ai vu Avatar, en IMAX 3D, version française.

J'aurai beaucoup de mal à donner un avis tranché ou une note au film : il n'est ni parfait, ni nul, ni moyen, je le trouve inégal.

Parmi les mauvais points : ce n'est pas une surprise, l'écriture est à pleurer. Le scénario est ridicule (mais Avatar a le mérite d'en avoir un, avec suffisamment de cohérence), les dialogues ne sont que fonctionnels, ponctués de courtes phrases-choc telles que Cameron les adore, mais, pire, les personnages sont caricaturaux. C'est assez gênant, surtout pour une production de cette envergure, mais ce n'est la faute que du scénariste : dès le début du tournage, c'était déjà trop tard. Comme j'étais prévenu et que je ne suis pas un gros naïf, j'ai pu faire abstraction du fameux aspect "Danse avec les loups" et me concentrer sur autre chose. La musique, peu inspirée, est un copier-coller de celle de Titanic avec de la flûte de Pan et des choeurs ici et là. Pareil, ce n'est pas à la hauteur des ambitions du film, et la chanson de Leona Lewis au générique est une blague. Le début du film est massacré par des coupes assez violentes dans le montage : l'exposition s'y résume à une succession de scènes courtes et des commentaires en voix off, alors que j'attendais un vrai prologue se déroulant sur Terre, dans des décors à la Blade Runner (scènes qui ont été tournées et finalisées, mais pas retenues).

Petite déception en ce qui concerne le cadrage, il est simplement correct : c'est filmé comme un documentaire (voix off, caméra à l'épaule, extraits de journal de bord), pas comme une fresque épique avec des plans d'anthologie comme je les aimais dans Titanic. Cela dit, quand Cameron fait du cadrage "fonctionnel", c'est lisible et ça explose quand même la majorité des films à grand spectacle de ces dix dernières années, notamment les films de Michael Bay, de McG et de Roland Emmerich.

A part ça, c'est du tout bon, l'exécution est magistrale. Arriver à faire un film aussi agréable avec un point de départ aussi ridicule relève du défi Oulipien, défi ma foi réussi. Si on est pas un aigri total, qu'on sait garder une âme d'enfant ou qu'on suspend un minimum son incrédulité, on s'attache facilement aux héros (et on déteste facilement les méchants, heureusement, ils sont là pour ça), on se laisse porter par le récit, assez clair (sauf au début pour les raisons citées plus haut), et les scènes d'action (qui ne monopolisent pas l'intérêt du film : on pourrait s'en débarasser qu'Avatar serait tout aussi bon) en donnent pour votre argent. La 3D stéréoscopique est discrète, agréable (pas le moindre mal de tête) mais reste complètement dispensable. Ce n'est qu'un plus, et tant mieux. N'ayez pas peur de voir Avatar en 2D si vous n'avez pas le choix.

Les effets spéciaux relèvent de l'exploit : les vaisseaux de guerre sont criants de vérité, et les scènes où certains Na'vi portent des personnages humains dans leurs bras, ou leur touchent le visage avec la main (en gros plan), feraient pâlir les interactions humains-hobbits du Seigneur des Anneaux version Peter Jackson (à base de fausse perspective). J'aimerais d'ailleurs qu'on me montre comment ces plans ont été faits. Les expressions faciales des Na'vi et des Avatars sont convaincantes, une réussite là où tant de cinéastes et de techniciens s'étaient cassés la gueule. Malgré tout, le photoréalisme annoncé n'est pas encore là (on s'en approche), cela ressemble encore à un jeu vidéo (un très bon, venu du futur), même si ça ne gêne en aucun cas l'immersion (la scène de baiser/préliminaires entre Jake et Neytiri est touchante). J'ai donc été davantage convaincu par les véhicules terriens.

Les acteurs sont tous excellents, ils jouent très bien les stéréotypes qu'on leur a demandé d'incarner. Sam Worthington est magistral (je lui souhaite une heureuse carrière), mais Stephen Lang bouffe le film à lui tout seul. Son interprétation du colonel Miles Quaritch, sévèrement burné et monolithique comme un Terminator modèle T-800, est jouissive à défaut d'être crédible. Il faut le voir tirer, en apnée, sur des cibles à 200 mètres, ou courir s'installer dans son tank bipède, avec son épaule en feu depuis dix bonnes secondes.

Je me suis bien amusé, je ne regrette pas d'être allé voir le film, et j'en redemande (avec les scènes coupées). Excellent (à condition de cesser d'être coincé et de voir des ennemis politiques partout), décevant pour une réalisation de Cameron, une nouvelle référence pour les effets spéciaux et de loin, mais je ne pense pas qu'Avatar mérite de faire partie du panthéon de la science-fiction au même titre que des films comme 2001 : l'Odyssée de l'Espace, Retour vers le Futur, L'Empire contre-attaque, ou Ghost in the Shell. L'univers est attrayant, mais trop bancal pour mériter un culte au même titre que Star Wars ou que le Seigneur des Anneaux : Pandora n'est ni la Terre du Milieu ni l'Empire galactique.

tl;dr : je vous le recommande, mais ne vous faites pas avoir par le matraquage publicitaire qui vous annonce le futur remède contre le SIDA. D'ailleurs, je ne pense pas l'avoir jamais dit : j'ai certes spammé ce fil, mais pour intéresser les gens au film, pas pour les persuader par avance que c'était parfait. En revanche, si vous voulez absolument un bon scénario avant d'aller au cinéma, peu importe le degré de divertissement, je ne peux rien faire pour vous.

Aliens le retour > Terminator > Terminator 2, le Jugement Dernier > Titanic > Avatar > True Lies > Abyss > Piranha 2 : les Tueurs volants

Toi aussi, tu as fait l'expédition jusqu'à chez mickey ?

Pour moi, c'était laborieux, les grèves du RER A, plus la neige, j'ai mis plus de 2h pour faire la défense->mickey.

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Dans les films en question il s'agit d'individus isolés qui perdent à la fin. Tu peux interpréter ça comme fabriquer une nouvelle Amérique. Si. Tu le peux.

Puisque tout le monde balance ses deux centimes, je tenais juste à dire que "perdre" est parfois la plus belle manière de faire passer un message. Au pif quelques mythes grecs, ou encore l'abondante littérature japonaise sur les samurai et ronin rétablissant leur honneur, et celui de leur seigneur à travers leur sacrifice.

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Vu Avatar, excellent film du point de vue de la réalisation, premier film d'un nouveau genre.

Scénario basique, mais on est habitué avec les superprod. de ce type.

Salle pleine.

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Avatar totalise aujourd'hui 1 022 311 074 $ de recettes mondiales…

Bah… en terme de retour sur investissement, La danse des canards est imbattable.

je pense que le but n'était ps d'avoir une histoire très originale, mais plutôt un environnement original…

Ouaip… de la merde en 3D. Et bientôt, de la merde sur écran que l'on pourra sentir. En attendant de pouvoir la palper. Allez, Cameron, t'as encore du taf sur la planche.

Mais en fait, je lui trouve un mérite historique majeur : il explicite la religion panthéistoanimiste inavouée dans laquelle nous baignons pour notre plus grand malheur.

Faut pas chercher si loin ; il s'agit de la preuve de l'infinie capacité du capitalisme à tout recycler : faire un film anti-capitaliste, anti-société industrielle, anti-technologique à base de centaines de millions de dollars investis dans les effets spéciaux, des campagnes publicitaires tous azimuts, des gadgets fabriqués à partir de dérivés du pétrole distribués dans les McDo', faut avoir les couilles. Moi, je dis : chapeau Cameron de te foutre de la gueule d'autant de monde avec une telle décontraction.

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