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Vu le dernier Batman.

Un peu confus et mou au début.

Le résultat ferme bien la trilogie.

Entièrement d'accord avec ça. Le début est un peu trop long, alors que la deuxième partie du film (le plan de bane révélé) n'est pas assez développée - le jeu de miroirs (Bane est représenté comme le reflet de Bruce Wayne - ou l'inverse).

Ayant trouvé Inception et Dark Night prétentieux et longuets, quid du dernier Batman dans ma caboche.

Il est loin le temps des Insomnia & Memento…

Quand bien même, il s'agit de Nolan, il doit se tenir un peu à l'histoire originelle du Batman. Il donne sa vision, mais Warner Bros reste tout de même derrière. On ne peut pas attendre de ce film qu'il soit aussi tortueux que Memento. Aucune raison à ça.

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Entièrement d'accord avec ça. Le début est un peu trop long, alors que la deuxième partie du film (le plan de bane révélé) n'est pas assez développée - le jeu de miroirs (Bane est représenté comme le reflet de Bruce Wayne - ou l'inverse).

Normalement l'image miroir du Batman noir et chiant c'est le joker qui est rigolo et coloré (et fait le crime pour le lulz)l. C'est bien plus une image en négatif.

Bon je vais essayer de voir ça ce soir.

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Vu le dernier Batman.

Un peu confus et mou au début.

Le résultat ferme bien la trilogie. Certainement mieux que tous les autres batmans (des autres réalisateurs). Résultat parfaitement en ligne avec ce que j'attendais (i.e. un film d'action noir pas trop gnangnan - je dis pas trop parce qu'il l'est un peu tout de même, c'est rasoir). Ce n'est pas "expandables" non plus (où là, même le scénario est un prétexte), mais c'est certainement très au-dessus des autres comics habituels.

Je trouve surtout que c'est verbeux (par moment on se croirait dans Jeanne et Serge avec des dialogues de 30 lignes pendant que le ballon traverse le terrain). Sinon plutôt surpris en bien, et ça fait littéralement des années que je n'ai pas été surpris en bien par un film. Je n'arrive pas bien à saisir pourquoi. Batman est un peu à l'ouest mais je crois que cette bonne surprise tient surtout dans l'ambiance générale du film.

Il est clair que Miller est néo-con mais tendance nihiliste. Ca fait un drôle de mélange.

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J'ai pour ma part beaucoup apprécié ce dernier volet des aventures du Dark Knight.

Réalisation très bonne une fois de plus : pas trop clinquante, ambiance très bien retranscrite (notamment la prise de Gotham, le personnage de Bane…). A côté de petits défauts comme quelques ellipses "WTF?" qui font penser que le film est à l'origine plus long, et certains dialogues un peu niais ("ont doit être des bonnes poires" Joel Schumacher sors de ce film!).

Sinon je dirais que cette vision de Batman est, à bien des niveaux, tout à fait liberhalal voir libertarian-kasher.

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Sinon je dirais que cette vision de Batman est, à bien des niveaux, tout à fait liberhalal voir libertarian-kasher.

Bof, à minima alors. Parce que le côté on instaure une quasi-dictature pour les citoyens, ce n'est pas présenté comme une grosse cata.

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Bof, à minima alors. Parce que le côté on instaure une quasi-dictature pour les citoyens, ce n'est pas présenté comme une grosse cata.

Ah, bien au contraire. La loi Dent n'y est pas présentée comme favorable et d'ailleurs même Gordon se repent de son mensonge quant à la mort de son instigateur. Ce qui renvoie bien entendu à une critique du Patriot-Act.

Dent, héros de façade de la justice légale, ressort comme le Créon de Gotham. Batman au contraire est représenté comme une sorte de Thémis au masculin (sa consécration finale imageant le retour de la justice véritable).

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Moi j'ai bien aimé Les Racines du Mal de Dantec.

C'est le seul que j'ai lu.

C'est n'importe quoi. Le truc s'éternise puis se termine n'importe comment, on sent qu'il n'avait aucune idée d'où il allait en écrivant ; du vrai travail d'amateur.

Sans compter l'impossibilité technique de tout ce qu'il raconte plus on avance.

En fait seul le début est pas trop nul et bien écrit.

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Je suis aller voir le dernier Batman hier. Si on veut présenter ça de manière positive, on dira que c'est du pur entertainment, avec déluge de scènes invraisemblables, pirouettes cosmiques et Marion Cotillard qui la ramène pas trop.

Si on est un peu plus exigeant, on remarquera que le scénario (vraiment débile) est fait pour être compris par un gamin de 10 ans, les dialogues par un gamin de 12, que la mythologie qui fait l'arrière monde du film est plus complexe dans Spongebob Squarepants the movie et que le méchant est nul (un gros type chauve avec un moteur de tondeuse en guise de masque, c'est quand même pas top).

On remarquera aussi que le film surfe subtilement sur l'actualité, puisque le méchant mort est un terroriste arabe, celui vivant introduit une sorte de dictature gauchiste genre occupy wall street, et que les deux sont originaires d'un pays oriental attardé où on jette les prisonniers dans un trou jusqu'à ce qu'ils crèvent (peut être une référence filmo aux barbaresques de la "folie des grandeurs" ?).

Ta critique est nulle, bhouhouhouhouhou, tu va voir Batman en t'attendant à du Godart et tu nous sort une critique digne de la revue du porno gay du magasine Tétu, bhouhouhouhouhou.

Sans méchanceté, m'est avis que tu n'as pas vraiment saisi le sens (un peu) caché derrière cette conclusion. Et le choix de Bane en tant que méchant est juste pour cette conclusion ; chaque personnage méchant des films de la trilogie représente un thème bien précis, et quand tu t'y intéresses un peu au comics, tu peux comprendre aisément le thème développé ici : la douleur et le dépassement physique. C'est un peu plus complexe que ce que tu présentes.

+1

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Voilà ma critique à moi :

Je l'ai vu hier soir, EN VO, et j'insiste bien sur le VO parce qu'à en croire les bandes annonces doublées, le doublage français est comme d'habitude à la hauteur de celui de Lost ou Die Hard, c'est à dire à vous faire confondre The expandables avec la version filmée de Winnie the pooh.

Alors voilà, pour moi, The Dark Knight Rises est la conclusion parfaite à cette trilogie époustouflante.

Nolan assure la continuité avec les deux volets précédant tout en parvenant à surprendre, avec un scénario à la foi fidèle à l'esprit de la série et actuel puisqu'il pioche des éléments d'actualités.

The Dark Knight Rises se réfère à des thèmes bien actuels : la moral du pouvoir (référence au patriot act, mais aussi au mensonge stratégique de Bush pour la guerre du Golf, les méthodes douteuses d’interrogatoires de la CIA), les questionnements sociaux (riches/pauvres, les indignés qui sont plus dangereux qu’ils n’en ont l’air IRL, l’orphelin nanti/ les autres orphelins, le rôle de la charité, …), la politique (l’armée à la merci des terroristes, les hauts dirigeants impuissants, …), la finance (la corruption de haut dirigeants d’entreprise, la fragilité de la Bourse, …), le nucléaire (le cas de l’Iran), …

La schizophrénie est plus mise en avant chez les autres personnages que chez Batman, avec le rappel de celle de Dent, celle de Catwoman/Selena Kyle à la fois complice et ennemie, celle de Gordon qui comme les autres défenseurs du bien de la série à sa part obscure et tourmentée et celle de Bane dont la personnalité ne se résume pas à la haine et le désire de destruction. Il y a un seul personnage qui n’est absolument pas schizophrène (quoi que) et ne doute de rien dans la série, c’est celui interprété par Joseph Gordon-Levitt.

Bane est un méchant particulièrement réussi, un monstre aux muscles surdéveloppés, qui porte des stigmates qui en font selon moi le méchant le plus effrayant de la série, à donner des semaines de cauchemars aux enfants. Contrairement au Joker, Bane à lui aussi son coté schizophrène. Il est d’une certaine façon le double opposé de Batman avec certaines similarités dans le parcours et le fait que tous deux souffrent et doivent se surpasser physiquement pour poursuivre leur but. Le double opposé aussi parce que l’arrivée de Bane pour détruire, va en fait reconstruire Batman et l’inciter à surpasser sa peine.

Le symbolisme en ce qui concerne Batman est partout. La demeure et ses fantômes. La notion de martyr suggérée à la fin de "The Dark Knight" est développée. Sa chute dans un puis durant son enfance, qui lui à appris à surpasser ses peurs et à fait naitre son personnage de Batman est ici rappelée par un autre puis dont il devra ressurgir, de l’ombre à la lumière, en surpassant sa douleur et sa peur, pour sauver Gotham.

En ce qui concerne les effets spéciaux, c’est au delà de tout ce qui se fait en ce moment. J’ai vu plein d’autres films en 3D récemment mais aucun ne m’a autant impressionné que celui-ci qui est pourtant en 2D. La destruction du terrain de foot est époustouflante, la première scène dans les airs, … c’est tout bon.

Par ailleurs, j’ai trouvé la scène où Bane apparait au grand jour absolument stressante, les rebondissements et le dénouement complètement inattendu même si certains aspects sont classiques dans le cinéma américain.

J'ai également beaucoup apprécié le tribunal populaire qui n'est pas sans rappeler les heures les plus sombres de Cuba.

Ce film est une réussite tant d’un point de vue du scénario, que de la réalisation, que du casting, que du suspense, que des effets spéciaux.

Si on compare avec tout ce qui se fait pour le moment en termes de super héro, c’est de loin le meilleur.

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Quand on vous dit que les gays ont des goûts de chiottes

Cubat.

C'est simple.

C'est beau.

Si on compare avec tout ce qui se fait pour le moment en termes de super héro, c’est de loin le meilleur.

Le meilleur flim de super héros, c'est Unbreakable. Et pis c'est tout.

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