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Invité rogermila
Hulot en a déjà fait un, de bide commercial.

Le film de Hulot ne devait pas couter trop cher, tandis que "Océans" c'est du lourd, probablement bien subventionné, mais du lourdingue ….y compris dans les commentaires qui vont sur les images.

oceans-lefilm

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Le cinéma français cherchant à faire de l'audience s'apprète à nous resservir du "Y. Arthus Bertrand / N.Hulot" casher, avec un gros machin intitulé "Oceans".

Un bide commercial, nous éviterait des suites à ces laborieux pensums roboratifs .

En France on avait le droit aux films intellos socialisants, incompréhensibles et chiants à mourir, puis sont arrivés les films grands publics à la Astérix aux jeux olympiques qui n'égalent jamais les blockbusters américains en terme de scenario ni d'images, aucun n'est devenu culte, maintenant on veut faire du Michael Moore avec Hulot, c'est aussi nase que l'original. Dans les trois catégories, les films français sont ridicules, pas étonnant que 2009 soit mauvais, mais c'est pas que le niveau des autres années ait été impressionnant non plus faut pas croire.

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En France on avait le droit aux films intellos socialisants, incompréhensibles et chiants à mourir, puis sont arrivés les films grands publics à la Astérix aux jeux olympiques qui n'égalent jamais les blockbusters américains en terme de scenario ni d'images, aucun n'est devenu culte, maintenant on veut faire du Michael Moore avec Hulot, c'est aussi nase que l'original. Dans les trois catégories, les films français sont ridicules, pas étonnant que 2009 soit mauvais, mais c'est pas que le niveau des autres années ait été impressionnant non plus faut pas croire.

Pourtant, la BA du Syndrome du Titanic était assez jolie :

Un message au sens ouvertement réac mais pourtant formellement XXIème siècle d'un collectiviste qui découvre la rareté.

Après avoir vu cette BA, je me suis posé beaucoup de question sur le pourquoi du comment de la détestation de l'Homme envers lui-même. Mais bon, certaines images sont à récupérer par les partisans du capitalisme, ce fameux truc qui a fait sortir 4 continents de la misère extrême. Une broutille, quoi.

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Pourtant, la BA du Syndrome du Titanic était assez jolie :

Un message au sens ouvertement réac mais pourtant formellement XXIème siècle d'un collectiviste qui découvre la rareté.

Après avoir vu cette BA, je me suis posé beaucoup de question sur le pourquoi du comment de la détestation de l'Homme envers lui-même. Mais bon, certaines images sont à récupérer par les partisans du capitalisme, ce fameux truc qui a fait sortir 4 continents de la misère extrême. Une broutille, quoi.

Honnêtement, je suis pas certain qu'il s'agisse de "détestation de l'Homme", en tout cas pas dans cette bande-annonce.

Soyons honnêtes deux petites minutes et reconnaissons que la situation de certains peuples est triste à en pleurer.

A partir de là, il suffit juste de n'avoir pas lu les bons livres, de ne pas connaître les bons auteurs, bref de méconnaître les principes qui régissent la réalité pour vouloir appliquer des méthodes tout à fait ineptes comme la décroissance, le collectivisme, la redistribution des richesses.

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Invité rogermila

Après "La Merditude des Choses", le cinéma belge se singularise une nouvelle fois avec "Les Barons" dont l'idée de scénario, parodiant la devise sarkozienne "Travailler plus, pour gagner plus" , en invente une autre, qui se passe de tout commentaire "Glander plus, pour profiter plus ".

Une comédie décrivant les frasques d'une poignée de zozos glandeurs bruxellois qui ne risque pas de révolutionner le 7ème art.

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Vu : The men who stare at goats. Vraiment très bon, je dirais même génial si on retire le dernier quart d'heure. D'une certaine manière c'est une version militaire de Burn after reading (qui serait la version espionnage) mais réussie. Mention spéciale pour Jeff Bridges qui ressort nettement au dessus d'un groupe d'acteurs comme George 'whatelse' Clooney, Ewan 'Padawan' McGregor et Kevin 'Kaiser Soze' Spacey.

Vu aussi. Très très bon.

C'est seulement après l'avoir vu que j'ai constaté en lisant une critique que

aucune femme ne parle dans le film.

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Vu aussi. Très très bon.

C'est seulement après l'avoir vu que j'ai constaté en lisant une critique que

aucune femme ne parle dans le film.

Bon film. J'ai ri.

Nonononon, il y a la femme du journaliste qui le quitte au début et elle parle.

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Le cinéma français cherchant à faire de l'audience s'apprète à nous resservir du "Y. Arthus Bertrand / N.Hulot" casher, avec un gros machin intitulé "Oceans".

Un bide commercial, nous éviterait des suites à ces laborieux pensums roboratifs .

Je n'ai pas vu Océans mais, ayant vu Microcosmos et Le peuple migrateur, je pense que tu te trompes complètement.

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Men who stare at goats est loin d'être "génial" ou "très bon". C'est un film vide avec quelques passages amusants. On trouve à s'ennuyer alors qu'il ne dure qu'une heure trente. Ce qui est intéressant, ce sont les scènes où l'irrationnel entre dans l'armée (inconsciemment le temple de la raison, de l'ordre, de l'efficacité) via Jeff Bridges, scènes qui montrent que les gens abandonnent très facilement leur mode de vie, leurs convictions et leur vernis dès qu'on leur propose un autre paradigme.

J'ai vu Un prophète de Jacques Audiard. Le film est trop long mais ponctué de deux superbes scènes, pas vraiment superbes par elles-mêmes mais parce qu'elles sont incroyablement bien amenées. Pour le reste, c'est un film intelligent et très cohérent, intelligence et cohérence qu'on retrouve jusque dans les moindres détails, y compris dans les détails humains (réactions des personnages). D'autres choses sont intéressantes, notamment le fait qu'on comprend très mal ce qui se dit au début (vivent les symboles), mais il vaut mieux ne pas apprécier ce genre de détail car c'est une pente glissante : on risque de trouver un jour des excuses à l'amateurisme cinématographique, d'y voir une volonté, et Dieu sait si les diableries de Brecht ne seront alors pas loin.

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Vu "Legion" : ce film est une merde qui a un nom mais n'en mérite pas en fait car j'aimerai pouvoir dire que c'est une merde sans nom.

Vu "A Serious Man" : film très poétique des frères Cohen, un peu kafkaïen, un peu théâtre yiddish. Le fils ressemble trop à Bobby Fischer. Pas grand chose à en dire sinon à ressentir en le visionnant.

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J'ai finalement vu District 9. Le héros humain est à baffer. J'ai plusieurs fois soupiré lourdement dans le film devant sa bêtise qui frise l'invraisemblable aux fers chauds.

Film intéressant parce qu'il sort un peu des sentiers battus. Plein d'incohérences (vraiment vraiment), cependant. Peu ne pas se voir, ou en plusieurs petits bouts.

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Bon, on va mettre un peu les choses au point avec ces conneries d'Avatar-que-c'est-le-film-qu'a-le-plus-rapporté-de-pognon-dans-l'histoire.

Parce que Nirvana, il est bien gentil de vouloir nous faire tomber avec lui dans le piège des marketeux. Mais si on calcule les recettes en flouze constant, en tenant compte de l'inflation, - c'est-à-dire du vrai argent -, Avatar se retrouve à une honorable 26e place, après Grease ou Mary Poppins, et loin derrière Autant en emporte le vent (1er), Star Wars (2e) ou même La mélodie du bonheur (3e) :

http://www.boxofficemojo.com/alltime/adjusted.htm

On notera la bonne place (6e) de Titanic devant le Docteur Jivago (8e) - pour vous illustrer le goût de chiottes de nos contemporains.

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Bon, on va mettre un peu les choses au point avec ces conneries d'Avatar-que-c'est-le-film-qu'a-le-plus-rapporté-de-pognon-dans-l'histoire.

Parce que Nirvana, il est bien gentil de vouloir nous faire tomber avec lui dans le piège des marketeux. Mais si on calcule les recettes en flouze constant, en tenant compte de l'inflation, - c'est-à-dire du vrai argent -, Avatar se retrouve à une honorable 26e place, après Grease ou Mary Poppins, et loin derrière Autant en emporte le vent (1er), Star Wars (2e) ou même La mélodie du bonheur (3e) :

http://www.boxofficemojo.com/alltime/adjusted.htm

On notera la bonne place (6e) de Titanic devant le Docteur Jivago (8e) - pour vous illustrer le goût de chiottes de nos contemporains.

Hep hep hep. Il y a un fil pour ce genre de pollution.

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J'ai finalement vu District 9. Le héros humain est à baffer. J'ai plusieurs fois soupiré lourdement dans le film devant sa bêtise qui frise l'invraisemblable aux fers chauds.

Je ne sais pas si c'est mon prisme anarcap, mais j'ai trouvé ce film très intéressant par les différentes pistes de réflexion qu'il ouvre sur le thème du territoire, du rapport à l'autre et des limites de la tolérance dans une société ouverte. Il y a aussi le thème de la transformation physiologique, mais c'est du Kafka revisité. Evidemment ça reste un film d'action, mais il contient plusieurs éléments féconds qui posent des questions, sans moraline aucune.

Par exemple, un détail qui m'a frappé, ce sont les associations humanitaires tellement intoxiquées de xénophilie et de compassion qu'elles manifestent bruyamment à l'entrée du District 9 pour défendre les droits des envahisseurs. D'autre part il y a plusieurs niveaux de lecture possibles, c'est très ambigü et c'est ce qui fait la force du film, pas manichéen du tout, qui tranche avec la production habituelle US. Ainsi, on peut y voir superficiellement une critique du racisme et des politiques d'apartheid. Mais on peut aussi y voir une vision désabusée sur la nature humaine et l'échec des sociétés post-raciales: tout le monde est mauvais, il n'y a aucune planche de salut. Les blancs sont soit abrutis et désinformés par la propagande débile de la télé, soit des brutes fascistoïdes. Quant aux bandes de noirs, ils sont encore pires que les blancs, regroupés en gangs de trafiquants ultra violents, dominés par leurs instincts tribaux et les croyances dans la sorcellerie. Se comportant comme des esclavagistes, ils traitent les extraterrestres de façon plus inhumaine que les anciens colons blancs vis-à-vis des peuples indigènes.

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Ai vu le film sur Gainsbourg ont j'ai oublié le titre exact (de j Sfar) : pas mal du tout, même laetitia Casta en Bardot et P Katerine en B vian étaient crédibles. C'est dire !

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Je ne sais pas si c'est mon prisme anarcap, mais j'ai trouvé ce film très intéressant par les différentes pistes de réflexion qu'il ouvre sur le thème du territoire, du rapport à l'autre et des limites de la tolérance dans une société ouverte. Il y a aussi le thème de la transformation physiologique, mais c'est du Kafka revisité. Evidemment ça reste un film d'action, mais il contient plusieurs éléments féconds qui posent des questions, sans moraline aucune.

Accordé sans problème.

Par exemple, un détail qui m'a frappé, ce sont les associations humanitaires tellement intoxiquées de xénophilie et de compassion qu'elles manifestent bruyamment à l'entrée du District 9 pour défendre les droits des envahisseurs. D'autre part il y a plusieurs niveaux de lecture possibles, c'est très ambigü et c'est ce qui fait la force du film, pas manichéen du tout, qui tranche avec la production habituelle US. Ainsi, on peut y voir superficiellement une critique du racisme et des politiques d'apartheid. Mais on peut aussi y voir une vision désabusée sur la nature humaine et l'échec des sociétés multiraciales: tout le monde est mauvais, il n'y a aucune planche de salut.

Le film montre surtout qu'il y a des abrutis et des vils gredins des deux côtés. Mais bon, comme tu le dis, c'est un film d'action et on sent que le propos n'est pas de peindre une étude sociale …

laetitia Casta en Bardot … crédible

Tu as bu ?

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Ai vu le film sur Gainsbourg ont j'ai oublié le titre exact (de j Sfar) : pas mal du tout, même laetitia Casta en Bardot et P Katerine en B vian étaient crédibles. C'est dire !

Pour P Katerine, je ne sais pas, mais Casta en Bardot est surprenante. Je ne savais pas qu'elle jouait si bien, quant à l'acteur qui joue Gainsbourg, il a vraiment une ressemblance hyper troublante avec l'original.

Sinon, j'ai bien aimé, le style est original, le film n'est pas trop musical (juste ce qu'il faut). Et surtout, j'avais en mémoire Mesrine et Coluche, aux montages complètement hachés avec des scènes de 2 minutes en moyenne. Là le parti pris est différent, Sfar prend quelques bribes de ce qu'on sait de Gainsbourg, et brode autour pour donner une cohérence au tout, et pour moi ça marche.

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