Aller au contenu

Flims du moment


Messages recommandés

Je suis allé à l'avant-première du film "Dragon Ball : Broly" hier. Le scénario est bancal, tout est prétexte au combat ; mais bon c'est assumé implicitement à plusieurs moments j'ai l'impression... donc osef (c'est même drôle).

Par contre, CE COMBAT !!! CETTE ANIMATION !!! C'est peut-être bien la meilleure baston d'anime que j'ai vu de ma vie ! Je plains les fans de la saga qui sont restés chez eux, vous allez passer à côté de la hype qui va déferler sur le web ! 

 

Aucune description de photo disponible.

Lien vers le commentaire
Le 22/01/2019 à 10:36, Solomos a dit :

Pas un film du moment mais j'ai vu The man from Earth

 https://www.imdb.com/title/tt0756683/

 Un huis-clos entre spécialistes (historien, psy, biologiste, paléontologue, théologien) réunis autour d'un cas qui dépasse leur entendement.

 Pas mal, des idées intéressantes.

J'ai appris récemment qu'il y avait une suite, The man from Earth: Holocene. Je l'ai finalement regardée aujourd'hui : le niveau est beaucoup plus bas et c'est clairement moins subtil dans le propos, à éviter si on n'est pas fan du premier film.

Lien vers le commentaire
Il y a 10 heures, Nigel a dit :

Je suis allé à l'avant-première du film "Dragon Ball : Broly" hier. Le scénario est bancal, tout est prétexte au combat ; mais bon c'est assumé implicitement à plusieurs moments j'ai l'impression... donc osef (c'est même drôle).

Par contre, CE COMBAT !!! CETTE ANIMATION !!! C'est peut-être bien la meilleure baston d'anime que j'ai vu de ma vie ! Je plains les fans de la saga qui sont restés chez eux, vous allez passer à côté de la hype qui va déferler sur le web ! 

Pour moi, la meilleur partie du manga reste DB. Les combats sont beaucoup plus créatif et drôle dans DB. Dans DBZ on passe à quelque chose de plus bourrin mais les différents combats contre les ennemies réserves toujours des surprises et des nouvelles techniques sont ajoutées.

Les films sont des resucées non intégrés dans la trame et souvent incohérent (puissance, temps, personnages).

DBGT et DBS utilisent tous deux les mêmes mauvaises recettes : on fait revenir des anciens personnages ou on fait un remake d'anciennes aventures. Et par dessus tout, on continu dans la surenchère absurde de Super Sayan jaune, bleu, rouge, vert, etc. Ce qui semble être le cas avec le film.

Révélation

On reprend le personnage de Broly, Freezer. On fait un remake de la planète Vegeta. On réutilise les mêmes schéma de combats qui commence en SS1 puis SS blue, SS God. Puis de nouveau la fusion.

J'ai plus de plaisir à revoir DB et DB Kai que découvrir tout ce qui sort depuis. #nostalgie

  • Yea 2
Lien vers le commentaire
Il y a 4 heures, Cthulhu a dit :

 

C'est pas considéré comme canon les parties avec Broly et le frangin de Freezer ?

 

Na :p Scénaristiquement, c'était de toute façon impossible. Mais bon, comme Broly vient d'être officialisé. Je pense que tu peux t'attendre à ce que Cooler le soit aussi.

 

Il y a 3 heures, Liber Pater a dit :
Il y a 5 heures, Nigel a dit :
 
 Avant, c'était plutôt des OAV, donc c'était purement un produit dérivé. Là non, c'est canon. 

Ah, le joueur du Grenier avait l'air de dire que c'était pas canon

 

 Je crois pas. Et si il a dit ça, c'est faux. 

 

Il y a 3 heures, Tesla a dit :

Pour moi, la meilleur partie du manga reste DB. Les combats sont beaucoup plus créatif et drôle dans DB. Dans DBZ on passe à quelque chose de plus bourrin mais les différents combats contre les ennemies réserves toujours des surprises et des nouvelles techniques sont ajoutées.

Les films sont des resucées non intégrés dans la trame et souvent incohérent (puissance, temps, personnages).

DBGT et DBS utilisent tous deux les mêmes mauvaises recettes : on fait revenir des anciens personnages ou on fait un remake d'anciennes aventures. Et par dessus tout, on continu dans la surenchère absurde de Super Sayan jaune, bleu, rouge, vert, etc. Ce qui semble être le cas avec le film.

 

 Je suis d'accord pour DBS. C'est une mauvaise suite. Mais le film reste cool malgré les défauts que tu pointes ( et qui ne sont pas importants dans le film). 

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

 

 

Comme l'affiche ma référence, je suis à fond!!!

Pour info et pour ceux qui connaissent pas Gunnm, on peut avoir sans problème une lecture libérale de l'univers de gunnm , de gally bien sûr et  d'autres personnages .Donc double emploi dès mercredi prochain au ciné ! (vendredi avant premièe en 4Dx a trouzillemille euros la place pour moi :p ) On verra si le matériau d'origine est aussi respecté qu'on le dit, mais les trailers trahissent déjà un profond amour du manga.

Ha et c'est Cameron qui scripte; et Cameron, c'est Ridley et Sarah Connor, donc en femme forte indépendante , il se pose là.

 

Hyper over Nine Thousand.

Lien vers le commentaire

Vu la nouvelle adaptation de Gunnm par Rodriguez: c'est en fait une adaptation remaniée de la précédente adaptation animée (OVA). Ils ont réussi à (élégamment, il faut le souligner) lier ensemble les arcs des chasseurs de prime, Yugo, un Makaku-like/light, du Motorball, et caser Desty Nova. Il y a un certain nombre de décisions osées, plusieurs que j'ai trouvées bonnes (le cosmopolitanisme ambiant, lier le motorball ainsi que l'introduction de Gally à la chasse de primes avec les traffics de Yugo et sa bande, les indices quant à la raison de la venue sur Terre de Gally) et d'autres moins (poser Desty Nova comme le dirigeant de Zalem, pourquoi Ido chasse, ce qu'il advient de Vector). J'ai trouvé qu'il manquait le côté far-west de la décharge, c'était plus dépeint comme un ensemble de quartiers populaires à l'américaine. La taille des yeux ne m'a pas dérangé.

 

Rosa Salazar est parfaite dans le rôle titre, j'ai par contre eu un peu de mal avec leur version de Ido. Zapan aurait dû être plus névrosé et obsédé, mais j'imagine qu'il n'y avait pas le temps pour faire monter la tension entre Gally et lui - du coup sa scène finale tombe carrément à plat. J'aurais vraiment préféré qu'on voit plus des "projets" de Nova que le seul Grewishka, ne serait-ce que pour étayer le personnage en tant qu'antagoniste.

 

Bref ce n'était pas l'adaptation que j'attendais ni dont j'avais besoin (la mini-série de 9 épisodes de 50 minutes, un par volume originel, ne sera jamais vraisemblablement jamais faite). Meh / 20.

Lien vers le commentaire

Vu Vice d'Adam McKay qui relève d'un genre aussi prolifique que soporifique, le biopic. Nous avons le nec plus ultra de la modernité hollywoodienne : un mixte entre Sacha Guitry et S.M. Eisenstein. C'est rigolo dans la narration (mais bon Sacha faisait déjà cela il y a 80 ans) et très lourd dans l'intention.

Les républicains, camp du Mal au service des "ultra riches" (ici je mets des images du Cato Institut et de Heritage Foundation), manipulant les crétins réacs de l'Amérique profonde, ne songent qu'à semer la mort et la destruction. Depuis le couple infernal Kissinger-Nixon jusqu'au "héros" de cette histoire : le médiocre Dick Cheney, homme de l'ombre, qui va manipuler l'ectoplasmique W. Bush (dont le portrait pour le coup est sans doute proche de l'original). Dick a une obsession, faire du président, l'homme le plus puissant du monde qui agit comme il l'entend (ici je place une image de Roosevelt, pas Franklin Delano, faut pas déconner tout de même, mais Théodore).

Quelques moments de répit dans ce sombre cloaque où la lutte contre le réchauffement, pour les droits civiques et le bonheur de l'humanité est systématiquement saboté par l'infâme Cheney. Ainsi Jimmy Carter fait-il installer des panneaux solaires sur le toit de la Maison Blanche que s'empresse de démanteler le sinistre Reagan. Seule l'élection messianique d'Obama met un terme, hélas provisoire, à ce long règne de turpitudes diverses. Remarquons que les Clinton ne sont pas bien considéré par le progressisme hollywoodien : monsieur n'est même pas cité et madame n'apparait que pour approuver l'intervention contre l'Irak.

Cela aurait pu être un film dénonçant le capitalisme de connivence et le machiavélisme politique mais le côté trop orienté du message l'affaiblit cruellement.

  • Yea 3
  • Haha 1
Lien vers le commentaire
Il y a 5 heures, Rincevent a dit :

Il ne faudrait pas beaucoup broder pour faire un article court et cinglant pour CP ! :)

J'y avais songé mais je préfère louer que blâmer dans mes critiques cinématographiques.

Lien vers le commentaire
à l’instant, Dardanus a dit :

J'y avais songé mais je préfère louer que blâmer dans mes critiques cinématographiques.

Je comprends ; mais si tu ne souhaites pas taper sur ce film en particulier, tu peux aussi déboucher sur une critique générale du cinéma pseudo-engagé, ce genre taillé sur mesure pour les mutins de Panurge.

Lien vers le commentaire

En ce moment j'enchaine les déceptions  cinématographiques.

Je suis allé voir Deux fils de Moati fils. Parfois j'essaie de voir un film français. La critique se voulait élogieuse.

Très typique d'un certain cinéma français où on devient facilement réalisateur quand on est dans le milieu et de surcroit fils de quelqu'un.

Nous sommes à Paris, nos personnages n'ont pas de problèmes d'argent et vivent dans un vaste appartement. Papa a cessé pourtant de travailler comme médecin depuis deux ans et passe son temps à écrire de la mauvaise littérature non publiable. Fiston aîné est en thèse depuis deux ans  mais cette thèse reste à l'état de songe. Fiston cadet est au collège hésitant (pas très longtemps) entre ardeur mystique et attirance pour une de ses camarades de classe.

Et…rien. Les personnages flottent dans de relations confuses renvoyant à de vagues souffrances anciennes. Autour de personnages principaux sans épaisseur, les autres rôles ne sont guère que des silhouettes encore plus évanescentes.

Vincent Lacoste rejoue encore et toujours le jeune homme velléitaire. Poelvoorde est toujours aussi fade que dans mon souvenir.

C'est une comédie dramatique parait-il. En fait, ni drôle, ni triste, ni rien.

Ce n'est pas désagréable, c'est juste insignifiant.

Lien vers le commentaire
Le 14/02/2019 à 06:45, Dardanus a dit :

Vu Vice d'Adam McKay qui relève d'un genre aussi prolifique que soporifique, le biopic. Nous avons le nec plus ultra de la modernité hollywoodienne : un mixte entre Sacha Guitry et S.M. Eisenstein. C'est rigolo dans la narration (mais bon Sacha faisait déjà cela il y a 80 ans) et très lourd dans l'intention.

Les républicains, camp du Mal au service des "ultra riches" (ici je mets des images du Cato Institut et de Heritage Foundation), manipulant les crétins réacs de l'Amérique profonde, ne songent qu'à semer la mort et la destruction. Depuis le couple infernal Kissinger-Nixon jusqu'au "héros" de cette histoire : le médiocre Dick Cheney, homme de l'ombre, qui va manipuler l'ectoplasmique W. Bush (dont le portrait pour le coup est sans doute proche de l'original). Dick a une obsession, faire du président, l'homme le plus puissant du monde qui agit comme il l'entend (ici je place une image de Roosevelt, pas Franklin Delano, faut pas déconner tout de même, mais Théodore).

Quelques moments de répit dans ce sombre cloaque où la lutte contre le réchauffement, pour les droits civiques et le bonheur de l'humanité est systématiquement saboté par l'infâme Cheney. Ainsi Jimmy Carter fait-il installer des panneaux solaires sur le toit de la Maison Blanche que s'empresse de démanteler le sinistre Reagan. Seule l'élection messianique d'Obama met un terme, hélas provisoire, à ce long règne de turpitudes diverses. Remarquons que les Clinton ne sont pas bien considéré par le progressisme hollywoodien : monsieur n'est même pas cité et madame n'apparait que pour approuver l'intervention contre l'Irak.

Cela aurait pu être un film dénonçant le capitalisme de connivence et le machiavélisme politique mais le côté trop orienté du message l'affaiblit cruellement.

 

Pour avoir vu la bande-annonce et lu des entretiens du cinéaste, c'était hélas bien prévisible.

Sans tomber dans un passéisme trop idéaliste, ça fait de la peine quand on voit le niveau qu'avait le cinéma hollywoodien de gauche des années 70. Je pense à un film comme Network, qui pourtant ne fait pas dans la dentelle, mais a une énergie telle qu'on n'a pas le temps de s'arrêter sur les côtés les plus lourds.

Lien vers le commentaire
1 hour ago, Carl Barks said:

Sans tomber dans un passéisme trop idéaliste, ça fait de la peine quand on voit le niveau qu'avait le cinéma hollywoodien de gauche des années 70.

Y a eu une inversion des talents entre séries et films dans les années 2000. Les bons scénaristes ne vont tout simplement à Hollywood mais sur Netflix and co. Le festival de Cannes va doucement sombrer dans l'insignifiance.

Lien vers le commentaire
il y a 4 minutes, Fagotto a dit :

Dans Network les gauchistes ne sont pas épargnés d'ailleurs.

C'est vrai et c'est très drôle, mais c'est moins l'idéologie qui est visée que le fait qu'ils soient aussi incapables que les autres de résister au grand capital et à l'hydre médiatique.

 

il y a 2 minutes, Kassad a dit :

Y a eu une inversion des talents entre séries et films dans les années 2000. Les bons scénaristes ne vont tout simplement à Hollywood mais sur Netflix and co. Le festival de Cannes va doucement sombrer dans l'insignifiance.

Sûrement, mais il y a des exceptions. Je trouve généralement les David Fincher très bien scénarisés et il a plutôt tendance à canaliser les tendances horripilantes d'un Aaron Sorkin.
C'est vrai que Fincher lui-même s'est mis à la série, mais je n'ai pas été transcendé par Mindhunter. Même s'il y a beaucoup de qualités, je trouve paradoxalement les dialogues plus téléphonés que dans ses films.

Lien vers le commentaire

Les bons scénaristes sont quand même plutôt toujours sur HBO amha.

 

Tiens j’ai vu La Favortie de Yorgos Lanthimos. J’ai bien aimé, c’est assez différent du précédent (qui était lui même assez différent - mais moins de son prédécesseur), même si la même cruauté s’exprime avec brio. Visuellement très convaincant, bien joué (Rachel Weisz excellente, Emma Stone et Olivia Colman bonnes mais un peu en dessous) , quelques extravagances (fish eyes, chorégraphies bizarres, costumes apparemment en jean) qui ont fait parler mais que je n’ai trouvé ni géniales ni pesantes... je trouve que ces aspects ont été survendus, pour moi ils participent à la dimension comique pince sans rire du film qui est plutôt plaisante. Je regrette un peu la fin sans surprise qui réaffirme un propos déjà bien établi, j’aurais aimé être un peu plus intrigué ou désarçonné.

 

Sinon je pense que le film a potentiellement un sous texte politique intéressant associé à son propos principal (ma copine, avec qui j’ai vu le film, n’est pas convaincue).

 

Je le recommande.

  • Love 1
Lien vers le commentaire

Bon j'ai vu Vaïana avec ma gamine (4 ans).

Et ben c'est un super film. J'ai bien aimé et comme papa je suis content que m'a fille l'ait vu.

C'est un shonen Disney, c'est vraiment bien. Pas de romance gnangnan, que du positif, une héroïne persévérante qu'on peut donner pour modèle.

Pas de mariage !!! J'en vois qui demandent des héroïnes lgbtiqtrucs mais là pour une fois on a une histoire de Disney où l'héroïne n'a aucune relation romantique avec personne, le père qui vous parle a vraiment apprécié. (j'ai récupéré des livres de contes il y a quasi-systématiquement un mariage à la fin, et ça me peine d'y voir la fin idéale de chaque aventure)

  • Yea 5
Lien vers le commentaire
6 minutes ago, Mathieu_D said:

Bon j'ai vu Vaïana avec ma gamine (4 ans).

Et ben c'est un super film. J'ai bien aimé et comme papa je suis content que m'a fille l'ait vu.

C'est un shonen Disney, c'est vraiment bien. Pas de romance gnangnan, que du positif, une héroïne persévérante qu'on peut donner pour modèle.

Pas de mariage !!! J'en vois qui demandent des héroïnes lgbtiqtrucs mais là pour une fois on a une histoire de Disney où l'héroïne n'a aucune relation romantique avec personne, le père qui vous parle a vraiment apprécié. (j'ai récupéré des livres de contes il y a quasi-systématiquement un mariage à la fin, et ça me peine d'y voir la fin idéale de chaque aventure)

 

Et sinon, Mathieu, dites moi êtes vous heureux dans votre mariage? lol

 

#jemeprendspourunpsy

Lien vers le commentaire
il y a 30 minutes, Anton_K a dit :

Les bons scénaristes sont quand même plutôt toujours sur HBO amha.

 

Tiens j’ai vu La Favortie de Yorgos Lanthimos. J’ai bien aimé, c’est assez différent du précédent (qui était lui même assez différent - mais moins de son prédécesseur), même si la même cruauté s’exprime avec brio. Visuellement très convaincant, bien joué (Rachel Weisz excellente, Emma Stone et Olivia Colman bonnes mais un peu en dessous) , quelques extravagances (fish eyes, chorégraphies bizarres, costumes apparemment en jean) qui ont fait parler mais que je n’ai trouvé ni géniales ni pesantes... je trouve que ces aspects ont été survendus, pour moi ils participent à la dimension comique pince sans rire du film qui est plutôt plaisante. Je regrette un peu la fin sans surprise qui réaffirme un propos déjà bien établi, j’aurais aimé être un peu plus intrigué ou désarçonné.

 

Sinon je pense que le film a potentiellement un sous texte politique intéressant associé à son propos principal (ma copine, avec qui j’ai vu le film, n’est pas convaincue).

 

Je le recommande.

 

Il faut que je vois The Killing of a Sacred Deer d'ailleurs. J'avais bien aimé - bien qu'imparfait, Canine.

  • Yea 1
Lien vers le commentaire
1 hour ago, NicolasB said:

Vu que je n'ai que des garçons je ne peux pas comprendre ;)

Ben disons que je n'aime pas qu'elle puisse penser que le mariage est la finalité de la vie (ou simplement être en couple). C'est moins pregnant dans les vieilles histoires où le héros est un garçon.

 

  • Yea 2
Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...