Flims du moment

[Bisounours]

Je préfère le cinéma des frères Coen, voire des frères Farelli

Et le best, c'est Clint, je le dirai jamais assez

[POE]

Good artists copy. Great artists steal.

 

Django Unchained a coûté 100 millions de dollars et Inglourious Basterds 70 millions, quand même.

 

Et c'est sans doute pour cela qu'ils ne marcheront jamais aussi bien que Reservoir Dogs, quand Tarantino est financé par les majors pour faire du Tarantino, ça peut plus marcher parce que ce n'est plus son cinéma à lui.

[Largo Winch]

Exactement, c'est du cinéma d'amateurs de cinéma, et de série Z, c'est pas de la grosse prod ni des chefs d'oeuvre, je ne crois pas qu'il y ait d'autres prétentions.

 

Tarantino pas prétentieux, c'est une blague ?

 

Et franchement, quitte à me faire un bon film de série Z clairement revendiqué, dans un esprit potache et sans prétention, je préfère aller voir du côté de son pote Robert Rodriguez.

Ça ne se la pète pas "auteur" et au moins c'est clairement divertissant : pour moi, entre Kill Bill d'un côté et Desperado, Une nuit en enfer, Sin City ou Machete de l'autre, il n'y a pas photo (et en plus, le Robert, il a de bon goût en matière de pépées : Rhaa Salma Hayek,  Jessica Alba... ).

[Nirvana]

Et c'est sans doute pour cela qu'ils ne marcheront jamais aussi bien que Reservoir Dogs, quand Tarantino est financé par les majors pour faire du Tarantino, ça peut plus marcher parce que ce n'est plus son cinéma à lui.

 

Et pourtant, Boulevard de la mort n'était pas fameux (objectivement. Je l'ai quand même apprécié)

[Invité]

Django Unchained a coûté 100 millions de dollars et Inglourious Basterds 70 millions, quand même.

 

Ce qui est à peu près le budget moyen étasunien.

[Apollon]

Ce qui est à peu près le budget moyen étasunien.

On dit Américain.

[poney]

Mais clairement, Etasunien ça fait tellement gauchiste que ça me donne des boutons.

[Invité]

On dit Américain.

 

Américain est relatif aux Amériques, à l'Amérique du Nord ou aux USA.

Etasunien (étatsunien, états-unien voire étazunien) est relatif aux USA.

Or, je ne veux parler que des USA. Donc étasunien est le bon terme. 

 

Mais clairement, Etasunien ça fait tellement gauchiste que ça me donne des boutons.

 

Tiens ! Tu vas en avoir besoin !

[poney]

Etasunien est un produit dérivé du Monde Diplo, rien d'autre.

[Salatomatonion]

Tarantino pas prétentieux, c'est une blague ?

 

Et franchement, quitte à me faire un bon film de série Z clairement revendiqué, dans un esprit potache et sans prétention, je préfère aller voir du côté de son pote Robert Rodriguez.

Ça ne se la pète pas "auteur" et au moins c'est clairement divertissant : pour moi, entre Kill Bill d'un côté et Desperado, Une nuit en enfer, Sin City ou Machete de l'autre, il n'y a pas photo (et en plus, le Robert, il a de bon goût en matière de pépées : Rhaa Salma Hayek,  Jessica Alba... ).

 

Oui au moins Rodriguez c'est assumé. En revanche je me suis juré de ne plus jamais payer une place de cinoche pour ses films. Pour "Une nuit en enfer" dont je ne connaissais pas du tout le thème, je croyais que c'était un policier-action et puis il y a eu les vampires et la tequila. J'ai quitté là...

[Salatomatonion]

Le plus insupportable chez Tarantino, c'est ses fans 

C'est comme pour Apple.

[Rincevent]

Etasunien est un produit dérivé du Monde Diplo, rien d'autre.

Non, il y a aussi eu l'influence du Réseau Voltaire.

[poney]

Ah, oui, c'est juste, y a ceux là aussi. Une raison encore meilleure d'oublier ce terme.

[Nirvana]

Mais clairement, Etasunien ça fait tellement gauchiste que ça me donne des boutons.

 

Ou simplement hispanisant.

[Blonde On Blonde]

Je suis surpris du consensus sur Tarantino. Personnellement, j'ai du mal avec ses films jusqu'à Kill Bill. Je trouve Reservoir Dogs et Pulp Fiction assez fatigants. La structure éclatée fait très "petit malin" et les dialogues sont franchement lourdingues. Par contre, j'aime beaucoup la rupture de ton entre les deux Kill Bill (pas vu Jackie Brown),  Boulevard de la mort était plutôt rigolo (surtout à côté de l'affreux Planète Terreur de Rodriguez) et Inglourious Basterds m'a paru le plus intéressant. Je suis assez curieux du dernier.

[G7H+]

je préfère aller voir du côté de son pote Robert Rodriguez.

 

+1

 

 

God has mercy - I don't. 

[Tremendo]

 

C'est vrai qu'il ne manque pas de le revendiquer. Le plus insupportable chez Tarantino, c'est ses fans 

Dès que Tarantino sort un film, toute la paroisse prog' est sur son 31. Les inrocks, télérama, canal+ et tutti quanti sortent leurs interviews et articles débiles où le réalisateur est vendu sous son meilleur jour avec une franche dose de "je me la pète".

Ca fait bien de dire qu'on adore Tarantino, ben rien que pour ça j'ai pas envie d'aimer (encore que sur ses derniers films je ne me force pas).

[Invité]

Etasunien est un produit dérivé du Monde Diplo, rien d'autre.

 

• Du nom des États-Unis, désignant les États-Unis d’Amérique. Le mot états-unien est attesté en 1926^[1], États-Unien l’est depuis au moins 1910^[2]. Le mot étatsunien est attesté en 1937^[3], étasunien en 1942^[4] et étazunien en 1946^[5].
• À partir des années 1990, les termes états-unien, étatsunien ou étasunien sont utilisés épisodiquement par des publications telles que Le Monde ou le Courrier international.
• En Amérique, le terme états-unien est attesté dès 1934. Il apparaît fréquemment dans une soixantaine d’articles de la revue québécoise de L’Action Nationale entre 1934 et 1945, archivée à la Bibliothèque et Archives nationales du Québec ; le premier article s’intitule « La Radio » et est signé Arthur Laurendeau (L’Action Nationale, octobre 1934, p. 128 [archive]). Selon Jacques Desrosiers du Bureau de la Traduction du Canada (L’Actualité langagière, décembre 2007 [archive]), le terme semble être connu des Franco-Américains depuis au moins 1942, puisque Marine Leland, spécialiste des études canadiennes-françaises née aux États-Unis, a utilisé ce terme dans l’article « La Vie intellectuelle au Canada français », French Review, Vol. 15, n^o 5 (mars 1942).

Etats-unien

 

Mais bon, les libéraux demandent la liberté, pas l'ouverture d'esprit, hein !

[free jazz]

Avec le recul, les Tarantino seront vus comme des nanars un peu pénibles, qui sont aux bobos ce que Matrix est aux geeks.

Kitsch de bazar, mystique de comptoir, c'est la mode.

[Pedro]

  Vu Zero Dark Thirty. S'il y a au moins un aspect positif de la culture américaine c'est bien qu'ils ne tournent pas autour du pot pendant des années. Cela dit le film montre bien qu'on est passé en full mode : la fin justifie les moyens. Ca résume tout à fait le film, l'ambiance et la direction du monde actuel. J'ai trouvé le film sans accroche émotionnelle : c'est un peu vu de loin comme à travers un drone à des milliers de kilomètres de distance. J'ai l'impression que l'esthétique "Homeland" est passée par là (jusqu'à une ressemblance physique de l'héroïne).

 

Je pense que c'est caractéristique de la réal', son précédent film 'Démineurs' m'a fait exactement cet effet.

[Apollon]

 

Etats-unien

 

Mais bon, les libéraux demandent la liberté, pas l'ouverture d'esprit, hein !

 

uhuh, le coup classique : ceux qui ne sont pas comme moi sont fermés d'esprit. Comme si s'amuser à remplacer le mot d'usage par le mot qui nous apparait logique d'après un raisonnement foireux c'était ça l'ouverture d'esprit.

[poney]

uhuh, le coup classique : ceux qui ne sont pas comme moi sont fermés d'esprit. Comme si s'amuser à remplacer le mot d'usage par le mot qui nous apparait logique d'après un raisonnement foireux c'était ça l'ouverture d'esprit.

 

Tu t'es fais avoir, il ne fallait plus répondre à ce stade là de l'argumentation.

[Invité]

uhuh, le coup classique : ceux qui ne sont pas comme moi sont fermés d'esprit. Comme si s'amuser à remplacer le mot d'usage par le mot qui nous apparait logique d'après un raisonnement foireux c'était ça l'ouverture d'esprit.

 

Raté ! Ma remarque était pour le cliché sur l'origine supposé gauchiste du terme. Comme quoi Poney peut aussi avoir raison: tu aurais dû te retenir d'écrire ton raisonnement foireux.

[Apollon]

Raté ! Ma remarque était pour le cliché sur l'origine supposé gauchiste du terme. Comme quoi Poney peut aussi avoir raison: tu aurais dû te retenir d'écrire ton raisonnement foireux.

 

On s'en fout des occurences précoces, ce qui compte c'est que l'usage de ce terme aujourd'hui est une production du monde diplo et cie. "Etasunien", c'est comme les baskets : ça classe immédiatement et pas sans raison.

[Nirvana]

Quelques analyses pas bêtes sur Django Unchained et Tarantino en général : http://www.canalplus.fr/c-cinema/c-emissions-cinema/pid4955-c-le-cercle-et-autres-critiques.html?vid=794438

[Fenster]

Quelques analyses pas bêtes sur Django Unchained et Tarantino en général : http://www.canalplus.fr/c-cinema/c-emissions-cinema/pid4955-c-le-cercle-et-autres-critiques.html?vid=794438

 

Ca commençait très bien, jusqu'au moment ou Marie Sauvion ouvre la bouche.

[Brock]

vu le dernier Batman j'en reviens pas comment c'est cheap et pourri, me rappelle celui avec Robin et les meufs motardes qui etait moins nul

 

par contre j'ai aime REC3 et VHS

[Invité]

On s'en fout des occurences précoces, ce qui compte c'est que l'usage de ce terme aujourd'hui est une production du monde diplo et cie. "Etasunien", c'est comme les baskets : ça classe immédiatement et pas sans raison.

 

Je vois que tu es à l'aise avec tes préjugés. C'est chouette ! 

En attendant, les baskets sont quand même bien pratique pour faire du sport !

 

Mais bon, le thème de ce fil est le Cinéma, hein !

[Apollon]

Je vois que tu es à l'aise avec tes préjugés. C'est chouette !

En attendant, les baskets sont quand même bien pratique pour faire du sport !

Mais bon, le thème de ce fil est le Cinéma, hein !

la totale.

Il faut être d'accord avec toi sinon :

1 on a l'esprit fermé

2 on a des préjugés.

Persevere diabolicus..

Ne me remercie surtout pas.

[Fenster]

Je n'ai jamais entendu un gauchiste utiliser l'expression "etasuniens" ou qualifier quelque chose d'Etasunien. En général il font preuve de peu de finesse et parlent tout bêtement d'américains, de quelque chose "typiqmenent américain" ("aaah ces zaméricains").