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Une FIV suivit d'un avortement


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Ce vieux fil n'avortera pas grâce à une nouvelle question intéressante :

http://www.7sur7.be/…ment-rate.dhtml

C'est très intéressant de voir qu'on peut juger qu'il y aurait un préjudice à naître même si on nait tout à fait sain et normal. Jusqu'ici et en France (cocorico) on avait jugé qu'il pouvait y avoir un préjudice à naître en cas de pathologie grave (arrêt Perruche) mais là, c'est le pompom, on peut naître sain et attaquer le médecin sous prétexte qu'on est né!!!

Hihihihi icon_biggrin.gif juste pour dire…. l'embryon pousse pas dans le vagin, et ça vaut mieux….

Effectivement, je vois que ce débat a été mouvementé !

Sinon, le stérilet est bien une méthode abortive qui empêche la nidation de l'oeuf dans l'utérus sans empêcher la fécondation.

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Sans entrer dans le débat pour ou contre l'avortement, on peut au moins admettre que le médecin est un gros blaireau et qu'il n'a pas fait ce qu'on lui demandait de faire correctement. En période de grossesse il y a des indications à suivre qu'elle n'a pu suivre parce qu'on lui a dit que son gosse était mort.

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Sans entrer dans le débat pour ou contre l'avortement, on peut au moins admettre que le médecin est un gros blaireau et qu'il n'a pas fait ce qu'on lui demandait de faire correctement. En période de grossesse il y a des indications à suivre qu'elle n'a pu suivre parce qu'on lui a dit que son gosse était mort.

Les techniques d'avortement par aspiration sont succeptibles d'échec dans moins de 1 % des cas cependant, il peut arriver ce type d'échec rarissime même si la technique a été bien conduite.

On peut bien sur penser que le médecin devrait avoir une obligation de résultat comme cela a été manifestement jugé pour ce cas en Espagne. Mais le jour où ce type de jurisprudence, d'obligation au résultat sera générale, il n'y aura simplement plus de médecin pour prendre la responsabilité d'un acte sauf à des prix clairement prohibitifs permettant de couvrir un risque légal devenu majeur et excessif (ou alors ils devront être fonctionnaires couverts par la responsabilité d'un état qui assurera l'indemnisation des demandeurs).

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Les techniques d'avortement par aspiration sont succeptibles d'échec dans moins de 1 % des cas cependant, il peut arriver ce type d'échec rarissime même si la technique a été bien conduite.

On peut bien sur penser que le médecin devrait avoir une obligation de résultat comme cela a été manifestement jugé pour ce cas en Espagne. Mais le jour où ce type de jurisprudence, d'obligation au résultat sera générale, il n'y aura simplement plus de médecin pour prendre la responsabilité d'un acte sauf à des prix clairement prohibitifs permettant de couvrir un risque légal devenu majeur et excessif (ou alors ils devront être fonctionnaires couverts par la responsabilité d'un état qui assurera l'indemnisation des demandeurs).

Soigner implique une obligation de moyen, pas l'avortement qui implique une obligation de résultat. Par conséquent il faut en faire payer le vrai prix.

Ca en dissuadera certaines de pratiquer l'avortement.

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Quid de la propriété intellectuelle d'un nouveau mode opératoire d'avortement applicable à une femme mariée à une autre ?

Tous les sujets réunis pour détruire lib.org.

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Combien de semaines après la fécondation, pour ce foetus ?

Par exemple, mon fils à 11 semaines de vie (un peu moins de 13 semaines d'aménorrhée), c'est-à-dire peu avant le moment à partir duquel l'avortement n'est plus légal.

post-19-0-91840100-1338075717_thumb.jpg

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Les techniques d'avortement par aspiration sont succeptibles d'échec dans moins de 1 % des cas cependant, il peut arriver ce type d'échec rarissime même si la technique a été bien conduite.

On peut bien sur penser que le médecin devrait avoir une obligation de résultat comme cela a été manifestement jugé pour ce cas en Espagne. Mais le jour où ce type de jurisprudence, d'obligation au résultat sera générale, il n'y aura simplement plus de médecin pour prendre la responsabilité d'un acte sauf à des prix clairement prohibitifs permettant de couvrir un risque légal devenu majeur et excessif (ou alors ils devront être fonctionnaires couverts par la responsabilité d'un état qui assurera l'indemnisation des demandeurs).

Le problème est surtout qu'il ne s'en soit pas rendu compte.

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Quid de la propriété intellectuelle d'un nouveau mode opératoire d'avortement applicable à une femme mariée à une autre ?

Tous les sujets réunis pour détruire lib.org.

Je relance avec une peine de mort et un parti libéral.

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Par exemple, mon fils à 11 semaines de vie (un peu moins de 13 semaines d'aménorrhée), c'est-à-dire peu avant le moment à partir duquel l'avortement n'est plus légal.

post-19-0-91840100-1338075717_thumb.jpg

Oh, faut pas zigouiller ça, c'est trop mignon !

Bon, sérieusement.

Le problème dans cette histoire, c'est de savoir si "l'amas de cellule" dont il est question est un humain ou pas. Autrement dit, est-ce qu'il a des droits ?

Déjà, la distinction embryon-foetus, avec l'un n'ayant aucun droit, et l'autre en ayant me semble largement abusée. Le développement se fait de façon progressive, expliquer que d'un jour à l'autre il est illégal de tuer le "truc" est absurde.

Donc, d'après moi, dés que le spermatozoïde entre dans l'ovule, on peut dire que la vie a commencé, et donc que l'avortement est immoral.

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Par exemple, mon fils à 11 semaines de vie (un peu moins de 13 semaines d'aménorrhée), c'est-à-dire peu avant le moment à partir duquel l'avortement n'est plus légal.

Tut tut tut, on ne déterre pas les vieux posts. Si ce fil pouvait être pudiquement enterré plutôt que de raviver les vieilles querelles…

[…]

Bon, sérieusement.

[…]

J'ai dit stop.

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Les techniques d'avortement par aspiration sont succeptibles d'échec dans moins de 1 % des cas cependant, il peut arriver ce type d'échec rarissime même si la technique a été bien conduite.

On peut bien sur penser que le médecin devrait avoir une obligation de résultat comme cela a été manifestement jugé pour ce cas en Espagne. Mais le jour où ce type de jurisprudence, d'obligation au résultat sera générale, il n'y aura simplement plus de médecin pour prendre la responsabilité d'un acte sauf à des prix clairement prohibitifs permettant de couvrir un risque légal devenu majeur et excessif (ou alors ils devront être fonctionnaires couverts par la responsabilité d'un état qui assurera l'indemnisation des demandeurs).

Oui, c'est pour ça qu'il y a l'écho de contrôle. Je serais vraiment étonné, si le boulot est fait correctement qu'elle foire dans plus d'un cas sur 10 000.

On a donc, une condamnation à 150 K€ + 1000 € par mois pendant 25 ans => 450 K€, avec une proba de 1 / 10^6. Cela ajoute 0,45 € par acte. Je ne pense pas que cela soit dissuasif. Et je pense que cela responsabilisera un peu les médecins.

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Quelques soient les considérations morales de chacun, il faut quand même se poser la question de la légitimité d'une quelconque justice (ou administration) à faire régner sa volonté au fin fond d'un utérus ou d'un vagin.

Ou alors la prochaine fois j'y glisserais ma feuille d'imposition, ça m'économisera un timbre.

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Quelques soient les considérations morales de chacun, il faut quand même se poser la question de la légitimité d'une quelconque justice (ou administration) à faire régner sa volonté au fin fond d'un utérus ou d'un vagin.

Ou alors la prochaine fois j'y glisserais ma feuille d'imposition, ça m'économisera un timbre.

C'est vrai que c'est problématique. On peut aussi aller plus loin : jusqu'à quel points les parents ont des droits sur leurs enfants ?

-Education ?

-Education religieuse ?

-Fessée ?

-Matraquage ?

-Viol ?

-Avortement post-naissance ?

Et en ce qui concerne l'embryon, l'homme étant au moins aussi responsable que la femme, n'a-t-il pas un droit en ce qui concerne l'avortement ? Et si oui, comment définir ce droit ? Et si non, pourquoi pas ?

Je reconnais, c'est une vrai question de fond qui est loin d'être simple.

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Oui, c'est pour ça qu'il y a l'écho de contrôle. Je serais vraiment étonné, si le boulot est fait correctement qu'elle foire dans plus d'un cas sur 10 000.

On a donc, une condamnation à 150 K€ + 1000 € par mois pendant 25 ans => 450 K€, avec une proba de 1 / 10^6. Cela ajoute 0,45 € par acte. Je ne pense pas que cela soit dissuasif. Et je pense que cela responsabilisera un peu les médecins.

Les boulettes, les emmerds et les complications, ça peut arriver et ça arrive même quand tout a été bien fait, nickel chrome.

Qu'est ce qui a été sanctionné ici:

-l'absence de moyen post-op ?

S'il s'agit de cela, on ne peut pas condamner un médecin pour n'avoir pas mis en oeuvre les moyens de détection systématique d'une complication exceptionnelle (d'ailleurs dans le cas présent, il ne s'agit même pas d'une complication au sens médical mais d'un état physiologique particulier de la femme). De plus, quel est l'interet de l'écho de contrôle systématique (en dehors de manifestations cliniques faisant présager une complication, saignement abondant, fièvre, pertes etc) après une IVG chirurgicale (manuelle par aspiration) et non médicamenteuse dont les suites sont normales? il est très faible…. d'ailleurs l'aspect echo de la cavité utérine après une IVG chirurgicale est peu didactique (beaucoup de faux positifs d'image de rétention de matériel)

-ou l'absence de résultat?

Si tel est le cas, ce qui semble vraisemblable, c'est faire de la médecine, au bout du compte, soit un truc inabordable en terme de prix, soit un truc strictement étatisé (ce dernier cas est assez bien représentatif de la dérive française actuelle où certains médecins se délestent d'interventions à risque médico-légal important vers les CHU non pas parce qu'ils ne sont pas capables de faire l'acte mais parce que le risque personnel médico-légal encouru est trop important alors qu'il est bien moins important dans les structures publiques).

Si j'étais gynéco et que j'exerçais en Espagne, pour moi ce serait: "les iVG c'est terminé, je n'en fais plus" (sans tenir compte de l'aspect ethique de l'ivg, mais simplement du problème technique et médico-légal).

C'est sur, ce type de condamnation crétine, ça fait avancer les choses, ça responsabilise les médecins et surtout, au bout du compte, cela restreint l'accés aux soins. Il y a ce qu'on voit…etc.

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Si j'étais gynéco et que j'exerçais en Espagne, pour moi ce serait: "les iVG c'est terminé, je n'en fais plus" (sans tenir compte de l'aspect ethique de l'ivg, mais simplement du problème technique et médico-légal).

Qu'à cela ne tienne. Méta-interventionnisme, quand tu nous tiens.

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Si j'étais gynéco et que j'exerçais en Espagne, pour moi ce serait: "les iVG c'est terminé, je n'en fais plus" (sans tenir compte de l'aspect ethique de l'ivg, mais simplement du problème technique et médico-légal).

C'est pas le but?

Pratiquer une IVG c'est une exigence de résultat pas de moyen, très rarement un médecin peut se planter. Etre enceinte n'est pas une maladie je rappelle.

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C'est pas le but?

Pratiquer une IVG c'est une exigence de résultat pas de moyen, très rarement un médecin peut se planter. Etre enceinte n'est pas une maladie je rappelle.

L'exigence de résultat en médecine ne tend à exister pour l'instant que dans un seul domaine: la chirurgie et médecine esthétique où il me parait assez légitime. Passer pour les autres domaines de la médecine de l'exigence de moyen à l'exigence de résultat, c'est un chemin dangereux qui risque de mener aux dérives que j'évoquais plus haut d'autant plus qu'il vient s'appliquer à un domaine déjà particulièrement "légalisé" qu'est l'obstétrique. Les gynéco (avec les anesthésistes) sont parmi les spécialités qui paient déjà les plus lourdes primes d'assurance en responsabilité professionnelle. A un médecin qui pratique une IVG, on peut demander uniquement à ce que la mise en oeuvre des moyens soit suffisante et non pas l'exigence d'une absence de complication (c'est ça l'exigence de résultat) même si le cas dont nous discutons est inhabituel puisque la complication n'en est pas une et que l'enfant qui est né est normal.

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Colle plutôt ça dans le fil sur la circoncision, si tu veux troller. Beaucoup mieux, crée un fil indépendant. Ou le top du top, cherche si il existe déjà des fils consacrés à l'excision.

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Wikidit:

Troll de l'anglais trolling (mais peut-être en relation avec le mot français trôler1) désigne l'internaute qui poste de manière intentionnelle des messages désobligeants, polémiques, provocants, absurdes, de mauvaise foi, voire insultants, et souvent répétitifs, sur des sites communautaires et de dialogues tels que les forums de discussion.

Et la, j'attends la reaction de Sanksion: "donc un troll, c'est une oeuvre d'art!"

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