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Iron Man 3. Super opus pour les amateurs du genre. Nettement meilleur que le 2.

 

Mieux que le 1 que j'avais trouvé un peu bof? (et donc pas vu le 2)

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Mieux que le 1 que j'avais trouvé un peu bof? (et donc pas vu le 2)

 

Le premier de la série a toujours une saveur particulière, donc je ne saurais dire. Allez je vais répondre un petit 'oui' :)

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Le premier de la série a toujours une saveur particulière, donc je ne saurais dire. Allez je vais répondre un petit 'oui' :)

 

Hmm, j'essaierai de convaincre Madame alors... ;)

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Ai vu The grandmaster et Blancanieves

 

The grandmaster m'a déçu. Je dois concéder ne pas être un fan d'arts martiaux, et que ceci influence peut-être mon jugement. Durant la première moitié du film, il y a une grande place pour les scènes de combat. L'autre moitié ressemble plus à ce que j'avais déjà vu de Wong Kar Wai (deux films en fait : In the mood for love, 2046), sans pour autant parvenir à recréer la magie d'In the mood for love. J'ai l'impression que l'auteur, pour tenter de rééditer ce qui avait fait son succès, réutilise les mêmes ficelles, mais avec une certaine platitude. J'en finis par me demander si In the mood for love n'a pas été une sorte de "coup de bol", favorisé par les silences et la musique d'Umebayashi qui laissent place à l'introspection du spectateur. 

Pour le reste : 

-- de fait, les images restent belles et soignées ; elles offrent une certaine poésie visuelle. La scène du cortège sous la neige est par exemple très belle. 

-- les scènes de combat à la Kill Bill dans un film qui se veut réaliste... mouais. 

 

Blancanieves m'a par contre enchanté, malgré le fait que je me sois rendu au cinéma avec beaucoup d'attentes à son sujet. L'ambiance ibérique, dont je suis familier, n'était pas pour me déplaire, que du contraire. Quant au scénario, l'auteur s'inspire avec brio, ai-je trouvé, du conte des frères Grimm, pour l'adapter à l'Espagne d'entre-deux-guerres. 

Au contraire de The artistBlancanieves surfe plus sur la vague dramatique que sur celle humoristique. Le muet permet au film de devenir poétique ; il est comme un bol d'air frais au beau milieu de la production cinématographique actuelle, dont l'action, la violence, l'imbécillité et les effets spéciaux sont les fétides points cardinaux. 

Des reproches peuvent bien sûr être formulés à son encontre. Le manichéisme reste fort présent ; et, à l'exception -- peut-être -- d'un nain, les personnages ont peu de nuance d'âme. Par ailleurs, les acteurs surjouent quelque peu, à certains moments. L'on me répliquera que cela est propre au cinéma muet. J'en reviens alors à In the mood for love : l'absence d'expression faciale des acteurs permet une identification plus marquée au personnage chez le spectateur ; ce dernier peut investir l'âme du personnage et mieux ressentir encore ses émotions. 

Mais, au final, qu'importe tout ceci, car le film se veut plus poétique, ou romantique, que réaliste. Et, de ce point de vue, il est réussi. 

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je viens de voir "Side Effect" c'est excellent, bien construit, bien interprété, le suspense est maîtrisé et le tout est surprenant du début à la fin. 

 

J'ai aussi beaucoup aimé la photographie du film, les ambiances, l'architecture, ...

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Ai vu The grandmaster et Blancanieves

 

The grandmaster m'a déçu. Je dois concéder ne pas être un fan d'arts martiaux, et que ceci influence peut-être mon jugement. Durant la première moitié du film, il y a une grande place pour les scènes de combat. L'autre moitié ressemble plus à ce que j'avais déjà vu de Wong Kar Wai (deux films en fait : In the mood for love, 2046), sans pour autant parvenir à recréer la magie d'In the mood for love. J'ai l'impression que l'auteur, pour tenter de rééditer ce qui avait fait son succès, réutilise les mêmes ficelles, mais avec une certaine platitude. J'en finis par me demander si In the mood for love n'a pas été une sorte de "coup de bol", favorisé par les silences et la musique d'Umebayashi qui laissent place à l'introspection du spectateur. 

Pour le reste : 

-- de fait, les images restent belles et soignées ; elles offrent une certaine poésie visuelle. La scène du cortège sous la neige est par exemple très belle. 

-- les scènes de combat à la Kill Bill dans un film qui se veut réaliste... mouais. 

 

 

Tu tiens ça d'où ?

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Tu tiens ça d'où ?

 

Interprétation (personnelle, certes) des personnages + contexte historique précis. 

J'ai trouvé que les coups de pied qui envoient un type dans une vitre dix mètres plus loin dénotaient quelque peu avec le reste. That's my point. 

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Donc, tu vois un film dans lequel un type se bat seul contre une dizaine de types et les massacre sans se prendre un seul coup et tu prends ça pour un "film qui se veut réaliste" ? Wtf.

J'ai vu ce film et je n'ai rien lu à son propos mais, à mon avis, c'est plutôt un hommage de Wong Kar-wai aux nombreux films de kung-fu complètement irréalistes qu'il a dû voir durant son enfance.
A aucun moment ce film ne se veut réaliste. C'est une version romancée de l'Histoire telle que l'affectionnent les Chinois.
 

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Donc, tu vois un film dans lequel un type se bat seul contre une dizaine de types et les massacre sans se prendre un seul coup et tu prends ça pour un "film qui se veut réaliste" ? Wtf.

J'ai vu ce film et je n'ai rien lu à son propos mais, à mon avis, c'est plutôt un hommage de Wong Kar-wai aux nombreux films de kung-fu complètement irréalistes qu'il a dû voir durant son enfance.

A aucun moment ce film ne se veut réaliste. C'est une version romancée de l'Histoire telle que l'affectionnent les Chinois.

 

 

 

Non, je vois un film aux accents réalistes dans lequel les quelques scènes de bagarre ne sont pas réalistes. Enfin, on ne va pas se chamailler pour savoir si la bouteille est à moitié vide ou à moitié pleine. (D'autant plus que les scènes de combat ne sont que partie congrue du film -- même s'il y en a trop à mon goût  :icon_razz:  -- comme l'a souligné Dardanus, je crois, plus haut dans le fil.) 

 

Peut-être est-ce un hommage de Wong Kar Wai aux films de son enfance, ou peut-être pas ; il n'empêche que le mariage entre le kung-fu style et le Wong Kar Wai style ne s'avère pas réussi.  

 

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Non, je vois un film aux accents réalistes dans lequel les quelques scènes de bagarre ne sont pas réalistes.

Les longues discussions pseudo-philosophiques du film, notamment celles de Bill, sont aussi très peu réalistes.

 

 

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Pas mal d'espoirs et pas mal de craintes pour Ender's Game ; j'espère que OSC a eu assez son mot à dire dessus ^^.

 

Il va falloir que je remonte ce livre dans ma pile de lecture si je veux l'avoir fini avant de voir le film.

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Pas mal d'espoirs et pas mal de craintes pour Ender's Game ; j'espère que OSC a eu assez son mot à dire dessus ^^.

 

 

Il va falloir que je remonte ce livre dans ma pile de lecture si je veux l'avoir fini avant de voir le film.

J'en avais jamais entendu parler. Je viens d'aller faire un tour sur la page wikipedia et ça m'a l'air bien trop bordélique pour que je m'y intéresse vraiment (voyages dans le temps, préquelles, séquelles, même histoire racontée sous différentes perspectives, etc).

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J'en avais jamais entendu parler. Je viens d'aller faire un tour sur la page wikipedia et ça m'a l'air bien trop bordélique pour que je m'y intéresse vraiment (voyages dans le temps, préquelles, séquelles, même histoire racontée sous différentes perspectives, etc).

Pour le faire simple: ce livre est un grand classique de la S.F. américaine, qui a participé à façonner la jeunesse de bien des "enfants précoces" qui s'y reconnaissent aisément (l'essentiel de l'histoire concerne des enfants sélectionnés pour leurs capacités, et est racontée de leur point de vue de manière réaliste). Non il n'y a pas de voyages dans le temps, mais il y a bien quelques considérations de dilatation temporelle aux vitesses relativistes et de délais de communication aux distances intersidérales. Le côté "science" est presque invisible, cela date de la guerre froide donc c'est un futur où le bloc soviétique existe encore (en équilibre précaire avec l'occident), il y a un contrôle strict des naissances, avec préjugés envers les surnuméraires, dont le personnage principal fait partie. C'est principalement une histoire politique et pyschologique avec un contexte militaire.

Les préquelles, séquelles etc. sont de niveau inégal, de mémoire il n'y a que "l'ombre d'Ender" qui soit aussi bien que le premier tome.

En passant, Orson Scott Card écrit de meilleurs dialogues que la quasi-totalité des scénaristes d'Hollywood.

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Les préquelles, séquelles etc. sont de niveau inégal, de mémoire il n'y a que "l'ombre d'Ender" qui soit aussi bien que le premier tome.

 

Oui. Ender's game se suffit à lui-même et le reste est dispensable.

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Vu aujourd'hui Iron man 3 (oui je sais, je regarde au ciné que des blockbusters).

Bon, c'est un film de super-héros classique, ni meilleurs ni moins bon, quelques thèmes sont abordé mais sauce Hollywood. Je le préfère au premier (pas vu le deux).

 

Mais surtout, attendant la scène post-générique (qui était nulle, restez pas pour ça), qu'est ce qui je vois dans les crédit au sujet de la musique ?

 

"Anderlecht Champion aka Ole Ole Ole (We Are the Champions)"

 

Je suis allé qu'une fois au stade, mas j'étais assez fière pour ma commune (j'habite Anderlecht). Vivement le DVDrip pour retrouver le passage.

 

 

 

 

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Un petit exemple, peut-être ?

Côté films ? Abyss. Sinon, il a aussi fait les dialogues de The Dig et de The Secret of Monkey Island, au siècle dernier.
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Pour ceux qui ont vu ou voudraient voir "Hannah Arendt"

il y a une petite compil de critiques + qqs autres infos (citations etc) ici : http://uplib.fr/wiki/Arendt

 

- Etre politique, vivre dans une polis, cela signifiait que toutes choses se décidaient par la parole et la persuasion et non par la force ni la violence”

- Une idéologie est précisément ce que son nom indique: elle est la logique d'une idée: L'émancipation de la pensée à l'égard de l'expérience.

- The highest laws of the land (America) are not only the constitution and constitutional laws, but also contracts - H Arendt

etc

 

 

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Pour ceux qui ont vu ou voudraient voir "Hannah Arendt"

il y a une petite compil de critiques + qqs autres infos (citations etc) ici : http://uplib.fr/wiki/Arendt

 

- Etre politique, vivre dans une polis, cela signifiait que toutes choses se décidaient par la parole et la persuasion et non par la force ni la violence”

- Une idéologie est précisément ce que son nom indique: elle est la logique d'une idée: L'émancipation de la pensée à l'égard de l'expérience.

- The highest laws of the land (America) are not only the constitution and constitutional laws, but also contracts - H Arendt

etc

Pas mal le film

Je n'avais pas compris avant le film qu'elle avait eu une relation intime avec Heidegger. Du coup j'en parlerais avec Blot, il est allé le voir sur mon conseil.

Apres la question de savoir si son jugement à été sois biaisé sois éclairé par cette relation est pertinente.

Je pense que son analyse de la responsabilité dans le cadre d'une organisation est assez juste, sans écarter la responsabilité personnelle, elle doit évidement être évalué au regard des processus de cette organisation, de la division du travail et de l'information, sur les but et actes de celle-ci.

L'adhesion d'Adolf Eichmann et son implication dans ces processus le rend évidement complice des crimes commis.

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J'ai vu La dame de fer (The Iron Lady), avec Meryl Streep. J'ai trouvé ça indigne de Margaret Thatcher, mais j'ai été content de voir Anthony Stewart Head (Rupert Giles dans Buffy contre les vampires) et Iain Glen (Jorah Mormont dans Game of Thrones).

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A ne surtout pas manquer dans les semaines qui viennent : "Jeune et jolie" de François Ozon. Un films dérangeant et subversif dans lequel une jeune fille ne sachant rien de l'existence part à la recherche de sensations fortes au travers de la prostitution.

Car en effet, comme le réalisateur et visionnaire François Ozon l'explique bien sur France Culture, l'adolescence est, contrairement à une idée reçue, une période de troubles et d'instabilité émotionnelle. Cette intuition géniale de François Ozon qui prend à rebrousse-poil la vision des beaufs n'ayant pas leur ticket d'entrée au festival de Cannes permet de remettre en perspective la réalité de l'adolescence.

N'étant pas en galère à Pole Emploi en banlieue, n'ayant jamais subi de violence familiale, n'ayant jamais eu la peur au ventre des lendemains, n'ayant accès aux horreurs du monde qu'au travers de Itélé et de ce qu'en dit Libération, la jeune fille va faire le tapin non pas pour l'argent mais pour se sentir exister.

François Ozon une fois de plus bouleverse les codes du cinéma et secoue les consciences de la beauferie qui pour son plus grand malheur lui fait office de contemporain. A ne pas manquer, donc.

 

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C'est de l'ironie ?

Question de point de vue. Apparemment François Ozon prend l'affaire au sérieux. Moi je prends ce genre de film comme une insulte, une sorte de crachat au visage des autres. Question de point de vue, donc.

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