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Effectivement Chitah. Tout le "talent" d'un producteur est de se diversifier et de miser sur les bons chevaux.

Si il y en a que le sujet intéresse d'un point de vu économique, voila un site qui récapitule l'argent qu'à rapporté un film uniquement au cinéma (c'est à dire sans Dvd ou Vod).

http://boxofficemojo.com/

Bon c'est un site axé cinéma américain mais on peut y trouver des films francais. Ce sont des estimations (bien souvent plus basses que la réalité, le milieu reste assez opaque là dessus) des recettes engrangées par un film. On estime à environ 55 pour 100 des recettes l'argent qui revient à la production.

Pour trouver des estimations des couts des films (Box Office ne les met pas toujours), rien ne vaut Imdb:

http://www.imdb.com/

J'espère ne pas trop saouler les gens avec ces interventions… J'ai tendance à partir facilement quand ca concerne ce secteur. wub.gif

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Invité rogermila

J'aimerai savoir ce que monsieur Mila entend par seuil de rentabilité…

Telle que définie dans l'émission par Mr Yves Boisset (realisateur et faisant partie du CNC) c'est

"La rentabilité à court terme qui ne tient compte que des entrées cinéma en France"

Donc les rentrées d'argent immédiates qui vont pouvoir rembourser l'investissement mais pas les espérances de rentrées futures dans les années qui vont suivre la sortie en salle.

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+10, par contre j'ai vu bad teacher sur ton conseil et moi qui m'attendais à me rincer l'oeil sur Diaz, ben j'en étais vraiment pour mes frais, salaud t'aurais pu prévenir !

Bad Teacher, je le répète, n'est pas un film avec de bons acteurs (même si le cul de Diaz est très joli, ses épaules et, pire, son ventre font presque peur). Non, je considère plus ce film comme une étude sociologique très profonde (et qui devrait faire date) sur le milieu de l'enseignement aux USA.

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J'ai vu qu'"Happy New Year", que j'étais allé voir avec ma fiancée dans un moment de grande bonté, vient d'être nommé aux razzie awards dans la catégorie plus mauvais film.

Rétrospectivement, c'est vrai que ce film enchaînait les clichés, mais ni plus ni moins que les tonnes de comédies romantiques sirupeuses qui apparaissent à cette période de l'année.

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Je suis aller revoir un film américain indépendant que j'avais déja vu l'an dernier.

Martha, Marcy May Marlene avec dans le rôle titre la talentueuse Elisabeth Olsen qui pour son premier rôle a fait parler d'elle dans le milieu (je suis prête à parier sur son avenir). J'ai été glacée par la représentation réaliste de la secte que rejoins l'heroine, sorte de communauté pseudo hippie et communiste où le gourou est le seul au dessus des autres…

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Je suis aller revoir un film américain indépendant que j'avais déja vu l'an dernier.

Martha, Marcy May Marlene avec dans le rôle titre la talentueuse Elisabeth Olsen qui pour son premier rôle a fait parler d'elle dans le milieu (je suis prête à parier sur son avenir). J'ai été glacée par la représentation réaliste de la secte que rejoins l'heroine, sorte de communauté pseudo hippie et communiste où le gourou est le seul au dessus des autres…

C'est la soeur des jumelles, non?

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Je suis aller voir la dame de fer et globalement je me joins aux critiques vues ici et là dans la sphère libérale.

D'abord la première partie est trop longue, elle s'attarde sur la situation actuelle de Thatcher entre ses délires et sa maladie, cela dure au moins 40 minutes. C'est poignant au début et barbant au bout d'un moment.

La deuxième partie du film s'attarde enfin sur sa biographie, mais du coup il reste peu de temps et il faut condenser. Le film revient sur les évènements majeurs de sa vie (entrée en politique, rencontre avec son mari, candidature pour diriger les tories, élection au poste de premier ministre, fermeture des mines, attentat de l'IRA, guerre des Malouines, les Thatcher millionaires et la destitution de son poste après l'opposition à la poll tax). Mais du coup, le film n'analyse aucun de ces evènements en profondeur, pire, on aurait aimé comprendre comment elle avait réussi à monter au sein du parti, on aurait aimé que ses idées et ses décisions soient davantage mises en lumière et expliquées.

Soi-disant le film n'est pas vraiment sa biographie mais plus un portrait psychologique de sa personne et ses rapports avec son mari, mais du coup, les deux sont mélangés finalement sans trop de cohérence.

A part cela, la prestation de Meryl Streep est très bonne, mais je ne dirais pas que ce film est un échec complet, on ressort quand même avec une opinion positive, et une opinion positive d'elle, le film montre bien qu'elle n'est pas un monstre mais quelqu'un avec des principes et que ses principes ont permis à la Grande-Bretagne de s'en sortir après des décennies de socialisme. Et puis certains dialogues et certains discours sont vraiment très bons, je suis sorti de là optimiste: il est possible encore pour les libéraux de faire bouger les choses.

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Vous m'avez convaincu de ne pas y aller. Ce fil aura au moins eu le mérite de me faire économiser un paquet de places de cinéma.

Parmi les navets du moment sort aujourd'hui l'adaptation du bréviaire de Hessel à l'usage des belles âmes indignées. L'avantage de ces films militants dans l'air du temps qui cherchent à conscientiser le spectateur pénitent en quête d'un dragon à combattre, est que la bande-annonce suffit pour en connaître la teneur indigeste en clichés pathétiques.

http://www.youtube.com/watch?v=_Kfka_HakZo

http://leplus.nouvel…-mouvement.html

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C'est la soeur des jumelles, non?

Yep, elle même. Elles ont une petite soeur donc Elisabeth, qui est une véritable actrice.

D'abord la première partie est trop longue, elle s'attarde sur la situation actuelle de Thatcher entre ses délires et sa maladie, cela dure au moins 40 minutes. C'est poignant au début et barbant au bout d'un moment.

La deuxième partie du film s'attarde enfin sur sa biographie, mais du coup il reste peu de temps et il faut condenser. Le film revient sur les évènements majeurs de sa vie (entrée en politique, rencontre avec son mari, candidature pour diriger les tories, élection au poste de premier ministre, fermeture des mines, attentat de l'IRA, guerre des Malouines, les Thatcher millionaires et la destitution de son poste après l'opposition à la poll tax). Mais du coup, le film n'analyse aucun de ces evènements en profondeur, pire, on aurait aimé comprendre comment elle avait réussi à monter au sein du parti, on aurait aimé que ses idées et ses décisions soient davantage mises en lumière et expliquées.

+1. Je regrette de pas avoir vu un véritable film politique. Les grands évènements ne sont là que pour servir de toiles de fond, c'est dommage.

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Je vous trouve sévère avec la dame de fer. Les passages quand elle est vieille sont longuets mais ils font ressortir par contraste les années de règne et leur donne une sensation de force qu'on n'aurait peut-être pas eu autrement..

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suis allé voir Detachment, de Tony Kaye, avec Adrian Brody dans le rôle titre. Histoire d'un prof remplaçant dans un lycée pourri de la banlieue de New York qui recueille une prostituée mineure lors d'une de ses multiples balades nocturnes (il est insomniaque à cause de problèmes psychologiques perso liés à sa mère qui s'est suicidée quand il avait cinq ans). Comme ce petit résumé l'indique, c'est un film social typique (mais US) où tout va mal, ou alors de mal en pis (les profs sont dépressifs et martyrisés, les élèves violents et sans avenirs, etc.). Une fois ce travers mis de côté, c'est un film assez bon qui tranche assez avec la production ordinaire US par son pessimisme (et qui met en scène d'excellents acteurs mais de manière assez inattendue comme Lucy Liu ou William Petersen).

FreeJazz : Tony Gatlif, tout comme Lars von Trier et Robert Guédiguian, devraient être incités à s'installer en Chine. L'édification du socialisme a besoin d'eux, mais très loin.

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J'acquiesce à tout, en mettant un bémol sur la partie en gras : selon moi, un producteur mise sur la quantité ET la qualité. Un producteur suffisamment gros, j'imagine, essaiera d'avoir un portefeuille diversifié (une comédie romantique, un film d'action, un film d'auteur, etc.) avec quelques valeurs de fond de portefeuille, des trucs plus ou moins sûrs, mais aussi avec quelques prises de risque (ce qui semble avoir été le cas de La Vérité Si Je Mens par exemple) qui peuvent se révéler être de très gros succès commerciaux.

Il y a déjà une très grosses dofférente entre le cinéma européen et le cinéma hollywoodien.

Aux US ils ont compris que plus le budget du film est élevé, plus le risque est réduit. Du coup, tout ce qui a un budget inférieur à 150 millions de dollars est devenu trop risqué.

Ensuite, quand en Europe ce qui nous intéresse est le réalisateur, aux US c'est l'histoire.

Les scénari passent entre les mains d'une bonne dizaine de scénaristes non crédités et mettent plus de 5 ans avant d'être validés.

Le show business à longtemps été un savant équilibre entre le Show et le business. Aujourd'hui, le business l'a définitivement emporter.

La qualité n'a jamais aussi peu compter qu'aujourd'hui à Hollywood. On atteind le fond avec les comédies pourries pour ado attardés qui ont rempli les vidéos clubs et qui continuent. Sans parler des Adams Sandler & co.

Aujourd'hui la qualité revient un peu, mais c'est pas fait expres.

Si la qualité survi, ce sera par hasard, si par chance une part suffisament importante du public la réclame avant de dépensser un cents dans le cinéma pour ses loisirs.

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Bad Teacher, je le répète, n'est pas un film avec de bons acteurs (même si le cul de Diaz est très joli, ses épaules et, pire, son ventre font presque peur). Non, je considère plus ce film comme une étude sociologique très profonde (et qui devrait faire date) sur le milieu de l'enseignement aux USA.

Le cul de Caméron Diaz je ne sais pas, mais le cul de Justin Timberlake vgaut le détour, dommage qu'il garde son jeans tout le long du film.

Mais qu'as-tu appris dans ce film sur le milieu de l'enseignement US exactement ?

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La qualité n'a jamais aussi peu compter qu'aujourd'hui à Hollywood. On atteind le fond avec les comédies pourries pour ado attardés qui ont rempli les vidéos clubs et qui continuent. Sans parler des Adams Sandler & co.

J'ai bien aimé Funny People avec Adam Sandler. Knocked up aussi est une bonne comédie. On peut concilier le succès, le business, le divertissement et la qualité.

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On atteind le fond avec les comédies pourries pour ado attardés qui ont rempli les vidéos clubs et qui continuent. Sans parler des Adams Sandler & co.

Fais comme moi, privilégie les vieilles comédies à l'humour ultra-fin, genre :

Y a-t-il un flic pour sauver la reine ? Y a-t-il….le président ? Y a-t-il… Hollywood ?

Hot Shot.

La folle histoire de l'espace.

….et bien d'autres !

J'ai beau les avoirs vus moult fois, à chaque fois c'est que du bonheur. :)

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Il y a déjà une très grosses dofférente entre le cinéma européen et le cinéma hollywoodien.

Aux US ils ont compris que plus le budget du film est élevé, plus le risque est réduit. Du coup, tout ce qui a un budget inférieur à 150 millions de dollars est devenu trop risqué.

Ensuite, quand en Europe ce qui nous intéresse est le réalisateur, aux US c'est l'histoire.

Les scénari passent entre les mains d'une bonne dizaine de scénaristes non crédités et mettent plus de 5 ans avant d'être validés.

Le show business à longtemps été un savant équilibre entre le Show et le business. Aujourd'hui, le business l'a définitivement emporter.

La qualité n'a jamais aussi peu compter qu'aujourd'hui à Hollywood. On atteind le fond avec les comédies pourries pour ado attardés qui ont rempli les vidéos clubs et qui continuent. Sans parler des Adams Sandler & co.

Je suis désolée de dire que c'est faux. Le cinéma indé ne s'est jamais aussi bien porté aux US et n'a jamais autant rapporté. Les blockbusters gros budget ? Pour un rentable, tu en as deux qui se cassent la figure. Green lantern, Conan et j'en passe sont autant de films avec des pertes sèches. Je te laisse regarder les business chiffres du secteur, c'est révélateur Les studios misent de plus en plus sur des budgets intermédiaires (entre 10 et 30 millions de dollars). N'oublie pas que la rentabilité d'un film dépend de son rapport Recettes/Budget et non des recettes simplement. Un film qui t'a couté 10 millions et a 25 millions de recettes au box office sera rentable tandis qu'un film qui en a couté 150 et qui en rapporte 200 en recettes sera déficitaire (la part revenant à la production tendant à se diriger vers 55 pour 100, à nuancer toutefois). De plus combien de blockbusters dont la réussite n'est due qu'à la prouesse technique survivront à l'épreuve du temps, là où un bon film indé rapportera toujours ?

La plupart des gros studios ne se trompent pas. Ils ont tous créer des sociétés soeurs spécialisées dans la production de film indépendants.

Les comédies dont tu parles ? Bah c'est pas cher à fabriquer et donc vite rentable. Dans les années 80, tu avais bien les "American Ninja" et autres dérivés dans le même genre…. C'est la rentabilté court terme qui est visée là, non la pérénité. Comme dans tout secteur, il y a des investissements à court terme et d'autres à plus long terme.

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Tout à fait, énormément de blockbusters actuels font des fours monumentaux en salles. Cela peut aussi s'expliquer par le fait que l'industrie hollywoodienne a considérablement rétréci sa vision du blockbuster (corrige-moi si je me trompe). Auparavant, le blockbuster utilisait des technologies de pointe pour faire un show quasiment inoubliable,mais on ne zappait pas pour autant les grandes histoires romanesques, qui étaient certes très emphatiques, mais qui conservaient la notion de "grand spectacle" (grande histoire, grands personnages, grands décors…). Maintenant, la technologie est utilisée avant tout le reste et les blockbusters ont parfois un effet proche du "film test": on en balance à la pelle désormais (les pixar, les studios marvel, les Disney, les dreamworks…) et on voit ceux qui ressortent le plus. Avant, les studios ne misaient que sur quelques gros poulains et il fallait donc mettre le paquet pour pas se planter.

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Drame: Google menace les subventions

[…]

Mais la bonne santé du Groupe Canal+ dépasse les seuls intérêts de ses clients, de ses collaborateurs ou de son actionnaire : il est la clé de voûte d'un système vertueux de financement de la création cinématographique et audiovisuelle et le premier partenaire du sport en France. Chaque année, le groupe investit 600 millions d'euros dans la filière audiovisuelle française. Il est le premier soutien du cinéma, présent dans les deux tiers des films produits chaque année, dont une quarantaine de premiers films. Le Groupe Canal+, c'est aussi 550 millions d'euros investis dans une trentaine de disciplines sportives. Pour pérenniser cette politique, le groupe a dû s'adapter à un environnement en mutation. Ainsi, la fusion avec le Groupe TPS en 2006 a permis d'éviter que les deux acteurs ne s'épuisent dans une surenchère dangereuse sur les droits du football et du cinéma, sans empêcher les nouveaux acteurs de prendre leur place sur les marchés de l'audiovisuel.

Mais notre industrie fait face à des défis sans commune mesure avec ce que nous avons connu ces dernières années et qui pourraient remettre en cause les équilibres grâce auxquels notre secteur s'est développé. Jusqu'à présent, les groupes médias français se livraient une concurrence vive, mais avec des règles du jeu qui étaient les mêmes pour tous : un cadre réglementaire et fiscal unique, qui vise à soutenir la création ; une logique économique commune, qui impose d'équilibrer ses coûts et ses recettes.

[…]

Qu'on ne s'y trompe pas : ce n'est pas au nom de la liberté d'Internet qu'ils cherchent à s'exonérer de ces contraintes, mais bien pour des raisons économiques. Pourquoi Apple a-t-il installé le siège d'iTunes Europe au Luxembourg ? Pourquoi Google a-t-il choisi l'Irlande pour développer son activité en Europe ? Pour bénéficier de régimes fiscaux favorables. Pour alléger leurs obligations. C'est ainsi que, pour la première fois en France, une partie notable du chiffre d'affaires lié à la diffusion de contenus audiovisuels ne contribue pas à la production de nouveaux contenus : ces sociétés ne sont pas soumises aux taxes et obligations qui incombent aux acteurs français, au premier rang desquels le Groupe Canal+, pour soutenir la filière audiovisuelle française.

[…]

http://tinyurl.com/7glb3ow

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"système vertueux de financement de la création cinématographique et audiovisuelle"

:lol:

En tout cas, c'est un magnifique article pour un édito de dimanche matin, ça. :)

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Je suis désolée de dire que c'est faux. Le cinéma indé ne s'est jamais aussi bien porté aux US et n'a jamais autant rapporté. Les blockbusters gros budget ? Pour un rentable, tu en as deux qui se cassent la figure. Green lantern, Conan et j'en passe sont autant de films avec des pertes sèches. Je te laisse regarder les business chiffres du secteur, c'est révélateur Les studios misent de plus en plus sur des budgets intermédiaires (entre 10 et 30 millions de dollars). N'oublie pas que la rentabilité d'un film dépend de son rapport Recettes/Budget et non des recettes simplement. Un film qui t'a couté 10 millions et a 25 millions de recettes au box office sera rentable tandis qu'un film qui en a couté 150 et qui en rapporte 200 en recettes sera déficitaire (la part revenant à la production tendant à se diriger vers 55 pour 100, à nuancer toutefois). De plus combien de blockbusters dont la réussite n'est due qu'à la prouesse technique survivront à l'épreuve du temps, là où un bon film indé rapportera toujours ?

La plupart des gros studios ne se trompent pas. Ils ont tous créer des sociétés soeurs spécialisées dans la production de film indépendants.

Les comédies dont tu parles ? Bah c'est pas cher à fabriquer et donc vite rentable. Dans les années 80, tu avais bien les "American Ninja" et autres dérivés dans le même genre…. C'est la rentabilté court terme qui est visée là, non la pérénité. Comme dans tout secteur, il y a des investissements à court terme et d'autres à plus long terme.

C'est quoi le cinéma indépendant? Ils vivent sur une autre planète?

Ce qui est dit sur les films blockbusters avec des technologies mais sans histoire est très juste, et c'est devenu de plus en plus la norme, l'évolution est notable depuis un peu moins de 10 ans. Franchement ça devient lassant, j'espère que le retour de bâton est pour bientôt, le public doit boycotter toutes ces daubes -que ce soit les dessins animés de Pixar pour adultes attardés ou les films à effets spéciaux débiles- la dernière en date: John Carter, pitié ça devient toujours la même chose, avec des surhommes, des effets spéciaux incroyables mais pas crédibles et une histoire incohérente.

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Je suis un peu hors-sujet, mais je n'arrive plus à me souvenir du nom d'un film sur l'égalitarisme : les intelligents avaient une sorte de casque sur la tête qui les empêchaient de trop réfléchir, les forts avaient des poids, le but étant que tous soient égaux physiquement comme intellectuellement. Je pense qu'il a du sortir en 2009 ou 2010. Film américain, bien sûr. Quelqu'un se souvient de ce film ?

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Un film où tout le monde est bloqué dans les années 50 ? Si c'est celui-là, j'essaie aussi de me souvenir de son titre depuis quelques jours. Marrant.

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Un film où tout le monde est bloqué dans les années 50 ? Si c'est celui-là, j'essaie aussi de me souvenir de son titre depuis quelques jours. Marrant.

Je ne sais pas, ça ne me dit rien comme cela, mais c'est possible qu'il y ait aussi cet aspect. Quelqu'un pourra peut-être nous éclairer.

EDIT : je viens de retrouver le film auquel je pensais :

http://en.wikipedia.org/wiki/2081_(film)

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Tout à fait, énormément de blockbusters actuels font des fours monumentaux en salles. Cela peut aussi s'expliquer par le fait que l'industrie hollywoodienne a considérablement rétréci sa vision du blockbuster (corrige-moi si je me trompe). Auparavant, le blockbuster utilisait des technologies de pointe pour faire un show quasiment inoubliable,mais on ne zappait pas pour autant les grandes histoires romanesques, qui étaient certes très emphatiques, mais qui conservaient la notion de "grand spectacle" (grande histoire, grands personnages, grands décors…). Maintenant, la technologie est utilisée avant tout le reste et les blockbusters ont parfois un effet proche du "film test": on en balance à la pelle désormais (les pixar, les studios marvel, les Disney, les dreamworks…) et on voit ceux qui ressortent le plus. Avant, les studios ne misaient que sur quelques gros poulains et il fallait donc mettre le paquet pour pas se planter.

Tout à fait chère consoeur. La quantité doit en théorie combler la perte de qualité. Pour l'instant ca tient mais pour combien de temps ?

C'est quoi le cinéma indépendant? Ils vivent sur une autre planète?

:icon_biggrin: Le cinéma "indépendant" américain est appellé ainsi car produit en dehors des gros studios holywoodiens historiques (je dis bien produit car les studios ont aussi une activité distribution qui s'occuppe autant de leurs films que des indé). Il y a une opposition Films de studio/cinéma indé aux US. Le cinéma indé n'est pas un repaire de gauchistes gavés aux subventions et les films faits par ce mouvement rapportent bien. Souvent les budgets sont moindres (en general moins de 50 millions, là où le moindre film de studio en coute une centaine) et se fixent moins sur les effets spéciaux que sur l'histoire.

Pour te donner une idée un film comme Black Swan est indépendant, a couté 13 millions et en a rapporté 330 environ à l'exploitation. Que l'on aime ou pas le film (c'est le gout de chacun), économiquemet le rapport Recette/cout est une réussite (Un blockbuster à 160 millions serait à peine rentable avec la même recette).

Et c'est la preuve que même dans le cinéma, la concurence mène à plus de choix (c'était ma pensée libérale sur le sujet). En France le régime des subventions limite cette concurence…

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Tout à fait chère consoeur. La quantité doit en théorie combler la perte de qualité. Pour l'instant ca tient mais pour combien de temps ?

:icon_biggrin: Le cinéma "indépendant" américain est appellé ainsi car produit en dehors des gros studios holywoodiens historiques (je dis bien produit car les studios ont aussi une activité distribution qui s'occuppe autant de leurs films que des indé). Il y a une opposition Films de studio/cinéma indé aux US. Le cinéma indé n'est pas un repaire de gauchistes gavés aux subventions et les films faits par ce mouvement rapportent bien. Souvent les budgets sont moindres (en general moins de 50 millions, là où le moindre film de studio en coute une centaine) et se fixent moins sur les effets spéciaux que sur l'histoire.

Pour te donner une idée un film comme Black Swan est indépendant, a couté 13 millions et en a rapporté 330 environ à l'exploitation. Que l'on aime ou pas le film (c'est le gout de chacun), économiquemet le rapport Recette/cout est une réussite (Un blockbuster à 160 millions serait à peine rentable avec la même recette).

Et c'est la preuve que même dans le cinéma, la concurence mène à plus de choix (c'était ma pensée libérale sur le sujet). En France le régime des subventions limite cette concurence…

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