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Le Saint -Siège n'estime que dalle. L'Osservatore Romano ne parle au nom de l'Église au sujet de la foi, de morale ou de positions publiques sur des sujets concrets que lorsqu'un haut dignitaire écclésiastique émet un commentaire sur un document de la papauté (comme, par exemple, une encyclique) ou lorsque, très rarement, un éditorial est suivi de trois points, forme traditionnelle pour indiquer que l'opinion émise est celle d'une "haute autorité" de l'Église.

Et lorsque ladite haute autorité est membre d'une congrégation monastique, peut-on alors parler de frère trois-points ? :icon_up:

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Nimportenawak. Ignares de journaleux.

Le Saint -Siège n'estime que dalle. L'Osservatore Romano ne parle au nom de l'Église au sujet de la foi, de morale ou de positions publiques sur des sujets concrets que lorsqu'un haut dignitaire écclésiastique émet un commentaire sur un document de la papauté (comme, par exemple, une encyclique) ou lorsque, très rarement, un éditorial est suivi de trois points, forme traditionnelle pour indiquer que l'opinion émise est celle d'une "haute autorité" de l'Église.

Ici, en l'occurence, tout ce que nous avons, c'est un article de Gaetano Vallini, journaliste à l'Osservatore Romano et un autre de Lorenzo Fazzini, écrit à l'origine pour la revue Mondo e Missione, et repris ensuite par l'Osservatore Romano. Dont il serait aussi ridicule de dire qu'ils représentent la position du Saint-siège qu'un article d'un pisse-copie de L'Humanité représenterait la position du parti communiste français sur un album de Mylène Farmer.

Ah voilà, je me disais aussi.

Quand on voit se qui s'exporte, il n'y a rien à regretter.

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Je suis en train de chercher un bon film sorti cette année là au ciné, je n'en trouve pas.

Une idée ?

Un seul : Watchmen

Et j'y suis allé en trainant les pieds et en craignant une daube du genre Spiderman ou X-men.

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J'ai l'ai vu et l'ai trouvé à la fois prétentieux et convenu. Les seuls passages que j'ai trouvé distrayants sont ceux avec Rorschach. Ça se regarde (malgré la durée) mais c'est tout sauf un bon film. En comparaison, j'ai largement préféré Spiderman et X-men (le 1er).

J'ai retrouvé un billet qui m'avait fait marrer à l'époque, sur le choix des musiques dans le film :

http://rafik.blog.toutlecine.com/8615/Watchmen-en-musique/

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invictus-morgan-freeman-clint-eastwood-matt-d-L-1.jpeg

P***** première déception ciné de l'année et elle vient de Clint en plus!

Quel mauvais film!

C'est d'un plat absolu. Le traitement du sujet est d'une banalité affligeante. C'est aussi fin qu'un bulldozer.

Et mon dieu, Eastwood n'y connais rien de rien en rugby (et pourtant je ne suis pas un spécialiste non plus mais là merde).

On ne croit à rien. Ce film m'a souvent exaspéré dans ses moments mélo digne d'un téléfilm.

Vraiment vraiment déçu.

Tout le monde m'avait dit du bien de ce film, j'avais lu des critiques excellentes… je m'attendais à du grand cinéma, et là, plouf, un film chiant dans lequel il ne se passe rien. Le film est sensé montrer comment Mandela a "converti" les rugbymen et la fédération sud-africaine de rugby, qui fut un bastion du nationalisme afrikaner. Et Clint Eastwood passe complètement à coté de son sujet. Le personnage joué par Matt damon (François pienaar) perd son temps en atermoiements avec sa femme et en réunions de famille,ses coéquipiers sont relégués au rang de figurants, la parole ne leur est pratiquement pas accordée pendant tout le film, sauf pour des répliques ultra-simplistes;les relations entres les joueurs blanc et le seul noir de l'équipe ne sont absolument pas abordées, et au final, on ne sait pas comment, on ne sait pas pourquoi, l'espoir, la fraternité et l'amooooouuuur triomphent -du moins c'est que la musique et la mise en scène laissent supposer puisque pas un seul personnage n'a prononcé une phrase de plus de trois mots, ou a réellement exprimé ce qu'il pensait de l'apartheid.

Seul point positif, si vous voyez le film en VOSTF: les acteurs font l'effort de parler anglais avec l'accent afrikaner, et vous aurez même le droit à quelques répliques en Afrikaans.

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Tout le monde m'avait dit du bien de ce film, j'avais lu des critiques excellentes… je m'attendais à du grand cinéma, et là, plouf, un film chiant dans lequel il ne se passe rien. Le film est sensé montrer comment Mandela a "converti" les rugbymen et la fédération sud-africaine de rugby, qui fut un bastion du nationalisme afrikaner. Et Clint Eastwood passe complètement à coté de son sujet. Le personnage joué par Matt damon (François pienaar) perd son temps en atermoiements avec sa femme et en réunions de famille,ses coéquipiers sont relégués au rang de figurants, la parole ne leur est pratiquement pas accordée pendant tout le film, sauf pour des répliques ultra-simplistes;les relations entres les joueurs blanc et le seul noir de l'équipe ne sont absolument pas abordées, et au final, on ne sait pas comment, on ne sait pas pourquoi, l'espoir, la fraternité et l'amooooouuuur triomphent -du moins c'est que la musique et la mise en scène laissent supposer puisque pas un seul personnage n'a prononcé une phrase de plus de trois mots, ou a réellement exprimé ce qu'il pensait de l'apartheid.

Seul point positif, si vous voyez le film en VOSTF: les acteurs font l'effort de parler anglais avec l'accent afrikaner, et vous aurez même le droit à quelques répliques en Afrikaans.

J'ajoute qu'on nous sert encore un film, comme ils en existent plein sur le sujet, qui dénonce l' apartheid alors que ce fut l'un des plus justes régimes au monde. Régime qui fût spolié par des individus se réclamant propriétaires d'une région soit-disant ancestralement leurs.

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J'ajoute qu'on nous sert encore un film, comme ils en existent plein sur le sujet, qui dénonce l' apartheid alors que ce fut l'un des plus justes régimes au monde. Régime qui fût spolié par des individus se réclamant propriétaires d'une région soit-disant ancestralement leurs.

:icon_up: Tu cherches à te donner du contenu en adoptant des positions extrêmistes ? Banal.

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J'ai l'ai vu et l'ai trouvé à la fois prétentieux et convenu. Les seuls passages que j'ai trouvé distrayants sont ceux avec Rorschach. Ça se regarde (malgré la durée) mais c'est tout sauf un bon film. En comparaison, j'ai largement préféré Spiderman et X-men (le 1er).

J'ai été déçu pareillement. Prétentieux dans le style, et finalement, le message ne me semble pas si formidable que ça.

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Tout le monde m'avait dit du bien de ce film, j'avais lu des critiques excellentes… je m'attendais à du grand cinéma, et là, plouf, un film chiant dans lequel il ne se passe rien. Le film est sensé montrer comment Mandela a "converti" les rugbymen et la fédération sud-africaine de rugby, qui fut un bastion du nationalisme afrikaner. Et Clint Eastwood passe complètement à coté de son sujet. Le personnage joué par Matt damon (François pienaar) perd son temps en atermoiements avec sa femme et en réunions de famille,ses coéquipiers sont relégués au rang de figurants, la parole ne leur est pratiquement pas accordée pendant tout le film, sauf pour des répliques ultra-simplistes;les relations entres les joueurs blanc et le seul noir de l'équipe ne sont absolument pas abordées, et au final, on ne sait pas comment, on ne sait pas pourquoi, l'espoir, la fraternité et l'amooooouuuur triomphent -du moins c'est que la musique et la mise en scène laissent supposer puisque pas un seul personnage n'a prononcé une phrase de plus de trois mots, ou a réellement exprimé ce qu'il pensait de l'apartheid.

Seul point positif, si vous voyez le film en VOSTF: les acteurs font l'effort de parler anglais avec l'accent afrikaner, et vous aurez même le droit à quelques répliques en Afrikaans.

Les films d'Eastwood alternent ces dernières années entre grandes aventures collectives ( ce film, ceux concernant la guerre du pacifique) et des histoires plus classiques, plus personnelles ou "intimistes" où la narration n'engage pas directement le destin de l'humanité ou d'un pays.

Les seconds sont bien meilleurs que les premiers.

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Invité rogermila
Les films d'Eastwood alternent ces dernières années entre grandes aventures collectives ( ce film, ceux concernant la guerre du pacifique) et des histoires plus classiques, plus personnelles ou "intimistes" où la narration n'engage pas directement le destin de l'humanité ou d'un pays.

Les seconds sont bien meilleurs que les premiers.

Je pense qu'il fait surtout trop de films, à un rythme beaucoup trop soutenu, pour un cineaste qu'il faut classer comme auteur.

Dans la même categorie de cinéaste trop "productif" il y a aussi Woody Allen.

Dans les deux cas, il y a forcément des deceptions.

idem en France avec Chabrol

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Ebert vient de publier ceci :

A Letter to Rush Limbaugh

January 14, 2010

To: Rush Limbaugh

From: Roger Ebert

You should be horse-whipped for the insult you have paid to the highest office of our nation.

Having followed President Obama's suggestion and donated money to the Red Cross for relief in Haiti, I was offended to hear you suggest the President might be a thief capable of stealing money intended for the earthquake victims.

Here is a transcript from your program on Thursday:

Justin of Raleigh, North Carolina: "Why does Obama say if you want to donate some money, you could go to whitehouse.gov to direct you how to do so? If I wanted to donate to the Red Cross, why do I have to go to the White House page to donate?"

Limbaugh: "Exactly. Would you trust the money's gonna go to Haiti?"

Justin: "No."

Rush: "But would you trust that your name's gonna end up on a mailing list for the Obama people to start asking you for campaign donations for him and other causes?"

Justin: "Absolutely!"

Limbaugh: "Absolutely!"

That's what was said.

Unlike you and Justin of Raleigh, I went to Obama's web site, and discovered the link there leads directly to the Red Cross. I can think of a reason why anyone might want to go via the White House. That way they can be absolutely sure they're clicking on the Red Cross and not a fake site set up to exploit the tragedy.

But let me be sure I have this right. You and Justin agree that Obama might steal money intended for the Red Cross to help the wretched of Haiti.

This conversation came 48 hours after many of us had seen pitiful sights from Port au Prince. Tens of thousands are believed still alive beneath the rubble. You twisted their suffering into an opportunity to demean the character of the President of the United States.

This cannot have been an accident. A day earlier, in a sound bite from your show, you said "this will play right into Obama's hands. He's humanitarian, compassionate. They'll use this to burnish their, shall we say, 'credibility' with the black community -- in the both light-skinned and dark-skinned black community in this country. It's made-to-order for them."

Setting aside your riff on Harry Reid, consider what you imply. Obama will aid Haiti to please African-Americans. Haiti has lost untold thousands of lives. One third of the population has lost its homes. Countless people are still buried in the rubble. Every American president would act quickly to help our neighbor. You are so cynical and heartless as to explain Obama's action in a way that unpleasantly suggests how your mind works.

You have a sizable listening audience. You apparently know how to please them. Anybody given a $400 million contract must know what he is doing.

That's what offends me. You know exactly what you're doing.

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L'Eglise prend officiellement parti contre l'idolâtrie véhiculée par ce film de propagande new age et met en garde contre les pseudo-doctrines inhérentes à cette nouvelle religion de Gaïa :

Dans un article publié dans L'Osservatore Romano, l'un des critiques de la cité papale écrit que le film "se résume à un spiritualisme faisant le culte de la nature ", avant d'ajouter qu'il ne suscite "que peu d'émotions sincères ". Federico Lombardi, l'un des représentants du Vatican, a quant à lui précisé que la critique du Pape Benoit XVI n'avait qu'un objectif: attirer l'attention sur le danger qu'il y avait à considérer la nature comme une "nouvelle divinité ". « Le film s'embourbe à cause du spiritualisme prétendant qu'il faut vénérer la nature. Il fait clairement un clin d'œil à toutes ces pseudo-doctrines qui font de l'écologie la religion du nouveau millénaire. La nature n'est plus une création à protéger, mais une divinité à vénérer", estime le Vatican.

L'Église catholique voit en la planète imaginaire de Pandora une apologie du paganisme, et rappelle : "Attention à ne pas confondre : la nature est une création de Dieu, pas une divinité !'', avant de déplorer le fait que le film ne dégage que "si peu d'émotions véritables".

http://www.lejdd.fr/Culture/Cinema/Actuali…aintete-164783/

Je n'irai pas voir cette bouse, mais elle m'intéresse en tant que phénomène de société. En tant que révélateur du Zeitgeist, qui semble confirmer le retour des hérésies eschatologiques et la confusion introduite par l'environnementalisme, conduisant à une idéologie antihumaine partant de la vieille idée que ce monde est fondamentalement mauvais. On peut aussi y voir à l'oeuvre la résurgence du mythe rousseauiste du bon sauvage.

Toutefois, sur un autre plan on trouve dans ce film une critique virulente du multiculturalisme béat et du cosmopolitisme, bref de l'Amérique-monde métissée d'Obama, qui dissout tous les particularismes identitaires dans un universalisme abrutissant, le même qui voudrait imposer la démocratie partout à coups de canons, de bombardements humanitaires et de coca-cola.

Les humains du film appartiennent ainsi à toutes les races de l'humanité: des occidentaux blancs bien évidemment méchants et puissants, des Noirs, des Asiatiques, des Latinos, des Indiens etc, formant une coalition qui va traquer les cultures différentes pour détruire leur singularité, symbolisant une culture de résistance à l'emprise des forces uniformisatrices et mondialistes. De ce point de vue, on peut se demander si Avatar n'est pas le film le plus à droite de ces dernières années, avec le Seigneur des Anneaux.

L’action se situe sur la planète Pandora, semée de plantes merveilleuses, grouillante de bêtes cauchemardesques, constellée de montagnes planantes. En 3D, des lunettes sur le nez, c’est ébouriffant. Frisson, chair de poule, vertige.

Nausée aussi, mais pas à cause des effets spéciaux. C’est l’argument qui flanque un malaise. D’habitude, le cinéma badaboum met en action des durs à cuire humains. Au début, ils se font tailler en pièces par des monstres. Ensuite, les survivants renversent la situation, boutent les envahisseurs hors de la Terre et nous sauvent. Ouf !… Ces œuvres nous procurent d’anodins bonheurs balourds.

Pas Avatar. Parce que tout y est inversé. Des hommes sans pitié martyrisent des extraterrestres sur leur propre planète. À la fin, les autochtones qui vivent en harmonie avec la nature se libèrent avec violence du joug de ces salauds d’humains. Pourquoi pas ? Sauf que cette victoire est supposée nous réjouir. Pourtant, les libertés prises avec les codes du genre me dérangent…

Je fais des efforts, mais je ne parviens pas à acclamer le triomphe d’êtres tous semblables, tous beaux – bien que bleus –, tous grands, tous souples, sveltes et dynamiques. Des guerriers claniques, des chasseurs à l’arc, pratiquant des rites initiatiques potentiellement mortels. Des géants à peu près télépathes obéissant à leur chaman, prêts au sacrifice au nom de leur divinité. Des sages sauvages qui déclarent que les hommes en abîmant la Terre ont « tué leur mère ». Eux-mêmes se choisissant un chef chevauchant un dragon.

Une idéologie inquiétante

Je n’ai rien contre le bleu. Les dragons m’amusent. Il m’arrive de tirer à l’arc… Ca ne me suffit pas pour oublier tout. L’Histoire nous a appris à nous méfier des perfections ethniques, de la naturelle pureté, des croyances fumeuses et des idéologies enchanteresses. Cela, dans la vie vraie, tout le monde l’admet. Je ne vois pas pourquoi je devrais, au cinéma, me laisser bercer au bord du gouffre.

Je crois qu’aux créatures clonées, définitivement, je préfère les hommes. Avec leurs vices et leurs vertus. Avec leur raison, leurs folies, leurs religions, leur déraison, leurs désespoirs. Les hommes, quoi ! Les petits, les gros, les Noirs, les laids, les infirmes, les Blancs, les beaux, les brutes, les lâches, les héros, les abrutis et les génies. Même l’abominable colonel Miles Quaritch. Tous ces salauds d’humains.

http://www.parismatch.com/Blog/Marc-Sich/S…ins-%21-159010/

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Cette fois c'est un représentant officiel du Saint Siège ainsi que Radio Vatican qui relayent cette position, qui ne fait au final que refléter la théologie classique de l'Eglise et sa condamnation des hérésies gnostiques. La théologie thomiste explique clairement que l'homme doit prendre soin de la nature, non pour elle-même, mais en tant que créature dotée du libre arbitre, qui a la responsabilité de prendre soin de la création dans une relation mutuellement avantageuse.

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Cette fois c'est un représentant officiel du Saint Siège…

Certes, Federico Lombardi est bien le porte-parole du Vatican, mais il est aussi responsable des programmes de Radio Vatican. Donc, je subodore qu'il parle en son nom propre ou des critiques cinématographiques émises lors des programmes et non pas comme représentant du Vatican - sinon j'attend que l'on me signale la conférence de presse ou le communiqué de presse qui exposerait la soi-disant position officielle du Vatican sur Avatar. Donc, ne confondons pas les critiques émises par les médias du Vatican avec des critiques qui auraient supposément été émises par le Vatican. Car, non, ces médias ne sont pas à 100% la voix du Vatican. Ainsi, l'Osservatore romano s'est retrouvé maintes fois en contradiction avec le Vatican. Par exemple, sur l'appréciation d'Obama. Ou alors, on peut régulièrement trouver dans ces médias des positions contradictoires et simultanées.

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Plus le temps passe et moins j'ai envie de voir Avatar. En revanche, j'ai vu Sherlock Holmes de Guy Ritchie et c'était sympa. Un peu longuet à certains moments, mais vif, surprenant, bien joué et bien filmé. Le meilleur film de Ritchie depuis Snatch.

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Certes, Federico Lombardi est bien le porte-parole du Vatican, mais il est aussi responsable des programmes de Radio Vatican. Donc, je subodore qu'il parle en son nom propre ou des critiques cinématographiques émises lors des programmes et non pas comme représentant du Vatican - sinon j'attend que l'on me signale la conférence de presse ou le communiqué de presse qui exposerait la soi-disant position officielle du Vatican sur Avatar. Donc, ne confondons pas les critiques émises par les médias du Vatican avec des critiques qui auraient supposément été émises par le Vatican. Car, non, ces médias ne sont pas à 100% la voix du Vatican. Ainsi, l'Osservatore romano s'est retrouvé maintes fois en contradiction avec le Vatican. Par exemple, sur l'appréciation d'Obama. Ou alors, on peut régulièrement trouver dans ces médias des positions contradictoires et simultanées.

Je ne me souviens pas avoir entendu la position officielle du Vatican sur un film depuis Jean-Paul II et La Passion du Christ, de Mel Gibson. Après tout, il y a des critiques pour ça, et j'imagine que le Pape a bien mieux à faire.

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Invité rogermila

Le cinéma français cherchant à faire de l'audience s'apprète à nous resservir du "Y. Arthus Bertrand / N.Hulot" casher, avec un gros machin intitulé "Oceans".

Un bide commercial, nous éviterait des suites à ces laborieux pensums roboratifs .

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